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Métapo infos - Page 1057

  • Propos intimes et politiques d'Adolf Hitler...

    Les éditions Nouveau Monde viennent de rééditer, sous la direction de l'historien François Delpla, un premier tome des Propos intimes et politiques d'Adolf Hitler, qui couvre la période 1941-1942. Cette édition, qui est accompagnée de commentaires, serait la première complète. Un travail utile, donc...

     

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    " À défaut d'avoir écrit ses Mémoires, Hitler a légué une série de textes consacrés à sa personne privée et politique. Édités pour la première fois dans une traduction fidèle, ces Propos se composent des notes prises entre 1941 et 1944 au quartier général du Führer, dans un cadre informel mêlant amis intimes et proches collaborateurs. Les harangues consacrées à l’expansion du Reich y sont ponctuées de récits de jeunesse, de considérations personnelles sur l’art, la culture, les femmes.

    La traduction de François Delpla jette un éclairage nouveau sur ce recueil. Les notes compilées ne font pas qu’égrener les laïus délirants d’un dictateur mégalomane. Elles participent de la matrice idéologique du Troisième Reich, prolongeant Mein Kampf en un véritable traité de philosophie despotique. Le Führer y construit sa légende, disséquée à chaque page par le commentaire historique qui met à nu l’imposture intellectuelle du « Mal » nazi. Parfois lucide, Hitler contrefait souvent la réalité à dessein. Mais il laisse aussi entrevoir ses égarements, ses obsessions et ses marottes.

    Ce premier tome couvre la période de juillet 1941 à mars 1942. Durant ces mois décisifs, la guerre devient mondiale. Le conflit s’engage sur le front de l’Est, l’allié japonais multiplie ses frappes, les États-Unis sortent de leur isolationnisme. Encore férocement optimiste, la parole hitlérienne se rassure et se conforte dans son projet impérialiste, en même temps qu’elle organise dans l’ombre la « Solution finale ». "

     

     

     

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  • Un point de vue suisse sur la crise migratoire...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien avec Piero San Giorgio réalisé par LaPravda.ch, site d'information suisse romand indépendant en novembre 2015, et consacré à la crise migratoire. A quelques semaines de distance, après les agressions sexuelles de masse commises en Europe, et notamment en Allemagne, au cours de la nuit du nouvel An, son analyse se révèle particulièrement clairvoyante...

    Promoteur dans le monde francophone d'une forme de survivalisme ou de décroissance résiliente, Piero San Giorgio est l'auteur de Survivre à l'effondrement économique (Le Retour aux sources, 2011) et de Rues barbares (Le Retour aux sources, 2012).

     


    Entretien avec Piero San Giorgio par LaPravdaCH

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  • L'appel de la montagne...

    Nous vous signalons la parution du numéro 10/11 (Hiver 2015) de la revue Figures de proues, dirigée par Pierre Bagnuls. On y découvrira un dossier consacré à la montagne...

    Il est possible de s'abonner ou de commander ce numéro (ainsi que les numéros précédents) sur le site de la revue : Figures de proues

     

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    Editorial

    • Aux portes de l’année par Pierre Bagnuls

    • Faire surgir une aristocratie européenne par Raymond de Becker

     

    Figures – Enfance et jeunesse –

    • Rêve d’enfant par Alphonse de Châteaubriant

    • Enfance du rêve par Jean Cau

    • L’enfant qui inventa le ski par Guy de Larigaudie

     

    Sources vives – tradition –

    • Si le grain ne meurt, que le blé lève ! par Pierre Bagnuls

    • Tradition et simplicité volontaire par Ernst Jünger

    • Edifier par Jean-François Mattéi

     

    Dossier – montagne –

    • La demeure des dieux Anonyme

    • Montagne : à l’altitude des dieux Pierre Bagnuls

     

