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allemagne - Page 7

  • Sur les pas de Spengler...

    Dans ce nouveau numéro de l'émission de TV Libertés, « Les idées à l’endroit », Alain de Benoist reçoit  Gilbert Merlio, germaniste et historien des idées, et David Engels, historien, pour évoquer la pensée et l’œuvre du penseur allemand Oswald Spengler, auteur, notamment, de l'essai intitulé Le Déclin de l'Occident.

     

                                      

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  • Les Cahiers noirs d'Heidegger...

    Les éditions Gallimard viennent de publier les deux premiers volumes des Cahiers noirs d'Heidegger, qui couvrent les années 1931 à 1939, sous le titre Réflexions. On rappellera que la publication en Allemagne, en 2014, de ces deux volumes a déclenché une violente polémique dans le monde intellectuel après la découverte d'une quinzaine de passages, abusivement qualifiés d'antisémites, dans lesquels le philosophe évoque les Juifs ou le judaïsme...

     

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    " Ce volume comprend les cinq premiers des trente-quatre Cahiers rédigés par Heidegger depuis le début des années 1930 jusqu'à la fin de sa vie (la série commence en fait au deuxième de ces Cahiers, le premier ayant été perdu). Les "Cahiers noirs" ou "Cahiers de travail" (ainsi Heidegger les dénommait-il lui-même d'après leur fonction ou la couleur de leur reliure) occupent une place singulière dans l'ensemble de ce qu'a écrit l'auteur. Son souhait de les voir publiés après que fut achevée l'édition intégrale de ses oeuvres signifie qu'il a voulu laisser aux lecteurs soucieux de comprendre sa pensée un moyen d'en appréhender le travail au plus près de son élaboration. La publication de ces Cahiers permet-elle de mieux connaître Heidegger ? Certainement pas, si l'on entend par "connaître" le fait d'entrer dans l'intimité d'une personne. On ne trouvera pas trace d'une quelconque confidence dans ces pages. En revanche, on y verra à l'oeuvre l'effort sans relâche d'un philosophe pour reprendre et préciser sa pensée. Les Cahiers commencent au moment où Heidegger entreprend d'approfondir la position conquise avec Etre et Temps (1927). Ils permettent de suivre l'aventure intellectuelle qu'allait représenter pour lui la découverte déconcertante de ce qu'il finirait par appeler «l'histoire de l'être» ."

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    " Les Cahiers repris dans ce volume, rédigés en 1938-1939, tournent principalement autour du thème de "l'autre commencement" que, selon Heidegger, la philosophie a pour tâche de préparer, à l'heure de "l'achèvement des Temps nouveaux" , où le règne de la métaphysique de la subjectivité porte le "premier commencement" , le commencement grec, à sa complète expression. Cela se manifeste en particulier dans "la réduction de l'homme à lui-même" , à son animalité et à sa rationalité qui non seulement se conjuguent, mais se renforcent l'une l'autre. Les débordements politiques de l'âge des masses, à commencer par le national-socialisme, en procèdent en ligne directe. Là est l'enjeu "historial" de l'époque pour la pensée, enjeu que Heidegger s'emploie à faire ressortir contre l'aplatissement de "l'histoire historisante" . Au-delà du déploiement de l'efficience généralisée, il y va de la "Décision" ouvrant sur la vérité de l'essence de l'homme dans sa relation à l'être. "

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  • Chemnitz : fin ou renaissance du peuple allemand ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue d'Olivier Tisier, cueilli sur Metamag et consacré à l'impact qu'ont eu en Allemagne les manifestations de Chemnitz, provoqués par le meurtre d'un Allemand par des migrants. Olivier Tisier vit et travaille en Allemagne.

     

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    Chemnitz : fin ou renaissance du peuple allemand ?

