Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Décryptage - Page 111

  • Classe dominante et crime... (2)

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Xavier Raufer, cueilli sur le site du Nouvel Economiste et consacré à la ploutocratie criminelle et à la propagande qu'elle s'assure au travers de ses propres médias...

    Vous pouvez lire ici : Classe dominante et crime (1)

    liberation_une.jpeg

    Classe dominante et crime (2) : la presse-des-milliardaires

    Le 23 mars dernier, l’essayiste Eric Conan fulmine dans Marianne : “Ah ! Qu’est-ce qu’on se marre avec Libération”, grince-t-il – avant de traiter Libé de “bulletin de l’amicale des bobos parisiens”. Pourquoi ces foudres ? Une bande de racailles vient d’assiéger un train du RER D, molestant et volant ses passagers. Comme d’usage, les esprits supérieurs de Libé ont ironisé sur “le RER dépouillé façon western”, ébahis qu’on glose sur un aussi banal “fait divers”. Simple ébullition médiatique ? Non. Conan, que l’auteur connut naguère à L’Express, est un homme mesuré, étranger à la vitupération. Sa colère est celle d’un calme. D’où l’énorme écho de son algarade.

    Mais au fait, pourquoi Libé ricane-t-il des malheurs des usagers du RER D, tant et si bien qu’à la fin, Conan se fâche ? C’est qu’au fil des années, Libé, issu du maoïsme mondain de la décennie 1970, est devenu un quotidien-des-milliardaires, voué à la “culture de l’excuse” et à la négation du réel criminel.

    Négation ? Sur l’affaire du RER D, rebelote dans Libé du 28 mars, où le bobo-journaliste de service explique : bien sûr, des “gosses” font des “conneries, mais sans être extrêmement dangereux”, plutôt “idiots”. Les victimes du RER ? “ce sont des actifs et s’en prendre à eux c’est [pour les voyous] une sorte de vengeance vacharde”. Bref : bien fait pour ces “actifs” qui osent narguer les racailles en passant sous leur nez pour aller bosser.

    Comment s’explique ce consternant travesti du réel ? Ici, un bref rappel à notre dernière chronique consacrée, souvenons-nous, à l’hyperclasse et à ses moyens pour imposer les idées dominantes. Nous y exposions qu’un stratagème majeur permettait à ces ploutocrates d’établir leur soft-power : l’ “humanitaire”.

    Ainsi, M. Lloyd Blankfein, patron de Goldman Sachs, banque qualifiée de “pieuvre vampire” par un polémiste new-yorkais, milite-t-il ardemment pour le droit au mariage des homosexuels ; pour lui “un problème de droits civiques, mais aussi de business”. Autre méga-philanthrope de Wall Street, Rajat Gupta, conseiller de la Bill and Melinda Gates Foundation. Mais hélas, fâcheux coup du sort, cet ex-directeur chez Goldman Sachs est récemment condamné dans une gravissime affaire d’initiés.

    Ici, le lecteur sursaute : comment des pamphlétaires ou des juges insensibles osent-ils brocarder ou condamner de généreux bienfaiteurs ? Qu’ils se rassurent ! Face à eux, ces milliardaires ne sont pas totalement désarmés. Car, ces dernières décennies, ils ont utilisé une partie de leurs fortunes à acquérir des médias (quotidiens, périodiques, sites Internet, etc.). C’est bien sûr ceux-là que nous nommons “presse-des-milliardaires”. On en connaît les titres phares : Financial Times, Economist, Wall Street Journal, etc. Leur idéologie est unique : mondialisation bienfaitrice, un militantisme sociétal qui ne coûte rien aux ploutocrates (féminisme, homosexuels…), négation des ravages du crime, toujours édulcoré ou folklorisé. Venons-en maintenant à l’archétype de cette presse-des-milliardaires en France : Libération.

