Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

guerre - Page 25

  • Sommes-nous en pleine 4ème guerre mondiale ?...

    Le 10 juillet 2020, Martial Bild recevait, sur TV libertés, Michel Geoffroy, à l'occasion de la publication de son essai La nouvelle guerre des mondes (Via Romana, 2020). Ancien haut-fonctionnaire, Michel Geoffroy a publié le Dictionnaire de Novlangue (Via Romana, 2015), en collaboration avec Jean Yves Le Gallou, et un essai, La Superclasse mondiale contre les Peuples (Via Romana, 2018).

     

                                          

    Lien permanent Catégories : Entretiens, Multimédia 0 commentaire Pin it!
  • Méditations du haut des cimes...

    Les éditions du Lore viennent de rééditer, dans une nouvelle version, un recueil de textes de Julius Evola intitulé Méditations du haut des cimes. Penseur essentiel du traditionalisme révolutionnaire, écrivain au style clair et puissant, Julius Evola est notamment l'auteur de Révolte contre le monde moderne (1934) et de Chevaucher le tigre (1961).

     

    Evola_Méditations du haut des cimes 2.jpg

     

    " Eminent métaphysicien de l’Ecole de la Tradition , fin connaisseur des doctrines ésotériques d’Orient et d’Occident, doctrinaire politique aussi radical qu’inclassable, le penseur italien Julius Evola (1898-1974) fut également un alpiniste singulier.

    Dans ce recueil d’articles, il nous livre ses méditations sur le symbolisme de la montagne, sur « l’art des neiges », et surtout sur sa pratique, à savoir la conquête du sommet, là où règne le démon des cimes.

    Toujours considérée, par l’humanité traditionnelle, comme un lieu réservé uniquement aux héros et aux initiés, la montagne apparaît aujourd’hui comme une des rares voies - voire une des seules en Occident - offerte à l’homme pour une réalisation spirituelle authentique et intégrale.

    En tant qu’action pure et libre, en tant que guerre sainte totale, l’ascension permet la « renaissance de quelque chose de transcendant » qui peut mener jusqu’à l’éveil, jusqu’à la grande libération qui est l’objet de toute vie véritable.

    Cette traduction de Bruno Cariou comprend 5 articles inédits par rapport à la première traduction française de 1986. "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • La guerre : la penser et la faire...

    Les éditions Jean-Cyrille Godefroy viennent de publier un recueil de textes de Benoist Bihan intitulé La guerre : la penser et la faire et préfacé par Michel Goya. Historien militaire, Benoist Bihan a travaillé comme chercheur à l’Institut de recherche stratégique de l’École militaire (IRSEM), au CNRS et au Centre d’analyse et de prévention des risques internationaux (CAPRI).

     

    Bihan_La guerre, la penser et la faire.jpg

    " Plus qu’aucun autre pays européen, la France fait usage de ses forces armées, engagées sans relâche dans des « opérations extérieures » au long cours dont il est parfois difficile de discerner la cohérence d’ensemble. En tête des institutions préférées des Français, qui voient en elles une valeur refuge dans une société désorientée, les Armées ont vu disparaître le climat d’antimilitarisme des années 1970. Mais l’opprobre n’a pas été remplacé par une meilleure compréhension de ce qui guide l’action de guerre.

    Or la remise en cause, violente, du cadre des relations entre les États, et désormais des structures mêmes de nos sociétés, nous impose de comprendre. Elle commande de penser la stratégie, et d’approcher ce que signifie être et agir en homme de guerre : pas seulement en militaire, mais bien en citoyen face aux périls menaçant sa Nation, en être humain face à l’inéluctable tragédie de la Politique.

    Un monde nouveau émerge, dans les fracas du terrorisme et de la guerre économique, au rythme de « crises » protéiformes. Pour nous, Français, ce monde neuf nous projette paradoxalement vers des horizons anciens, où se pose la question de la survie, et où la victoire est parfois le seul chemin vers la paix. Mais pour y parvenir, il nous faudra toutefois nous montrer capables à nouveau de penser, et de faire la guerre.

