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Métapo infos - Page 1593

  • Des nouvelles des Pikkendorff...

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    Les Pikkendorff incarnent dans l'oeuvre de Jean Raspail les valeurs de la vieille aristocratie européenne, celles de l'honneur, du sens du devoir, du courage et de la lucidité. Le dessinateur de bandes dessinées Jacques Terpant a donc décidé de leur consacré une saga, dont le premier cycle est composé des trois tomes de Sept cavaliers... publiés chez Delcourt entre 2008 et 2010, et le deuxieme, intitulé Le Royaume de Borée est à paraître et comportera quatre volumes

     

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    "Le blasonnement des armoiries des Pikkendorff est : coupé de sinople sur gueules, à un faisceau de trois lances de combat d'or brochant, deux en sautoir et une en pal, brisée. Illustration de la devise: Je suis d'abord mes propres pas. 
         On notera que ces armoiries sont irrégulières au regard de l'héraldique puisqu'on ne peut mettre ni couleur sur couleur, ni métal sur métal. Ce sont des armes dites "à enquerre" qui incitent à s'enquérir des raisons pour lesquelles on a contrevenu aux lois du blason (tel Godefroy de Bouillon portant : d'argent à la croix potencée d'or). L'origine en est en général un haut fait d'armes..."

     

    Vous pouvez visionner ci-dessous un entretien très intéressant avec le dessinateur Jacques Terpant à propos de son adaptation et de son interprétation de l'oeuvre de Jean Raspail...

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  • Libye : vers une défaite politique du couple anglo-français ?...

    Vous pouvez écoutez ci-dessous un entretien donné par Alain de Benoist à la Radio iranienne de langue française à propos de la guerre en Libye et des tentatives de marche arrière de notre pays pour sortir rapidement du conflit.

     

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  • Le roman noir de Céline...

    Décidément, cette année "Céline", même sans "célébration" officielle, aura comblé les amateurs de l'auteur du Voyage au bout de la nuit. Les livres, les numéros spéciaux de revues, les rééditions s'accumulent. On ne sait plus où donner de la tête ! Le magazine des Livres, dirigé par Joseph Vebret, vient, à son tour, de lui consacrer un... numéro spécial*, titré Le roman noir de Céline, avec des articles de Joseph Vebret, Emile Brami, Frédéric Saenen, David Alliot, Marc Laudelout, Pol Vandromme... Bref, que du bon !

    *En fait, comme le fait remarquer le Petit Célinien, il s'agit d'un trimestriel entièrement consacré à Céline, dont le deuxième numéro doit sortir à la rentrée !

     

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    Au sommaire :

    Céline, l’infréquentable ? par Joseph Vebret
    Les sept vies de Louis-Ferdinand Céline, par David Alliot
    Célébrons ! Par Émile Brami
    Entretien avec David Alliot :
    Céline au kaléidoscope, propos recueillis par Frédéric Saenen
    Actualité célinienne, par David Alliot
    Parole bloquée et parole arrachée, par Vera Maurice
    Retour sur « Qu’on s’explique... », par Frédéric Saenen
    Céline et les céliniens, par Pol Vandromme
    Bonnes feuilles
    Le Défilé des réfractaires « Céline au bout de notre nuit », par Bruno de Cessole
    Céline, idées reçues sur un auteur sulfureux « Le Goncourt 1932 aurait dû être attribué à Céline », par David Alliot
    Céline entre haines et passion « Postface à l’édition 2011 », par Philippe Alméras
    La Genèse avec Céline Henri Mahé, Louis-Ferdinand Céline : une amitié́, par Éric Mazet
    Orientation bibliographique, par Marc Laudelout
    About... and around ! Chronique des redécouvertes céliniennes
    , par Frédéric Saenen

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  • Derrière le masque d'Indiana Jones...

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    L'archéologue allemand Otto Rahn est-il le personnage dont George Lucas et Steven Spielberg se sont inspirés pour créer leur héros Indiana Jones ? C'est la question que pose David Hickman, réalisateur du documentaire intitulé La véritable histoire de... « Indiana Jones » et diffusé ce jour, vendredi 15 juillet 2011, à 20 heures 35 sur France 5.

    En tous les cas le personnage est énigmatique à souhait. Né en 1904, fasciné par le Graal et le catharisme, Otto Rahn est l'auteur de deux ouvrages, Croisade contre le Graal (Pardès, 1999) et La cour de Lucifer (Pardès, 1999), qui font encore aujourd'hui le délice des amateur d'"Histoire Secrète". Ayant attiré l'attention d'Himmler, il intégre la SS en 1935 et se voit attribuer le grade d'Obersturmführer (lieutenant). Il disparaît dans des conditions restées mystérieuses, en 1939, dans le massif de l'Empereur dans le Tyrol autrichien et est retrouvé mort gelé.