    Impossible d’imaginer pire trajectoire de trahison que celle de Libé, de son lancement (mai 1973) au printemps 2013. En témoigne On a raison de se révolter, livre militant destiné à financer Libé après sa naissance. Dans ce débat à trois voix entre Jean-Paul Sartre, un “chef Mao” et “un journaliste de Libération”, on souligne “l’intérêt et l’apport de la révolution culturelle chinoise” (plus de 30 millions de morts), et envisage l’“armement du prolétariat”… l’“armement de milices populaires” ; car “dès lors que les masses se mobilisent, elles cherchent spontanément toujours à prendre, partout où elles le peuvent, tout le pouvoir qu’elles peuvent prendre”.

    Tel était alors l’idéal de Libé. Or quarante ans plus tard, ce quotidien (dont l’ancêtre se nommait La Cause du Peuple) vomit le “populisme” et empile des louanges à faire rougir Ceaucescu sur des prédateurs désormais mimétiquement déguisés en dames patronnesses (Libération du 28 octobre 2012 :“Marc Ladreit de Lacharrière. Il nous fait… marché”). Lisons un peu : “Son bureau caréné comme un navire spatial… Un abord simple et chaleureux… Mécène des arts et lettres, soutien actif d’une France de la diversité… Descendant d’une aristocratie guerrière… Un courage certain… Ainsi va la vie des riches au grand cœur.” Manque “Danube de la pensée” – mais tout juste.

    Surtout, comme on l’a vu, Libé traite avec désinvolture le calvaire criminel que vivent les Français dans la périphérie des métropoles. Pourquoi ce revirement ? Que s’est-il passé ?

    Eh bien, cela confirme que Marx avait (sur ce point) vu juste : dans la société de l’information de 2013, l’infrastructure détermine tout autant la superstructure qu’aux débuts du capitalisme (1850). Le capital d’un journal appartient à une banque ? Aujourd’hui comme hier l’idéologie de cette banque s’y impose pour l’essentiel. Edouard de Rothschild vient-il ainsi jouer “un rôle très actif pour sauver Libé et assurer son indépendance” (Laurent Joffrin, Journal du Dimanche, 12/06/2011) ? Le banquier apporte certes l’indépendance financière – mais précipite la fatale mutation de Libé en haut-parleur de la classe dominante.

    Cela – étourderie ? coquetterie ? – Libé lui-même en atteste le 18 octobre 2012 : “Les rédactions sont un accessoire pour les patrons… Ces propriétaires ont acheté de l’influence… En France, les rédactions sont maintenant un accessoire parmi d’autres de la puissance.”

    Emerge ainsi un nouveau “compromis historique” entre prédateurs-patronnesses, néo-médias type Libé et “sociologues critiques”. D’apparence fort radicaux et vitupérant à tout propos la société, ces demi-soldes du journalisme et de l’université partagent avec ces milliardaires une vision libertaire-mondialiste, un (sincère ou cynique) laxisme sociétal, stupéfiants, genre et minorités sexuelles -, enfin et surtout, la négation du réel criminel.

    Xavier Raufer (Le Nouvel Economiste, 3 mai 2013)

    Lien permanent Catégories : Décryptage, Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • A propos de la dépense publique...

    Dans cette chronique, mise en ligne sur Realpolitik.tv,  Hervé Juvin nous livre son point de vue, balancé et stimulant, sur la question de la dette publique...



    Le niveau des dépenses publiques par realpolitiktv

     

    Lien permanent Catégories : Décryptage, Economie, Multimédia, Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • Halte à la culpabilisation à sens unique !...

    Assignation en justice de la Caisse des dépôts et consignations par le Conseil représentatif des associations noires pour complicité de crime contre l'humanité, déclaration de Christiane Taubira en faveur de compensations foncières pour les descendants d'esclaves, reconnaissance par François Hollande d'une dette de la France envers l'Afrique... La journée de commémoration de l'esclavage a apporté son lot de déclarations grotesques et affligeantes, comme l'avait prévu Bernard Lugan, dans un texte publié sur son blog et que nous reproduisons ci-dessous... 


