Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

nietzsche

  • Les vérités taboues de la guerre du genre...

    Les éditions de l'Observatoire viennent de publier un essai de Peggy Sastre et Leonardo Orlando intitulé Sexe, science & censure.

    Peggy Sastre est docteur en philosophie des sciences, spécialiste de Nietzsche et de Darwin. Ses travaux s'orientent autour d'une lecture biologique des questions sexuelles. Leonardo Orlando est docteur en science politique et titulaire d'un master de philosophie.

    Sastre-orlando_Sexe, science & censure.jpg

    "Hormones, cerveau, psychologie, comportements : depuis des décennies, la science documente des différences indéniables entre hommes et femmes. Mais à l'université, le simple fait d'en parler est devenu tabou. Chercheurs, psychologues, philosophes qui invoquent la biologie ou l'évolution sont accusés, menacés, parfois réduits au silence par des activistes militants. Cette négation de la nature humaine dépasse aujourd'hui le seul monde académique : elle contamine les institutions, les médias et les réseaux sociaux, au point de fragiliser le débat démocratique lui-même. Victimes directes de cette censure, le politologue Leonardo Orlando et la philosophe Peggy Sastre livrent un décryptage précis de cette nouvelle « guerre du genre ». À rebours des dogmes, ils rétablissent des vérités scientifiques passionnantes sur la morphologie, la psychologie, les goûts et les sentiments - qu'il s'agisse de jalousie, de préférences amoureuses révélées par les applications de rencontre, ou encore des choix de carrière et d'orientation professionnelle. Autant de différences qui, loin de contredire l'égalité, la rendent intelligible."

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Nietzsche et les techniques...

    Les éditions des Presses universitaires de France viennent de publié sous la direction de David Simonin un ouvrage intitulé Nietzsche et les techniques.

    Agrégé de philosophie (2014), diplômé de l’ENS (2016), docteur en philosophie de Sorbonne-Université et de l’Università del Salento (2019), David Simonin est membre du groupe de recherche international HyperNietzsche et de la Friedrich Nietzsche Society, et il a co-fondé le Cercle d'études nietzschéennes.

     

    Simonin_Nietzsche et les techniques.jpg

    " Le progrès technique est-il l’apanage du surhumain ? Dieu est-il mort à cause de la technique ? La volonté de puissance est-elle synonyme d’arraisonnement technique de la nature et d’exploitation de l’homme par l’homme ? Nietzsche a philosophé à coups de marteau et qualifié sa personne de dynamite ; il voyait l’homme comme un pont vers le surhomme, attendait avec impatience d’emprunter en train le tunnel du Saint-Gothard nouvellement percé et s’est imaginé « aéronaute de l’esprit ». Avec une conscience aiguë des potentialités et des dangers de la révolution industrielle et des bouleversements qui en résultèrent dans nos pratiques, Nietzsche a non seulement pensé la technique, mais il en a aussi incorporé les enjeux à sa philosophie. Rares sont les aspects de son œuvre qui sortent indemnes de cette confrontation directe du philosophe avec son temps (qui est aussi le nôtre), et que l’on aurait tort de réduire trop rapidement à sa critique de la « civilisation de la machine » ou à sa fascination pour le déchaînement d’une puissance prométhéenne. Ce livre offre un panorama riche et nuancé permettant d’interroger les rapports entre technique, puissance, nature et vie, mais aussi de situer Nietzsche au milieu de ses machines et d’autres grands philosophes de la technique, tels que Marx ou Heidegger. "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Vivre sur les cimes...

    Les éditions du Royaume viennent de publier un essai de François Plat Colonna intitulé Vivre sur les cimes - Le sens de la terre dans la philosophie de Friedrich Nietzsche. François Plat Colonna, né en 1994, vit à Aix-en-Provence. Passionné par l’histoire des idées, la philosophie et la littérature, il est titulaire d’un Master d’histoire de la philosophie et de métaphysique. 

     

    Plat Colonna_Vivre sur les cimes.jpg

    "Qu’entendait exactement Nietzsche — l’un des penseurs les plus influents de toute l’histoire de la philosophie — par « le sens de la terre»?

    Aristocratisme radical, philosophie vécue, vitalisme, réalisme biologique, importance d’une méthode de la probité, immanentisme, éloge des instincts, retour au corps, lutte contre la décadence — et, mieux encore, contre sa propre décadence intérieure – : autant d’éléments fondamentaux, et en un sens largement révolutionnaires, que Nietzsche propose à l’humanité. Ou plutôt, à une partie d’entre elle seulement.

