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immigration - Page 48

  • Feu sur la désinformation... (108)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : Traitement médiatique de la manif pour tous, entre caricature et fausses fenêtres.
      Le 16 octobre, la manif pour tous redescendait dans la rue : minoration, fausses accusations, fausses fenêtres, débats biaisés. Ce sont les techniques médiatiques qui ont été utilisées, lors de cet évènement, pour désinformer.
    • 2 : Le zapping d’I-Média

    • 3 : Bataille d’Alep sous le feu de la propagande de guerre.
      « La première victime de la guerre c’est la vérité », à Alep les médias travestissent la vérité : Les « casques blancs » des candidats pour le prix Nobel de la paix, une organisation soi-disant neutre.
      I-Média Décrypte.
    • 4 : Tweets d’I-Média
    • 5 : Référendum à Bézier parti pris anti Ménard
      Des manifestants forcent un conseil municipal de Bézier. Pour les médias une « bagarre éclate ». Un parti pris des médias anti-Ménard qui occulte l’action des militants d’extrême gauche.
      I-Média réinforme.

     

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  • Quand l'ordre qui règne dans certains quartiers n'est plus celui de la France...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous la chronique d'Éric Zemmour sur RTL, datée du 20 octobre 2016 et consacrée aux manifestations des policiers qui protestent contre l'absence de réaction de l'état face aux violences qu'ils subissent.

    Eric Zemmour vient de publier chez Albin Michel un recueil de ses chroniques des années 2013-2016 intitulé Un quinquennat pour rien et précédé par un longue préface intitulée « La France au défi de l'islam », qui lui vaut, à nouveau, d'être la cible d'une campagne d'intimidation.

     

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  • La revue de presse d'un esprit libre... (19)

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    La revue de presse de Pierre Bérard

    Au sommaire :

    SUÈDE
     
    En Suède un miracle n'arrive jamais seul, la preuve. Non content d'avoir été élu pays d'accueil privilégié des "réfugiés", l'arrivée massive de ces derniers aurait permis un boom économique. Pensez donc, 4,5 % de croissance du PIB au dernier trimestre de l'année 2015 ! De quoi faire pâlir les "économistes" chinois. À quoi serait due cette "croissance" surprenante dans une Europe en proie à la léthargie et où l'Allemagne avec un taux annuel de 1,6 % fait figure de locomotive ? D'après une abondante cabale d'experts, à l'immigration. Oui, vous ne rêvez pas. Ce qui est vrai en un sens, défavorable aux Suédois, car le gouvernement  a beaucoup dépensé pour l'installation de ses hôtes : logements, écoles, allocations, fonctionnaires supplémentaires. Ce qui permet à L'Humanité, quotidien du Parti Communiste Français, ou des rogatons qu'il en reste, de justifier cette politique généreuse d'accueil des migrants et de vanter les exigences de la CGT en la matière. Le mythe de l'avenir radieux n'a pas pris une ride. Après le génial Staline, c'est l'immigration salvatrice qui nous promet des lendemains qui chantent. Singulière position d'un parti autrefois défenseur des salariés et qui, aujourd'hui, adhère sans recul à la plus pure doctrine libérale, au point de rabâcher ses âneries. En effet, la principale insuffisance du PIB est de ne pas faire la différence entre une nuisance et un richesse. Ainsi les catastrophes naturelles ou l'augmentation du nombre des accidents de voitures font grimper automatiquement ce taux. Si l'on suivait le raisonnement de L'Humanité, suivant en cela de nombreux experts rémunérés par le Capital, une Suède peuplée de millions de "réfugiés" supplémentaires connaitrait un taux de croissance de son PIB mirifique. Mais l'on constate que le gouvernement du pays "le plus généreux d'Europe" n'a pas cru devoir poursuivre l'expérience puisque, la mort dans l'âme, il a annoncé cette année la fin de l'immigration et un contrôle drastique  de ses frontières. Et du même coup sans doute la fin de la croissance miraculeuse reconnaissant par là les imperfections du mirobolant indicateur censé la mesurer. Gageons que le prolétariat local ne doit pas être marri de cette décision :
     
     

