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Livres - Page 585

  • Faut-il brûler la contre-insurrection ?

    Déjà auteur d'un ouvrage consacré aux sociétés militaires privées, Georges Henri-Bricet des Vallons dirige un ouvrage intitulé Faut-il brûler la contre-insurrection ? et consacré au renouveau des doctrines de contre-insurrection, dans le cadre des conflits asymétriques. Parmi les auteurs, on trouve Michel Goya, qui comme  Georges Henri-Bricet des Vallons, a participé aux numérox de Krisis sur la guerre. On notera aussi la présence d'un article intitulé "Carl Schmitt et l'insurrection irakienne".

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    "À la faveur des conflits irakien et afghan, la doctrine de contre-insurrection marque un retour fracassant sur la scène internationale. Qu’on la qualifie de subversive, de culturelle, de contre-révolutionnaire, d’irrégulière ou encore d’hybride, cette guerre dans la guerre, destinée à soutenir la stabilisation d’un pays par l’action conjointe de la force armée et des moyens politiques, économiques et sociaux, suscite passions et polémiques.

    Mais ce concept, pour certains rendu caduc par les guerres de décolonisation et du Vietnam, est-il la seule véritable alternative stratégique à l’enlisement des forces occidentales dans des conflits asymétriques ? Ou bien n’est-il qu’un simple discours de légitimation à destination de l’opinion publique, voire le cache-sexe d’une politique d’emprise néocoloniale ? Un sujet brûlant pour un débat passionné qui divise les politiques et les militaires, la France et les États-Unis."

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  • Despotica !

    Directeur des éditions Xénia, qui publient Eric Werner, Theodore Kaczynski ("Unabomber"), Paul-Marie Coûteaux ou Renaud Camus, Slobodan Despot est aussi un écrivain à la plume acérée, qui publie sur son blog intitulé Despotica des textes (récits de voyages, pamphlets, poèmes, chroniques, critique littéraire...) toujours subtils et souvent drôles et incisifs. Il les a rassemblés sous le titre Despotica - Mode d'emploi, et ils sont publiés ces jours-ci aux éditions Xénia.

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    Un petit aperçu du style de l'auteur :

    "Coïncidence amusante: au moment où j’annonce la publication des écrits complets de Theodore Kaczynski, l’ennemi public n° 1 de la société industrielle, Sandra Jean me propose de commenter au « Grand 8 », à la Radio Suisse Romande, l’échange de correspondances entre Houellebecq et BHL, Ennemis publics!
    Le contraste ne pouvait être plus abrupt! D’un côté, un homme seul qui a terrorisé l’Amérique pendant 16 avec ses colis piégés et meurtriers. Et ce, à cause de ses idées sur le progrès.
    De l’autre, deux brasseurs d’idées millionnaires, suivis de la rumeur médiatique comme d’une traîne de mariée, qui s’envoient par e-mail des anticompliments narcissiques.
    «Ma chère, je suis tout de même plus détestée que vous! Voyez donc mes déclarations insultantes.
    — Fi, ma chère! Et mon film alors?»
    On ne peut pas tout dire dans ces 20 minutes. Sinon qu’il s’agit de la parfaite orchestration d’opposition et de contestation que le système adore offrir à ses sujets.
    La mise en scène très exacte qu’Unabomber appelle «the System’s neatest trick»."

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  • La guerre des ruines...

    Les éditions Choiseul viennent de publier La guerre des ruines - Archéologie et géopolitique, un ouvrage de l'historien Jean-Pierre Payet. Pour l'auteur, la dimension géopolitique de l'archéologie remonte à la nuit des temps. Si, avec la montée des nationalismes, les ruines ont pris une réelle valeur politique, "avec la mondialisation, cette archéo-politique n’a pas faibli, bien au contraire. Touchant au divin, aux symboles et à la culture, l’archéologie est devenue un outil d’influence et de séduction dans la compétition internationale". De l'affaire de l'homme de Kennewick aux affrontement autour du caveau des Patriarches et de la mosquée Al-Aqsa, l'auteur nous présente sous un angle nouveau une discipline au coeur des enjeux actuels.

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    "Des hommes, des représentations, des territoires... et ce qu’on y trouve sous terre. Des vestiges, des objets, des fossiles ou des ossements que l’on exhume, archéologues et historiens tirent un certain nombre de conclusions scientifiques qui contribuent à mieux connaître les hommes et les civilisations passées. Lorsque toutefois la politique récupère ces découvertes et conclusions, pour des causes nationales, communautaristes, religieuses, frontalières, etc., la géopolitique a fort à faire pour expliquer les tensions et conflits qui en naissent."