    Taubira traite.jpg

     

    Le 10 mai, avec la « Journée des mémoires de la traite négrière, de l’esclavage et de leurs abolitions », c’est encore un anniversaire de culpabilisation à sens unique qui est célébré

    Sous la présidence de Jacques Chirac les députés votèrent à l’unanimité, (donc tous les élus de « droite »), et en première lecture, la loi dite « Taubira ».  Définitivement adoptée le 10 mai 2001, cette loi qualifie de « crime contre l’humanité » la seule traite esclavagiste européenne. Christiane Taubira a insolitement précisé que sa loi passe sous silence la traite arabo-musulmane[1] afin que les « jeunes Arabes (…) ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes » (L’Express du 4 mai 2006).
    Et pourtant, au XIXe siècle, l’abolition décidée par les Européens ne concerna pas les Arabo-musulmans. Depuis la Libye, au nord, ou depuis Zanzibar, à l’est, des caravanes organisées militairement continuèrent en effet à dévaster des régions entières de l’Afrique noire. Au XIXe siècle, au centre comme à l’Est du continent, les réseaux esclavagistes musulmans étaient en pleine extension ; la documentation abonde les concernant.
    Dans la région sahélienne, de la boucle du Niger au Tchad, les esclavagistes puisaient dans le « vivier humain » du bilad al Sudan, Bambara, Sénoufo et Sara étant leurs principales victimes.
    Dans la région du Haut Nil, l’actuel Sud Soudan, Dinka, Nuer et Chillouk étaient pourchassés, les femmes pour leur beauté et les jeunes garçons pour être « transformés » en eunuques gardiens des harem.  
    Dans l’Est de l’Afrique, les esclavagistes zanzibarites ravageaient les actuels Etats de Tanzanie, d’Ouganda, de RDC, de Zambie ainsi que tout le Nord du Mozambique. Tirant l’essentiel de ses revenus de la vente des esclaves, le sultan de Zanzibar avait constitué un corps de fonctionnaires chargé de tenir un compte  précis du nombre de captifs débarqués sur son île. Grâce aux registres des perceptions douanières, nous savons ainsi qu’entre 1830 et 1873, environ 700 000 esclaves furent vendus sur le seul marché de Zanzibar. Ces chiffres ne valent cependant que pour le commerce officiel du sultanat et ils ne tiennent pas compte de la contrebande.
    Ce fut l’administration coloniale qui mit un terme à ces odieuses pratiques. Certaines ethnies ne survécurent alors que parce que la colonisation sépara victimes et razzieurs, comme au Mali, comme au Niger, comme au Tchad, comme en Centrafrique, comme au Nigeria, comme en RDC, comme en Tanzanie, comme en Ouganda, comme au Soudan, comme au Malawi, comme au Mozambique etc... Ce furent les Européens qui firent fermer le marché de Zanzibar en 1873. Ce furent également eux qui, à partir de 1890, obligèrent les autorités égyptiennes à interdire aux 78 marchands d’esclaves du Caire et aux 73 d’Alexandrie de cesser cette activité[2]. 
    En 2005, Jacques Chirac décida que le 10 mai, jour de l’adoption de la loi Taubira, serait désormais célébrée la « Journée des mémoires de la traite négrière, de l’esclavage et de leurs abolitions ». Rompant avec une sage pratique voulant, sauf exception, que des dates du passé soient toujours choisies pour célébrer les évènements historiques, le président de la République faisait ainsi d’une date du présent un jour de commémoration d’évènements du passé…
    Et pourtant, le 27 avril, date anniversaire  de l’abolition de l’esclavage en France (27 avril 1848) était la date idéale qui aurait permis de célébrer cette « Journée des mémoires de la traite négrière, de l’esclavage et de leurs abolitions » dans un climat d’unanimisme national. Jacques Chirac a préféré une date clivante.
    Tout cela n’est cependant qu’un début car les  groupes de pression constituant le noyau électoral de François Hollande, modernes Minotaures à l’insatiable appétit, réclament maintenant des « réparations » sonnantes et trébuchantes. Comme les caisses de l’Etat sont vides, notre « pauvre » président ne va donc pouvoir nourrir ses électeurs que de paroles. Il faudra donc qu’elles soient roboratives. C’est pourquoi nous pouvons nous attendre à de nouvelles rafales de déclarations et de mesures symboliques de repentance.
    Voilà comment le totalitarisme se met en place et comment, lentement mais sûrement, nos « élites » gouvernantes, totalement coupées du « pays réel » se préparent des lendemains difficiles. Notamment parce que Madame Taubira dont les condamnations sont sélectives, ignore probablement, et les Romains l’avaient appris à leurs dépens, que  chez les Gaulois « la patience dont on abuse se change en fureur ».
    Bernard Lugan (Blog de Bernard Lugan, 2 mai 2013)
    Lien permanent Catégories : Décryptage 0 commentaire Pin it!
  • Médias : la grande illusion...

