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  • Réflexions sur l’idée européenne...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Pierre de Meuse cueilli sur Polémia et consacré à l'idée européenne.

    Docteur en droit, Pierre de Meuse a enseigné dans une école supérieure de management et à la faculté de philosophie de l'Institut catholique de Toulouse. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont Histoire des hérésies (Trajectoire, 2010), Idées et doctrines de la Contre-révolution (DMM, 2019), La famille en question - Ancrage personnel et résistance communautaire (La Nouvelle Librairie, 2021) et  Le dogme de l'antiracisme - Origine, développement et conséquences (DMM, 2024).

     

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    Réflexions sur l’idée européenne

    Un horizon enthousiasmant

    Il y a cinquante ans déjà ! Au cours d’une séance de formation à la Domus, cet éveilleur incomparable et étincelant qu’était Giorgio Locchi nous expliquait ce que devait être la future épine dorsale d’une élite européenne. « Il faut, nous disait-il, former des groupes de familles intelligentes issues des nations européennes, mais liées entre elles par une amitié plus riche que celle qui les reliait à leur propre origine, parce que fondée sur une foi commune dans l’avenir de l’Europe impériale. » Une vision enthousiasmante l’animait, nous communiquant sa force de persuasion incomparable. Il nous exhortait aussi à garder vivante « l’Europe des fils, plutôt que celle des pères », parce qu’elle était le fruit de la volonté plus que de la piété. Une idée quelque peu mazziniste, mais c’était la mode en ce temps-là.
    Nous n’avons pas oublié les leçons de cet Italien brillant et inventif, mais, un demi-siècle plus tard, c’est parmi nos ennemis que s’est répandue cette solidarité de caste, dans l’oligarchie apatride qui écrase de son mépris les peuples dont ils sont originaires, et nos efforts se mobilisent au contraire pour soulever les peuples humiliés contre leurs oppresseurs. Cette réalité a un goût amer, mais elle nous inspire une force nouvelle.

    Le projet européen dévoyé et ses impasses

    Quant à l’Europe, ou du moins les institutions que l’après-guerre avait édifiées pour elle, elles ont poursuivi leur marche non vers la naissance d’un imperium commun, mais vers son contraire : l’expression d’un mondialisme déraciné, un simple échelon régional du magma indifférencié dans lequel les masses humaines sont encouragées à émigrer, avec l’interdiction de plus en plus rigoureuse pour quiconque de s’y opposer. Ses seuls moteurs demeurent le fanatisme libre-échangiste, l’idéologie progressiste et la haine des identités héritées.
    Guillaume Faye, conscient de la contradiction insupportable entre l’Europe telle que nous la rêvions et celle qui se construisait « à petits pas », aimait envisager l’hypothèse du Hold-up, métaphore d’un avion dans lequel des passagers déterminés s’introduiraient dans le cockpit et forceraient le pilote à changer sa destination : le détournement de la machine européiste vers le retour à la puissance historique.
    Nous ne pensons pas que cela ait jamais été possible, d’abord parce que, dès sa formation, son fondateur Jean Monnet, qui n’était rien d’autre qu’un agent américain, avait insisté pour que tous les centres de pouvoir y fussent verrouillés, dans une méfiance assumée envers l’influence des peuples. C’est pour cela que la Commission européenne se cooptait, tandis que le Parlement européen est longtemps resté sans pouvoir.

    Or ce que nous voyons approcher aujourd’hui, c’est un risque de faillite de cette Union européenne. Une faillite en tous les sens du terme : financière, politique, diplomatique, administrative et réglementaire. Tel est le résultat de l’idéologie paralysante qui l’a investie : à la fois ultralibérale et écolo-climatique, libertaire et cosmopolite, mais aussi de sa servilité sans limite envers les USA.
    Depuis trente-cinq ans, l’UE a arraché patiemment des pans entiers des attributions des États, non pour les exercer, mais pour les stériliser. Elle a consenti docilement à toutes les manipulations des néoconservateurs américains qui ont conduit à la guerre du Donbass, puis les a reprises à son compte après l’élection de Trump et l’abandon par les États-Unis de la cause ukrainienne, tout en acceptant sans protester la raclée douanière et tarifaire infligée par le suzerain américain et les additions colossales à venir.
    En bref, l’Union européenne nous a permis d’être plus pauvres, moins puissants, moins libres, moins solidaires, moins fiers de nous-mêmes, plus envahis. La situation ne peut qu’empirer, car la puissance s’est déplacée vers les autres continents. À voir les évènements se succéder, il n’est pas déraisonnable de prévoir à court terme le déraillement du train à la bannière bleue étoilée. Faut-il s’en désespérer ? Il nous semble qu’au contraire ce serait une bonne nouvelle. Comme nous le disait Alain de Benoist, il faut souhaiter la fin de ce projet constitué à l’inverse de ce qu’il fallait faire.

