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souveraineté - Page 20

  • Dominique Venner : Pourquoi avoir choisi Notre-Dame de Paris ?

    Nous reproduisons ci-dessous un texte de Jean-Yves Le Gallou, publié sur Polémia et qui vise à interpréter le choix du lieu fait par de Dominique Venner pour se donner la mort.

     

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    Dominique Venner : Pourquoi avoir choisi Notre-Dame de Paris ?

    1-Il n’y a plus de lieu de souveraineté politique

    Le geste de Dominique Venner a évidemment un sens politique : refuser « le grand remplacement », bien plus grave encore que « la détestable loi Taubira ». Mais la souveraineté française a déserté les lieux de souveraineté. Le Louvre est un musée. L’Elysée, un établissement de mise en œuvre de décisions prises ailleurs. L’Assemblée nationale, un théâtre d’ombres aux mains des lobbys. Y mourir serait dérisoire.

    On ne meurt pas davantage devant une ambassade ou le quartier général d’un groupe de pression minoritaire.

    Et puis, pour Dominique Venner, « quels que soient les mérites de l’action politique, ce n’est pas elle qui peut rendre aux Européens la conscience forte de ce qu’ils sont. Cette conscience de l’identité en tout, y compris en politique, appartient à l’ordre de la mystique ou de la croyance ».

    2-Notre-Dame est un haut lieu de souveraineté spirituelle

    Voilà sans doute pourquoi Dominique Venner a choisi « un lieu hautement symbolique, la cathédrale Notre-Dame de Paris, que je respecte et admire, elle qui fut édifiée par le génie de mes aïeux sur des lieux de culte plus anciens, rappelant des origines immémoriales ». Dès le premier siècle, les Gallo-Romains y honoraient Jupiter, Mars, Vénus et Cernunnos comme on peut le voir au Musée de Cluny. Depuis 850 ans, Notre-Dame de Paris, théologie de la lumière et quête de verticalité, est devenue le vaisseau du roman national. C’est le lieu de l’histoire et même de la très longue histoire de la France et de l’Europe.

    Avec finesse et profondeur, l’abbé de Tanoüarn appelle l’attention sur le choix symbolique, pour l’ultime appel du sacrifié, d’un autel dédié à la Vierge Marie : une décision qui ne le surprend pas de la part d’un homme qui soulignait l’opposition entre la tradition européenne, qui respecte la femme, et l’islam, qui ne la respecte pas.

    Je ne sais si cette hypothèse est juste. Mais il est clair que Dominique Venner a poursuivi son dialogue avec le christianisme lors de son « suicide-avertissement » (*).

    3-Religion universelle versus religion identitaire

    Nous touchons ici un point central du point de vue de Dominique Venner : pour lui les Indiens, les Arabes, les Chinois, les Japonais ont une religion identitaire, pas les Européens qui ont une religion universelle. C’était un atout tant que l’Europe était maîtresse du monde. Cet avantage se transforme en handicap quand l’Europe en recul est atteinte par les fléaux de la repentance et de la culpabilité : « Les autres religions, même l’islam […], ou le judaïsme, mais aussi l’hindouisme, le shintoïsme ou le confucianisme, ne sont pas seulement des religions au sens chrétien ou laïc du mot, c’est-à-dire une relation personnelle à Dieu, mais des identités, des lois, des communautés ». Ce qu’aux yeux de Dominique Venner le christianisme ne peut complètement apporter, précisément parce qu’il a une vocation universelle.

    4- Retrouver la mémoire identitaire : Homère et les humanités

    D’où la nécessité pour les Européens de retrouver leur riche mémoire identitaire : « A défaut de posséder une religion identitaire à laquelle nous amarrer, nous avons en partage depuis Homère une mémoire propre, dépôt de toutes les valeurs sur lesquelles refonder notre future renaissance ». Au moment de quitter la vie, Dominique Venner reste fidèle au De Viris illustribus de sa jeunesse. Mais c’est aussi à un retour aux humanités qu’il appelle. Par les textes, par les arts et par la tenue. C’est le discours d’un éveilleur de peuple qui a mis la peau au bout de ses idées. La mort de Dominique Venner n’est pas une fin mais un commencement.

    Jean-Yves Le Gallou (Polémia, 22 mai 2013)

    (*) L’expression « suicide-avertissement » est empruntée à l’abbé Guillaume de Tanoüarn.

     

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  • De Gaulle, Jean Monnet, l'Europe et l' Allemagne...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un extrait de l'émission Ce soir ou jamais du 10 mai 2013, animée par Frédéric Taddeï au cours de laquelle Marie-France Garaud intervient sur la question européenne et sur l'Allemagne et rappelle quelques vérités sur Jean Monnet, l'agent américain...