     

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    Indiana Jones, explorateur intrépide et charismatique, occupe une place à part dans la galerie des super-héros du cinéma américain. Mais est-il le fruit de l’imagination de scénaristes ou a-t-il été inspiré par des hommes ayant existé ? Révélations dans ce nouveau volet de la série La Véritable Histoire de…, mêlant reconstitutions et points de vue d’experts.

    « Indy » a été conçu sur une plage de Hawaii en 1977. Le producteur américain George Lucas a alors une idée de film avec un héros archéologue qui doit sauver le monde, potentiellement aussi populaire, voire plus, que James Bond. Pour la réalisation, il pense à Steven Spielberg. Pour le rôle-titre, il engage Harrison Ford. Le premier volet de ce qui deviendra une saga, Les Aventuriers de l’Arche perdue, sort en France en 1981.
    Lucas et Spielberg, les deux « parents », ont toujours affirmé que ce personnage était purement imaginaire mais, pour de nombreux historiens, la ressemblance avec des personnages ou des faits réels ne serait pas une coïncidence. Ainsi, certains traits de caractère d’Indiana Jones auraient été empruntés à d’autres aventuriers des années 1930 et 1940, notamment à Roy Chapman Andrews, paléontologue et naturaliste américain, et Otto Rahn, archéologue allemand.

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  • L'intégrisme moral et émotionnel des sociétés post-modernes...

    Nous reproduisons ci-dessous un article de Didier Bourjon, cueilli sur le site d'Enquête&débat et consacré au totalitarisme sournois des sociétés post-modernes...

     

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    Intègre totalitarisme post-moderne

    En société “post-moderne” qui se veut désormais hors du champ de l’Histoire, puisqu’elle se prend pour le Monde, l’intégrisme moral et émotionnel qui tient lieu de ciment “sociétal” apparent, en fait uniquement spectaculaire, est le principal moyen d’escamotage de la dimension native de tout “vivre ensemble”, selon le slogan rabâché, qui est la dimension politique.

    Cet intégrisme, puisqu’il vise toujours un unanimisme incontestable — seulement menacé, fantastiquement et pour faire croire encore à une lutte, par les horreurs d’un passé dont on ignore de plus en plus à peu près tout hors de la doxa, cette dernière étant soutenue par l’enseignement de l’oubli et le dressage des élèves dès leur plus jeune âge —, cet intégrisme est un prétexte à toutes les manipulations, mélangeant habilement causes justifiées et autres, pratiquant sans cesse le mélange des genres et des plans, profitant de la déculturation générale et l’accentuant dans le même temps.

    C’est une moraline désarmante et une entreprise scélérate en provenance d’une histoire et d’une seule parmi celles des populations qui se partagent désormais notre territoire, et surtout qui s’adressent, judiciairement s’il le faut, à la seule population accueillante, sommée de faire toute sa place à “l’autre”, autant dire lui laisser toute la place, à n’importe quel autre, au seul gré de ce dernier quant à venir peupler un territoire donné en raison des “avantages acquis” qu’on y trouve et de la désolation ou du retard matériel de son pays d’origine, des impasses politiques et civilisationnelles qui y sévissent, de l’échec collectif de sa société d’origine, que soulignent le triomphe de la modernité technique et le mirage de la consommation effrénée qu’on trouve dans les pays dits “développés”.

    Sous couvert de “bien public”, et de “Bien” tout court, on en arrive à cultiver la soumission de masse, à renforcer le fatalisme de tous, à renvoyer chacun à l’impuissance politique de son isolement hyper-communicant saturé d’objets pauvres et sans cesse relancé, harcelé, par un présent factice qui se veut perpétuel, à faire prendre enfin les vessies pour des lanternes en masquant habilement les vrais enjeux, qui sont idéologiques : en vérité, le contrôle social par l’éducation à la soumission, l’imposition de faux choix, par l’aveuglement organisé, avec la destruction méthodique de toute capacité critique et un endoctrinement dès la classe maternelle, ne sont que les moyens de la domination sans partage de l’idéologie nécessaire aux choix d’une oligarchie mondialiste qui attend d’être mondiale.

    Demi-vérités érigées en dogmes irréfutables, tabous plus aveugles que jamais alors qu’on prétend les pourchasser tous, sophismes jouant avec des évidences préalablement lourdement imposées, sensiblerie affligeante mais désarmante, bonté obscène, émasculation systématique, démagogie permanente et promotion de la vulgarité qui s’emballe d’elle-même (il n’y a pas qu’à l’école que “le niveau monte”…), manipulations de foules atomisées car virtuelles, toute la palette des moyens les plus vils ou les plus dangereux est mise à contribution, massivement, sans vergogne. Les ombres de la Caverne ne sont pas que fantomatiques, elles sont hélas fermement orientées, elles ont un sens, et il est totalitaire sous prétexte de totalisation, de “globalisation” selon le néologisme convenu.

