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Livres - Page 526

  • Ben Laden, le bouc-émissaire idéal ?...

    Les éditions de la Différence publient cette semaine un essai de Bruno de Cessole intitulé Ben Laden, le bouc émissaire idéal. Critique littéraire à Valeurs actuelles, Bruno de Cessole a publié en 2011, chez L'Editeur, Le défilé des réfractaires, un recueil qui rassemble une cinquantaine de portraits d'écrivains insoumis.

     

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    "Tout pouvoir a besoin d’un ennemi. L’Amérique, première puissance mondiale, se trouve brutalement sans adversaire idéologique après la chute de l’URSS. Ben Laden, champion du fondamentalisme islamiste, que l’Amérique avait inventé et formé contre les Soviétiques, n’aurait-il pas pu combler le vide laissé par l’effondrement du communisme russe et symboliser « le meilleur ennemi » ? s’interroge Bruno de Cessole. Altérité d’autant plus facile à propager qu’elle réanime la très ancienne mythologie des croisades toujours vivace dans la mémoire collective. Cette équation a-t-elle sorti l’Occident de son nihilisme fondamental ou bien n’était-elle qu’un leurre trop fragile pour masquer l’avènement d’un nouveau rapport de force mondial qui révèle combien le déclin de l’Occident s’avère inéluctable ?"

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  • Une histoire de la musique...

    Les éditions Robert Laffont ont récemment réédité, dans leur collection Bouquin, Une histoire de la musique, de Lucien Rebatet. "De loin, le meilleur ouvrage en langue française consacré à ce sujet" a pu écrire à son propos Benoist-Méchin - en tous les cas, l'oeuvre d'un mélomane éclairé qui mérite de figurer dans toutes les bonnes bibliothèques.

     

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    "Cette Histoire s’adresse à tous ceux qui voient dans la musique autre chose qu’un fond sonore et ne se contentent pas de ce que l’on appelle la musique d’ameublement. Elle s’adresse aussi aux simples amateurs de lecture. C’est l’oeuvre d’un écrivain comme on en voit peu.
    Quand on a entre les mains un livre de ce genre, on peut difficilement résister au plaisir de l’ouvrir dans tous les sens pour voir que l’auteur dit de celui-ci ou de celui-là. Ce n’est pas du tout comme cela qu’il faut lire Une histoire de la musique.
    Ce vaste et foisonnant récit n’a rien d’un catalogue, ni même d’une galerie de portraits... Aussi ce livre est-il d’un bout à l’autre le livre du mouvement. On y suit la marche constante de la musique, on y refait ses conquêtes, depuis les flûtes aurignaciennes, 60 000 ans avant Jésus-Christ, jusqu’à Boulez et Xenakis. Sous peine de n’y pas saisir grand-chose, il faut le prendre au départ et suivre son merveilleux courant."

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  • Des médias en servitude ?...

    La fondation Polémia poursuit son travail d’analyse du phénomène médiatique. Après La tyrannie médiatique, le Dictionnaire de novlangue et le Dictionnaire de la réinformation, elle vient de publier Les médias en servitude. Il s’agit d’une étude serrée de la médiaklatura, cette centaine d’hommes et de femmes qui donnent le la à l’opinion, cette sainte alliance du trotskysme de salles de rédaction et du capitalisme financier.

    L'ouvrage est disponible gratuitement à la lecture ou au téléchargement (format PDF - cliquer ici). Il peut aussi être commandé en version papier (15 € franco de port) à :

    Polémia, 60 ter rue Jean-Jacques Rousseau, 92500 Rueil-Malmaison

     

     

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    "En principe la France est une démocratie.

    Le suffrage y est libre. Le suffrage, sans doute, mais en est-il de même de l’information des électeurs?

    Assurément non ! Les médias asservissent et ils sont eux-mêmes asservis aux grandes puissances financières.

    Derrière une façade de diversité, les grands médias scénarisent l’actualité selon la même grille de lecture, celle de l’idéologie unique qu’ils partagent : laisser-fairisme et libre-échangisme économique, cosmopolitisme et sans-frontiérisme, rupture de la tradition et révolution des mœurs. C’est la sainte alliance du trotskysme de salles de rédaction et du capitalisme financier. L’union des milliardaires et de la médiaklatura.