     

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  • La Turquie et l'Union européenne...

    Alors que les ministres allemand et turc des Affaires étrangères ont déclaré vouloir donner un "nouvel élan" au processus d'adhésion de la Turquie à l'Union européenne, dans une tribune commune  parue dimanche dernier dans la Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung, Hervé Juvin revient, dans cette chronique mise en ligne le 12 mai 2013 sur Realpolitik.tv, sur cette question emblématique de l'absence de résolution de l'Europe...

     


    Turquie / Union européenne, point des relations... par realpolitiktv

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  • Quelle armée... après le Livre Blanc ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous la chronique d'Éric Zemmour sur RTL, datée du 30 avril 2013,  dans laquelle il livre son point de vue sur les conséquence du Livre Blanc sur la défense pour l'armée française...

     


    "La chronique d'Eric Zemmour" : L'armée..... par rtl-fr

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  • Pour un patriotisme économique européen !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue du député Bernard Carayon, cueilli sur le site de la fondation Prometheus, après sa publication dans Le Figaro, et consacré au patriotisme européen...

     

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    Pour un patriotisme économique européen

    Les partisans de la « mondialisation heureuse » se sont réjouis des propos du président Obama : dans son discours récent sur l’état de l’Union, il promeut un accord de libre-échange avec l’Europe. Au menu, les OGM, le bœuf aux hormones ? Pas seulement ! Les concours financiers qui ont contribué au succès d’Airbus, les droits à la propriété intellectuelle, l’exception culturelle européenne dans l’audiovisuel et le cinéma seront en balance avec des sujets où les Américains ne feront aucune concession : le « buy American act », qui, depuis 80 ans, réserve aux entreprises américaines les marchandises destinées à un usage public ; le contrôle de l’exportation des technologies sensibles ; les législations spécifiques des États fédérés.

    Le moment est bien choisi alors que l’Europe est économiquement à genoux, durablement divisée et soumise à une guerre économique. Les États-Unis, par leurs subventions officielles ou maquillées, protègent astucieusement leurs secteurs stratégiques afin de conserver leur « suprématie », selon l’expression peu libérale qu’utilisa Clinton. La Chine, la Russie, l’Inde et le Brésil, à l’abri de règles protectionnistes, développent leurs champions nationaux, rattrapent leur retard, au prix, parfois, de pillages technologiques, conquièrent de nouveaux marchés. Tous s’affranchissent des règles du libre-échange fixées par l’OMC, quand les Européens s’efforcent d’être les meilleurs élèves de la classe : par irénisme, dogmatisme, paresse intellectuelle ou fatalisme.

    Les faits sont accablants : la Commission européenne n’a toujours pas intégré la dimension stratégique de certains secteurs industriels (comme l’énergie), en privilégiant systématiquement le consommateur au producteur, la lutte contre l’inflation à la croissance, l’ouverture des frontières, sans réciprocité, sur notre indépendance. L’hétérogénéité politique, fiscale et sociale de nos pays freine une approche unie des questions environnementales, diplomatiques ou commerciales. Le choix du plus petit dénominateur commun nous paralyse ; les exemples sont légion : guerres en Irak, en Libye et au Mali, reconnaissance du Kosovo, réforme de la PAC. L’Union sacrée ne s’exprime qu’à l’occasion de crises majeures pour sauver la Grèce et la zone euro, le plus souvent d’ailleurs à l’initiative de la France ou de l’Allemagne.

    Les grands marchés publics eux-mêmes, quand ce ne sont pas nos propres entrepreneurs, ne privilégient pas l’industrie et les PME européennes : 80 % des investissements du CAC 40 sont réalisés dans les pays émergés ; Bruxelles n’a jamais incité nos cabinets d’avocat, d’audit, de courtage d’assurance et de certification, autant de métiers stratégiques, à former des champions à dimension mondiale. Comme le soulignait Paul Valéry dès 1927 : « L’Europe aspire visiblement à être gouvernée par une commission américaine. » Si l’Europe veut renouer avec l’idée de puissance et de croissance, elle doit affirmer un patriotisme économique.

    L’expression est taboue pour les naïfs ou les ultralibéraux, qui la confondent avec le nationalisme ou le protectionnisme : « Quand on veut tuer son chien, on l’accuse de la rage. » Le patriotisme économique, national ou européen, n’est jamais que la défense de ses intérêts dans le respect de la réciprocité ! Entre la fermeture illusoire des frontières et la constitution de champions industriels à socle européen et dimension mondiale, il y a la différence entre le malthusianisme et l’ambition collective !