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    SYRIE / RUSSIE 
     
    Le point de vue de Caroline Galactéros. Tout d'abord avec un article du 11 septembre 2016 sur les alliances nouées sur le terrain proche-oriental et surtout celle qui lie désormais la Russie et la Turquie, pure alliance de circonstance selon elle (première référence). Dans une seconde chronique, percutante mais aussi accablante pour notre calamiteuse politique vis-à-vis de la Syrie et de l'action qu'y mène la Russie, elle montre comment la France s'est trompée en s'engouffrant dans un alignement crédule et irénique sur la stratégie du chaos voulue par la puissance américaine au dépens de la sécurité de nos concitoyens. Elle ne mâche pas ses mots pour qualifier notre diplomatie du contresens qui, planquée derrière les jérémiades vertueuses de Fabius et d'Ayrault, s'avère incompétente et finalement humiliante pour notre pays, humiliante car elle risque de jeter le destin de la France aux mains d'imprévisibles politiciens étatsuniens. :
     
     
     
    Bruno Guigue quant à lui insiste sur le pathétique d'un président (Hollande), sponsor des terroristes sunnites au Proche-orient, menaçant de ses rodomontades celui qui les combat (Poutine). Déférer le président russe devant la Cour pénale internationale pour crime de guerre, rien que ça ! Monsieur "petites blagues" a, c'est évident, réussi la meilleure de l'année dans le registre de l'esbroufe et ceci au mépris d'une diplomatie qui fut, jusqu'en 2003, dotée d'un certain panache et qui sombre dorénavant dans le ridicule en mettant son crétinisme au service des États-Unis. Quand le propos politique se réfugie dans l'incantation moralisatrice, il ne fait qu'exprimer sa triste impuissance et comme l'aurait dit un ancien ministre des affaires étrangères "le décrochage de la France est maintenant indéniable".  :
     
     
    Hadrien Desuin, expert en géo-stratégie, délivre un message semblable à propos des hésitations et du couac final de la "diplomatie" hollandaise vis à vis de la Russie. Au fond, écrit-il, "Cet homme n'aime pas ce pour quoi il a été élu : décider et choisir. Il laisse la décision à Vladimir Poutine. Et Vladimir Poutine de lui répondre moqueur : je viendrai quand François Hollande sera prêt". Nouvelle rebuffade pour Hollande, mais c'est pourtant peu dire que d'avouer que la France doit parler à la Russie pour exister sur la scène internationale, mais que Moscou n'a pas besoin de Paris pour compter dans le monde :
     
     
    Un son de cloche bien différent que celui que l'on nous serine à longueur de journée à propos d'Alep-est et de ses fameux "casques blancs", secouristes humanistes qui sauvent des vies au mépris de la leur. Une imposture de plus au service du bloc occidental :
     
     
    Sur la généalogie de ces pseudo "casques blancs" on se reportera à la fiche publiée par le site suisse Arrêt sur info :
     
     
    Dans un entretien donné à Figaro vox le 29 septembre concernant le sort d'Alep, le géographe Fabrice Balanche se refuse à emboîter le pas au story telling occidental. En effet il met en cause les médias où l'émotion l'emporte sur la réflexion et qui sur-réagissent aux bombardements russes, justifiant ainsi notre "irealpolitik". Il rappelle que les "rebelles modérés" qui envoûtent tant nos politiques sont une fiction, que les civils d'Alep-est sont maintenus prisonnier dans leur ville afin de servir aux troupes d'al-Qaîda de boucliers humains et que l'émoi provoqué dans l'opinion publique par cette situation est instrumentalisé par les bailleurs arabes de la rébellion syrienne, notamment l'Arabie saoudite et le Qatar salafistes auxquels nos chancelleries complices ne peuvent rien refuser : 
     
     
    Jean-Luc Mélenchon invité dans l'émission L'Épreuve de vérité  de Public Sénat  nous offre le réjouissant spectacle de journalistes criblés de rafales assassines. S'y révèle, une fois de plus, une doxa médiatique qui, bien qu'hégémonique, ne tient plus la route. Avec ses saillies oratoires et son art offensif de la dialectique, Mélenchon pratique une stratégie de rupture avec le discours mainstream. Son exécution du résident de la République est à cet égard exemplaire et les quelques minutes qu'il consacre au tout début de son intervention à l'affaire syrienne et à l'éviction dérisoire de la Russie de Poutine par notre diplomatie un morceau de premier choix :
     