    C’est l’ambition de ce bréviaire : donner accès aux mots de la guerre, les rendre familiers au travers d’articles courts et enlevés. Avec une conviction : la guerre est chose trop sérieuse pour ne pas être entendue. "

     

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Figures de la guerre...

    Les éditions Hermann ont récemment publié un ouvrage collectif dirigé par Jean Baechler et intitulé Figures de la guerre, qui recueille les actes d'un colloque qui s'est tenu à la Fondation des Treilles à la fin du mois d'août 2016. On y trouvera notamment des contributions de Christian Malis, Philippe Contamine, Jean-Pierre Bois, Lucien Biély, Laurent Bardiès, Frédéric Ramel, Jérôme de Lespinois et Jean Baechler.

     

    Baechler_Figures de la guerre.jpg

    " La guerre a un poids décisif sur les affaires humaines depuis une dizaine de millénaires. Jusqu'à la Première Guerre mondiale, la guerre était perçue et vécue, selon la position occupée et les péripéties, comme un fléau ou une aventure exaltante. La catastrophe suicidaire de 1914 a instillé l'horreur de la guerre et inspiré un courant pacifiste dominant, qui a longtemps fait de la guerre un tabou en tant qu'objet d'étude dans les sciences humaines, y compris en histoire. Depuis peu, les travaux se sont multipliés. L'Académie des sciences morales et politiques a ainsi consacré à la guerre une enquête de fond, qui a résulté dans la publication, aux Editions Hermann, de seize volumes collectifs. Le colloque des Treilles, dont le présent volume recueille les actes, a réuni des collaborateurs dévoués à cette entreprise. La variété des thèmes abordés témoigne de l'importance de la guerre pour tous les départements de l'humain. "

    Au sommaire :

    • Jean Baechler (Paris-Sorbonne ; Académie des sciences morales et politiques) : « Les origines de la guerre »
    • Marion Trévisi (historienne moderniste, Université de Picardie) : « Les femmes et la guerre en France à l’époque moderne »
    • Laurent Vissière (historien médiéviste, Paris-Sorbonne) : « La guerre et le temps déréglé (XVe siècle) »
    • Salvatore D’Onofrio (ethnographe, Université de Palerme) : « Bataille sans combattre: les Ayore du Chaco paraguayen »
    • Laurent Quisefit (orientaliste, INALCO) : « Invasions, destructions, rumeurs : la Corée face aux invasions mongoles »
    • Pierre Charau (germaniste, chargé de mission à l’Académie des sciences morales et politiques) : « La Guerre de Trente Ans vue d’en bas, au travers de l’œuvre de Grimmelshausen »
    • Christian Malis (groupe Thalès) : « La guerre est-elle le moteur de l’histoire ? »
    • Jean-Claude Cheynet (historien byzantiniste, Paris-Sorbonne) : « Loyauté et trahison au sein de l’armée byzantine »
    • Philippe Contamine (historien médiéviste, Paris-Sorbonne, Académie des inscriptions et belles lettres) : « Guerre et paix entre les nations : l’exemple de la chrétienté latine à la fin du Moyen Âge »
    • Bernard Boëne (sociologue, université de Rennes) : « Un projet de modélisation analogique du climat stratégique »
    • Jean-Pierre Bois (historien moderniste, Université de Nantes) : « Le soldat aux XVIIe et XVIIIe siècles : l’armée et la guerre, la vie et la mort »
    • Michèle Battesti (polémologue, IRSEM) : « Les blessures psychiques de guerre »
    • Pierre Delvolvé (juriste, Université de Paris-Assas, Académie des sciences morales et politiques) : « De la guerre à la paix : modalités juridiques »
    • Lucien Bély (historien moderniste, Paris-Sorbonne) : « Homme de guerre, homme de paix (XVIIe-XVIIIe siècles)»
    • Laure Bardiès (sociologue, école militaire de Saint-Cyr Coëtquidan) : « Les négations de l’ennemi »
    • Frédéric Ramel (politologue, SciencesPo Paris) : « Guerre et esthétique »
    • Jérôme de Lespinois (armée de l’air, IRSEM) : « Guerre aérienne et guerre totale »
    • Antony Dabila (sociologue, Université de Lyon III) : « La guerre comme expérience mystique »
    • Yves Bruley (historien contemporanéiste, EPHE IVe Section : « Victor Hugo et les guerres de Napoléon III »
    • Pierre Kerbrat (historien médiéviste, secrétaire général de l’Académie des sciences morales et politiques) : « La guerre à contretemps ».