    L’Europe n’érigera jamais de murs à ses frontières : mais elle doit à celles-ci installer des filtres, soumettant ses importations à des normes éthiques, sanitaires, sociales et environnementales. Qui pourrait lui contester le souci de défendre un modèle reconnu dans le monde entier alors qu’elle pèse 50 % du PIB mondial et 35 % des échanges ! L’Europe est forte et ne le sait pas.

    Les élections européennes sont l’occasion de réviser, avec le soutien des peuples, la politique de la concurrence afin de préserver notre modèle social et nos indépendances. Elle s’appuie principalement sur les articles 101 et 102 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne, qui interdisent la création de « champions européens » : le modèle Airbus est aujourd’hui inenvisageable dans les domaines du ferroviaire, de l’énergie ou de la pharmacie, alors que nos entreprises affrontent des géants, soutenus par des commandes publiques nationales, des aides à l’export considérables, des monnaies sous-évaluées. Si l’on ne donne pas aux industriels européens le moyen de lutter à armes égales, ils mourront, entraînant, dans le chômage, les consommateurs européens tant cajolés par la Commission.

    L’Europe doit aussi réduire ses dépendances, en adoptant une stratégie collective sur sa fourniture en métaux rares, en principes actifs pharmaceutiques et en technologies de l’information, trois domaines dans lesquels elle a, jusqu’à présent, renoncé à « voir le mal » chez ses concurrents dont les oligopoles écrasent nos entreprises et soumettent nos consommateurs à leurs prix.

    Le patriotisme économique européen n’a pas pour seuls socles les pouvoirs publics et les industriels. Il doit mobiliser les consommateurs à travers un « made in Europe », rassurant et mobilisateur sur le plan sanitaire et social, autour d’une idée simple à comprendre : l’Europe-puissance est la garantie de notre sécurité et de notre prospérité.

    Bernard Carayon (Le Figaro, 12 avril 2013)

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  • Le Grand Marché Transatlantique contre notre liberté...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Claude Bourrinet, cueilli sur Voxnr et consacré au projet, déjà bien avancé, de constitution d'un Grand Marché Transatlantique.


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    Le Grand Marché Transatlantique contre notre liberté

    La « crise » précipite les choses, aux deux sens du verbe : accélère leur cours, et les révèle, comme dans un tube à essai où se mélangent divers liquides. Ce qui semblait presque une vue de l’esprit il y a quelques lustres, et augures improbables dignes de Cassandre, devient redoutablement concret. Il fallait le temps que certains nœuds se défassent, que des résistances faiblissent, qu’une génération disparaisse. Les esprits n’étaient pas encore mûrs, expliquent les progressistes. Les temps sont désormais consommés, et la parousie est imminente.

    La ruine et le terrorisme, les chantages à la guerre et à la misère, l’invocation de la nécessité du marché, comme jadis on expliquait les hécatombes humaines par les dieux ou le destin, pèsent comme un couvercle sur l’esprit des peuples. Les fieffés coquins nous mènent savent par le bout du nez, les partis 1 et 2, en maestros du mensonge, de la perfidie et du mépris, en tricheurs maniant avec dextérité leurs cartes, embobinent les masses, et les mènent à leur perte.

    Après le putsch budgétaire européen de l'an dernier, et le basculement vers le fédéralisme ultralibéral, c’est la fusion des parties occidentales et orientales de l’Atlantique Nord qui est projetée. L’absorption de l’Europe par les Etats-Unis est proche, elle est pour demain, pour 2014 ou 2015. Les échéances sont fixées : dans deux ans, nous auront achevé notre temps, notre destin, notre existence, et nous n’aurons plus aucun pouvoir sur notre avenir.

    Comme toujours, l’Union européenne et les Etats-Unis ont manigancé leur coup par-dessus les peuples. Sans qu’ils en aient été avisés, et qu’on leur ait donné la parole, on leur annoncera bientôt une libéralisation quasi totale des échanges commerciaux et financiers, et une harmonisation complète des politiques judiciaires et sécuritaires. On agitera comme il faut la presse propagandiste, on ne prendra pas le risque du référendum, les parlements voteront comme un seul traître, et l’affaire sera pliée.

    Le coup est pourtant préparé de longue date. Mais en catimini. En 2004, en effet, le PDG d’Unilever, Président européen du Transatlantic Business Dialogue (TABD) et son homologue américain, PDG d’UPS, rencontraient à Dublin les présidents Bush, Prodi et le premier ministre irlandais dont le pays assumait la présidence tournante de l’Union européenne. Il fut question de lever les « obstacles à l’intégration » dans le domaine du commerce, des investissements et de la réglementation.

    Dans un autre domaine, la bonne volonté collaboratrice des bureaucrates de Bruxelles avait été jusqu’à échanger avec les services américains de sécurité les données sur les passagers empruntant les lignes transatlantiques. Sans réciprocité, bien sûr.