    Textes fondateurs

    • Aspects mythiques de la montagne par Claude Lecouteux

    • Les elfes et les fées par Samivel

    • A l’origine du mythe alpestre par Jean-Jacques Rousseau

    • Sentiment de la montagne par Hermann Hesse

    • Le village dans la montagne par Charles-Ferdinand Ramuz

    • De la beauté des montagnes par Franz Schrader

    • La voie étroite qui permet de gravir n’importe quel pic par Leslie Stephen

    • Les féeries de la neige par Samivel

    • Le refuge par Georges Sonnier

    • La montagne d’utilité publique par Samivel

    • Notre chair est un métal perméable à l’étoile par Jean Giono

    • Zénith par Pierre Dalloz

    • Le cérémonial de la montagne par Gaston Rébuffat

    • Beauté et héroïsme par Eugen Guido Lammer

    • Mais n’est-ce pas une folie ? par Dino Buzzati

    • Plaisirs et pénalités de l’alpinisme par Albert Frederik Mummery

    • Les inquiétantes portes du haut royaume par Georges Sonnier

    • La porte étroite entre humain et surhumain par Georges Sonnier

    • Nous avons rempli une destinée par Marthe Meyer

    • Le chant des esprits sur les glaciers par Eugen Guido Lammer

    • Guillaumet, vivant ! par Antoine de Saint-Exupéry

    • Les hors-la-loi par Dino Buzzati

    • Celui qui va seul par Henri de Man

    • Lachenal : le refus des lois naturelles par Maurice Herzog

    • La quête de l’absolu par Georges Sonnier

    • L’alpinisme, une lutte contre soi-même par Eugen Guido Lammer

    • Clé de voûte alpine : l’équilibre moral par Gaston Rébuffat

    • L’homme transfiguré par Georges Sonnier

    • Fête solaire au Mont-Blanc par Gaston Rébuffat

     

    Textes de méditation

    • Nous autres, Hyperboréens ! par Friedrich Nietzsche

    • Et preque tous avaient les yeux bleus par Samivel

    • La transfiguration intérieure par Julius Evola

    • La spiritualité de la montagne par Julius Evola

    • Aux sources de l'amour de la montagne par Bernard Charbonneau

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  • Aujourd’hui, les bourgeois se fichent de Calais !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy, cueilli sur Polémia et consacré à la lâcheté de la bourgeoisie face à la question de l'immigration massive et violente que subit notre pays...

     

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    Aujourd’hui, les bourgeois se fichent de Calais

    En 1346, durant la Guerre de Cent Ans, les Anglais assiègent Calais qui résiste courageusement. Mais à l’issue d’un siège de 11 mois la population, affamée, n’a d’autre issue que de se rendre aux envahisseurs. Les Anglais, rendus furieux par la durée du siège, menacent, en représailles, de passer toute la population au fil de l’épée sauf si des otages acceptent de se sacrifier. Six bourgeois, les fameux « bourgeois de Calais », acceptent leur sort pour sauver la population. Finalement ils seront graciés par Edouard III, ému par leur esprit de sacrifice. Et la ville sera épargnée.

    Mais aujourd’hui l’histoire ne se répète pas parce que les bourgeois se fichent du peuple de Calais comme du peuple de France.

    Un drame ordinaire

    Tout le monde a pu voir depuis samedi dernier, sur les réseaux sociaux, les tragiques images de cette famille calaisienne agressée devant son petit pavillon par des « migrants ». Les assaillants leur jettent des pierres, des pneus, des bâtons ; ils tentent d’entrer dans le domicile. On voit la femme qui supplie son mari de ne pas s’interposer. Finalement les assaillants refluent lorsque le fils brandit un fusil (factice ou non chargé).

    Une famille seule face aux « migrants » parce que la police laisse faire. Soyons juste, la police va quand même agir : en fin de journée elle interpelle… le fils au sujet dudit fusil.

    Les bourgeois s’en fichent

    Mais ce drame à Calais n’intéresse plus les bourgeois. Ce n’est après tout qu’une famille autochtone modeste : des « sans-dents », qui peut-être, au surplus, ne votent pas bien. Ce ne sont que des cht’is « franchouillards » qui s’obstinent à ne pas reconnaître l’apport magnifique de ces « migrants » : ils n’ont pas compris, comme nous le vantent les bobos du MEDEF, que ces migrants allaient « améliorer le marché de l’emploi ». Tant pis pour eux !

    Les bourgeois vivent à l’abri

    Les bourgeois se moquent de ce qui se passe à Calais car ils vivent bien à l’abri dans leurs quartiers préservés et dans leurs appartements digicodés. Et en cas de pépin ils peuvent compter sur la réaction rapide de leurs copains dans les ministères ou à la préfecture.

