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Métapo infos - Page 974

  • Guide de survie en milieu hostile...

    La revue Survival sort cet été en kiosque son troisième numéro et passe à un rythme de parution bimestriel. A lire par tout ceux qui ont lu avec intérêt les livres de Piero San Giorgio et  qui pensent que, décidément, nous risquons d'aller vers des temps difficiles (si nous n'y sommes pas déjà...).

     

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    Au sommaire de ce numéro :

    LEATHERMAN RAPTOR « L’OUTIL MÉDICAL »
    FUKUSHIMA - LA MAUDITE
    SURVIE :
    Survie, un terme galvaudé
    Un tour de la Méditerranée en 247 jours à sac à dos
    Le sac d’évacuation (BOB) 2e partie
    Mes premiers pas au stand de tir
    Le micro-BOB, cent cinquante grammes qui peuvent vous sauver la vie !
    EQUIPEMENTS
    20 objets pour survivre en voyage
    La trousse médicale de survie
    Le chauffe-eau instantané portatif et autonome
    TECHNIQUES
    La cuisine du bivouac 1re partie
    La révolution compound
    De la trappe au tarp
    Quand autonomie rime avec aquaponie
    NUTRITION
    Mauvaises herbes : Le pissenlit
    Savoir-faire : La viande séchée
    VOS RUBRIQUES : News Matos

     

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  • Avec Jean-Yves Le Gallou et Hervé Grandchamp, les animateurs de l'émission I-Média !...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous  un sympathique échange avec Jean-Yves Le Gallou et Hervé Grandchamp, les deux animateurs de l'émission I-Média sur TV Libertés...

     

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  • Au temps de la Nouvelle Vague...

    Les éditions Auda Isarn viennent de publier Au temps de la Nouvelle Vague, un recueil d'articles de Philippe d'Hugues, complétés par une postface de Michel Marmin. Écrivain et historien du cinéma, Philippe d'Hugues est notamment l'auteur de L'envahisseur américain (Favre, 1999), Les écrans de la guerre (De Fallois, 2005), Chronique buissonnière des années 50 (De Fallois, 2008) ou de Les Causeries du dimanche (Auda Isarn, 2013).

     

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    " Que représente aujourd'hui la Nouvelle Vague ? Un chapitre ancien (plus de soixante ans) de l'histoire du cinéma. la plupart des protagonistes ont disparu : Truffaut, Chabrol, Rohmer, Resnais, Demy sont morts depuis plus ou moins longtemps. Sauf Godard. Il ne subsiste aucun autre pionnier essentiel;

    Beaucoup de leurs films s'effacent des mémoires, quand les plus jeunes spectateurs ne les ignorent pas complétement. A l'heure du triomphe technologique, des productions à la Star Wars, que peut signifier la notion de « film d'auteur », leur mot d'ordre et grand cheval de bataille. Leurs premiers essais en noir et blanc, avec des acteurs inconnus, quel peut être leur effet sur le public aujourd'hui ? Le même que celui de Méliès ou Feuillade sur les auteurs de la Nouvelle Vague au moment où ils débutaient.

    C'est dire à quel point on ne se rend plus compte aujourd'hui de l'importance du mouvement qu'ils ont incarné à leur apparition. Et de la sensation que causèrent en leur temps des titres comme Tirez sur le pianiste, Les Bonnes Femmes ou Adieu Philippine, il faut avoir vécu cette période pour s'en faire une idée juste et prendre l'exacte mesure de l'événement. C'est cette atmosphère difficile à imaginer aujourd'hui que restitue le livre de Philippe d'Hugues. Les articles ici rassemblés ont été écrits sur le moment et rendent le mouvement des années 60, à mesure de son déroulement. ils sont le témoignage précieux d'une aventure unique qui, deux générations plus tard, fait rêver les amoureux du cinéma."

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Guerre de religion ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Paul Fortune cueilli sur son blog et consacré aux réactions à l'attaque de deux terroristes islamistes contre une église à Saint-Etienne du Rouvray, près de Rouen.

    Paul Fortune a récemment publié un excellent récit intitulé Poids lourd.

     

    attentat_Saint-Etienne-du-Rouvray.jpg

    Guerre de religion

    Cette fois, c’est un prêtre qu’ils ont assassiné. J’ai déjà dit mille fois ce qui se passait, je ne vais pas me répéter. Un attentat mahométan tous les 10 jours devrait être suffisamment parlant. Je note que cette fois le caractère d’affrontement religieux est clair et net, de la volonté même des criminels. Comme s’ils voulaient nous dire « arrêtez de faire les autruches, arrêtez avec votre padamalgam et vos excuses psychiatriques, notre cause est authentiquement religieuse. »