    Souveraineté, identité et avenir politique de l’Europe

    Pourtant, nous aimons l’Europe, héritage commun de cultures et de peuples cousins dont les différences n’effacent pas la communauté de civilisation, mais la révèlent. Massis et Thibon ont célébré ce legs de l’Histoire qui, même dans l’opposition, rapprochait nos vieilles nations. Les questions principales qui se poseront dans les années à venir seront la reconstruction de notre souveraineté et la préservation de notre identité collective.

    Quelle souveraineté ? La seule souveraineté politique réelle est nationale, et pour nous française, car la plupart des pays d’Europe cherchent un protecteur qui sera de moins en moins bienveillant. Nous entrons dans une époque de multilatéralisme aux conflits et concurrences féroces. Pour tisser des alliances, redresser l’économie, recréer une industrie, assainir nos finances, les choix seront exclusifs et demanderont aux gouvernants un civisme oublié. Cela n’empêche pas de créer des rapports privilégiés avec certains États, débouchant sur une coopération durable. Il est temps de se souvenir de l’admonestation de Maurras : « Vous voulez faire l’Europe ? Faites. Mais ne faites pas comme si c’était fait. »

    Et quelle identité ? C’est là que se retrouve la permanence de l’Europe. Locchi nous disait déjà en 1976 : « La France est, en modèle réduit, la reproduction de l’Europe. Celtes, Latins, Germains se sont établis sur le territoire de l’Hexagone dans une antiquité reculée ou tardive. Il faut lui conserver cette composition. » Il ajoutait toutefois : « Elle est aussi ce qu’on pouvait en faire de pire. » Il visait la version jacobine de la nation, qu’il détestait, car rien ne nous oblige à croire que le pays commence en 1789.
    Les immigrations subies ne peuvent être absorbées par la France qu’avec des peuples déjà porteurs de l’héritage de l’Europe. Le défi démographique exige une volonté politique sans faille, ainsi qu’une reconstruction de la société, notamment par la restitution à la famille de ce dont elle a été spoliée. Ce ne sera pas facile. Il n’existe pourtant aucune contradiction essentielle entre souveraineté et identité.

    Quant à la construction d’une Europe politique, il faut se référer à l’Histoire. Dans les temps qui viennent, certaines nations d’Europe réussiront mieux que d’autres. Elles verront la nécessité d’agréger leurs puissances et de résister à leurs ennemis potentiels. Sera-ce sous la forme d’une confédération, comme celle tentée par les Habsbourg jusqu’à Sadowa, ou sous la forme d’une conquête comparable au Risorgimento ? L’avenir le dira. Mais une union durable et réaliste, exempte d’idéologies universalistes, sera indispensable pour survivre dans le monde de demain.

    Pierre de Meuse (Polémia, 11 décembre 2025)

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  • Julien Rochedy : identité interdite ?

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donné par Julien Rochedy à Régis Le Sommier sur Omerta, dans lequel il évoque son dernier essai Qui sont les Blancs ? - Généalogie d'une identité interdite (Hétairie, 2025).

     

                                             

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  • « Immigration subie » vs « immigration choisie » : l’escroquerie libérale...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Xavier Eman, cueilli sur le site de la revue Éléments et consacré à l'hypocrisie de la droite libérale sur la question de l'immigration "choisie"...

     

    La colère des livreurs UberEats sans-papiers contre le capitalisme de  plateforme - Élucid

    « Immigration subie » vs « immigration choisie » : l’escroquerie libérale

    « Quand nous arriverons, ils partiront ! » clamait le Front National des années 80, slogan peut-être simpliste mais sur lequel a largement capitalisé le parti patriote et dont même le RN « dédiabolisé » continue de bénéficier, même s’il feint de s’en offusquer. Car, FN comme RN, le vote pour la flamme tricolore reste, quoi qu’on dise, massivement lié au rejet de l’immigration. C’est le cri de colère et d’espérance d’un peuple dépossédé de sa culture et de son identité, agressé quotidiennement dans son âme et sa chair, insulté, moqué et réduit à un rôle de victime impuissante face à la transformation brutale de son environnement culturel et social. Cela ne fait peut-être pas un programme politique cohérent, ni un projet révolutionnaire, mais c’est un fait, un constat implacable, une réalité indiscutable. De larges pans de la population, souvent les plus précaires, n’en peuvent tout simplement plus d’une « cohabitation » imposée qui tourne toujours à leur désavantage, des agressions de rue aux subsides publiques détournées au profit des nouveaux arrivants.