    Au sommaire :

    Archéo-politique

    Une histoire ancienne

    Le premier homme

    Objets de souveraineté

    L’archéologie du divin

    De l’instrumentalisation des ruines

    « L’effacement de l’autre»

    Dommages collatéraux

    Le retour des morts

    Géopolitique de l’archéologie en France

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  • Que lire ?... Jean Mabire !

     Combattant, historien, militant et écrivain, Jean Mabire, avec sa plume, au travers de ses nombreux livres et articles, a été un éveilleur. Alain de Benoist, pour le compte de l'association des amis de Jean mabire, a utilisé ses talents de bibliographe pour recenser de manière quasi-exhaustive son oeuvre écrite. L'opuscule, publié aux éditions Heligoland, est préfacé par Dominique Venner. 

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    Réalisée pour le compte de l’Association des Amis de Jean Mabire, cette bibliographie magistrale est un véritable hommage rendu à Jean Mabire par Alain de Benoist. Rehaussée d’une préface de Dominique Venner, cet opuscule doit figurer dans toutes les bibliothèques des Amis de Jean Mabire.


    • Éditions d’Héligoland 2010, ISBN : 978-2-914874-68-7, 1 volume 148 x 210, 48 pages, 9 € (vente par correspondance : 13 € franco). À commander chez le diffuseur EDH, BP 2, 27 290 Pont-Authou.

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  • La France perd la mémoire...

    Initialement publié en 2006, La France perd la mémoire, essai de l'historien Jean-paul Rioux, vient d'être réédité en format poche dans la collection Tempus de chez Perrin. Nous reproduisons ici la recension qu'en avait fait la (défunte ?) revue Horizons stratégiques, publiée par le Centre d'analyse stratégique du gouvernement, sous la plume de Julien Winock.

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    Jeune retraité de l'Inspection générale de l'Éducation nationale, Jean-Pierre Rioux est l'un des meilleurs spécialistes de l'histoire culturelle du XXe siècle. Ses travaux ont renouvelé l'approche des temps forts du siècle dernier par une analyse approfondie des répercussions sociales et culturelles des mutations politiques. Dans cet essai percutant, empreint d'inquiétude et d'interrogation, il interroge le rapport que nous entretenons avec notre passé depuis une trentaine d'années. Entre le milieu des années 1970 et les années 2000, la France a vécu les « Trente Mémorieuses » qui ont « laissé prospérer une mémoire convulsive et virale ; elles ont médiocrement suivi ces Trente Glorieuses qui de 1945 à 1975 avaient, elles, installé la croissance et le mieux être sans se soucier de discordance des temps, sans regret, hiatus, ni latences, sans coups d'œil inutiles sur le rétroviseur  ». Le grand récit national a laissé place à une floraison de mémoires sur un mode d'abord bon enfant puis, pour certaines d'entre elles, revendicatif et dénonciateur. Or pour l'historien cet essor des mémoires est bien la conséquence d'une « démission de notre histoire  ».

     Transformée par trente années d'expansion économique et de bouleversements sociaux, la France du milieu des années 1970 s'est tournée vers son passé au moment où la modernité galopante en effaçait les traces à vive allure. Entre nostalgie, engouement pour le « rétro » et quête d'une authenticité perdue, les Français ont plébiscité nombre de témoignages, enquêtes et récits évoquant la vie de la campagne, la France des terroirs, le souvenir des métiers disparus... Certains succès tels Le Cheval d'orgueil de Pierre-Jakez Hélias, vendu à 2 millions d'exemplaires, relèvent du phénomène de société. Ce « culte des racines très sage » n'alimentait alors aucune revendication identitaire. Dans les années 1980, « la crise s'est mise à broyer et non plus seulement à exhumer les valeurs héritées que l'on tenait encore pour constitutives et patrimoniales  ». La mémoire ne fut alors d'aucun secours pour affronter la fragmentation de la société, la désertification des campagnes, la désindustrialisation et l'épuisement du modèle d'intégration républicain.

     Dans la foulée de l'année 1980 qui lui est consacré, le patrimoine devient un nouveau mode de fidélité au passé : à côté des monuments nationaux et des édifices publics les plus emblématiques, les innombrables constructions anciennes souvent modestes font l'objet d'un attachement et d'un souci de conservation insoupçonnés auparavant. Tout ou presque acquiert le qualificatif de patrimoine tandis que le devoir de mémoire se généralise à tout propos aussi bien dans le cas de l'ancien résistant que de la petite-fille de lavandière. Le succès du phénomène n'a donc rien de réjouissant selon J.-P. Rioux pour qui la notion de patrimoine « a implosé, minée par l'absence de hiérarchie des signes et des traces, dilapidée aux quatre coins de la conscience médiatique des choses par la monotonie de son exhibition  ». Il faut y voir plus une « ambition par défaut  » qu'un renouvellement des formes du sentiment national, un « témoin visible d'un passé devenu lui-même invisible » selon l'expression de Pierre Nora. La « mémoire patrimoine  » apparaît plus animée par des aspirations identitaires, des considérations esthétiques ou une frilosité à l'égard d'un avenir inquiétant que par un attachement à la mémoire-Nation.

