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allemagne - Page 6

  • Le soldat oublié...

    Les éditions Perrin viennent de rééditer dans leur collection de poche Tempus, le récit de Guy Sajer intitulé Le soldat oublié. Alsacien, Guy Sajer a mené après la guerre une carrière de dessinateur et de scénariste de bandes-dessinées et s'est fait connaître, en particulier, avec sa série Le Goulag, sous le pseudonyme de Dimitri.

     

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    " Guy Sajer n'a pas 17 ans lorsqu'il endosse l'uniforme de la Wehrmacht, en juillet 1942. Français par son père, allemand par sa mère, il admire les nouveaux maîtres de l'Europe et rêve d'aventure. Ce sera le front russe, dans la division d'élite Gross Deutschland, avec laquelle il va être engagé dans les grandes batailles du front d'Ukraine, alors que les Allemands plient sous l'offensive soviétique. De Koursk à Kharkov, de jour comme de nuit, dans la boue ou la neige, quand le thermomètre affiche - 40 °C, sous le martèlement incessant de l'artillerie ennemie, face aux vagues d'assaut d'un adversaire qui ne se soucie pas des pertes, ses camarades et lui, portés en première ligne aux endroits les plus exposés, vont connaître l'enfer. Puis viendront le temps de la terrible retraite à travers la Roumanie et les Carpates jusqu'en Pologne et celui des combats désespérés en Prusse-Orientale, en mai 1945.
    Le récit de Sajer surpasse en vérité et en horreur tout ce qui a été écrit : la peur, le froid, la faim et la blessure de la captivité prennent sous sa plume l'accent et la force terrible de la réalité. "

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  • Feu sur la désinformation... (245)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours de Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : Villeurbanne : islamisme et relativisme médiatique
      Un migrant afghan a poignardé mortellement un jeune Savoyard de 19 ans et blessé plusieurs personnes à Villeurbanne. Les médias ont tout fait pour relativiser l’attaque islamiste.
    • 2 : Revue de presse
      Dans cette nouvelle rubrique, nous balayons quelques actualités médiatiques particulièrement intéressantes. Censure, bien-pensance et folie végane, il y en a pour tous les goûts !
    • 3 : Condamnation inique, silence médiatique
      Trois militants identitaires ont été iniquement condamnés pour avoir mené une opération symbolique de sécurisation des frontières dans les Alpes. Les médias ont fait profil bas.
    • 4 : Vers le réveil allemand ?
      Pour clore l’émission, Jean-Yves Le Gallou analyse la hausse notable des scores de l’AFD en Allemagne.

                                    

                                          

     

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  • Berlin sera leur tombeau...

    Les éditions Paquet viennent de publier le premier tome d'une bande dessinée de Michel Koeniger intitulé Berlin sera notre tombeau. On y suit les combats dans Berlin de la section de l’Oberscharführer De Varennes de la division Charlemagne. Dessinateur, Michel Koeniger est notamment l'auteur des séries Bushido et Misty Mission publiées chez le même éditeur.

     

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    " La 33 Waffen-Grenadier-Division der SS Charlemagne, en français, la « 33e division de grenadiers de la Waffen-SS « Charlemagne », nommée le plus souvent « la division Charlemagne », était l'une des divisions d'infanterie de la Waffen-SS de la Seconde Guerre mondiale. Elle était constituée majoritairement de Français engagés volontaires.
    Cette division étrangère de l'armée allemande participa à la bataille de Berlin en avril et mai 1945. Sous le commandement du SS-Hauptsturmführer Henri Fenet, elle fut la dernière compagnie à défendre le bunker d'Hitler. "

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  • Benoist-Méchin, à l'épreuve du temps...

    Les éditions Perrin viennent de rééditer, dans la collection de poche Tempus, les souvenirs de Jacques Benoist-Méchin, intitulés A l'épreuve du temps. Écrivain, homme politique, historien et grand voyageur, réputé pour sa connaissance du monde arabe, Jacques Benoist-Méchin est l'auteur de vastes fresques comme son  Histoire de l'armée allemande et Soixante jours qui ébranlèrent l'Occident, de portraits inspirés de grands personnages, comme Mustapha Kémal, Ibn Séoud, Lawrence d'Arabie ou l'inoubliable Frédéric de Hohenstaufen ("Jamais plus l'Aigle de Souabe ne tracerait ses orbes dans le ciel."...), qu'on retrouve, pour certains, dans sa série Le rêve le plus long de l'histoire, et aussi de mémoires politiques, écrites à chaud, De la défaite au désastre, dont la lecture reste essentielle à qui s'intéresse à la période de Vichy.

