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Métapo infos - Page 848

  • L'intelligence des plantes...

    Les éditions Albin Michel publient cette semaine un essai de vulgarisation scientifique de Stefano Mancuso et Alessandra Viola intitulé L'intelligence des plantes. Biologiste, professeur à l'Université de Florence, Stefano Mancuso dirige le Laboratoire International de Neurobiologie Végétale. Alessandra Viola est, quant à elle, journaliste scientifique en Italie.

     

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    " Les plantes sont-elles intelligentes ?
    Oui, et bien plus que nous ne pourrions l'imaginer, nous répond Stefano Mancuso. Savant de renommée mondiale, fondateur de la neurobiologie végétale, il est le premier à avoir démontré que, comme tous les êtres vivants, les plantes discernent formes et couleurs, mémorisent des données, communiquent. Elles ont une personnalité et développent une forme de vie sociale basée sur l'entraide et l'échange.

    Véritable manifeste écologique, ce livre pionnier, qui a bénéficié d'une reconnaissance internationale, nous plonge dans un incroyable voyage au coeur du monde végétal. Un monde qui, en formant plus de 99 % de la biomasse, s'avère aujourd'hui indispensable pour l'humanité. Car si les plantes peuvent très bien vivre sans nous, nous ne survivrions pas longtemps sans elles !

    À l'heure où l'on recherche d'autres modes de vie, où les ressources naturelles s'épuisent, nous avons tout à apprendre du monde végétal dont dépendent la survie et l'avenir de l'homme. "

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  • Radouane Lakdim, le quartier Ozanam et la politique de la ville...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Xavier Raufer, cueilli sur Atlantico et consacré au quartier Ozanam de Carcassonne, dont le terroriste islamiste Radouane Lakdim est un pur produit...

     Criminologue et auteurs de nombreux essais, Xavier Raufer a publié ces dernières années Les nouveaux dangers planétaires (CNRS, 2012) et Criminologie - La dimension stratégique et géopolitique (Eska, 2014) et a également coordonné l'ouvrage collectif intitulé La première cyber-guerre mondiale ? (Eska, 2015).

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    Opération de police dans le quartier Ozanam après l'attaque terroriste de Trèbes

     

    Le lieutenant-colonel Beltrame égorgé par Radouane Ladkim ET victime de la "Politique de la Ville"

    On entend d'ici les pleureuses, "flocons de neige" et indignés à répétition, trépigner et attiser une de leurs fameuses tornades morales. Qu'ils prennent plutôt le temps de lire et méditer ce qui suit - dans l'intérêt même de leur propre sécurité, argument qui devrait les séduire.

    24 mars matinée : l'hybride racaille-salafiste Radouane Lakdim vient d'assassiner quatre innocents et d'en blesser 15 autres. Des journalistes affluent à la cité Ozanam de Carcassonne, dont Lakdim est un pur produit. Réaction de la milice narco-islamiste locale "Casse-toi, je vais t'éclater"... "Barre-toi d'ici ou je te casse les jambes". Regards haineux ; des journalistes sont molestés, leur matériel, volé. Milice vraiment ? Oui : "Toutes les issues sont contrôlées... Les journalistes fuient... des jeunes les poursuivent à bord d'un véhicule"...

    Une "retraitée" [décodeur : l'ultime Française du coin] : "Une minorité pourrit le quartier... Ils ont pris le pouvoir". Notons que tout ceci provient de la notoirement bienséante France-Info.

    Ozanam, cloaque en sécession, coup de tonnerre dans un ciel bleu ? Non : le 30 juillet 2012, une association d'habitants du lieu écrit au président de la République (les pauvres, c'était Hollande...), au ministre de l'Intérieur, etc. (La Dépêche, 12/08/2012) Ces habitants veulent juste "vivre en paix". Or au quotidien, disent-ils, agressions de citoyens et de policiers... cambriolages... rodéos... vols dans les véhicules... trafics multiples... Le programme de réhabilitation urbaine d'Ozanam et autres coupe-gorge devait apaiser le climat ? A Ozanam en tout cas "le résultat est moins probant" [Décodeur : total échec]. Précision : ces habitants avaient déjà appelé au secours en 2008 - ce qui fait bientôt dix ans.

    Accélérateur avant. Que fait-on aujourd'hui pour nettoyer ces repaires de trafiquants, d'islamistes et d'assassins-terroristes ? (Coulibaly N°1, de l'Hyper-Cacher, venait de la Grande-Borne, célèbre cité hors-contrôle de l'Essonne). Lisons (décembre 2017) le "Contrat de ville de Carcassonne, appel à projets 2018" (il figure sur Internet).