    Mais à cette colère mêlée de désespoir, plus personne ne répond.

    Gauche morale et droite patronale

    A gauche, on méprise et on insulte, taxant de « racisme » le peuple qui l’est sans doute le moins au monde et qui, d’ailleurs, le paye justement assez cher, son manque de conscience ethnico-raciale étant considéré et utilisé comme une faiblesse. Car le français, à la différence de l’anglo-saxon, n’est pas raciste, il est souvent chauvin, parfois patriote, et généralement simplement, et naturellement, attaché à son mode de vie, à ses référents historiques et à son patrimoine hérité. Les idéologues radicaux d’un camp ou de l’autre pourront le lui reprocher, ils n’en changeront pas moins cette réalité anthropologique, cette capacité du français au véritable « vivre-ensemble » à condition que l’invité s’essuie les pieds avant d’entrer, boive un coup de bon cœur et n’occupe pas trop de place dans la pièce. Mais aujourd’hui, nous n’en sommes plus là, et depuis longtemps. Les crèches de Noël interdites, la disparition du porc à la cantine, les mosquées dans les villages, les émeutes, les viols, le racket… Trop, c’est trop, tout simplement. Et les crachats de la gauche moralisante atteignent de moins en moins leur cible, surtout depuis qu’elle s’embourbe dans l’incohérence la plus absolue, dérivant comme un radeau sans boussole de la défense du voile intégral  à la propagande LGBT et du véganisme militant à la promotion de l’abattage sans étourdissement…

    A droite, on feint « d’entendre le message », on dénonce vertueusement les dérives délinquantes et criminelles résultant des migrations incontrôlées, et l’on propose de remplacer une « immigration subie » par une merveilleuse « immigration choisie » permettant à tous de vivre paisibles et heureux dans le meilleur des mondes libéraux.

    Qu’est-ce que « l’immigration choisie » ? C’est la possibilité pour le grand patronat, en fonction de ses besoins circonstanciels, de puiser, n’importe où dans le monde, la main d’œuvre nécessaire à la réalisation de ses bénéfices. Cela convient très bien à la « droite libérale » qui demande seulement à ces nouveaux esclaves de faire profil bas, d’abandonner leur religion et leur identité, et de respecter à minima les règles et lois de leur pays « d’accueil » qui n’est, en réalité, qu’un pays d’emploi (sur lequel d’ailleurs, ces travailleurs importés font pression à la baisse au niveau des salaires et des conditions de travail). C’est, au final, la « flexibilité du travail » appliquée à l’échelle mondiale.

    Or si cette optique, déjà moralement hautement condamnable d’un point de vue identitaire cohérent, était encore concevable « pragmatiquement » il y a 40 ans et concernant un nombre réduit et limité de « travailleurs », dans une société homogène et de quasi plein emploi, elle est devenue une fuite en avant suicidaire depuis lors. Ce qui n’empêche pas le Medef de réclamer 3,9 millions de salariés étrangers supplémentaires d’ici 2050 pour « maintenir notre économie ».

    L’économie ou la survie identitaire ?

    Et c’est bien là que se situe le point d’achoppement fondamental : veut-on sauver l’économie ou notre peuple ? Considère-t-on l’immigration de masse comme un simple problème de « police » et une variable d’ajustement économique ou comme un enjeu civilisationnel vital ?

    Car il ne peut y avoir de lutte efficace et cohérente contre l’immigration sans remise en cause du modèle libéral-capitaliste qu’elle nourrit. Et ça, la « droite » n’est prête ni à l’entendre ni, bien sûr, à l’accepter.

    Pourtant, rappelons-le, ce ne sont ni les officines gauchistes ni les associations « immigrationnistes » qui ont provoqué l’explosion de l’immigration, c’est bien le patronat et ses domestiques politiciens « droitiers » à commencer par Valéry Giscard d’Estaing et son mortifère « regroupement familial».

    Tant que certains rêveront d’un monde « ouvert »,  hédonisto-consumériste, « uberisé »,  avec livraisons à toutes heures, produits et employés low-cost, mais le tout uniquement « sans racailles », rien ne changera. Remigration ou Deliveroo, il faut choisir.

    Xavier Eman (Site de la revue Éléments,  6 novembre 2025)

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  • Qui sont les Blancs ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous la présentation par Julien Rochedy de son nouvel essai intitulé Qui sont les Blancs ? - Généalogie d'une identité interdite (Hétairie, 2025).

    Publiciste et essayiste, Julien Rochedy, qui est une figure de la mouvance identitaire, a déjà publié plusieurs essais dont Nietzsche l'actuelL'amour et la guerre - Répondre au féminisme, Philosophie de droite et dernièrement Surhommes et sous-hommes - Valeur et destin de l'homme (Hétairie, 2023).