     

    " Jeune écrivain, ivre de musique, admirateur de Marcel Proust, Jacques Benoist-Méchin (1901-1983) cède au vertige de son époque. En 1936, les jeux Olympiques de Berlin marqueront le début de sa fascination pour le national-socialisme, à tel point que, cinq ans plus tard, il prendra part au gouvernement de Vichy en tant que secrétaire d’État chargé des rapports franco-allemands. Il relate ensuite sa descente aux enfers durant les années 1943-1947, au terme desquelles il sera condamné à mort par la Haute Cour de justice. Gracié et libéré en 1954, il ne cessera, dès lors, de parcourir le monde arabe, dont le premier il devina l’éveil.
    Benoist-Méchin est l’un de ces personnages de l’Histoire qui suscitent les controverses les plus passionnées. Mais la valeur de cette confession, d’une écriture magistrale et plus captivante que maints romans, est incontestable et capitale notamment pour comprendre le phénomène totalitaire. "

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  • L'héritage allemand de l'Occupation...

    Les éditions Armand Colin viennent de publier un essai de Cécile Desprairies intitulé L'héritage allemand de l'Occupation, avec une préface d'Emmanuel Leroy-Ladurie. Historienne et germaniste, Cécile Desprairies est notamment l’auteur de L'héritage de Vichy (Armand colin, 2012).

     

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    " Cour d’assises, diplôme d’avocat, délit de tentative de faux et usage de faux, statut du détective privé, énergie hydroélectrique, affichage des prix, jerrican, tri sélectif, remembrement, pommes de terre Bintje, carottes râpées, vache Holstein, nouvelles races de chien… autant de dispositions qui nous viennent de l’Occupation allemande et sont passées par Vichy.
    Si à la Libération, avec le rétablissement de la légalité républicaine, la plupart des mesures de l’Occupation allemande furent abolies, certaines ont été maintenues et, avec elles, des habitudes nées de la guerre.
    Comment l’expliquer ? N’aurait-on gardé de ce régime autoritaire et répressif que ce qui relevait du quotidien ? L’affaire est complexe et chacun se fera son opinion.
    Ce livre exerce en quelque sorte un droit d’inventaire et, pour chacune de ces mesures ou dispositions qui sont restées, revient sur les raisons de leur conception et leur devenir aujourd’hui.
    Un défi passionnant, enrichi d’illustrations inédites. "

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  • Le Journal secret de Curzio Malaparte...

    Les éditions de la table ronde viennent de publier, dans leur collection quai Voltaire, le Journal secret de Curzio Malaparte. Journaliste, essayiste et fasciste dissident, Malaparte est l'auteur de plusieurs livres célèbres comme son essai Technique du coup d'état ou ses récits Kaputt et La peau

     

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    " Le Journal secret est tenu par Malaparte de 1941 à 1944, alors qu'il est accrédité comme correspondant de guerre auprès des troupes allemandes pour le compte du Corriere della Sera, sur les fronts de l'est et du nord de l'Europe. La première partie suit Malaparte dans ses déplacements de Sofia à Berlin en octobre 1941, jusqu'à la Finlande et la Laponie en 1942. L'auteur y note les descriptions, dialogues et anecdotes, notamment issus du milieu militaire allemand et finlandais qu'il fréquente, susceptibles de devenir matériau d'écriture. De larges parties sont consacrées à la découverte des paysages et du peuple lapons. La seconde partie se déroule à Capri en 1943, dans la maison dessinée par Malaparte sur l'éperon rocheux de Capo Masullo, au moment où il entreprend l'écriture de Kaputt. Ce sont alors de courtes notes relatant entre autres les vicissitudes de la relation compliquée de l'écrivain avec Loula, la jeune épouse franco-guatémaltèque du directeur d'un hôtel de Capri. On assiste au jour le jour à la maturation puis à l'écriture de Kaputt. Le roman naît durant le séjour en Finlande et en Laponie : le titre surgit au détour d'une marge. De nombreuses scènes, telle que la célèbre scène du sauna, directement vécues par le reporter de guerre, sont racontées et seront retravaillées pour le roman que le lecteur voit se contruire sous ses yeux, depuis la nuit métallique et froide des terres arctiques jusqu'à l'île méditerranéenne incandescente. Poétique et intime, le Journal est souvent bouleversant pour le lecteur peu habitué à côtoyer Malaparte dans sa solitude d'homme, de romancier et de reporter de guerre. "

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