    Curieusement, à lire les réactions des citoyens ordinaires comme celles des politiques, j’ai l’impression que la prise de conscience est plus forte qu’auparavant, comme si dans la France pourtant déchristianisée la figure du prêtre martyrisée réveillait un vieux fond catholique. On ne touche pas impunément au sacré et la croix, quoi qu’on en pense, reste un symbole autrement plus viscéral qu’un journal satyrique. Seuls les journalistes semblent y rester insensibles, preuve qu’ils ont l’âme bien plus desséchée que les politiciens. Les politiciens, justement, commencent à patauger sérieusement. Ils n’ont pas eu l’impudence de nous faire le coup du « renforcement de l’état d’urgence ». Évidemment, ils « condamnent fermement », et Hollande s’est même fendu de la plus belle bêtise qu’il ait jamais dite sous la forme d’une formule-valise selon laquelle « tuer un prêtre, c’est profaner la République ». S’il avait ouvert un livre d’histoire dans sa vie, il saurait que sa république s’est précisément bâtie sur la haine de l’Église catholique et qu’elle n’a eu cesse de vouloir la rabaisser, et l’on ne peut qu’être frappé par la volonté une fois de plus affirmée de sacraliser la république qui serait une chose quasi-divine qu’on pourrait « profaner ». Mais ce sacré se fait sur le dos du sacré authentique et ne traduit finalement que l’horreur face à la profanation réelle que constitue l’assassinat d’un prêtre. N’accordons pas trop d’intelligence à notre président : il est probable que cette formule vide de communicant professionnel puisse resservir à l’envie, n’importe quelle action remettant méchamment en question le « vivre-ensemble » pouvant être qualifiée de profanation contre la république.

    Seul cet imbécile de Cazeneuve, dont la seule parole honnête serait de présenter sa démission, s’est distingué en évoquant un illusoire concordat qu’il faudrait passer avec l’islam, preuve manifeste qu’il ne connaît rien à cette religion. L’islam n’est pas un catholicisme en djellaba et pantacourt et ne possède aucune autorité centrale qui pourrait négocier quoi que ce soit. Si un tel concordat était possible (et souhaitable, ce dont je doute), on se demande bien sur quoi il porterait. Moins d’attentats contre plus de mosquées ? Il y aurait un quota de morts que les mahométans devraient respecter, un peu comme sur un permis de chasse ? Ou alors il faudrait leur céder une partie du territoire en échange de cinq ans de tranquillité ? (je propose de leur donner Marseille, Bobigny et Roubaix pour commencer). Tout cela ne tient pas debout, on ne négocie pas avec des gens qui veulent nous tuer, ce que les flics ont bien compris puisqu’ils ont ordre, paraît-il, d’intervenir immédiatement sans parlementer.

    Les plus abjects sont comme d’habitude et sans surprise les journalistes, dont certains ont décidé qu’il ne fallait plus donner les noms des assassins ni montrer leur photos, et ce à l’initiative d’un vaniteux et belliciste personnage dont je ne flatterai pas le narcissisme en me refusant à écrire les trois lettres qui le désignent ordinairement. Trop tard : au moindre attentat, on sait désormais, par habitude, à qui on a à faire. Dès que lesdits journalistes prennent des pincettes pour vous expliquer qu’on ne peut tirer aucune conclusion hâtive et qu’on n’est pas sûr d’avoir entendu le fameux glapissement « allaouakebar », on peut être certain de la nature du crime. Quand il y a un doute, en général, c’est qu’il n’y a pas de doute.

    Il ne nous reste qu’à espérer que la prochaine cible ne soit pas une école maternelle et que les prochaines minutes de silence ne seront pas pour nous ou nos proches. À ceux qui se demanderaient « que faire », je ne peux donner qu’un conseil d’ordre général : soyez une cible difficile. Mentalement aussi bien que physiquement. Ne vivez pas dans la peur, vivez dans l’alerte. Le temps du confort est depuis longtemps révolu.

    Paul Fortune (Blog de Paul Fortune, 27 juillet 2016)

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  • Feu sur la désinformation... (98)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et présentée cette semaine par Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : Attentat à Saint Etienne du Rouvray

      Le prêtre a-t-il été égorgé ou seulement tué ? Les médias restent partagés sur le vocabulaire.

    • 2 : Le zapping d’I-Média.

    • 3 : Censure dans les médias

      Plusieurs journaux, radios, et chaines de télévision ont décidé de ne plus diffuser les visages ou les noms des terroristes. I-Média décrypte.

    • 4 : Tweets d’I-Média.
    • 5 : Tuerie et attentat en Allemagne

      A Munich les médias font référence au tueur d’extrême droite Anders Breivik, à Ansbach le réfugié n’a pas obtenu l’asile...

     

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  • Retour sur le parcours intellectuel d'Alain de Benoist...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donné par Alain de Benoist au Cercle Kritik, dans lequel il revient sur son parcours intellectuel...

    Le Cercle Kritik se décrit comme l'alliance d'un afficionado de Georg Lukàcs et d'un adepte de Friedrich Hayek "mettant de côté leurs divergences sur des questions périphériques pour focaliser leurs attaques et leurs critiques sur un point central : la social-démocratie et la domination de la rente parasitaire; éteindre la démesure des abstractions financières, et redonner sa primauté à la sphère de la production réelle".

     

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