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système - Page 25

  • Frontières invisibles...

    Les éditions Apopsix viennent de publier Frontières invisibles, un roman d'anticipation de Jean Barret. L'auteur, avocat, s'est d'abord fait connaître par l'écriture de nouvelles de science-fiction...

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    " Peut-on s'attaquer au Système ? Peut-t-on le faire tomber ? Le héros de ce livre en est persuadé. Pour lui, les maux de la société tiennent à la dégénérescence du système social, religieux et économique et les oligarchies qui tiennent le monde en esclavage. Pour sauver l'homme et le libérer, il faut détruire la bête planétaire.

    Loin d'une simple utopie, le héros va nourrir une réflexion globale et critique du monde actuel qui le conduira à mener un assaut d'une extrême violence contre toutes les structures en place, prenant en otage le pays tout entier dans une mise en scène cruelle et impossible à stopper. La manoeuvre est extrême, sans pitié. L'objectif : anéantir l'humain dans son mode de fonctionnement actuel, faire naître le chaos pour que fleurisse un monde nouveau, affranchie de toutes les routines et habitudes morbides qui sclérosent notre époque.

    Plus percutant que le 11 septembre, plus définitif que Fight Club, plus activiste que les Anonymous, « Frontières invisibles » n'est pas un roman mais un livre d'anticipation sociale considéré comme le plus subversif de la littérature underground des trente dernières années.

    Si vous ne supportez plus le système mondial injuste et décadent, le mensonge quotidien comme seule vérité, de vivre une existence ordinaire sans avenir... Si vous êtes prêts à changer radicalement et définitivement le cours de votre vie, bienvenue au delà des frontières invisibles. "  

     

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  • Une rencontre avec Alain de Benoist...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un court entretien entre Piero San Giorgio, auteur de Survivre à l'effondrement économique (Retour aux sources, 2011) et de Rues barbares (Retour aux sources, 2013), et Alain de Benoist, à propos de deux de ses livres, Demain, la décroissance ! (E-dite, 2007) et Au bord du gouffre ( Krisis, 2011).

     

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  • Contre la tyrannie médiatique ! ...

    Les éditions Via Romana publient dans les prochains jours un essai de Jean-Yves Le Gallou intitulé La tyrannie médiatique. Jean-Yves Le Gallou, énarque, dirige la fondation Polémia, un laboratoire d'idées qui organise chaque année la journée d’étude de la réinformation et la cérémonie des Bobards d’Or. Il a déjà publié La préférence nationale : réponse à l'immigration (Albin Michel, 1985), Le défi gaulois, carnets de route en France réelle (L'Æncre, 2000) et Le dictionnaire de Novlangue (Polémia, 2008).

    Le livre peut d'ores et déjà être commandé sur le site des éditions Via Romana.

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    "Les médias ne sont pas un contre-pouvoir. Ils ne sont pas davantage le quatrième pouvoir. Ils sont progressivement devenus le premier pouvoir : celui qui s'exerce sur les esprits. Plus inquiétant, ils semblent même prendre le contrôle des autres pouvoirs, intellectuels, politiques et judiciaires.
       Or journaux, radios, télévisions et même certains sites d'information en ligne ne sont ni indépendants, ni libres. Ils subissent la loi d’airain publicitaire des banques et des financiers, prisonniers des préjugés de ceux qui les font, la caste journalistique. C’est l’alliance du grand capital et de la pensée unique de salle de rédaction qui passent tout au crible de l’idéologie mondialiste : ouverture des frontières, dérégulation économique et financière, rejet des traditions, « antiracisme » et « mariage gay ». Pour rééduquer, ils conditionnent par la désinformation, la Novlangue, la censure, la diabolisation et le bobard sont leurs instruments, au mépris de l’identité, de la souveraineté, de la démocratie française et des libertés.
       J.-Y. Le Gallou reconstitue l’histoire et autopsie cette tyrannie des temps modernes ; il trace aussi les voies de son renversement : par le développement de l’esprit critique, la réinformation, l’essor des médias alternatifs sur Internet, l’abolition des lois liberticides, le développement de la démocratie numérique et de la démocratie directe. Pour redonner vie à une véritable liberté d'expression, il faudra bien chasser les assassins de l’information."

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  • C'est une crispation ? Non, Sire, c'est une révolution !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy, cueilli sur Polémia  et consacré à l'enquête explosive de l'IPSOS commandée par le CEVIPOF et le journal Le Monde...

     

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    C'est une crispation ? Non, Sire, c'est une révolution

    Le journal Le Monde, dans son style inimitable, commente gravement un dernier sondage IPSOS Public Affairs sous le titre politiquement correct : « Les crispations alarmantes de la société française » (Le Monde du 26 janvier 2013). Mais ce sondage ne surprend que les bobos du boulevard Auguste-Blanqui.