    Voilà plus d’une semaine que l’Allemagne ne parle que de ça. Dans chaque ville, à chaque coin de rue, dans chaque commerce, chaque entreprise, chaque Kneipe et Kiosk à Lotto de Bundesrepublik… absolument partout!…

    Récapitulons brièvement les faits. Chemnitz, une ville modeste de Saxe. 240 000 habitants, un soir de week end. On fête le 845e anniversaire de la ville dans une ambiance bonne enfant si propre à l’Allemagne. Quand soudain des “réfugiés“ s’en prennent à une jeune allemande dans l’idée de la violer. Un groupe d’Allemands lui vient alors en aide. Parmi eux Daniel Hillig, 35 ans. Il sera poignardé par les agresseurs et perdra la vie. Scénario tragique mais hélas dorénavant classique qui n’est pas sans rappeler la mort du jeune Adrien Perez 26 ans poignardé lui aussi à mort en France à Grenoble cet été à la sortie d’une boîte de nuit dans l’indifférence quasi générale des autorités.

    La suite ? Un coup de tonnerre, une mobilisation sans précédent, des marches et des manifestations en hommage à son acte de courage mais aussi la colère d’un peuple allemand qui est complètement à bout. Un peuple allemand qui a fait sécession avec la politique de Merkel et plus généralement avec ses élites classiques. Tout un peuple ? Hélas non, les traditionnnels antifas organisent contre-manifestations, blocages et violences à l’endroit des quidams qui témoignent leur peine et leur légitime colère. Les médias? Comme d’habitude acquis au politiquement correct et au pas d’amalgame. Ils ont pour mission de prévenir par la doxa toute évolution droitière de l’opinion. Mais aussi de maintenir la police sous pression afin de la rendre zélée sous peine d’être taxée d’empathie voire de collusion avec le peuple qu’elle est chargée de défendre. Et pour finir les traditionnels artistes engagés décidant d’organiser un concert gratuit à Chemnitz pour que l’amour soit plus fort que la haine. Le slogan est breveté internationalement, il faut le croire.

    Déjà la propagande s’enclenche, le nazisme serait de retour en Allemagne

    Oui vous avez bien entendu le nazisme! L’extrême droite menacerait à nouveau la viabilité de l’état allemand et il faudrait à nouveau la combattre pieds à pieds sans attendre. Les contre-manifestations antifas ont d’ailleurs réunis plusieurs milliers de personnes, sentant à juste titre qu’à Chemnitz se jouait une bataille symbolique. Pour l’occasion la société flixbus et blablacar ont même offert des Gutschein, des bons d’achats en cadeau permettant de se rentre à Chemnitz à moindre frais pour y défendre le vivre ensemble aux côtés des bolchos et d’assister aux concerts de rockeurs millionnaires…Mais hélas pour tous ces sinistres représentants d’une Allemagne déconfite, bien plus nombreux étaient les anonymes et les militants nationalistes de toute obédience venus rendre hommage à plusieurs reprises à Daniel. „Nous sommes le peuple“ scandaient ils comme d’autres avant eux lorsqu’ils défiaient le pouvoir totalitaire de la RDA.

    Il y aura un avant et un après Chemnitz car cela a été le crime de trop

    Les Allemands de l’Est ne pardonneront ni n’oublieront jamais. Il faut bien comprendre qu’après guerre on a troqué en Allemagne de l’Ouest le sentiment national contre une douce qualité de vie. Beaucoup d’Allemands de l’Ouest se sont alors vautrés dans un matérialisme répugnant fait de grosses berlines impeccables, de costumes hugo boss, d’appartenance à des clubs de tennis ou de golf, de voyages sur des îles plus ou moins lointaines en compagnie de créatures exotiques plus ou moins majeures… bref la panoplie intégrale du gros beauf fier de son affiliation à une classe moyenne supérieure tant fantasmée. Mais en Allemagne de l’Est, ce fut bien différent et il existe encore des survivances de traditions anciennes, de solidarités locales, de sociabilités et de comportement non-mercantiles. Les „ossies“ , les habitants de l’Est placent leur art de vivre avant toute autre contingence. Ce sont des gens rugueux, peu ouverts au compromis et manquant de souplesse dans les affaires. Mais la préservation de leur modus vivendi est à ce prix. Et c’est de là que provient cette solidarité ethnique. Celle là même qui a fait fuiter le nom de l’assassin et son origine dans la presse ainsi que celles de ses complices. J’imagine qu’un fonctionnaire de justice n’a pas voulu laisser passer. Notons encore que l’importance de l’implication des corps constitués dans un processus révolutionnaire s’avère toujours crucial.