    Le propos peut paraître polémique. Mais les faits accumulés dans cette étude, réalisée avec la collaboration de Claude Lorne, montrent, hélas, comment un tout petit nombre d’hommes a accaparé le contrôle des grands médias français.

    Voici quels sont les acteurs majeurs de cette prise de pouvoir sur les esprits :

    • – les banques : cinq d’entre elles siègent au conseil d’administration de Bouygues, propriétaire de TF1 ; Rothschild contrôle Libération ; Lazard siège au Monde ; et le Crédit Agricole et le Crédit Mutuel se partagent la Presse quotidienne régionale (la PQR) à l’est d’une ligne Amiens/Marseille ;
    • l’industrie du luxe et les grandes fortunes : Bernard Arnault, Serge Dassault, François Pinault, Martin Bouygues, Vincent Bolloré, Arnaud Lagardère, Claude Bébéar sont omniprésents;
    • – les grandes agences de communication et de publicité : Euro RSCG de Stéphane Fouks et Publicis de Maurice Lévy sont au cœur des stratégies d’influence adossées à de puissants budgets ;
    • les paladins de « l’antiracisme » : Louis Schweitzer (la Halde), Pierre Bergé (SOS-Racisme), Bernard-Henri Lévy donnent le ton ;
    • – les grands éditocrates : Erik Israelewicz, Laurent Joffrin, Nicolas Demorand, Denis Olivennes ont un rôle clé, celui d’assurer la cohérence entre les bailleurs de fonds et les soutiers de l’information.

    En tout une centaine d’hommes dirige la machinerie qui règne sur les esprits. Il n’y a pas de chef d’orchestre clandestin. Mais tous ou presque participent au lieu de pouvoir le plus sélect de la classe dirigeante française : le Club Le Siècle. Cette classe dirigeante française n’a plus aujourd’hui ni vision nationale ni conscience européenne et n’est plus que la section française de la Superclasse mondiale (SCM).

    Notre société est de plus en plus exigeante en matière de transparence. Cette transparence doit aussi s’appliquer aux médias : leurs auditeurs et leurs lecteurs, qui sont aussi des électeurs, doivent savoir d’où ils parlent pour connaître les arrière-plans financiers, commerciaux, idéologiques ou communautaires qui structurent leurs prises de position et qui expliquent la disparition de tout véritable esprit critique.

    Ecartant toute polémique inutile, Polémia se borne à rassembler des faits. Des faits qui éclairent d’une lumière vive la médiaklatura."

     

    Au sommaire :

    1 Les médias tyranniques… mais eux-mêmes asservis


    2 M comme Milliardaires… et comme Médiaklatura


    3 Lagardère ou les missiles de l’information-désinformation


    4 OPA bancaire sur la presse régionale


    5 Libération, de l’anarchisme à… la banque


    6 Avec le « trio BNP », la fin du Monde ?


    7 Un très mauvais Bergé


    8 Xavier Niel, ou quand le porno mène à tout


    9 Pour Matthieu Pigasse, Le Monde, tremplin vers l’Elysée ?


    10 Louis Schweitzer, paladin de l’antiracisme et roi des cumuls


    11 La face cachée de BHL


    12 « Pure Players » ou purs désinformateurs ?


    13 Gros argent et corruption de mineurs : la preuve par Gulli et Skyrock


    14 TF1 ou comment rendre les cerveaux disponibles


    15 La publicité au service de la « diversité »


    16 Publicité et politique : la chute de DSK, une catastrophe industrielle


    17 L’opinion manipulée par les sondages


    18 Les hommes du Siècle au coeur du pouvoir


    19 Qui dirige l’information ? L’oligarchie mondiale et ses mercenaires hexagonaux

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  • Delenda America !...

    Les éditions Baudelaire ont publié en avril 2011 un curieux roman de Philippe Simonnot intitulé Delenda America. Ancien journaliste au quotidien Le Monde, professeur d'économie, Philippe Simonnot est un libéral non-conformiste, auteur de nombreux essais.

    Vous pouvez visiter le site Delenda America qu'il aconsacré à son roman...

     

     

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    "Je m’appelle Joseph Altenberg. J’avais vingt ans le 11 septembre 2001. J’ai assisté en direct à l’écroulement télévisé des Twin Towers et ces images ne cessent de me hanter. Depuis j’entends des voix qui disent Delenda America (Il faut détruire l’Amérique).

