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immigration - Page 89

  • Une autre économie est possible !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Pierre Le Vigan, cueilli sur Voxnr et consacré aux travaux du groupe des "Économistes attérrés".

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    Une autre économie est possible

    Aberrante, atterrante et néfaste : telle est l’orientation de l’économie actuelle. Une économie qui met l’homme au service de l’accumulation de l’argent. De là une réaction salutaire chez quelques spécialistes de la chose économique. Avec un fil conducteur : ne pas se laisser enfermer dans l’économisme. Ainsi sont nés les économistes atterrés. Ils ont fait irruption en 2010 avec un Manifeste qui a renversé la table. Ils avaient de quoi être atterrés par quelques oublis des libéraux. D’où leurs piqûres de rappel : sans l’Etat, disent-ils justement, l’économie ne fonctionnerait pas ; sans les dépenses sociales, la consommation s’effondrerait. Quant aux prélèvements obligatoires chacun doit savoir qu’ils sont en bonne part redistribués y compris aux entreprises. Il faut aussi prendre en compte l’ambiguïté de la notion de prélèvement obligatoire : ainsi, on ne compte pas, aux États-Unis ou en Chine, les dépenses privées laissées à chacun pour la santé et l’éducation, qui sont en fait des prélèvements quasi-obligatoires, alors que ces dépenses sont comptabilisées en France car elles sont publiques.

    Les économistes atterrés s’invitent maintenant dans le débat de 2012. Avec un constat et surtout des propositions : la réhabilitation du keynésianisme (Henri Sterdiniak), un développement soutenable distinct du dogmatisme de la décroissance (Jean-Marie Harribey), le recentrage des banques sur le financement de l’économie et non sur la finance de marché (Frédéric Boccara), la réhabilitation de l’impôt, la mise en place d’une fiscalité à nouveau progressive comme elle l’était dans les années 60 et 70 sous de Gaulle et Pompidou, des propositions de réduction radicale des possibilités d’activités financières spéculatives nocives à l’économie productive (Frédéric Lordon), la mise en place d’un système socialisé et relocalisé du crédit.

    Les vérités cachées par les libéraux sont rappelées : le poids de la dette publique est moins important que celui de la dette privée, la Sécurité Sociale n’entre que pour moins de 10 % dans la dette publique, la part des salariés qui ne sont payés qu’au SMIC augmente tandis que ce salaire minimum augmente systématiquement moins que la productivité du travail. Les économistes atterrés pointent les tendances de fond : l’individualisation des protections sociales à la place des solidarités collectives, le recours accru aux assurances privées, aux frais de gestion bien supérieurs à ceux des assurances publiques, les entreprises poussées par la financiarisation à se concentrer sur les seuls secteurs à forte profitabilité et à développer la sous-traitance à bas prix, éventuellement dans le tiers monde, brisant ainsi l’unité du collectif de travail. Avec comme conséquence la baisse de la part des salaires dans la valeur ajoutée.
    C’est pourquoi les auteurs proposent de faire de l’entreprise un véritable sujet de droit dans lequel seraient représentés salariés et sous-traitants. Ce pourrait être le moyen de mettre en place un grand chantier d’amélioration des conditions de travail, loin des utopies démobilisatrices de la « fin du travail » - et de son corollaire le revenu de citoyenneté . La poursuite, étendue à l’Europe, de la réduction du temps de travail et la mise en place d’un SMIC européen pourraient favoriser l’emploi. Les économistes atterrés engagent donc la lutte des idées pour sortir du mondialisme, de la financiarisation et de l’économisme. Ils laissent toutefois deux points de côté. L’un est la question du protectionnisme européen. Comment ne pas voir que c’est un passage essentiel vers une autre économie ? Même s’il n’est pas suffisant à lui seul. Comment ne pas en faire un productivisme à l’échelle européenne mais un projet neuf ? La deuxième question qui est occultée est le rôle de l’immigration. Comment ne pas voir qu’elle sert à peser à la baisse sur les salaires et à éviter la recherche de gains de productivité ? Comment ne pas voir qu’elle est « l’armée de réserve du capital » ?

    Encore un effort camarades !

    Pierre Le Vigan (Voxnr, 29 mars 2012)

    Notes

    Cf. l’analyse nuancée d’Alain de Benoist, Au bord du gouffre (éd. Krisis, 2012.

    Les économistes atterrés, Changer d’économie, nos propositions pour 2012, Les liens qui libèrent, 246 pages, 18,50 E

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  • Les citadins des champs...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Georges Feltin-Tracol, cueilli sur le site Europe Maxima et consacré à cette France rurale et péri-urbaine, oubliée et méprisée par la classe politico-médiatique...

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    Les citadins des champs

    En 1926, Louis Aragon publiait Le Paysan de Paris. Aujourd’hui, il l’intitulerait certainement Le Parisien de Province… En effet, à la lueur des dernières données de l’I.N.S.E.E. rendues publiques le 17 janvier 2012, on apprend que sept Français sur dix éprouvent un fort attachement à leur région natale, qu’ils y demeurent ou qu’ils y reviennent pour des raisons professionnelles ou au moment de leur retraite après des années d’expatriation en Île-de-France ou à l’étranger. Tout le contraire ici du mode de vie étatsunien ! En revanche, un constat inquiétant est resté inabordé, celui de la fragmentation géo-sociale du territoire.

    Pendant des siècles, l’espace géographique s’organisait autour d’une dualité « classique » entre la ville (ou l’ensemble urbain) et la campagne (ou le monde rural). Toutefois, dès le milieu des années 1930, la majorité des Français vivait en ville. La « révolution agricole » ou « silencieuse » des années 1950 – 1960 favorisa l’exode rural, d’où un étalement des aires urbaines aux dépens des terres agricoles, des prés et des bois. On assiste cependant depuis deux décennies à une inversion notable du phénomène. Les campagnes presque vides se remplissent de nouveau avec la venue de citadins. Par cet exode urbain apparaît désormais une nouvelle structuration du territoire national avec des zones urbaines en pleine croissance, des campagnes reculées en déshérence et un « entre-deux » qualifié par les géographes d’espace péri-urbain ou de rurbain (contraction de rural et d’urbain).

    Les métropoles, les agglomérations et les aires urbaines représentent d’indispensables atouts économiques mondiaux avec leurs quartiers d’affaires (La Défense dans l’Ouest parisien, La Plaine Saint-Denis à l’Est de la Capitale, Euralille dans le Nord, La Part-Dieu à Lyon). