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front national

  • Plutôt Athènes que Jérusalem...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous sur TV Libertés une conversation de Paul-Marie Coûteaux avec Jean-Yves Le Gallou pour évoquer, au travers de son parcours, la diabolisation de la droite.

    Ancien haut-fonctionnaire, président de la Fondation Polémia, Jean-Yves Le Gallou a, notamment, publié La tyrannie médiatique (Via Romana, 2013),  Immigration : la catastrophe - Que faire ? (Via Romana, 2016), Européen d'abord - Essai sur la préférence de civilisation (Via Romana, 2018) et Manuel de lutte contre la diabolisation (La Nouvelle Librairie, 2020).

     

                                             

     

    " Qui mieux que Jean-Yves Le Gallou, co-fondateur du Club de l’Horloge en 1975, puis de la Fondation Polémia, enfin de l’Institut Iliade, ancien député européen, ancien président de groupe au Conseil général d’Ile-de-France, passé en 1985 de la droite parlementaire au Front National avant de soutenir en 2022 la candidature d’Eric Zemmour, peut décrire et même expliquer la façon dont la gauche est parvenue, dès le début des années 70 à exclure de la sphère médiatique les intellectuels et hommes politiques de droite, au point de marginaliser en France toute pensée de droite ? Formé très tôt par les idées du GRECE et de la Nouvelle Droite, admirateur de la civilisation européenne depuis ses plus lointaines origines, choisissant Athènes plutôt que Jérusalem, cet énarque intrépide et cultivé a découvert, dès ses années à Sciences Po, la gravité du problème migratoire, a connu toutes les étapes de la "diabolisation ". Il montre comment la droite française a été "cornérisée" puis quasiment réduite au silence par un système médiatique qu’il suit et analyse de près afin d’instaurer un "contre-pouvoir médiatique", assurer la réinformation des Français et "reprendre le pouvoir" - à commencer par le pouvoir intellectuel. Voici la première de deux conversations consacrées à l’étonnant parcours de celui qui est devenu un pilier de la droite française (et de TVL) retraçant ici les étapes de sa formation dans les années 60 à son entrée au Front National en 1985. "

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  • Le nationalisme-révolutionnaire français, des sans-culottes au Bastion social...

    Les éditions Ars Magna viennent de publier un essai de Christian Bouchet intitulé 1793-2019, des Sans-culottes au Bastion social, histoire du nationalisme-révolutionnaire française.

    Docteur en ethnologie et spécialiste des mouvements spirituels et politiques marginaux, Christian Bouchet est déjà l'auteur de plusieurs ouvrages comme Aleister Crowley (Camion noir, 2011), Georges Gurdjieff - Le maître caucasien.(Camion noir, 2015),  La Wicca - Les sorcières d'aujourd'hui (Camion noir, 2016), Être païen au XXIe siècle -Druides, odinistes, wiccans, etc., voici les néopaïens d’aujourd’hui (Camion noir, 2020), Le devoir de mémoire (Ars magna, 2021) et  In memoriam (Ars Magna, 2022).

     

    Bouchet_Histoire du nationalisme-révolutionnaire français.jpg

    " Les nationalistes-révolutionnaires français ont joué un rôle important dans l’histoire du mouvement national de ces soixante dernières années.
    Ils ont animé des organisations petites mais dynamiques régulièrement dissoutes. Ils ont fourni au Front national des cadres de haut niveau et des idées. Ils ont été un moteur d’innovation pour les comportements militants. Etc.
    Cependant, leur histoire est peu connue.
    Dans cette brochure, Christian Bouchet, qui milite dans les rangs de cette mouvance depuis le début des années 1970, nous la relate et nous explique le rôle passé et à venir de ceux que l’on nomme les NR. "

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  • Western électrique...

    Les éditions Auda Isarn viennent de publier un roman de Pierre Gillieth intitulé Western électrique.  Collaborateur de différents magazines, Pierre Gillieth a publié plusieurs livres, dont des romans comme Les Dioscures (Auda Isarn, 2002) ou Ombre (Auda Isarn, 2007), et des essais comme La France d'Alphonse Boudard (Xénia, 2011) ou L’Épuration ou la fin du monde (Auda Isarn, 2020).

     

    Gillieth_Western électrique.png

    " Toulouse, 1994. Bertrand s’éloigne peu à peu du milieu très bourgeois dans lequel il a grandi. Un père chirurgien, une mère appartenant à la famille Baudis qui dirige la ville rose depuis deux décennies. Fraîchement diplômé, il démarre son métier d’huissier de justice qui l’ennuie au plus haut point. Heureusement il y a Sonia, son groupe de rock et le combat politique dans les rangs du Front national de la jeunesse.

    Dans ce roman autobiographique, Pierre Gillieth raconte sa jeunesse dorée puis affranchie de l’hédonisme creux de la bourgeoisie. C’est aussi une photographie de ce qu’était alors le Front national, en pleine ascension, et l’engagement politique d’une jeunesse française dégoutée par l’évolution du pays et l’usure d’un système politique aveugle et sourd quant aux périls dont nous crevons aujourd’hui. "

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  • Tribun du peuple...