    Les éditions Jean-Claude Gawsewitch publient cette semaine Médias : la grande illusion, un essai de Jean-Jacques Cros. Longtemps journaliste politique sur France 3, Jean-Jacques Cros a récemment pris sa retraite et révèle le dessous des cartes dans les médias...

     

     

    médias la grande illusion.jpg

    " Comment les médias vous trompent ! Les médias ne montrent pas la réalité. Ils donnent juste l’illusion d’être informés. Si ce décalage entre la réalité vécue et la réalité montrée peut s’expliquer par les habitudes, pressions et contraintes que subissent les médias, il accentue la méfiance des Français à l’encontre de ceux qui sont censés les informer. Et pourtant, les journalistes, eux, estiment qu’ils font leur travail ! Alors, pourquoi ce divorce ? Dans cet ouvrage « coup de gueule », écrit par un journaliste, grand reporter à France Télévision, sont mis en accusation les pouvoirs de l’Etat et des propriétaires mais aussi les dictatures de la publicité et du marketing. L’auteur dénonce également les mœurs d’une profession malaimée et démontre le conformisme affligeant dans le choix de l’information diffusée. Décryptant notamment les conséquences sur le pluralisme et l’information de la réforme de France Télévision prévue pour janvier 2013, le résultat de la marchandisation croissante des sources d’information ou encore les effets de « l’info-spectacle », l’auteur montre combien l’effet manipulatoire des médias, inévitable, peut représenter un risque pour notre société. Afin de devenir des « consommateurs de médias » alertes et responsables, les citoyens doivent donc décoder ce que les médias donnent à voir. Les médias ne sont pas une fenêtre sur le monde, mais seulement le monde vu au travers d’une lucarne. "

    Lien permanent Catégories : Décryptage, Livres, Manipulation et influence 0 commentaire Pin it!
  • Un blocus monétaire ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Jacques Sapir, cueilli sur son blog RussEurope et consacré à la crise chypriote et au rôle qu'entend jouer dans celle-ci le gouverneur de la Banque centrale européenne, et ancien serviteur de Goldman Sachs, Mario Draghi...

     

    Mario-Draghi 2.jpg

    Chypre : Draghi use du Blocus monétaire

    Le « blocus monétaire » de Chypre qui vient d’être mis en œuvre par la BCE est un acte d’une extraordinaire gravité, dont les conséquences doivent être soigneusement étudiées. La décision de M. Mario Draghi porte sur deux aspects : tout d’abord la BCE n’alimente plus la Banque Centrale de Chypre en billets (point qui n’est pas essentiel car les réserves de « cash » semblent importantes) et ensuite elle interrompt les transactions entre les banques chypriotes et le reste du système bancaire de la zone Euro. C’est cette dernière mesure qui est la plus grave. D’une part, elle condamne à court terme les banques chypriotes (mais aussi les entreprises basées à Chypre) car désormais elles ne peuvent plus faire de transactions avec le reste de la zone Euro. D’autre part, elle équivaut à un « blocus » économique, c’est-à-dire dans les termes du droit international un « acte de guerre ». C’est donc dire la gravité de la décision prise par Mario Draghi. Elle pourrait d’ailleurs se prêter à contestation devant les cours internationales.