     

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Confinez-vous avec : ... Les guerres préhistoriques, de Lawrence H. Keeley !

    Avec la crise du coronavirus, les maisons d'édition reportent la publication de leurs nouveautés à des jours meilleurs. Cette période sera donc l'occasion de vous signaler, au gré de l'inspiration du moment, des ouvrages, disponibles sur les sites de librairie en ligne (ceux dont l'activité se poursuit...), qui méritent d'être découverts ou "redécouverts".

    On peut trouver aux éditions Rivages, dans la collection de poche, un essai de Lawrence H. Keeley intitulé Les guerres préhistoriques. Professeur d’anthropologie à l’université de l’Illinois à Chicago, Lawrence Keeley a mené des recherches archéologiques en Californie, dans l’Oregon et en Europe ainsi que plus récemment au Vietnam et ses recherches sont centrées sur la fabrication et l’usage des pierres, l’agriculture, l’ethnologie de la guerre du feu.

     

    Keeley_Les guerres préhistoriques.jpg

    " Nos guerres modernes, aussi high-tech soient-elles, n'ont rien à envier aux guerres néolithiques. La préhistoire loin d'être un Eden idéal fut une période de fureur et de sang...

    On imagine, en général, que les guerres préhistoriques étaient rares, peu destructrices et sans grande importance. Grâce à des recherches archéologiques et historiques, Lawrence H. Keeley compare les modes guerriers des sociétés primitives avec ceux des états européens modernes ou ceux des Indiens de l'Amérique du Nord, et démontre que la guerre avant la civilisation était plus destructrice, plus fréquente et plus violente que la guerre moderne.
    Mais, au-delà des faits, le travail de Keeley ouvre des perspectives morales et philosophiques. Quelles sont les causes de la guerre ? Les êtres humains sont-ils violents de façon inhérente et inévitable ? Comment pouvons-nous être sûrs de préserver la paix ? Bousculant certaines de nos plus chères convictions, Keeley offre des conclusions qui ne peuvent que susciter la controverse. "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Le Capitán Alonso de Contreras...

    Les éditions Viviane Hamy viennent de rééditer les Mémoires du Capitán Alonso de Contreras, avec une préface d'Ernst Jünger. Alonso de Contreras (1582-1633) a mené la vie aventureuse et guerrière d'un capitaine de l'Ordre de Malte au début du XVIIe siècle.

     

    Contreras_Mémoires du Capitán Alonso de Contreras.jpg

    " « Je naquis en la noble ville de Madrid le 6 janvier 1582. Je fus baptisé en la paroisse de San Miguel ; mes parrain et marraine furent Alonso de Roa et Maria de Roa, frère et soeur de ma mère. Mes parents se nommaient Gabriel Guillén et Juana de Roa et Contreras. Je voulus prendre le nom de ma mère lorsque j'allai servir le Roi, étant enfant, et quand je m'aperçus de l'erreur que j'avais commise, je ne la pus réparer parce que dans mes états de services il y avait "Contreras". J'ai vécu jusques aujourd'hui et suis connu sous ce nom, et nonobstant qu'au baptême on m'ait appelé Alonso de Guillén, moi, je m'appelle Alonso de Contreras. » Les Mémoires du capitan Alonso de Contreras, découverts à la fin du XIXe, sont un splendide et captivant récit d'aventures, vécues sur terre et sur mer par un capitaine de l'ordre de Malte au début du XVIIe siècle. Il nous raconte la guerre des galères en Méditerranée, les abordages entre les galions espagnols et les corsaires anglais, sans oublier les expéditions sous le soleil des côtes barbaresques. Alonso de Contreras a séduit, de son vivant, Lope de Vega qui lui dédia sa pièce Le Roi sans royaume.

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!