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    ISRAËL
     
    Démystification. Quelques vérités à propos de Shimon Peres, honoré par l'Occident unanime et condamné par les Arabes pour d'évidentes raisons. On notera que les édiles européens célèbrent un homme et à travers lui un pays qui pratique une toute autre conception du "vivre ensemble" que celle à laquelle ils ont contraint leurs populations. La loi du double standard ne jouerait-elle qu'en faveur d'Israël ? :
     

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    HONGRIE
     
    Un article cueilli sur un site catholique nous apprend que Lazlo Foldi, ancien directeur des opérations des services  de renseignement hongrois, a déclaré sur Radio Kossuth que la crise des migrants qui assaillent l'Europe serait un opération mené par les autorités de Bruxelles avec le concours des médias mainstream et des ONG contre les États-nation du continent afin d'instaurer une Europe multiculturelle. Au delà d'une évidente défense de la politique migratoire des autorités hongroise, cette déclaration donne à réfléchir :
     

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    ÉTATS-UNIS
     
    Pascal Gauchon, rédacteur en chef de l'excellente revue de géopolitique Conflits présente son dernier hors-série devant la caméra de Boulevard Voltaire. Il est consacré aux visages de la puissance américaine. Sa conclusion : "Hillary Clinton, c'est George W. Bush avec une jupe".  Notons par ailleurs que l'actuel numéro (en kiosque) porte dur le thème "La Russie et nous" :
     
     
     
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  • Immigration : quand l'UE est sourde à la révolte des peuples européens...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous la chronique d'Éric Zemmour sur RTL, datée du 4 octobre 2016 et consacrée à la réaction des peuples européens contre la politique d'accueil des migrants imposée par l'Union européenne.

    Eric Zemmour vient de publier chez Albin Michel un recueil de ses chroniques des années 2013-2016 intitulé Un quinquennat pour rien et précédé par un longue préface intitulée « La France au défi de l'islam ».

     

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  • La raison du plus fort...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Lauri Volpi, cueilli dans la nouvelle lettre d'information Centurie News et consacré, en s'appuyant sur l'exemple corse, à la nécessaire résistance identitaire face à l'immigration de masse...

     

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    La raison du plus fort

     

    Après avoir laissé se constituer un bidonville de plus de 12 000 migrants aux abords de Calais, l’Etat a décidé d’agir à l’approche des élections.  Près de 12 000 personnes seront donc ventilées dans toutes les régions françaises. Toutes ? Non, pas en Corse. Le gouvernement ne s’y risquera pas pour éviter de nouveaux incidents, qu’il ne craint visiblement pas dans d’autres parties du territoire. Peut-être n’est-il pas inutile d’évoquer les ressorts de la spécificité corse pour mieux comprendre sa capacité de résilience à la politique de population du gouvernement français et de l’UE. 

     

    La Corse n’a pas d’Etat propre. C’est un peuple et une terre. Une île belle et rude sur laquelle se maintient une population aux caractéristiques génétiquement stables depuis presque 20 000 ans (lire CenturieNews N°1). Comme d’autres peuples restés sans Etat pendant des siècles (Kurdes et autres), les Corses assurent encore au niveau local les fonctions qui permettent de maintenir une harmonie fondée sur des normes communes. Edward Goldsmith, pour évoquer cette capacité des communautés à maintenir leur cohésion, évoquait le « contrôle social par le potin méchant ». Comme d'autres peuples, les Corses maintiennent eux-mêmes des règles et coutumes qui ne dépendent pas de lois ou des institutions, échappant encore un peu aux capacités d’influence des médias de masse. C’est bien cette particularité de fonctionnement qui leur a permis de maintenir une personnalité collective propre. C’est la raison pour laquelle, les petits ayatollahs de banlieues se heurtent là-bas à des réactions spontanées.

     

    En effet, les Corses ne se demandent pas s'il est légal, ou conforme à la morale médiatique de réagir à ce qui heurte leurs réflexes territoriaux, leurs coutumes ou leur sens de la justice. Les Corses réagissent encore parce qu’ils n’ont pas laissé à un Etat le soin de réglementer ou baliser leur vie quotidienne. Et ce, bien avant que cet Etat ne confie cette tâche à encore plus éloigné et plus malfaisant que lui ; l’Union Européenne et les transnationales.  « In terra chè tù vai, fà usu chè tù trovi ». (Lorsque tu arrives dans une autre terre, conforme-toi aux usages que tu y trouves). Voilà ce que savent les Corses et tous les peuples qui n’ont pas perdu la tête.