    Sur l’interruption des relations entre banques chypriotes et la zone Euro, l’argument invoqué est le « doute » sur la solvabilité des dites banques chypriotes. C’est à l’évidence un pur prétexte car des « doutes » il y en a depuis juin dernier. Tout le monde sait qu’avec les conséquences du « haircut » imposé sur les créanciers privés de la Grèce, on a considérablement fragilisé les banques de Chypre. La BCE n’avait pas réagi à l’époque et ne considérait pas le problème de la recapitalisation de ces banques comme urgent. Elle se décide à le faire au lendemain du rejet par le Parlement chypriote du texte de l’accord imposé à Chypre par l’Eurogroupe et la Troïka. On ne saurait être plus clair. Le message envoyé par Mario Draghi est donc le suivant : ou vous vous pliez à ce que NOUS avons décidé ou vous en subirez les conséquences. Ce n’est pas seulement un message, c’est un ultimatum. On mesure ici que toutes les déclarations sur le « consensus » ou l’« unanimité » qui aurait présidé à la décision de l’Eurogroupe ne sont que des masques devant ce qui s’avère être un Diktat.

    Mais il y a un message dans le message. Mario Draghi vient, d’un seul geste, de faire sauter la fiction d’une décision collective au sein de la BCE, car le Président de la Banque Centrale de Chypre n’a pas donné son accord. Les règles n’ont ainsi même pas été respectées. Il vient, ensuite, d’affirmer au reste du monde que les décisions ne sont pas prises par l’Eurogroupe ou l’Union Européenne mais par lui et lui seul, fonctionnaire désigné et non élu, irresponsable au sens le plus politique du terme. La nature profondément tyrannique des institutions mises en place dans le cadre européen se révèle pleinement dans cet incident. Les grands discours sur la coopération et sur l’expertise cèdent la place au froid rapport des forces et sentiment de puissance.

    Les conséquences de cette décision seront, quoi qu’il advienne, dramatiques. Il est possible que le Parlement chypriote se déjuge sous la pression, mais ce faisant il ouvrira une crise ouverte avec son peuple. La tradition de violence politique que l’on a à Chypre ne doit pas être négligée. Il est aussi possible que l’on aille jusqu’au bout de cette crise et que Chypre soit de facto expulsée de la zone Euro du fait de la décision de Mario Draghi. Le précédent ainsi établi aura dans ce cas des conséquences profondes pour l’ensemble des autres pays. Nous aurons des indications sur le cours que les événements vont prendre d’ici 48 heures.

    Jacques Sapir (RussEurope, 20 mars 2013)

    Lien permanent Catégories : Décryptage, Economie, En Europe, Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • Les Bobards d'or 2013...

    La Fondation Polémia organise la quatrième édition de la cérémonie des Bobards d'or le mardi 19 mars 2013, à Paris, 8 rue d'Athènes.

    Cette cérémonie est destinée à récompenser les meilleurs des  journalistes, les meilleurs professionnels des médias, ceux qui n’hésitent pas à mentir délibérément pour défendre le politiquement correct, pour servir la cause de leurs employeurs, oligarques de la finance, pour vanter l’idéologie dominante, le libre-échange, la rupture des traditions et de notre culture ancestrale, la désintégration et la dénaturation de la société française…

    Vous pouvez découvrir des informations sur les candidats en lice sur le site de la cérémonie : Bobards d'or 2013


    19 mars 2013 : 4ème édition des "Bobards d'Or" par MrPierreLegrand

    Lien permanent Catégories : Décryptage, Infos, Multimédia 0 commentaire Pin it!