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Livres - Page 582

  • Cinq cents mots pour la dissidence

    La Fondation Polémia a publié sur son site, au cours du premier semestre 2010, un Dictionnaire de la réinformation - Cinq cents mots pour la dissidence pour lutter contre la novlangue stérilisante du système. Ce dictionnaire est accessible sur le site, en version complète, ici.

    Mais une version papier est également disponible et peut être commandé au prix unitaire de 15 euros port compris à :

    • Polémia
    • 60 ter rue Jean-Jacques Rousseau
    • 92500 Rueil-Malmaison

     

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    Les mots sont des armes.

    La Novlangue orwellienne est, avec la diabolisation des mal pensants, l’arme principale du Système dominant pour stériliser les intelligences et priver les âmes de courage. Polémia y a consacré une première étude.

    Mais en contrepoint de la Novlangue, le franc-parler politique est une arme pour libérer les esprits et leur donner des outils pour mieux comprendre le monde.

    C’est le but de ce dictionnaire de la réinformation, de ce lexique de la dissidence.

    Il ne comprend qu’un peu plus de 400 mots : il ne prétend donc pas à l’exhaustivité ni même à l’impartialité, encore moins à l’unicité de points de vue exprimés : car tout ce qui peut nourrir de forces la dissidence est bienvenu.

    Dissidents de toutes sensibilités, unissez-vous !

    Aussi, nul besoin d’être d’accord avec chacune de ces 464 définitions pour participer à la bataille. Il s’agit juste ici pour Polémia d’ouvrir la réflexion et d’inciter chacun à la poursuivre pour ouvrir des brèches dans le mur de l’idéologie unique… avant de le faire tomber !

    Dans cette première ébauche le lecteur trouvera :

    - des mots libérateurs, pour dévoiler ce que le politiquement correct et la censure médiatique veulent cacher ;

    - des mots accusateurs, pour comprendre les ressorts du Système mondialiste dominant qui conduit les Européens sur la route de la servitude et de la décadence, afin de mieux le combattre ;

    - des mots oubliés, qu’il faut invoquer pour retrouver notre identité et la voie du renouveau de notre civilisation ;

    - des mots clés, pour interpréter les réalités et les forces de domination en oeuvre.

    A chacun de poursuivre ! Car « Chaque Philoctète sait que sans son arc et ses flèches Troie ne sera pas conquise ».

     

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  • Ce qu'on ne vous a jamais dit sur la guerre d'Espagne !

    Après La guerre d'Espagne et ses lendemains de Bartolomé Bennassar ou Le temps de Franco de Michel del Castillo, Christophe Dolbeau s'attaque à son tour dans Ce qu'on ne vous a jamais dit sur la guerre d'Espagne, publié aux édition de l'atelier Fol'Fer, à l'histoire "pieuse" de ce conflit. Un utile contrepoint aux ouvrages "classiques" toujours assez hypocritement favorables aux "Républicains"...

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    "Nombreux sont encore les dupes et les niais qui tiennent la IIe République espagnole pour un paisible État de droit, gouverné par une gauche libérale, progressiste, bienveillante et démocratique, et la droite nationale pour un ramassis de réactionnaires obtus, bigots et haineux. Ressassé sans relâche depuis 70 ans par une armée de menteurs professionnels, ce cliché trompeur a la vie dure. Oubliés les incendies d’églises et de couvents, les confiscations de biens, les grèves permanentes, les mutineries, les émeutes, les pillages, les meurtres et les attentats ! Oubliée la cohorte de médiocres et de malfaisants, de terroristes, de tricoteuses et de maçons, qui s’empare du pouvoir et proclame à tous vents qu’elle veut faire au plus vite de l’Espagne une «démocratie populaire».
    Légitime réflexe d’auto-défense de l’Espagne éternelle, le soulèvement national n’est pas sans soutien à l’étranger où les bonnes volontés se mobilisent en grand nombre. En France, la droite nationale fait activement campagne pour les insurgés et quelques centaines de militants vont même faire le coup de feu de l’autre côté des Pyrénées. D’autres pays, dont l’Irlande, dépêchent eux aussi des volontaires qui apportent une contribution symbolique à cette nouvelle Croisade. Cet engagement n’a rien d’infamant, bien au contraire, et il est plus que temps d’en parler : nous nous y employons également dans ce petit livre.
    Il y a plus de 70 ans, l’Espagne, au prix d’une guerre terrible et de sacrifices immenses, s’arrachait aux griffes d’un gang de «cruels imbéciles», de «crétins criminels» et de « scélérats » (selon les termes mêmes de deux Pères de la République, Pérez de Ayala et le Dr Marañon). Ce sursaut est tout à son honneur, il est juste d’y rendre hommage et nous espérons y contribuer un tant soit peu par ce modeste ouvrage."
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  • Utopie des usuriers !

    Le grand écrivain anglais G.K. Chesterton est bien connu en France pour ses romans (Le Napoléon de Notting Hill) ou ses enquêtes policières (le Père Brown), mais on connait moins bien ses écrits de polémiste anti-capitaliste et anti-moderne. La publication d'Utopie des usuriers aux éditions de l'Homme nouveau est une bonne occasion pour découvrir cette facette de son oeuvre.

