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Livres - Page 142

  • Le guerrier germain...

    Les éditions Lemme Edit viennent de publier une étude historique de Cédric Chadburn intitulée Le guerrier germain  -  Ier siècle avant J.-C. - IIIe siècle après J.-C.

    Professeur d'histoire, Cédric Chadburn prépare un doctorat sur l'art de la guerre chez les Germains entre le Ier siècle av. et le IIIe siècle apr. J.-C. Il a participé à plusieurs campagnes de fouilles archéologiques et est aussi vice-président de l'association de reconstitution historique Limitis dont le but est de faire connaître les guerriers germains.

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    " Entre le Ier siècle avant et le IIIe siècle après J.-C., Rome domine un vaste territoire. Elle est désormais la seule puissance militaire autour de la Méditerranée. Pourtant, en 9 apr. J.-C., trois de ses légions sont anéanties en Germanie. Ce désastre militaire conduit l’Urbs à abandonner son projet de soumettre les Germains dont les incursions se multiplient à la fin du IIe siècle et au IIIe siècle. En fait, les Romains éprouvent le plus grand mal à contenir ces « Barbares » et au Ve siècle, l’Empire d’Occident n’est plus en mesure de résister à leurs migrations. Comment ces peuples ont-ils pu contribuer à la chute de l’empire le plus puissant de l’Antiquité ? Pour le comprendre, il nous faut étudier le cadre de vie, l’armement et la façon de combattre de ces guerriers. "

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  • Jacques de Mahieu et les mystères de l'Amérique du sud...

    Les éditions Pardès viennent de publier dans la collection Qui suis-je un Jacques de Mahieu de Franck Buleux. Enseignant, Franck Buleux est déjà l'auteur de L'unité normande (L'Harmattan, 2015) et de Leif Erikson ou la naissance de l’Occident (Heligoland, 2020).

     

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    Jacques de Mahieu (1915-1990): «Le matériel archéologique que nous fournissent l'Amérique Moyenne et l'Amérique du Sud est, certes, beaucoup plus riche que celui qui provient de la partie Nord du continent. Il ne nous offre pas seulement des restes d’édifices et quelques rares objets, mais de nombreuses représentations iconographiques d'hommes de race blanche.» (Le Grand Voyage du Dieu-Soleil.)

    Jacques Girault, alias Jacques de Mahieu, est né le 31 octobre 1915 à Marseille. Très jeune, il s'engage à l'Action française. L'arrestation, en septembre 1944, de son mentor Charles Maurras le conduit à quitter l'Europe pour l'Argentine, plus accueillante. Juan Perón reprendra ses thèses en matière de corporatisme social. Elles serviront également de support doctrinal à des mouvements nationalistes argentins comme aux militaires anticommunistes. Fondateur, en 1968, de l'Institut des sciences de l'homme de Buenos Aires, ses activités s'orientent progressivement vers la sociologie, l'anthropologie et l'ethnologie. Il définit la place de l'individu au sein de la société comme dépendant de son hérédité et de l'influence du milieu. Il consacre un Précis de biopolitique (1969) à l'étude et à l'évolution de l'homme, critiquant les sociétés pluriethniques et la pression migratoire démographique. Il développera ses études sur la présence d'éléments scandinaves au coeur de l'Amérique latine sur le terrain, notamment au Paraguay parmi les Indiens Guayaki. Ses travaux sur les civilisations précolombiennes le feront connaître en France et en Europe, à partir des années 1970. Du « grand voyage du Dieu-Soleil » à son «agonie », Jacques de Mahieu relate, à travers ses essais, les expéditions des Templiers et des Vikings en Amérique (Drakars sur l’Amazon, 1977) et décrit les traces de leur présence avant la découverte officielle du continent par Christophe Colomb, dont il dénonce « l'imposture » historique. Auteur traduit dans plusieurs langues, contesté par les uns, admiré par les autres, il s’éteint le 4 octobre 1990 à Buenos Aires, laissant ses textes en héritage à plusieurs courants de pensée, de la Nouvelle Droite aux tenants de l'« archéologie mystérieuse ».