     Le bicentenaire de la Révolution française a révélé selon Rioux le tiède attachement d'un peuple pour l'événement fondateur de sa modernité politique et sociale. Les Français ont apprécié les manifestations commémoratives mais plus dans «  une expectative amusée que réflexive  ». Les sondages révélaient que les grandes œuvres de la Révolution occupaient dans la mémoire nationale une moindre place que certains événements postérieurs (instauration du suffrage universel, loi Ferry...). En définitive la dimension festive de ce bicentenaire triomphait aux dépens de son sens politique et civique comme le démontrait le succès rencontré par le défilé du 14 juillet organisé par Jean-Paul Goude  : « Ce point d'orgue fut donc cosmopolite et parisien, individualiste et grégaire, sans rapport clair et net avec la gravité et la force morale et civique qu'on pouvait encore porter au crédit des droits qu'on célébrait ».

    L'histoire de France a donc cessé, selon l'auteur, d'être ce pilier de notre identité collective. L'immense « capital symbolique et tutélaire [...] s'est délité et dissous sous nos yeux, sous l'effet de nos crises, nos doutes, nos impuissances, de notre difficulté à penser un avenir commun pensé dans un destin singulier ». La mémoire est entrée en compétition avec l'histoire pour réinterpréter notre passé. « Or, sans régulation par l'histoire, des mémoires parcellaires jouent, on le voit aujourd'hui avec la question coloniale et de l'esclavage, par défaut d'élan collectif, un rôle disproportionné dans l'écriture d'une partition nationale renégociée  ». Jusqu'aux années 1970, l'enseignement de l'histoire bénéficiait en France de plusieurs conditions qui en faisaient une discipline cardinale : l'importance qui lui était attribuée dans la formation de l'esprit et de la conscience nationale, les liens entre l'enseignement secondaire et la recherche universitaire et le couplage de l'histoire avec la géographie. L'histoire à l'école se heurte aujourd'hui aux «  nouveautés culturelles, générationnelles, sociales, internationales qui renouvellent et disloquent le sentiment d'appartenance, le goût d'agir ensemble, l'espoir de maîtriser un jour plus librement le cours des choses  ». Nous assistons selon J.-P. Rioux à une revanche du social sur le national. Les recommandations officielles entérinent cette évolution puisqu'il est désormais question à travers l'enseignement de l'histoire de « donner aux élèves une mémoire [...] aider à constituer ce patrimoine qui permet à chacun de trouver une identité  ».

    La place de notre histoire dans les cœurs et les consciences tenait également aux enjeux politico-idéologiques dont elle était investie. Depuis la Révolution, la « guerre des deux France » a opposé républicains et monarchistes, gauche et droite. Mais force est de constater aujourd'hui que « nous n'assistons plus à un affrontement aussi acharné ni aussi argumenté entre l'ordre et le mouvement, la gauche et la droite, les "gros" et les "petits", le Nord et le Sud, ou tout autre processus d'antagonisme binaire ». La disparition de cet antagonisme peut être vue comme le signe d'une maturité, celle d'un pays pacifié se reconnaissant enfin dans son régime politique et les grands principes régissant la société. Mais elle témoigne aussi d'un affaissement de la morale républicaine et d'une indifférence croissante pour la chose publique, y compris les grands enjeux. « Ainsi n'y eut-il ni débat ni affrontement en 1996 sur le passage à l'armée de métier et l'abandon du service national  ».

    Longtemps tabous ou au mieux noyées dans la globalité de la Seconde Guerre mondiale, la période de l'Occupation et la complicité du régime de Vichy dans la Shoah sont devenus l'angle quasi exclusif sous lequel la période est désormais envisagée. « La "victimisation" a rattrapé puis rélargi la nationalisation "franco-française" de l'enjeu. Les médias ont donné le meilleur écho à ce cours imprévu, les écoliers et leurs maîtres ont été invités à suivre massivement son mouvement sémantique et moral. » Ce devoir de mémoire a pris selon l'auteur « une densité sociale proportionnée aux hantises du présent autant qu'à la vivacité d'un passé qui ne "passe pas" ». Sans en contester la légitimité, l'historien nous met en garde contre son caractère obsessionnel qui en vient à rendre inopérante une recherche historique sereine fondée sur l'examen critique et raisonné des faits. À rebours d'une telle conception purement morale des faits, l'historien estime au contraire que « toute transmission utile et véridique passe d'abord par l'intelligence et la connaissance, et ensuite par la reconnaissance ».