    Les totalitarismes passés veillaient à ce que la propagande non pas mente mais vide de sa substance le langage en vidant certains mots de leur sens, comme l’a montré Hannah Arendt, ou encore l’étonnant Armand Robin dans son étude des radios soviétiques. La propagande de la modernité nouvelle issue de la défaite des totalitarismes “classiques”, visait à subvertir la totalité du langage en renversant le sens de tous les mots, en les “relativisant”, en les “jouant” (le jeu de mots comme vérité du journalisme), jusqu’à produire ce qui advient aujourd’hui où elle vise – et parvient extraordinairement – à faire cohabiter tous les sens, et de préférence les plus contraires, au sein des mêmes mots.

    Efficacité technique et bonté réalisée, maternage et déresponsabilisation, infantilisme et bonheur simple d’être “soi-même”, autant dire une pure disponibilité pour tout le factice prêt-à-consommer sur tous les plans que les modes recyclent en permanence, sentimentalisme écœurant et terminal avec son pendant : la transparence permanente, le refus de toute intériorité, de tout temps personnel, de toute profondeur de champ, du Temps en un mot, voilà quelques unes des étranges caractéristiques de ce qui entraîne les peuples des pays dits développés, particulièrement d’Europe, dans une spirale mortifère alors que d’autres peuples, d’autres continents, s’engagent enfin, eux, dans l’histoire, en conquérants qui ignorent néanmoins encore assez largement le piège subtil où nous les entrainons.

    Didier Bourjon (Enquête&débat, 11 juillet 2011)

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  • Révoltes arabes sous influences...

    Le nouveau numéro du magazine Eléments ( le n°140) est en kiosque et on peut constater que la nouvelle formule, mise au point par Pascal Eysseric, tient ses promesses ! On trouve dans ce numéro un dossier sur les révoltes du monde arabe, des entretiens avec le général Vincent Desportes, l'écrivain aventurier Sylvain Tesson et le politologue suisse Patrick Haenni, des pages consacrées au combat des idées, abordant aussi bien l'érotisme que l'avénement de la Chine dans le marché mondial, et, bien sûr, les pages Cartouches sur les livres, le cinéma, la science, etc... et l'éditorial de Robert de Herte (alias Alain de Benoist). Bref, un numéro riche et stimulant à emporter sur la plage pour ne pas bronzer idiot !

     

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    Au sommaire du dossier : "Révoltes arabes sous influences"

    Toute la question, maintenant, est de savoir comment les mouvements actuels pourront résister aux récupérations de toutes sortes, voire aux contre-révolutions. « On osa jusqu’à la fin, parce qu’on avait osé d’abord », disait Saint-Just à propos de la Révolution de 1789. Mais les révolutionnaires français savaient au moins ce qu’ils voulaient. L’anonyme « printemps arabe», qui n’a pour l’instant fait émerger aucune idée neuve, aucune figure capable de remplir le vide du pouvoir, aucune classe intellectuelle capable de théoriser ses aspirations, osera-t-il « jusqu’à la fin » ? On peut en douter. Les révoltes permettront à de nouvelles générations d’accéder au pouvoir, pas forcément de changer de régime.
    Le monde arabe moderne est né en 1916, quand les populations du Proche-Orient se sont soulevées contre les Turcs ottomans, maîtres de la région depuis le début du XVIème siècle. Depuis cette date, les « printemps arabes» se sont succédé, mais l’« indépendance » proclamée le 5 juin 1916 à La Mecque est toujours restée un rêve. On attend encore qu’il puisse se concrétiser.

    • Derrière les jacqueries des peuples, les révoltes de palais, par Pascal Eysseric
    • Egypte : le pays qui dansait sur un volcan
    • Entretien avec Patrick Haenni, métamorphose de l'islam
    • Chronologie des révoltes arabes
    • Turquie : la nouvelle révolution verte, par Tancrède Josseran

    Et aussi
    • Entretien exclusif avec le général Vincent Desportes : « Le piège américain »
    • L'aventure de Sylvain Tesson : la quête du paladin
    • Chine : les habits neufs du capitalisme mondial, par Flora Montcorbier
    • Nicolas Gogol, le démon du ridicule, par François Bousquet
    • Bruno de Cessole, promenade au pays des géants, par Michel Marmin
    • D. H. Lawrence, le prophète du sang primitif, par Fabrice Valclérieux
    • Le dictionnaire culte des films français pornographiques et érotiques, par Francis Moury

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