     

                                              

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  • Généalogie d'une identité interdite...

    Les éditions Hétairie viennent de publier un essai de combat de Julien Rochedy intitulé Qui sont les Blancs ? - Généalogie d'une identité interdite.

    Publiciste et essayiste, Julien Rochedy, qui est une figure de la mouvance identitaire, a déjà publié plusieurs essais dont Nietzsche l'actuelL'amour et la guerre - Répondre au féminisme, Philosophie de droite et dernièrement Surhommes et sous-hommes - Valeur et destin de l'homme (Hétairie, 2023).

     

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    "Les « Blancs » sont le sujet le plus controversé de notre époque. D’un côté, on répète qu’ils n’ont aucune réalité ; de l’autre, on parle d’eux sans relâche, toujours pour les blâmer. Partant de cette contradiction, ce livre propose la généalogie d’une empreinte ― climatique, culturelle, spirituelle ― qui a façonné une identité aux contours multiples mais toujours reconnaissable.
    Comment un même peuple, aux mille variations, s’est-il métamorphosé sans jamais cesser d’être lui-même ? Énergie, effort, militarisme, sens de la propriété, esprit d’indépendance, pragmatisme, curiosité, rationalité, individualisme, morale intériorisée, altruisme, sentimentalisme, universalisme, impérialisme, goût de la règle et de la liberté : autant de traits hérités, amplifiés et transmis pendant des millénaires jusqu’à nous.
    Ni autocélébration, ni autoflagellation ici : une enquête qui commence dans les hivers glaciaires et se poursuit jusqu’aux excès du XXe siècle, en passant par les cavaliers indo-européens, l’héritage gréco-romain, la matrice chrétienne, les invasions germaniques, la Renaissance, les Lumières et la révolution industrielle. Les Blancs existent-ils vraiment ? Et si oui, qui sont-ils ?

    Un essai personnel mais honnête ― polémique, certes, précisément parce qu’il ose affronter une question taboue et pourtant obsessionnelle, aux enjeux colossaux.

    - Un essai qui ose poser une question tabou et pourtant centrale : qu’est-ce qu’être blanc aujourd’hui ?
    - Un sujet brûlant, sous-jacent à mille débats, rarement traité de front.
    - Une enquête qui mêle histoire, anthropologie et philosophie.
    - Un angle inédit : comprendre l’identité blanche au-delà des clichés et des condamnations.
    - Enfin une synthèse sur l’identité européenne, qui manquait.
    - Une approche singulière : montrer la continuité identitaire des Blancs depuis des millénaires. Une histoire longue et passionnante.
    - L’explication causale de toutes les réussites, grandeurs et errements de la civilisation européenne.
    - Comprendre l’essentiel sur les Indo Européens, les Grecs, les Romains, les Germains, la Renaissance, les Lumières, la société industrielle, le nihilisme du XXe siècle.
    - Réfléchir sur l’incidence profonde du christianisme dans la longue durée européenne.
    - Découvrir pourquoi les Blancs sont fondamentalement les enfants du froid.
    - Savoir d’où l’on vient pour savoir où l’on va : de nos spécificités génétiques issues de la préhistoire au monde actuel.
    - Défendre une exceptionnalité civilisationnelle aujourd’hui en grand danger."

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  • Présent !... Histoire, pratique et signification d'un rite militant

    Les éditions du Paillon viennent de publier un essai de Tony Fabrizio intitulé Présent ! - Histoire, pratique et signification d'un rite militant.

    Italien, âgé de 39 ans, Tony Fabrizio s'essaie à l'écriture et collabore à divers journaux. Militant passionné depuis des années, il tient un blog et s'occupe de culture identitaire.

     

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    " Instrumentalisé et ostracisé par la vulgate « politiquement correcte », le rite du « Présent ! » représente une tradition martiale et militante liant la galaxie nationale-révolutionnaire au souvenir de ceux qui tombèrent dans ses propres rangs. Un geste solaire, impersonnel et partagé, dont l’objectif est de « rappeler à la vie » ceux qui sont morts pour l’Idée, en renouvelant un serment de fidélité et d’appartenance.

     Dans ces pages – intenses, passionnées et riches de références – sont retracées l’histoire, la pratique et le sens d’un rite sacré et communautaire se perpétuant et se transmettant en passant outre à toute interdiction et toute diabolisation. Parce que se souvenir signifie « rapporter au cœur », donner vie à la mémoire, se faire bâtisseur de l’histoire et passer un témoin.

    Première traduction française avec plus d'une centaine de notes de bas de page pour éclairer aux lecteurs le contexte et les faits historiques de nos camarades italiens. "

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