    Ils ne prennent jamais les transports en commun comme les « bidochons ». Leurs enfants ne fréquentent que les bonnes écoles : celles où on ne sert pas de « repas aménagés » et où les élèves sont triés sur le volet. Leurs bambins échapperont, bien sûr, au désastre universitaire français : à eux les écoles de commerce, les grandes écoles, les stages à l’étranger et les universités yankees. Pôle Emploi c’est pour les sans-dents, pas pour eux.

    Les bourgeois ne se confrontent jamais aux « migrants », sauf dans les articles de l’Obs. ou des Echos. Sauf quand le fiston, ému jusqu’aux larmes par le sort du petit Aylan, décide d’aller « faire de l’humanitaire » au profit des « migrants », avant d’entrer se mettre au chaud dans la banque de papa. Car le fiston, bien sûr, ne s’occupe pas des sans-abris français qui, eux, peuvent rester dans les rues : salauds de pauvres !

    Les bourgeois sont responsables de l’immigration

    Les bourgeois ne se confrontent pas aux « migrants » mais, par contre, ils les font venir depuis 50 ans, dans toute l’Europe. Dans les années 1960, ils allaient même les chercher au Maghreb pour être sûrs qu’ils viennent bien.

    Pour améliorer la « profitabilité » des entreprises où les bourgeois travaillent et dont ils sont les heureux actionnaires, c’est-à-dire pour pousser à la baisse les salaires des « bidochons» et à la hausse les profits des bobos.

    C’est pourquoi les bourgeois ont toujours soutenu les gouvernements qui ont ouvert toujours plus les portes à l’immigration. C’est pourquoi les bourgeois haïssent plus que tout le Front national et tous les populistes qui risqueraient de menacer leur « value for money ».

    Les bourgeois se moquent des conséquences de leur égoïsme

    Les bourgeois se fichent des conséquences d’une immigration de peuplement désormais incontrôlable car ils sont à l’abri. Et en cas de grabuge, ils pourront toujours filer ailleurs, là où ils ont d’ailleurs déjà placé leurs économies.

    Les bourgeois ne se sacrifieront plus pour sauver Calais, Cologne ou Paris car ils sont devenus mondialistes. Les bourgeois ne seront pas victimes du Grand Remplacement : ils sont déjà partis ou ils vont partir se mettre à l’abri, laissant les sans-dents se débrouiller avec les charmants allogènes.

    Les bourgeois ne se mettront pas la corde autour du cou pour sauver le peuple comme en 1346. Cette corde il faudra la leur mettre de force. Car ils la méritent.

    Michel Geoffroy (Polémia, 27 janvier 2016)

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  • La bobocratie, une classe à part...

    Les éditions Xénia viennent de publier un essai de Luc Gaffié intitulé La bobocratie. Luc Gaffié est déjà l'auteur de plusieurs livres dont Les idées du conservatisme américain et Le sanspapiérisme (Xénia, 2012).

     

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    " Utilisé à l'origine pour décrire une réalité sociologique américaine bien précise, le terme bobo, à la suite de son succès populaire aux États- Unis, en est venu, à désigner une forme d'esprit et une mentalité qui affecte à des degrés divers l'ensemble des nouvelles classes dirigeantes des pays occidentaux.
    L'émergence de cette bobocratie résulte de l'accession au pouvoir de nouvelles générations aux goûts et aux modes de vie harmonisés par la mondialisation, une nouvelle élite habile à dissimuler le luxe sous des apparences de simplicité et à affecter une générosité qui n'est qu'une posture. "

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  • Petit éloge de la race...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une chronique de Richard Millet, radicale et lucide, cueillie sur son site personnel et consacrée à la question raciale.

    Ceux qui empruntent chaque jour les transports en commun d'Île-de-France peuvent attester qu'il n'y a aucune exagération dans la description faite par l'auteur d'un de ses derniers déplacements en RER...

    Écrivain, Richard Millet vient de publier Tuer (Léo Scheer, 2015), ouvrage dans lequel il revient avec beaucoup de profondeur, après La confession négative (Gallimard, 2009), sur l'expérience fondatrice que fut pour lui sa participation à la guerre civile libanaise...