    Je suis très riche, ayant hérité de l’immense fortune de mon père, fameux galeriste de la rue de Seine. Je dois dire tout de suite que je suis le petit-fils du Altenberg qui, à Vienne, servait de marchand au jeune Hitler pour écouler ses aquarelles et autres « chef-d’œuvre » en cartes postales…

    Hanté par ces voix, je suis allé voir un psychanalyste. Les résultats – inattendus – de ma « cure » ont été ma conversion à l’islam, l’identification de ces voix et sans doute ma détermination à terminer ma vie comme martyr – afin de leur obéir. Pour l’édification des générations futures, et pour les dégoûter à tout jamais du freudisme, du judaïsme, du sionisme et du christianisme – quatre impostures, comme quatre cavaliers de notre Apocalypse – j’ai entrepris de raconter cette psychanalyse.

    On lira donc ici le récit des séances, quasiment une par une, d’après les notes que j’ai rédigées à chaque fois, auxquelles j’ai ajouté quelques documents que j’ai produits en cours de route."
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  • La France de Nicolas Sarkozy...

    Les éditions Desclée de Brouwer publient cette semaine La France de Nicolas Sarkozy, un recueil des chroniques de François Taillandier publiées dans le quotidien L'Humanité entre 2007 et 2011. Auteur de plusieurs essais, comme Les parents lâcheurs (Rocher, 2001), François Taillandier est aussi romancier et a, notamment, écrit une magnifique fresque romanesque en cinq volumes, intitulée La grande intrigue, parue chez Stock (mais en cours de publication en poche dans la collection Folio), que nous vous recommandons.

    Métapo infos a reproduit deux textes de cet auteur, «Pass contraception : just do it» et «Le bruit des baskets», que nous vous invitons à découvrir...

     

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    "2012 est une année d’échéance électorale importante pour la France : présidentielles, légistlatives, avec peut être une alternance en vue. C’est aussi l’occasion de bilans d’ordre politique, économique ou de société. À la croisée des chemins, notre société s'interroge sur ses options fondamentales.
    Mais qu’est donc devenu la France au cours du quinquennat de Nicolas Sarkoy ? En quoi a-t-elle changé ? Est-ce le pays du « Président des riches » pour reprendre le titre d’un récent best-seller ? Quelles sont les valeurs et les mentalités de ceux qui l’habitent ?
    En reprenant et relisant ses chroniques écrites pour le quotidien L’Humanité durant toute cette période, François Taillandier dresse un tableau vif et suggestif de notre société contemporaine."

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  • Nos enfants ne sont pas à vendre !...

    Les éditions Les Arènes viennent de publier Nos enfants ne sont pas à vendre, un essai de Joël Bakan. Professeur de droit à l'université de Colombie-Britannique, Joël Bakan est déjà l'auteur d'un premier essai, publié en France en 2007 et intitulé La corporation - La soif pathologique de profit et de pouvoir ( Editions Transcontinentales, 2007).

     

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    "Nos enfants sont devenus la cible la plus lucrative du business : ces vingt dernières années, un système global s’est mis en place qui permet aujourd’hui aux entreprises de les exploiter sans que nous nous en rendions compte. La manipulation des enfants est devenue la règle du business. Il est
    temps de réagir. Les jeux vidé os (Grand Theft Auto IV, Call of Duty, World Warcraft) les plongent dans un monde virtuel où l’addiction est programmée par les concepteurs. La violence et l’imagerie sexuelle incontrôlée ont des effets désastreux sur leur fonctionnement psychologique. Facebook : avec les réseaux sociaux, les enfants deviennent eux-mêmes des agents de marketing, la publicité
    s’infiltre dans le contenu au lieu de s’y superposer : c’est la « perfection du pouvoir » décrite par Michel Foucault. Les médicaments : depuis 1980, les enfants sont de plus en plus nombreux à prendre des psychotropes dangereux, influencés par les laboratoires pharmaceutiques. La mal bouffe et la pollution domestique : les problèmes de santé chroniques des enfants (asthme, cancer, autisme, malformations congénitales), augmentent. Les grandes sociétés déversent par milliers de nouveaux produits chimiques dans l’environnement et les vêtements (les phtalates, les perfluocarbures et le plomb, etc.)."

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