    Bienvenue dans le gentil petit monde de la Politique de la Ville. Pas d'islamistes ! Nuls trafiquants de drogue ! Ni bandes, ni racailles.

    Mais procédons par ordre :

    1 - La Conte-Ozanam est bien un "Quartier prioritaire de la politique de la ville". Le confirme, le décret N°2014-1750 du 30/12/2014.

    2 - L'assassin et terroriste Redouane Lakdim est bien un pur produit d'Ozanam.

    3 - "Contrat de ville" : 16 bonnes fées se sont penchées sur son berceau : Carcassonne-Agglo - L'Etat (CGET) - Ville de Carcassonne - Conseil départemental de l'Aude - Conseil régional d'Occitanie - Ministère de la Justice - Pôle-Emploi - Caisse d'allocations familiales de l'Aude - Direction académique de l'Aude - Agence régionale de la santé - Caisse primaire d'assurance-maladie - Caisse des dépôts et consignations - Chambre des métiers de d'artisanat de l'Aude - Chambre de commerce et d'industrie - Mission locale ouest-audois - 3 bailleurs sociaux.

    Alors qu'ils ignoraient le coupe-gorge et repaire salafiste, voici ce que ces nobles organismes et brillants sujets ont pondu : "lutte contre les discriminations et le racisme...vivre ensemble... travail de mémoire... Construction d'une image positive du quartier (!!)...prises en charge individualisées des jeunes les plus fragiles (bonjour la culture de l'excuse)... Valeurs de la République... Conseils citoyens". 24 "critères de discrimination" aimablement étalés (si un racketteur venait à en oublier un...).

    Bref, l'usuelle ratatouille, boy-scouts attardés, Abbé-Pierre-gaga-terminal et néo-dames patronnesses.

    Résultat : l'aveuglement. Une invisible zone de guérilla où l'on expédie les gendarmes, comme dans la bonne vieille banlieue d'antan. Pourquoi se méfieraient-ils ? "Vivre ensemble... valeurs de la République" ? Face à eux bien plutôt, un fauve. Ainsi périssent quatre innocents ; ainsi souffrent quinze autres malheureux, victimes d'une collective impuissance à regarder en face le réel criminel et terroriste.

    Ne pas régler une fois pour tous le sévère problème des Ozanam & co. ; ne pas y rétablir cet "ordre républicain" promis depuis TRENTE-SEPT ans, c'est l'assurance d'autres attentats, d'autres victimes.

    C'est la certitude d'autres Beltrame. Gloire à lui et honte à ceux qui, par lâcheté ou bienséance, ont laissé pourrir la situation, à Ozanam et ailleurs.

    Xavier Raufer (Atlantico, 26 mars 2018)



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  • Tour d'horizon... (143)

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    Au sommaire cette semaine :

    - Le Saker France a traduit un court essai de Sir John Bagot Glubb, plus connu sous le nom de Glubb Pacha, consacré à la vie et la mort des Empires...

    Le sort des Empires et la recherche de leur survie - Partie 1/5

    Partie 2/5

    Partie 3/5

    Partie 4/5

    Partie 5/5

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    - sur son site, Philitt publie, à l'occasion des 20 ans de la mort d'Ernst Jünger, un entretien avec son biographe Julien Hervier...

    Julien Hervier : « Pour Ernst Jünger, le monde est entré dans la dépendance totale de la technique »

    Ernst Jünger.jpg

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  • Feu sur la désinformation... (179)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé Grandchamp.

    Au sommaire :

    • 1 : Colonel Beltrame, tué par balles, poignardé ou égorgé ?
      Attaque terroriste à Trèbes dans l’Aude, une information a été masquée par le gouvernement et l’AFP : le colonel Beltrame a été égorgé. Retour sur les bobards et les erreurs des médias commises à autour de la couverture de l’attentat.
    • 2 : Le Zapping d’I-Média 
      Sur France Inter, la journaliste Caroline Becard dresse le portrait de la ministre de la santé Agnès Buzin. « Votre compétence, votre ténacité sont salués quasi unanimement […] vous êtes discrètes, droite, souriante, vous ne prenez la parole que si vous êtes poliment invitée ». Un cirage de pompe en bonne et due forme digne de la propagande de Corée du Nord.