    Le projet bloquait néanmoins, notamment au niveau des biotechnologies, des problèmes environnementaux et de ceux liés à la consommation, les normes américaines de protection et de qualité étant, comme l’on sait, très laxistes (commerce et lobbies obligent). La pression des associations et des protestataires alternatifs ont sans doute eu quelque effet sur l’opinion. Les résurgences d’une guerre commerciale plus ou moins ouverte avec les USA, notamment au sujet de l’acier, mettaient aussi un frein au projet.

    Mais les Commissaires mondialistes Erkki Liikanen et Pascal Lamy veillaient, aidés efficacement par Elmar Brok, député européen chrétien démocrate allemand qui présidait la Commission des Affaires étrangères du Parlement. Tout ce beau monde agit par le truchement plus ou moins occulte, mais bien pourvu financièrement, du Réseau politique transatlantique (TPN), un « groupe de réflexion » qui rassemblait en 2004 plus de 80 parlementaires européens et environ 45 membres du Congrès ainsi que 35 entreprises géantes dont ABB, DaimlerChrysler, BP, Nestlé, UPS, IBM, Boeing, Microsoft, Philips et Unilever.

    A son tour, le mai 2008, le Parlement européen a prévu pour 2015 la création d’un grand marché transatlantique, avec , de facto, dans la plupart des secteurs, l'application du droit états-unien.

    L’objectif est bien sûr économique, et obéit à la pensée unique ultralibérale qui domine actuellement, aux dépens des peuples. Mais il est évident que l’idéologie atlantiste des responsables politiques européens y trouve sa place, l’Union européenne s’étant systématiquement alignée sur la ligne de la diplomatie étrangère américaine, en l'appuyant et en participant, via l’Otan, à ses aventures guerrières.

    L’intégration de la France au commandement intégré de l’Organisation de l’Atlantique Nord a fait sauter tous les obstacles. Le prestige français, animé par l’esprit d’indépendance gaullien, n’est plus qu’un souvenir. Pour paraphraser Tacite, comme le Sénat romain, l’élite de notre pays, comme du reste l’oligarchie de l’Europe occidentale, suivie par la partie abusée du peuple, se rue vers la servitude.

    A terme, c’est une plus grande symbiose entre les politiques et les législations américaines et européennes qui va être à l’œuvre. Mais l’on ne voit pas pourquoi et comment l’hyper puissance yankee n’imposerait pas ses normes et ses usages, dans la « protection » de l’environnement et des consommateurs, dans le domaine de la santé, au sujet du problème très sensible des OGM, , de la législation sur les produits chimiques. Tout cela se traduira inévitablement par une régression, à la grande satisfaction de ceux qui tentent, avec une obstination remarquable, de déréguler tous ces secteurs, sans trop de succès jusqu’à maintenant. Il est assuré que le Traité transatlantique va leur donner le sésame pour ouvrir toutes les portes, d’autant plus que ces combinaisons sont ficelées sans contrôle démocratique.

    Ce traité achève donc la perte de la souveraineté de l’Europe, qui, pour autant, n’en a eu que dans l’étroite marge que lui laissait la puissance américaine. Celle des 27 nations européennes a pris fin l’an dernier, par le Traité d’équilibre budgétaire européen. Or, les lois qui régissent les relations internationales sont comme celles de la nature, nonobstant l’inévitable hypocrisie inhérente à l’espèce humaine. Le plus fort impose sa volonté, que l’on essaiera d’incarner, par exemple, par l’usage obligatoire de l’anglais comme langue maternelle.


    .Parallèlement, la création d’un espace commun de contrôle des populations, d'une aire de coopération transatlantique en matière de « liberté de sécurité et de justice" est prévue d’ici 2014, surtout au profit de l’ultra sécuritaire Etat américain, obsédé par le terrorisme et encouragé par le Military Commissions Act of 2006, qui permet de poursuivre toute personne quelle qu’elle soit, y compris non américaine, considérée comme ennemi, « combattant illégal ».

    L’étape suivante sera la réalisation d'un pouvoir exécutif, qui sera institué dans les dix ans, et qui usera comme il l’entend de la force judiciaire, policière et militaire. Les peuples devront se plier. Et comme le processus de domestication ne s’effectuera pas sans réactions, il est probable que des révoltes auront lieu, sans doute violentes, avec des réponses répressives adéquates. Une ère de dictature s’annonce.

    Nous sommes, nous, Français, Européens, à un tournant de notre histoire. Sera-t-il dit que nous ne savions pas, et que, quand il sera trop tard, nous n’ayons d’autre choix qu’entre la servitude et la mort ?

    Claude Bourrinet (Voxnr, 2 février 2013)

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