    Un rejet général du Système

    Non les Français ne sont pas « crispés ». Ils commencent à en avoir plus qu’assez, tout simplement.Assez du mondialisme et de ses ravages (la mondialisation est une menace pour 61% des personnes interrogées) ; assez d’un système politique qui s’est coupé du peuple (72% estiment que leurs idées ne sont pas représentées par le Système politique) ; assez de l’Europe technocratique de Bruxelles (65% estiment qu’il faut renforcer les pouvoirs nationaux et limiter ceux de l’Union européenne) ; assez de l’immigration (70% trouvent qu’il y a trop d’étrangers en France et 74% que l’islam n’est pas compatible avec la société française).

    C’est un message clair qui ne peut qu’ « alarmer » l’oligarchie : les Français se déclarent de plus en plus nombreux, malgré le matraquage médiatique permanent, malgré l’insécurité économique et malgré la répression judiciaire, à rejeter les dogmes de l’idéologie dominante. Pourquoi ? Parce qu’ils sont les seuls à en souffrir, tout simplement.

    Toujours moins

    Les Européens de la zone euro, et les Français en particulier, découvrent en effet que l’ordre nouveau que l’oligarchie leur a imposé correspond pour eux à une société du toujours moins :

    – toujours moins de travail : le taux de chômage atteint des taux inégalés si l’on tient compte de ceux qui disposent d’un emploi à vie. Ces taux sont très supérieurs à ceux de 1936 en France ; – toujours moins de croissance : car les gouvernements mènent des politiques déflationnistes pour complaire aux marchés financiers et parce l’euro nous handicape ;– toujours moins de revenus et de retraites : car les gouvernements européens, au nom du « redressement des comptes », dans une économie soumise au libre-échange mondialiste, n’ont de cesse d’augmenter les impôts et de réduire les dépenses publiques ; et les entreprises, au nom de leur « compétitivité », de réduire les salaires ; – toujours moins de protection sociale pour les autochtones, au nom de la flexibilité et de la maîtrise des dépenses ; – toujours moins de services publics qui marchent, à cause de la volonté de réduire les dépenses et du corporatisme des syndicats ; – toujours moins d’ascenseur social à cause de l’implosion du système éducatif public et du favoritisme dont bénéficient les migrants ;– toujours moins de liberté : parce que chaque jour, pour les motifs les plus divers, l’oligarchie, via l’Etat Big Mother, s’en prend à l’initiative des autochtones ; et aussi parce que le politiquement correct et les lois mémorielles brident de plus en plus la liberté d’expression ; – toujours moins de sécurité à cause de l’explosion de la délinquance, à cause de l’islamisme et à cause du laxisme judiciaire ; – toujours moins de démocratie et de souveraineté, parce que l’oligarchie a décidé de se passer de la volonté populaire pour imposer son projet mondialiste, de gré ou de force ; – toujours moins de respect pour l’identité et les valeurs des Français enfin, comme le montrent les campagnes de repentance à répétition initiées par l’oligarchie ou les projets de mariage homosexuel.

    No future

    Pour la première fois depuis la seconde guerre mondiale, nos concitoyens ont une claire conscience que leur situation se dégrade dans tous les domaines, et que celle de leurs enfants sera vraisemblablement encore moins bonne.

    Les bobos voudraient se persuader qu’il ne s’agit là que de « frilosité » et de « repli » des beaufs et des bidochons, alors que c’est une sinistre réalité pour le plus grand nombre.

    Dans ce contexte, le spectacle d’une oligarchie qui prétend imperturbablement que tout va bien et ira encore mieux demain, ou d’une classe politique interchangeable qui ne prend pas en compte leurs inquiétudes, leur devient de plus en plus odieux.

    Marx disait que les révolutions éclataient quand on ajoutait à l’exploitation la conscience de l’exploitation. Nous y sommes.

    Michel Geoffroy (Polémia, 25 janvier 2013)

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  • La fausse vertu du FMI...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Jean-Paul Baquiast, cueilli sur sur Europe solidaire et consacré au rôle essentiel du FMI dans le système. Ancien haut-fonctionnaire, animateur du site Europe solidaire et du site scientifique Automates intelligents, Jean-Paul Baquiast est l'auteur de deux essais, L'Europe et le vide de la puissance et Le paradoxe du Sapiens , publiés en 2008 et 2010 aux éditions Jean Paul Bayol.

     

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    La fausse vertu du FMI

    Cela fait des décennies que le FMI a été accusé par quelques rares économistes latino-américains puis européens de contribuer à la prise en main des économies des pays pauvres en imposant à ceux-ci des programmes dits d'ajustement structurel visant à réaliser différentes « réformes » politiques en échange de prêts dudit FMI.