    • 3 : Lakdim le terro, Beltrame le héros
      Après l’attentat c’est l’heure du portrait des protagonistes. Portrait de Radouane Lakdim « le petit délinquant devenu terroriste », portrait du colonel Beltrame le héros qui force l’admiration. 
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Bobard par titrage dans le journal de référence Le Monde. Le 27 mars, le monde titrait : « Meurtre de Mireille Knoll : tous les partis, sauf le FN appellent à la marche blanche contre l’antisémitisme ». Dans le cœur de l’article, on peut apprendre que Marine Le Pen était considérée comme indésirable par le CRIF. 
    • 5 : L’armée, dernier refuge du diable
      Pour Libération, le JDD, et Médiapart, l’armée serait sexiste, trop blanche, trop catholique. C’est une véritable attaque menée contre les militaires.

     

                                   

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  • Brasillach et Degrelle...

    Les éditions Ars Magna viennent de rééditer, dans leur collection "Le Devoir de mémoire", un livre de Robert Brasillach intitulé Léon Degrelle et l'avenir de Rex. Écrivain et journaliste, Robert Brasillach, à qui l'on doit, notamment, des romans comme Les sept couleurs ou Comme le temps passe , des souvenirs comme Notre avant-guerre, mais aussi une Histoire du cinéma (avec son beau-frère Maurice Bardèche) ou un Corneille, a été une des principale victimes de l'épuration des intellectuels et est mort le 6 février 1945, à 35 ans, dans les fossés du fort de Montrouge, sous les balles d'un peloton d'exécution...

     

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    « J’ai vu Léon Degrelle, le jour exact où il atteignait sa trentième année, le 15 juin dernier. Ce jeune chef, à vrai dire, ne parait même pas beaucoup plus de vingt-cinq ans. Et ce qu’il faut avouer d’abord, c’est que, devant ce garçon vigoureux, entouré d’autres garçons aussi jeunes, on ne peut se défendre d’une assez amère mélancolie. On a cru déconsidérer Rex en l’appelant un mouvement de gamins. Aujourd’hui, il y a autour de Léon Degrelle des hommes de tout âge, et la seule jeunesse qui importe est celle de l’esprit. Mais l’essentiel reste dans la jeunesse réelle, la jeunesse physique des animateurs, qui s’est communiquée à tout l’ensemble. Hélas ! quand aurons-nous en France un mouvement de gamins ? » ainsi Robert Brasillach décrivait-il Léon Degrelle aux lecteurs de Je suis partout en juin 1936.

    De cette rencontre, et de quelques autres, Robert Brasillach tira Léon Degrelle et l’avenir de Rex, un petit livre qui nous fait découvrir à la fois les débuts du rexisme et la jeunesse de Léon Degrelle.

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  • François Bousquet : « Notre vie ressemble désormais à une addition d’interdits, peut-être même à une addiction à l’interdit »

    Nous reproduisons ci-dessous un entretien donné par François Bousquet, rédacteur en chef d’Éléments, à Boulevard Voltaire, à l'occasion de la sortie du nouveau numéro de la revue.

     

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    François Bousquet : « Notre vie ressemble désormais à une addition d’interdits, peut-être même à une addiction à l’interdit »

    Vous consacrez votre dossier à la « dictature victimaire ». Une pandémie mondiale, selon vous…

    C’est la victimocratie, du grec « kratos », qui veut dire « pouvoir ». Autrement dit, la victimocratie est ce nouveau régime dans lequel le pouvoir est détenu par les victimes, réelles ou présumées. Cela leur confère un capital lacrymal, très lucratif, et les place au centre du jeu social. Or, qui dit victime dit coupable. Celui-ci est tout trouvé, c’est le fléau de la « suprématie blanche » : tout individu porteur de ce que les Américains appellent le « white privilege », le privilège blanc censé conférer un ensemble d’avantages invisibles par rapport à ce que vivent au quotidien les non-Blancs (sic). L’objectif, c’est d’abolir ledit privilège dans une nuit du 4 août mondiale depuis les États-Unis, où sévit un néo-maccarthysme hystérique qui n’est pas sans rappeler les délires ubuesques de la révolution culturelle chinoise. Il est l’œuvre de minorités « racisées » et « genrées » ; et s’appelle lutte contre le racisme, le sexisme, l’homophobie et tout ce qui est susceptible d’une suffixation phobique, des handicapés aux islamistes, selon la logique d’emballement victimaire qui commande notre monde.
    Ainsi, tout un chacun, à la condition qu’il soit pourvu d’un stigmate social, est-il invité à s’installer dans une posture victimaire parce que c’est symboliquement la position dominante la plus confortable et la plus rentable. En somme, c’est : Maman, quand je serai grand, je serai une victime ! Ce néo-maccarthysme diffuse partout une culture gémissante de la vindicte publique et de la délation. Au lieu de parler de culture du viol, il serait du reste bien plus juste de parler de culture de la délation. Sur les réseaux sociaux, on est sommé de « signaler un contenu inapproprié » (comprenez : un discours de haine). Le CSA croule sous les signalements (90.000 en 2017). Facebook encourage la dénonciation, Google déréférence à tout-va et Twitter suspend au même rythme. Avec les réseaux sociaux, le moindre minuscule « dérapage » se transforme tout de suite en affaire d’État. Ces réseaux fonctionnent comme l’effet papillon. Un battement d’ailes à Hollywood provoque une tornade dans tous les médias occidentaux. Et un éternuement de Caroline De Haas, un tremblement de terre à Paris, Londres et Berlin. Seuls les Russes sont épargnés. Pourvu qu’ils tiennent !