    Faisant suite au débat sur l'Occupation, la question de la colonisation a récemment resurgi avec vigueur. J.-P. Rioux rappelle pourtant l'absence de vraie mémoire nationale de la guerre d'Algérie longtemps restée un «  fantôme, un tabou, une occultation avant que le pays consente à la nommer très tardivement une guerre, en 1999 [...] Le rappel de son souvenir a été tenu pour impossible et inutile parce qu'il a paru incompatible avec ce qui avait constitué la mémoire nationale. » Appelant de ses vœux le développement de la recherche historique sur l'esclavagisme et la colonisation, il estime légitime que d'aucuns se considèrent comme des victimes et invoquent un passé « fait de douleur et d'injustice » pour affirmer leur fierté collective mais « à condition, aussi bien que ce souvenir pourtant resté si horriblement singulier ne leur tienne pas lieu d'identité à jamais, ne les entretienne pas dans un perpétuel sentiment de malheur, d'exploitation et d'injustice ».

    Pourquoi notre mémoire commune est-elle devenue un Clemenceau, « un porte-gloire désarmé, un encombrant à recycler, une impureté immorale et assassine ? ». Aux yeux de l'historien, nous aurions changé de temporalité au point que le présent est devenu notre seul angle de vue : « le présent fait la loi ; l'accélération et l'émiettement de la temporalité dénient l'origine et la destination ». À l'origine de cette forme de dérèglement mental, Jean-Pierre Rioux incrimine tout particulièrement les médias et leur culte de l'instant, de l'immédiateté, de la vitesse et de l'émotion. Or selon lui, « le sens de l'intérêt général, le sentiment d'une appartenance collective, du goût même de la démocratie et de l'autorité s'apprennent, s'expérimentent, vivent de ruptures et de continuités. L'instantanéité les fragilise, un présent despotique les tétanise  ».

    Discrédité, notre passé ne plus être une source d'expérience et de sacré. Nous perdons du coup la possibilité de partager une croyance commune en notre pays et l'attachement à une forme de transmission à nos enfants.

    La multiplication des lois mémorielles aboutit à sanctuariser des « bouts d'histoire disjoints, des bribes de passé en charpie, pour apaiser des porteurs de mémoires  ». À ce titre, J.-P. Rioux incrimine sans ménagement le pouvoir politique qui a «  divorcé de l'autorité et de la durée pour s'ébattre dans la houle d'un présent en image et en abymes. Il n'a plus le souci premier d'une mémoire collective prête à commémorer, honorer, distinguer pour unir ; prête à mettre l'unité nationale sur pied de guerre et d'espérance ». La tyrannie du présent conduit par ailleurs à pratiquer en toute bonne conscience les anachronismes les plus grossiers : les faits du passé ne sont plus appréhendés en fonction de leur époque mais bien davantage selon nos conceptions présentes du bien et du mal.

    Face à cette perte de notre mémoire collective, Jean-Pierre Rioux en appelle en définitive à un « devoir d'intelligence ». L'homme contemporain se doit de renouer avec la grande règle de vie qu'est la concordance des temps : « Faute de se situer dans le passé et de se projeter dans l'avenir, une société est inintelligible, s'enferme dans son opacité, s'immobilise puis entre en convulsion, avant d'agoniser. Il lui faut aussi s'enchanter, se gorger de promesses et d'envies pour reverdir car, disait La Tour du Pin, "tous les pays qui n'ont plus de légende sont condamnés à mourir de froid" ». C'est également en réfléchissant davantage à notre époque que nous pourrons, selon lui, retrouver notre mémoire en soupesant de nouveau « l'héritage, la transmission et la promesse ».

     

     

    Julien Winock (Horizons stratégiques n°1, juillet 2006)

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  • Les Veuves de Santiago...

    Les éditions Via Romana ont eu la bonne idée de rééditer Les Veuves de Santiago, le deuxième roman de Jean Raspail, initialement paru en 1962, chez Julliard, et qui était devenu introuvable. L'ouvrage est agrémenté par des aquarelles de Yan Méot, journaliste et peintre. Il est possible de découvrir ses réalisations sur son site personnel intitulé Le site de Yan

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    "Les Veuves de Santiago vous emportent au galop en terre indienne, sur l’altiplano du Pérou, face à l’irruption de la société moderne.
    Outre la vie, les traditions, la déchéance des grands féodaux propriétaires d’haciendas, Jean Raspail met en scène la lutte acharnée, mais aussi les joies, les peines, les amours de femmes altières et séductrices qui vont entraîner leurs hommes sur le chemin de la résistance.
     Horizons infinis, cavaliers fils de conquistadors, épouses, servantes-maîtresses, mères ou amantes de haut caractère, cette histoire de chair et de sang s’ouvre par la prédiction d’un sorcier bossu…
     Les aquarelles du peintre et grand voyageur Yan Méot illustrent magnifiquement cette saga d’un monde perdu."

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