    Pour aborder l’affaire sous le volet politicien, indiquons que l’AfD, parti qualifié d’extême droite a lui aussi manifesté. C’est le seul parti chez qui on ne peut reprocher une quelconque récupération politique car ils ont fait du refus de l’immigration leur cheval de bataille. En Saxe, ils sont de plus sur leurs terres et le cortège fut suivi par plusieur milliers de personnes.

    On entend parler en France d’une arrogance allemande, d’une domination allemande. La domination politique et économique de l’Allemagne sur l’Europe est incontestable mais la domination culturelle ou la fierté nationale? Elle n’existe presque plus ailleurs qu’en Allemagne de l’Est. Figurez-vous que les gens ont plus peur de se faire traiter de facho à l’ouest que d’avouer leur tristesse et leur colère face à la mort de cet homme qui est venu en aide à une femme. Je discutais avec une amie à Berlin originaire du land de NRW, elle ne m’a pas un instant parlé de la mort de cet homme qui est pourtant l’événement principal. Elle m’a confié sa crainte de voir l’extrême droite arriver au pouvoir. On a véritablement corrompu le peuple allemand, on l’a acheté avec de l’argent, du papier et ce dès la fin de la guerre et le début du processus de dénazification qui a vu tous les membres de l’enseignement supérieur suspecté de sympathie nazie être mis au rancard. Et dans tous les segments de la société avec notament l’utilisation du fameux Fragebogen(le Questionnaire) sur lequel a écrit un auteur qui nous est cher, Ernst von Salomon. Questionnaire visant à tirer les vers du nez et à ficher les éventuels éléments réticents au nouvel ordre démocratique et marchand. L’Allemagne a troqué sa vitalité, sa fierté, sa capacité à se penser comme un peuple… bref son identité contre du divertissement et du confort c’est à dire pour devenir en bout de course un pays de vieillards jouisseurs.

    Ce qui s’est passé à Chemnitz, cet horrible drame se reproduira à nouveau nous le savons tous. Il incombe aux jeunes Allemands d’inverser maintenant le cours de l’histoire. Tout n’est peut être pas perdu. L’Allemagne de l’Est se dresse face au pouvoir de Berlin. Il faut que d’autres foyers révolutionnaires se lèvent ailleurs et en particulier à l’Ouest. Mais le dynamisme allemand agit hélas sur tous ou presque comme du bromure. Paralysant ici et là toute volonté de révolte. C’est triste à dire mais il n’y aurait qu’une crise économique violente, plongeant l’Allemagne dans la misère pour relever ce peuple, peuple qui conserve malgré tout en lui des qualités d’organisation, de sérieux et un stoïcisme dans l’épreuve qui continue de forcer notre admiration.

    Olivier Tisier (Metamag, 24 septembre 2018)

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  • La révolution conservatrice allemande : philosophie et géopolitique...

    Les éditions du Lore viennent de publier un nouveau recueil de textes de Robert Steuckers intitulé La Révolution conservatrice allemande - Sa philosophie, sa géopolitique et autres fragments. Figure de la Nouvelle Droite européenne et ancien responsable des revues Orientations, Vouloir et Synergies européennes, spécialiste des penseurs non-conformistes européens, Robert Steuckers est l'auteur de plusieurs recueils d'articles comme La Révolution conservatrice allemande - Biographie de ses principaux acteurs et textes choisis (Lore, 2014), Généalogie du fascisme français (Lore, 2017), Pages celtiques (Lore, 2017) et, dernièrement, les trois tomes d'Europa (Bios, 2018) .