     

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    Petit éloge de la race

    Le gauchisme culturel au pouvoir, en France, est hanté par le souci d’effacer le mot race du vocabulaire officiel. Les races n’existant pas, disent ces apôtres de la régulation onomastique, pourquoi user encore de ce mot dont la seule profération leur donne des pellicules ? N’appartenons-nous pas tous à la grande famille humaine ?  bêlent ces brebis tondues par le psoriasis idéologique. Or, non seulement les races existent, puisque je ne suis ni noir ni jaune, mais il est heureux qu’il en soit ainsi et qu’elles soient plusieurs, comme les pays, les frontières, les langues. Manière de dire aussi mon bonheur d’être blanc, comme les Noirs et les Jaunes d’être ce qu’ils sont, sans nulle idée de supériorité, il va de soi.

                C’est aussi la raison pour laquelle je refuse d’admettre que la race blanche est à l’origine des maux dont souffrirait l’humanité et que le métissage généralisé soit le remède contre le retour du nationalisme dont on clame qu’il nous a menés « aux heures les plus sombres de notre histoire. » C’est également pour cela que je ne crois pas au multiculturalisme, lequel n’est nullement un régionalisme importé et compatible avec les « valeurs républicaines », mais bien un agent destructeur des vieilles patries, pensais-je l’autre soir, dans le wagon de RER qui me conduisait à Paris, échappant pour une fois à l’un de ces « colis suspects » qui paralysent régulièrement le trafic et faisaient dire à un passager, l’autre jour, que derrière chacun de ces colis il y a un clochard, et derrière le clochard un musulman. Dans le wagon, trois jeunes Algériennes (peut-être  des bi-nationales), comme je le remarque au drapeau algérien ornant la coque du téléphone mobile de la première, une grosse fille à l’air de zébu las, pantalon déchiré, cheveux rouges ; l’autre est entièrement salafisée : niqab et abaya noir corneille, et visage inquiétant,  s’exprimant dans l’immonde français des banlieues, tout comme la troisième, une vraie Lolita avec ses cheveux décolorés, ses nattes, son rouge à lèvres couleur sang de bœuf, son jean moulant. Je me demandais ce qu’elles avaient de français, à part une carte d’identité et ce je ne sais quoi de perdu qui les rapproche des Françaises de souche déculturées et aliénées.

                A Gare-de-Lyon est montée une horde d’Africains, principalement constituée de femmes en boubou et turbans, poussant des landaus chargés d’une progéniture nombreuse – les hommes se tenant en réserve. Cette bruyante cohorte a fait que nous avons bientôt été les seuls Blancs du wagon, une passagère et moi, la passagère, une gauchiste, s’émerveillant à mi-voix de la beauté de ces femmes, tandis que j’étais, moi, importuné par un Africain qui avait passé son coude par dessus le siège, derrière moi. J’ai dû faire comprendre à cet homme qu’on n’était pas dans un autobus africain.

                Descendu à Auber, j’ai vu un Arabe insulter trois jeunes filles de l’ethnie rom, qu’il traitait de voleuses, « comme toute votre race », ajoutait-il dans l’indifférence générale –dans cette forme d’indifférence que suscite la terreur exercée par les lois qui portent les noms de Gayssot et de Taubira. Une tension permanente ; une situation partout explosive. C’est que la guerre civile est bel et bien en cours, à Calais comme à Paris, et partout où l’immigration impose son nombre, et autant dans le djihad que dans la haine que nous vouent la plupart des immigrés, surtout musulmans, lesquels explorent sans relâche les failles du système judiciaire comme le ventre mou de la démocratie, au sein d’un développement séparé qui permet à des millions d’individus exogènes de vivre en Europe comme dans leur pays d’origine, le capitalisme mondialisé appelant multiculturalisme ce qui, dans le Tiers-Monde, est du colonialisme.

                La guerre civile est donc interraciale, et mondiale. Une revendication inlassable. Des actions judiciaires perpétuelles. On l’a vu à la cérémonie des Oscars où des acteurs noirs se sont plaints de ce qu’ils n’étaient pas « représentés » et où une actrice prétend les femmes encore moins bien traitées que les Noirs ; on le voit dans l’incessant gémissement victimaire ; on le devine dans l’enfer du métissage – les races, les ethnies, les sexes, les religions (minoritaires chez nous mais puissamment majoritaires, ailleurs) fournissant les bataillons de cette guerre dont le djihad n’est que la partie la plus visible. Une situation qui me voue, plus que jamais, contre tous les révisionnismes idéologiques, à revendiquer la dimension puissamment identitaire, et non plus seulement fatale, des races.

    Richard Millet (Site officiel de Richard Millet, 25 janvier 2016)

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