    Car le sens de la terre, chez Nietzsche, est une philosophie exigeante destinée à une minorité : celle de rares élus qui auraient trouvé en eux la force de vivre d’une grande santé en osant emprunter des sentiers escarpés les conduisant jusqu’aux plus hautes cimes.

    Un tel appel est toujours d’une utilité capitale au sein de notre époque démocratique, égalitariste, mercantile, et ô combien éprise de sa propre médiocrité.

    L’auteur, jeune universitaire en philosophie collaborant déjà à de nombreuses revues, propose ici une synthèse claire et érudite d’une pensée majeure."

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Guerre des États ou guerre des classes ?...

    Les éditions Krisis viennent de rééditer un essai d’Édouard Berth intitulé Guerre des États ou guerre des classes, avec une préface d'Alain de Benoist.

    Théoricien du syndicalisme révolutionnaire, disciple de Georges Sorel et cofondateur du Cercle Proudhon, Édouard Berth est également l’auteur des Méfaits des intellectuels, déjà réédité aux éditions Krisis. Alain de Benoist lui a consacré un essai intitulé Édouard Berth ou le socialisme héroïque (Pardès, 2013).

     

    Berth_Guerre des états ou guerre des classes.jpg

    " Guerre des États ou guerre des classes ? C’est la question que pose Édouard Berth aux militants politiques français au lendemain de la Première Guerre mondiale. Issu du syndicalisme révolutionnaire théorisé par son maître Georges Sorel, marxiste convaincu, mais également compagnon de route de l’Action française au sein du Cercle Proudhon, Berth est une figure iconoclaste dont le discours participe de l’histoire commune des deux grandes idéologies qui s’affirmèrent durant l’entre-deux-guerres : le communisme et le fascisme. En effet, face à la chute définitive des monarchies et à l’impuissance des démocraties, la question européenne ne peut plus être résolue pour Berth que par deux alternatives : ce sera Lénine, ou bien Mussolini. Une question pour laquelle Berth a lui-même sa réponse : déçu par les compromissions de nationaux ralliés au Capital, il choisit donc (provisoirement) la révolution communiste. Mais une révolution germanophile, vitaliste, héroïque, porteuse des valeurs surhumaines esquissées par Nietzsche, réconciliant la tradition idéaliste allemande avec la question ouvrière, tout en étant empreinte de mysticisme chrétien. Berth est inclassable : son oeuvre, témoignage d’un esprit érudit et iconoclaste, reste l’une des clés pour la compréhension de cette époque de transition et de recomposition idéologique en Europe. "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Taule story : détenus, surveillants, aumôniers... ils racontent !

    Le numéro 85 du mensuel conservateur L'Incorrect est en kiosque. On peut notamment découvrir à l'intérieur un dossier central consacré à la prison...

    Incorrect 85.jpg

    Au sommaire :

    L’ÉPOQUE

    Charles Gave au secours de l’épargne des Français

    Tanaland : Le meilleur des mondes néo-féministe

    DOSSIER
    Taule story

    MONDE

    Maréchal, Dreher, Trochu – Conversation

    Syrie : Les alaouites au tombeau

    IDÉES

    Bataille royale

    L’impasse Guilluy

    Que faire de Nietzsche ?

    Nicolás Gómez Dávila : Maître en réaction

    CULTURE

    Héros, génies et victimes

     Antoine Volodine : L’art de sombrer

    André Suarès : Retour d’un géant

    Virgil Declercq : Pour une architecture durable

    Qui mais qui ? The Horrors

    Des taureaux sur la toile

    LA FABRIQUE DU FABO

    Les têtes coupées sont-elles de droite?

    L’art de la distillation française

    La carte noire de Nicolas d'Estienne d'Orves

    Lien permanent Catégories : Revues et journaux 0 commentaire Pin it!
  • Christianisme et ressentiment, une réponse chrétienne à Nietzsche...

    Dans cette nouvelle vidéo, Ego Non nous fait découvrir le philosophe allemand Max Scheler et son essai, L'homme du ressentiment récemment réédité.

     

                                           

    Lien permanent Catégories : Multimédia, Points de vue 0 commentaire Pin it!