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  • Les noms de lieux celtiques de l'Europe ancienne...

    Les éditions Errance viennent de rééditer un ouvrage de Xavier Delamarre intitulé Noms de lieux celtiques de l'Europe ancienne.

    Diplomate et linguiste, Xavier Delamarre est spécialiste des langues celtiques et indo-européennes. Il a notamment publié un Dictionnaire de la langue gauloise (Errance, 2018) et Une généalogie des mots - De l'indo-européen au français (Errance, 2019).

     

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    " Les « Noms de lieux celtiques de l'Europe ancienne » présentent sous forme de dictionnaire un relevé des noms de lieux celtiques de l'Antiquité, soit attesté tels quels par les Anciens (César, Strabon, Ptolémée, itinéraires, etc.), soit reconstruits à partir de leur forme médiévale (chartes, cartulaires, vie de saints) ou de leur forme moderne. Ils ont été formés pour la plupart avant l'extension de l'Empire romain et attestent, de par leur simple existence, de la présence des Celtes sur une majeure partie du continent européen dans la période qui a précédé cette conquête, au tournant de notre ère.
    Cette extension, qui ne se résume pas à la Gaule, ni même à l'hexagone, et que d'Arbois de Jubainville avait appelée " L'Empire Celtique ", va de la Germanie rhénane à l'Espagne occidentale en passant par les Gaules, et de la Bretagne à la Pannonie, en passant par la Cisalpine, c'est-à-dire l'Italie du Nord. Après une introduction qui explique la formation des noms de lieux celtiques et le dictionnaire proprement dit, des index abondants permettent de retrouver un nom de lieu ancien à partir d'un nom moderne et les noms de personnes celtiques qui ont formé un nom de lieu.
    Une traduction des toponymes est proposée. "

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  • L'ère des soulèvements...

    Les éditions du Cerf viennent de publier un nouvel essai de Michel Maffesoli intitulé L'ère des soulèvements.  

    Penseur de la post-modernité, ancien élève de Julien Freund et de Gilbert Durand, Michel Maffesoli a publié récemment  Les nouveaux bien-pensants (Editions du Moment, 2014) , Être postmoderne (Cerf, 2018), La force de l'imaginaire - Contre les bien-pensants (Liber, 2019) ou, dernièrement, La faillite des élites (Lexio, 2019).

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    " Trente ans après son mythique Temps des tribus, le grand sociologue de l'imaginaire lance une nouvelle annonce prophétique. Reprenant un à un les récents séismes qui ont ébranlé nos représentations, il montre comment l'avènement d'un totalitarisme doux marque, par réaction, l'Ère des révoltes. Un essai indispensable pour comprendre ce que sera notre monde demain.

    Dès les années 1980, Michel Maffesoli se fait l'observateur averti et implacable des temps postmodernes. Il annonce un effondrement social porteur d'un paradoxal retour des tribus, ce que prouveront les décennies suivantes. Il pronostique également que, profitant de la fin des idéologies, les élites au pouvoir entendent instaurer un ordre nouveau qu'il qualifie de totalitarisme doux. Ce que démontre l'actualité récente.
    De l'éruption des gilets jaunes devenus un phénomène international à la contestation globale de la gestion de la pandémie, des grèves émeutières pour contrecarrer le libéralisme mondialisé à la vague d'émotion planétaire suscitée par l'incendie de Notre-Dame, le sociologue du quotidien et de l'imaginaire traque, de son œil inégalé, le changement de paradigme que nous vivons.
    Le règne de la rationalité, de la technicité et de l'individualité agonise convulsivement sous nos yeux. Pour le meilleur et pour le pire, l'ère des révoltes a commencé et ne cessera pas avant longtemps.
    Cet essai flamboyant dit pourquoi et comment le peuple a raison de se rebeller.  "

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  • Le Grand Remplacement...