     

    De plus, malgré le passif « anti-impérialiste » des têtes de gondoles politiques du «nationalisme Corse», mécaniquement pro-immigration par archaïsme, reliquat d’un temps où les revendications ethniques étaient réinterprétées en vue de la lutte de classe, ceux-ci, à l’instar d’un Jean-Guy Talamoni ou d’un Gilles Simeoni, ont dû faire profil bas devant la pression populaire, lors des rixes de Sisco.

     

    Alors, les événements de Sisco de cet été sont-ils les signes de tensions  intercommunautaires susceptibles de déboucher tôt ou tard sur une guerre civile ? C’est malheureusement probable et voici pourquoi.

     

    Sous l’effet des inévitables souffrances provoquées par l’histoire (crise économique, guerres, désordres sociaux graves, épidémies etc.) les communautés humaines cherchent instinctivement à reformer leur cohésion interne pour réagir et s’adapter. A l’instar des rassemblements de masse après les attentats, à l’image d’un Renaud en cure, étreignant un « flic » dans une manif « Je suis Charlie ».

     

    Or il existe trois façons de maintenir l’unité d’un groupe humain. La première est d’intégrer ses parties à un principe unitaire surplombant. L’idée nationale a joué ce rôle dans le passé. On ne voit guère poindre de principe supérieur, susceptible de rassembler un pays déchiré comme la France et les incantations aux valeurs de la République n’y pourront plus grand-chose. La deuxième, est d’assimiler les populations  en imposant à tous, non seulement des règles, mais aussi une culture et une langue commune, pour fondre ces différences dans un moule unique. C’est d’ailleurs le point de vue  défendu par le journaliste Eric Zemmour et aussi celle du Front National de Marine Le Pen et Florian Philippot. Il suffit pourtant d’un instant pour mesurer à quel point ce projet politique n’est pas tenable. Car enfin, quel Etat  - au surplus renouvelable tous les cinq ans - aura la force d’appliquer une politique suffisamment vigoureuse pour réduire les gouffres de sensibilités, de cultures, de valeurs, de coutumes, créés par l'immigration de masse extra-européenne ? Il ne faut pas être grand-prêtre pour deviner quelles tempêtes déchaineraient une telle politique au regard des difficultés à surmonter. Elle déboucherait probablement sur l'option suivante.

     

    Car la dernière option pour reformer l’unité des communautés humaines dans l’histoire est celle de l’exclusion des corps étrangers inassimilables. Ce processus s’impose toujours quand les deux autres ont échoué. Et si l’Etat n’engage pas lui-même cette mise à distance des populations qui restent étrangères, par l’expulsion ou la partition, la guerre civile survient, comme le déclenchement intempestif d’un processus d’exclusion réciproque. Les politiques s’effacent alors pour laisser la place aux nervis.

     

    Pour l’instant,  les élites cherchent la réduction des antagonismes fabriqués par le multiculturalisme et l’immigration de masse en affaiblissant la culture et les normes de la population autochtone et temporairement encore, majoritaire. A la manœuvre, la sainte alliance des utopistes de gauche et de la finance transnationale apparaît évidente. Le milliardaire George Soros,  finançant simultanément les Femens (ultra-féministes) et le CCIF (communautaristes musulmans), est emblématique de cette convergence d’intérêts. Cette stratégie fonctionne mais provoque une montée de la colère de la population contre les institutions et le personnel politique, mais aussi contre les populations soutenues préférentiellement et systématiquement par le complexe médiatico-politique.

     

    On a vu pourquoi les Corses résistaient mieux que d’autres au reformatage civilisationnel. Voilà pourquoi il est probable que la Corse, ou une population qui a échappé au rouleau compresseur jacobin, sera le lieu où les premières étincelles se produiront. On pourra encore quelques temps ignorer les leçons de l’histoire. Mais sur les terres insoumises, les feux se propagent vite et deviennent rapidement incontrôlables et violents. C’est la raison pour laquelle le gouvernement a soigneusement oublié la Corse, dans son projet de ventilation du bidonville de Calais.

     

    Lauri Volpi ( Centurie News n°2, 15 septembre 2016 )

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  • Donald Trump, héritier de la gauche républicaine et patriote des années 30 ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous la chronique d'Éric Zemmour sur RTL, datée du 27 septembre 2016 et consacrée au programme de Donald Trump, rarement évoqué dans les médias français...

     

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