    C’est ce qui vous fait dire qu’« on peut plus rien dire », comme le chantait Didier Bourdon des Inconnus ?

    Notre vie ressemble désormais à une addition d’interdits, peut-être même à une addiction à l’interdit. Une nouvelle génération d’inquisiteurs est en train de s’imposer. Ce ne sont plus les austères commissaires politiques à l’ancienne, comme dans feu l’Union soviétique, mais des Robespierrettes féministes, des Torquemada transgenres, des procureurs revêtus de robe arc-en-ciel, des Tontons macoutes antiracistes, des Toussaint Louverture geeks. Un mélange d’Ubu roi, de Harry Potter et de Bisounours… qui finissent par ressembler à des gremlins, ces peluches qui se transforment en petits monstres. Des noms ? Osez le féminisme !, les collectifs LGBT, la LDH, SOS Racisme, la LICRA, le MRAP, le CRAN, le Parti des indigènes de la République (PIR), le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF). On dénombre même une Brigade anti-négrophobie. Ces associations font régner un climat de terreur, ou plutôt de tiédeur, dans les salles de rédaction, mises à l’amende dès qu’elles franchissent la ligne jaune. Ce n’est plus tant le législateur – même s’il est déchaîné depuis un demi-siècle (les lois liberticides Pleven, Gayssot, Taubira, Lellouche, Perben II, etc., sont là pour en témoigner) – qui tient aujourd’hui les ciseaux d’Anastasie (du nom de la censure au XIXe siècle) que ces associations. Au fond, la puissance publique sous-traite la censure à des prestataires extérieurs : les associations antiracistes et les ligues de vertu féministes.

    Vous avez évoqué les États-Unis. À vous lire règne outre-Atlantique un climat d’hystérie et de chasse aux sorcières…

    Y aurait-il quelque chose de pourri dans le royaume à la bannière étoilée ? Telle est la question. L’économie psychique nord-américaine semble fonctionner sur le transfert de ses pathologies au monde entier, comme si elle se soignait en exportant ses phobies, sa paranoïa, sa fièvre antiseptique. L’Amérique semble hantée par l’image d’agents pathogènes qui menacent de la terrasser. L’histoire est ancienne, mais les rôles sont intervertis. Les premiers puritains (« puritain », du verbe « to purify », « se purifier »), qui traquaient le démon sous les espèces de la corruption féminine, ont trouvé de dignes héritières dans les mères la vertu féministes. À elles de faire le procès de la domination masculine. Hier, le sujet infectieux, c’était la femme ; aujourd’hui, c’est l’homme. Naguère, c’était le Noir ; désormais, c’est le Blanc. Dans tous les cas, le mal est endémique et il faut le purger. Les Américains ne savent plus quoi inventer. Là-bas, la dernière mode est à la dénonciation des « crimes de haine raciste ». Problème : ce sont, dans la plupart des cas, de faux crimes racistes, totalement instrumentalisés par la presse. En un mot, des affaires bidon, exactement comme l’affaire Théo en France. Rien qu’au cours des six derniers mois, notre correspondant américain a recensé une demi-douzaine de cas. Ils sont construits toujours selon le même canevas – des minorités se disent victimes d’insultes racistes ou sexistes – et sont suivis du même emballement médiatique. Or, il apparaît rapidement que ce sont généralement des mystifications montées de toutes pièces par des individus issus des minorités dites « visibles » et complaisamment relayées par les médias centraux. Qui ne donnent jamais la même publicité à leurs affabulations quand il s’agit de les démentir. Pour pasticher La Fontaine, les « fake news » vous rendront blanc ou noir, selon que vous serez puissant ou misérable.

    François Bousquet (Boulevard Voltaire, 24 mars 2018)

     

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