    « Le Grand Remplacement n’est ni un fantasme ni un complot, c’est le drame historique de notre époque. » Éric Zemmour

     

    Les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de rééditer l'essai de Renaud Camus publié initialement en 2011 et intitulé Le Grand Remplacement - Introduction au remplacisme global. Écrivain, Renaud Camus, avec son expression "Grand Remplacement" a mis des mots sur une réalité que  la police de la pensée du système s'acharne à nier, celle du le remplacement visible de la population française de souche par une population originaire principalement d'Afrique...

     

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    " Le Grand Remplacement n’est ni une théorie ni un complot. C’est un état de fait observable dans la plupart des pays occidentaux. Tout le monde le voit, sauf les démographes. Tout le monde en parle, sauf les journalistes. Tout le monde s’en effraie, sauf les politiques. Les plus audacieux l’évoquent à demi-mots. Partout le déni, l’autocensure ou simplement la peur. Comme si le réel n’avait pas lieu. « Ils ont des yeux et ne voient pas. » Terrible cécité. Il y avait un peuple, il y en a un autre. C’est le même administrativement ; ce n’est plus le même historiquement, culturellement, ethniquement, religieusement. À travers une série d’interventions publiques, Le Grand Remplacement décrit ce phénomène inédit à l’échelle des temps historiques. L’expression a fait le tour du monde, elle est immédiatement intelligible dans tous les idiomes de la Terre. Or, l’ouvrage dont elle est tirée n’a été traduit dans aucune langue. C’est un livre fantôme, jusqu’ici édité à compte d’auteur. C’est dire l’ampleur du non-dit et le poids des censures invisibles. Voici donc porté à la connaissance du public l’un des plus grands textes de notre temps rédigé par l’une des plus grandes voix de notre temps. Après l’avoir lu, vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas ! "

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  • La fin d'un monde...

    Les éditions Albin Michel viennent de publier une étude historique, culturelle et politique de Patrick Buisson intitulée La fin d'un monde et qui doit être le premier tome d'une œuvre plus vaste dans laquelle il veut se pencher sur cinquante années de déclin de la France.

    Politologue et historien, Patrick Buisson est notamment l'auteur d'une étude historique originale et éclairante, 1940-1945, années érotiques (Albin Michel, 2008), et d'un essai politique important, La cause du peuple (Perrin, 2016).

     

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    " « C'était mieux avant. » Avec la pandémie, l'unanimité de ce thème qui paraissait jusqu'alors marqué d'une nostalgie stérile revient avec insistance.
    Mais de quel « avant » parlons-nous ? Celui de la société de consommation triomphante des années 1960-1975 ou de la société chrétienne millénaire qui l'a précédée ?
    Dans une plongée vertigineuse vers notre passé récent, Patrick Buisson nous entraîne des coulisses du concile Vatican II aux assemblées générales des « Gouines rouges », de la piété teintée de paganisme des pardons bretons aux bistrots sans femmes des cités ouvrières, du stade à l'alcôve. De ce cheminement inattendu et fascinant, nul ne sort intact.
    Tout change en effet au cours de ces « quinze piteuses » qui voient la destruction méthodique de l'art de vivre et de la culture populaire, la remise en cause du monde vertical de l'autorité et l'effondrement des vieilles croyances.
    La petite-bourgeoisie éduquée, soucieuse de se démarquer du moule dans lequel elle avait été formée a imposé l'hégémonie du progressisme.
    Au fil de ce texte remarquablement documenté et écrit, dérangeant mais profondément argumenté, Patrick Buisson nous confronte à nos contradictions. Avec La fin d'un monde, il nous éclaire sur ces passions françaises dont il s'est fait le décrypteur et nous donne le grand livre contemporain des objecteurs de modernité.  "

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