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    "Lecteur, attention ! Dans ce livre, Chesterton est en colère. Face à une société aux mains des puissances de l’argent, l’écrivain, habituellement si débonnaire, ne cache pas son écœurement et dissèque quelques aspects d’un système qui peu à peu donne tous les droits à l’argent au détriment des anciennes valeurs morales. À son habitude, il ne suit pas une démonstration rigoureuse et conserve son humour pour pourfendre les fauteurs de scandales, les puissants du moment.

     Livre de colère, essai d’hier pour aujourd’hui, Utopie des usuriers nous apprend qu’il y a un moment où le silence se fait complice et qu’il faut se réveiller au moins pour respecter son propre honneur.

    On trouvera aussi dans ce livre 18 autres essais à travers lesquels Chesterton aborde la question irlandaise, l’industrialisme prussien, la Révolution française, le mauvais journalisme ou la situation sociale de son temps. Lors de sa publication en 1917, l’ouvrage ne fut pas publié en Angleterre, en raison de sa virulence, mais directement à New York.Il est aujourd'hui publié pour la première fois en France.

    Né en Grande-Bretagne en 1874, mort en 1936, G.K. Chesterton a bâti une œuvre immense (essais, poésie, biographies, romans, dessins). Il est reconnu comme l’un des « monstres » de la littérature anglaise du XXe siècle. On le redécouvre en France aujourd’hui après la parution de l’intégrale de ses romans policiers (Father Brown) et de l’édition de ses deux grands essais : Hérétiques et Orthodoxie (Climats)."

     

     

     

     

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  • La guerre de cinquième génération

    Michel Drac, Serge Ayoub et Michel Thibaud viennent de publier aux éditions du Retour aux sources, G5G, la guerre de cinquième génération. Ce livre collectif est le fruit d'années de réflexion et d'expériences militantes. C'est un manuel de combat lucide et déterminé. 

    "Les militaires parlent de quatre générations de guerre : d’abord des masses armées de mousquets, puis la puissance de feu et la mitrailleuse, ensuite la Blitzkrieg rendue possible par le moteur à explosion, et, enfin, depuis quelques décennies, la guerre de l’information.

    Nous disons ici qu’une cinquième génération de guerre parvient à maturité. Et ici, nous produisons l’arsenal conceptuel de cette guerre depuis longtemps latente, aujourd’hui avérée. En ce sens, notre « déclaration de guerre » ne signifie pas que nous déclarons la guerre. Notre déclaration de guerre signifie que nous rendons visible une guerre jusqu’ici cachée."

    A lire et à faire lire.

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    "Dans un monde globalisé, déshumanisé, mécanisé, choisir le parti de l'homme, c'est préparer la révolution !
    Coécrit par S Ayoub, M Drac et M Thibaud, G5G (la guerre de cinquième génération) est un manuel de combat, un manuel du résistant, un manuel pour tous ceux qui s’opposent à la mécanique économique et idéologique du « système totalitaire marchand ».
    Ce livre démontre que le combat engagé contre le mondialisme, idéologie conçue comme une machine à écraser les peuples et les âmes, transcende tous les clivages politiques obsolètes : c’est le combat de l'humanité toute entière.
    Loin d'être un livre-catastrophe, G5G est, aussi, un message d'espoir.

    Il existe une stratégie gagnante face au système totalitaire marchand.

    La voici."

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  • Pour une parcelle de gloire...

    Bruno a cessé d'émettre...

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    Le général Bigeard est mort hier, vendredi 18 juin 2010, à Toul, à l'âge de 94 ans. Engagés dans les combats de la France libre, de la Résistance, de l'Indochine et de l'Algérie, c'était un des soldats les plus décorés de France. Archétype du guerrier-né, il incarnait la figure du Parachutiste.
    Dans Pour une parcelle de gloire, publié chez Plon en 1975, il racontait son parcours, celui d'un homme du peuple transfiguré par la guerre.
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  • Portrait d'Eric... Werner !

    Eric Werner, l'auteur de L'avant-guerre civile, de La maison de servitude ou de Ne vous approchez pas des fenêtres, vient de publier chez Xenia Portrait d'Eric, une réflexion sur son parcours personnel et intellectuel :

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    "Au début de sa carrière d’universitaire et de penseur, Eric Werner s’était fait “tirer son portrait” par le grand peintre polonais Joseph Czapski.
    Incomprise, mal aimée, cette oeuvre était restée dans l’ombre durant des décennies. En la redécouvrant à l’âge mûr, son modèle, l’auteur de ce livre, comprend enfin le message que l’artiste défunt lui avait légué: le miroir de sa propre personne avec trois décennies d’avance!
    Partant de cette révélation, Eric Werner se lance dans une introspection bouleversante, tissant autour d’un tableau la trame de sa propre vie, des époques traversées, des idées épousées, contestées ou combattues.
    Protagoniste de la scène intellectuelle suisse et francophone, philosophe politique audacieux, professeur et témoin, Werner nous livre une réflexion magnifique sur le temps, la fragilité des idées et des convictions, et nous emmène avec lui à la poursuite du noyau même de son être intellectuel et émotionnel. Osant affronter, pour la première fois, des spectres qui ont, consciemment ou non, façonné son existence: l’incompréhension et le conflit avec son père, une conversion religieuse hésitante, des engagements publics motivés par l’éthique plus que par la conviction politique.
    Après cet essai vertigineux et très personnel que fut La Maison de servitude, Eric Werner propose ici un voyage intérieur cruellement lucide, toujours intelligent et étrangement poétique qui est peut-être l’un des chefs-d’oeuvre de l’autoportrait."

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