     

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    " Ce nouveau tome fait suite à l’ouvrage consacré à la Révolution Conservatrice allemande paru en 2014 et sous-titré Biographies de ses principaux acteurs et textes choisis.

    Fidèle à sa mission d’inlassable investigateur dans l’immense champ de réflexion que constitue l’étude de la Révolution Conservatrice, Robert Steuckers recentre ce deuxième recueil autour des concepts philosophiques et géopolitiques inhérents à cette aventure métapolitique transcourants.

    Abordant notamment les figures de Martin Heidegger, Arnold Gehlen, Karl Haushofer ou encore Jean Mabire et Dominique Venner, ce deuxième volume s’apparente à un très bel outil de recherche pour un sujet semblant inépuisable. "

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  • De la rue des Poissonniers à Chemnitz...

    Nous reproduisons ci-dessous une tribune de Gabriel Robin, cueillie sur le site de L'Incorrect dans laquelle il aborde les manifestations de Chemnitz contre la multiplication des violences commises par les migrants, en faisant d'abord un détour instructif par la rue des Poissonniers à Paris et par le quartier de Perseigne à Alençon...

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    De la rue des Poissonniers à Chemnitz

    Migrants, migrants, migrants. Migrants partout. L’Europe s’entredéchire sur la question des « migrants », pudique terme qualifiant des immigrés clandestins économiques bien plus que de véritables réfugiés de guerre. A-t-on tort de réduire les migrations modernes à de simples faits divers ? Oui. Par là, on s’interdirait toutes les réflexions les plus stimulantes ; anthropologiques, historiques, culturelles ou démographiques.

    Reste que faire vibrer la corde de l’émotion est une arme politique essentielle à l’heure où elle est bien la seule à se faire entendre dans des débats qui ressemblent furieusement à des séances de thérapie collective pour personnes atteintes d’un stress post-traumatique. On câline. On cajole. On comprend. On dialogue. On entend « toutes les souffrances », « toutes les interrogations », « tous les parcours de vie ». Tous ? À la vérité, pas vraiment.

    Trois cas extrêmement différents montrent à quel point l’accueil des « migrants » irrite les populations. Deux se sont produits en France, ne générant qu’une très faible couverture médiatique. Et pour cause, ils contredisent bien des préjugés. Jeudi 30 août, la préfecture de Paris annonçait renoncer à la création d’un « centre d’accueil temporaire de migrants » au rez-de-chaussée d’un immeuble HLM dans le 18ème arrondissement de la capitale. Très virulents, les riverains et les habitants de l’immeuble se sont mobilisés avec efficacité. Une fois n’est pas coutume, on leur a donné gain de cause. Un vrai petit miracle à l’heure où de minuscules « villages de paysans racistes » reçoivent sans broncher l’équivalent de la moitié de leur population en « migrants », venus d’on ne sait où. Mieux, ces ruraux qu’on dépeint en affreux jojos arcboutés sur leurs traditions archaïques manifestent parfois leur joie, font preuve d’un zèle sidérant pour aider leur prochain clandestin. « On va pouvoir reformer une équipe de foot ! Ces gens vont donner une nouvelle vie à notre bourg ! », peut-on lire ci et là dans les titres de la presse quotidienne régionale.
    Dans le 18ème arrondissement parisien, on n’essaye même pas de donner l’impression d’être généreux, ouvert à l’autre, partisan forcené du « vivre ensemble » ; parce qu’on n’y a pas subi des décennies de culpabilisation, d’ethno-masochisme. En effet, les opposants aux migrants y sont eux-mêmes très majoritairement des immigrés extra-Européens de fraiche date, soit qu’ils aient été récemment naturalisés, soit qu’ils comptent pouvoir l’être dans l’avenir. Même scénario à Alençon, où des « jeunes » du quartier de Perseigne ont fini par tuer un Afghan et faire de nombreux blessés. Une bataille rangée a opposé un gang de migrants afghans – comme on en voit parfois rôder autour des gares des grandes villes, souvent héroïnomanes -, à une bande d’habitants « calibrés ». Agacés par la présence de ces immigrés clandestins, des immigrés maghrébins ou des enfants d’immigrés de seconde ou troisième génération ont donc fait parler la poudre. Ces tensions interethniques ne sont que les manifestations d’une atomisation générale du corps social que l’arrivée massive de jeunes hommes, venus d’Afrique ou du Proche-Orient, ne feront qu’augmenter exponentiellement.