    Les éditions Müller viennent de publier le deuxième tome des mémoires de Jean-Marie Le Pen sous le titre Tribun du peuple. Après l'itinéraire de l'homme Le Pen, tracé dans Fils du peuple (Müller, 2018), arrive l'ascension, dans le bruit et la fureur, du chef de parti. La lecture de ces pages fait ressurgir dans nos mémoires ces trente années de vie politique de notre pays, dont il a été, sans doute, l'acteur le plus marquant...

     

    Le Pen_Tribun du peuple.jpg

    " « Dans le premier tome de mes mémoires, les Français ont découvert un jeune Breton fier de sa famille, de sa petite patrie la Trinité, de sa grande patrie, la France. Un fils de la nation désolé de voir celle-ci blessée, rapetissée par la seconde guerre mondiale et la fin de l’Empire, qui n’aura pu, malgré son engagement, empêcher des responsables politiques en poste de l’enfoncer dans la décadence.
    Le deuxième tome raconte la construction d’un mouvement indépendant qui tente de relever la France, l’aventure exaltante du Front national, si généralement et si bassement calomnié. Quarante ans d’histoire de France, de lutte implacable. Une vie personnelle et familiale parfois difficile. Et puis la suite. La transmission qui ne coule pas de source. Les attaques de plus en plus vives contre la nation. Le mondialisme totalitaire, l’ouragan de l’invasion, l’écologisme maître de la pensée unique.
    Et la nation trahie. La droite et la gauche piétinant leurs valeurs respectives. Le peuple français abandonné par les collaborateurs du déclin, Giscard, Mitterrand, Chirac, puis par leurs minuscules épigones d’aujourd’hui.
    J’ai échoué à prendre le pouvoir, mais j’aurai fait ce qu’il fallait faire, vu ce qu’il fallait voir, dit ce qu’il fallait dire. À temps. J’aurai été le tribun d’un peuple martyrisé.
    Advienne maintenant que pourra. L’heure vient où il faut regarder plus haut que la terre, en espérant pourtant que notre civilisation, notre lignée, trouveront le moyen de survivre. Vive la France quand même ! » Jean-Marie Le Pen "

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  • L'homme de Dreux...

    Les éditions de Synthèse nationale viennent de publier dans leur collection des Cahiers d'histoire du nationalisme, un volume consacré à Jean-Pierre Stirbois, ancien secrétaire général du Front national, mort en 1988, à l'origine de la première grande percée électorale de son part à Dreux.

     

     

    Stirbois.jpg

    " Il y a trente ans,  Jean-Pierre Stirbois disparaissait dans un accident de voiture à Pontchartrain dans les Yvelines. Il revenait à Paris après avoir tenu un ultime meeting à Dreux, la ville où il fut élu en 1983.

    Venu de la mouvance solidariste, il adhéra en 1977 au Front national de Jean-Marie Le Pen. Très vite, il en est devenu le secrétaire général. 

    C'est lui qui élabora la stratégie consistant à concentrer les efforts militants sur quelques villes, comme ce fut le cas à Dreux, afin d'obtenir des résultats conséquents permettant l'émergence du mouvement au niveau national. En 1983, ce fut le coup de tonnerre de Dreux et, quelques mois plus tard, la percée historique aux élections européennes de juin 1984.

    C'est pour rappeler le rôle primordial qui fut le sien dans l'histoire de notre famille politique, et aussi dans celle de notre pays, que nous avons tenu à lui consacrer ce nouveau numéro, le quinzième, des Cahiers d'Histoire du nationalisme.

    Contributions de : Francis Bergeron, Franck Buleux, Françoise Monestier, Philippe Randa, Massimo Magliaro, Jean-François Touzé, Roland Hélie... "

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  • Un fils de la nation...

    Les éditions Müller publient cette semaine le premier tome des mémoires de Jean-Marie Le Pen, sous le titre Fils de la Nation. Celui qui a été le diable de la politique française pendant près de trente ans revient sur son parcours jusqu'à la création du Front National. Ce livre évidemment indispensable à lire pour tous ceux qui s'intéressent aux idées, à la politiques et aux fortes personnalités, sera le contrepoint nécessaire de la biographie de Philippe Cohen et Pierre Péan, Le Pen, une histoire française.

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    «  Mes grands-parents ne savaient pas lire mais surent donner une vie décente à leurs enfants. Ma paysanne de mère était élégante et fière, mon père, patron pêcheur taciturne, avait navigué pendant la Grande guerre, à treize ans, mousse sur un cap-hornier, ces cathédrales de toile et de bois qui affrontaient les quarantièmes rugissants. A la maison, il n’y avait pas l'eau courante mais on aimait sa famille, son pays et Dieu – et la Bretagne aussi, avec ses îles, ses navires. L’instituteur et le curé nous apprenaient à les chanter ensemble. En somme, j’étais un petit Breton heureux dans la grande France. 
    Puis vint la Seconde guerre mondiale. Le père est mort, la France était blessée, des curés m’ont dégoûté de Dieu. C’est alors que j’ai découvert la folie des hommes, Paris, l’université, l’Indochine, l’Assemblée nationale, l’Algérie. J’eus une épouse et des filles. La vie s’offrait, tantôt magnifique, tantôt désolante. Le petit Breton avait grandi, la France rapetissé. Pour la relever, j’ai choisi le combat politique.  »

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