    Si certaines de ces réformes, telles la lutte contre la corruption, se justifiaient, l'essentiel visait à privatiser de nombreuses activités jusqu'ici exercées par des structures politiques et sociales traditionnelles. L'irruption en force des grandes entreprises américaines dans ces secteurs avait provoqué l'apparition de nouvelles classes dirigeantes soumises aux impératifs de l'économie américaine, sans que la pauvreté et le sous-équipement en soient sérieusement diminués. Les populations avaient fini par s'en apercevoir. A la suite de l'argentin Nestor Kirchner, un nombre croissant d'hommes politiques et d'économistes de ces pays avaient fini par contester la « vertu » prônée par le FMI et sa comparse la Banque Mondiale, qui cachaient des appétits anglo-saxon autrement plus ambitieux, mais mieux dissimulés.

    Le FMI a-t-il changé depuis ces époques? En apparence la dureté de son discours contre la mauvaise gestion et la dette s'est un peu atténué. Mais le fonds de sa démarche, visant à réserver aux « bons élèves » du capitalisme les ressources qu'il collecte parmi ses membres n'a pas changé. Ces bons élèves sont, plus que jamais, ceux qui libéralisent l'accès aux ressources traditionnelles, qui désengagent les Etats de toute politique économique et sociale, qui livrent les pays concernés aux grands investisseurs internationaux, investisseurs industriels puis de plus en plus financiers. Certains avaient pensé que Dominique Strauss-Kahn, en ouvrant un peu le FMI aux pays émergents, aurait pu modifier quelque peu le rôle de l'organisme dans la mondialisation. Mais DSK a chuté comme l'on sait, à la satisfaction sinon à l'instigation de ceux qu'il inquiétait à Washington.

    Aujourd'hui, le FMI, en reprenant sans nuances le discours du désendettement par la rigueur au détriment des investissements publics productifs, mène à l'égard de l'Europe la même politique de déstructuration qu'il menait précédemment à l'égard des pays du tiers monde. Tout paraît conçu pour empêcher les pays européens de puiser dans leurs ressources productives potentielles pour s'émanciper de la quasi-colonisation imposée par les forces économiques et financières dominant à Wall Street et Washington. Bien entendu, cette politique s'appuie sur les larges minorités d'intérêts européens acquis à l'atlantisme, qui croient y trouver leur compte.

    Pour conduire une telle démarche de décérébralisation, un langage brutal de conquête ne serait pas très adroit. Il prend au contraire la forme d'une pléthore de « théories économiques » et de modèles mathématiques censés incarner une science omnisavante, devant s'imposer tant aux peuples qu'aux gouvernements. Mais il ne trompe que les naïfs et les incompétents rêvant à la possibilité d'une économie politique scientifique pouvant réguler un monde fait de compétitions brutales pour les ressources et les pouvoirs.

    On s'explique mieux dans ces conditions la divine surprise des Européens découvrant ce jour, grâce à la « confession » tardive d'un expert du FMI qu'il n'existait aucune base scientifique sérieuse permettant de faire correspondre la réduction d'un euro dans les budgets publics à une réduction d'un euro dans le produit national du pays concerné. Tout montre au contraire que joue un effet multiplicateur inverse. Un euro non dépensé par le budget public entraine plusieurs euro non dépensés et donc non investies par les acteurs économiques du pays concernés. Ainsi les Européens face à des Américains et Asiatiques qui investissent à tour de bras avec l'argent versé libéralement par leurs banques centrales, se retrouvent les jambes entravées dans la course qui les oppose à leurs rivaux. Le phénomène était depuis longtemps dénoncé par certaines oppositions socialistes, ou par des « économistes atterrés ». Mais on a pu constater, dans le cas français, qu'une fois arrivés au pouvoir, ces socialistes ont repris à leur compte le discours répressif des forces financières internationales. Jérome Cahuzac, dans sa discussion avec Jean-Luc Mélanchon le 7 janvier, s'en est fait le porte parole jusqu'à la caricature.

     Est-ce à dire que les citoyens européens vont, découvrant l'ineptie des contraintes imposées par les gouvernements et le FMI, exiger enfin des changements profonds dans les traités soumettant la Banque centrale européenne à la domination du capitalisme international? Probablement pas. Sans penser qu'à proprement parler un complot organisé des oligarchies internationales s'exerce pour empêcher les peuples européens de réagir, on peut cependant faire l'hypothèse que des forces profondes sont en jeu dans le monde actuel pour maintenir l'assujettissement des citoyens de la base aux forces dominantes. On parlera d'un Système, dont l'étude et la dénonciation devrait être une priorité. Le terme de Système sera jugé peu scientifique. Mais il l'est au moins autant que les modèles mathématiques du FMI.

    Jean Paul Baquiast (Europe solidaire, 9 janvier 2012)
     
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  • Enjeux géopolitiques pour l'avenir...

    Dans un entretien donné à Avant-garde économique, "Michel Drac analyse les principales tendances géopolitiques pour les prochaines années : l'impasse politique de la zone Euro, la montée en puissance de la Chine et de la Russie, et le nécessaire redressement industriel des Etats-Unis.
    Il nous expose également les problématiques énergétiques à venir, et les solutions possibles pour s'en émanciper."

     

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