    Si le cas d’Alençon a été pudiquement relaté dans la presse, il n’en a pas été de même pour celui de Chemnitz (Saxe) en Allemagne, autrement moins meurtrier. Les manifestants qui ont rendu hommage aux victimes de migrants des dernières années, révoltés par l’assassinat à coups de couteau d’un jeune allemand par deux « demandeurs d’asile » syrien et irakien il y a quelques jours, ont été immédiatement décrits en « fascistes », extrémistes de droite assoiffés de sang, ou bien encore « hooligans ». D’aucuns, journalistes, ont même osé accoler des guillemets au terme victimes, pour décrire les propos qui étaient écrits sur les pancartes que portaient les citoyens de Chemnitz durant leur marche silencieuse. Rappelons néanmoins que les monstres avaient osé défiler derrière des drapeaux allemands ! Quant au gouvernement, il a apporté son soutien à une contre-manifestation pro migrants par la voix d’Heiko Maas, actuel ministre des Affaires étrangères : « La Seconde Guerre mondiale a commencé il y a 79 ans. L’Allemagne a causé des souffrances inimaginables à l’Europe. Si à nouveau des gens défilent aujourd’hui dans les rues en effectuant le salut nazi, notre histoire passée nous oblige à défendre résolument la démocratie ». Un mensonge éhonté au vu des vidéos du défilé, montrant des Allemands tout à fait normaux, du genre à porter des chaussettes avec leurs claquettes. Cette image du plouc « allemand » raciste est à peu de choses près celles qu’on donne du beauf raciste sous nos latitudes. Gageons que le plouc-émissaire teuton soit comme le cave : qu’il se rebiffe !

    Gabriel Robin (L'Incorrect, 2 septembre 2018)

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  • Feu sur la désinformation... (199)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé Grandchamp.

    Au sommaire :

    • 1 : Manifestations à Chemnitz : les médias voient des nazis partout
      Chemnitz théâtre de manifestation de nazis ? Chemnitz théâtre de chasses aux immigrés ?. Les médias dénoncent la montée de la xénophobie en Allemagne. Ils bobardent pour cacher l’émotion de la Saxe suite aux meurtres d’allemands par des « migrants ».
    • 2 : Le Zapping d’I-Média 
      Affaire Clément Méric, 5 ans après. L’homicide de Clément Méric revient sur le devant de la scène médiatique avec le procès des accusés. Il est possible de dresser, d’ores et déjà, un constat : Le ton médiatique a changé. Le mot « assassiné » est beaucoup moins présent sous la plume des journalistes. Le terme désormais employé est plus nuancé « homicide involontaire ».
      Remaniement, le tour de manège du gouvernement
      Remaniement ministériel, qui prendra la place de Nicolas Hulot ? l’ancien député européen Cohn-Bendit a été approché par le gouvernement provoquant de très vives réactions sur les réseaux sociaux.

    • 3 : Les tweets de la semaine
      Drépanocytose : Fermeture de l’agence qui en publiait les statistiques. L’agence française pour le dépistage et la prévention des handicaps a fermé ses portes en juillet. L’agence dépistait notamment la drépanocytose, une maladie génétique qui ne concerne quasi exclusivement que les populations extra européennes. Agnès Buzin, ministre des solidarités et de la santé s’est prononcé en faveur d’une systématisation du dépistage.
    • 4 : Portrait Piquant de Christophe Barbier
      Nicolas Faure dresse le portrait piquant de Christophe Barbier, le pape des médias à l’écharpe rouge. Journaliste touche à tous… les médias il est passé par le Point, Europe 1, ou encore l’Express.

                                         

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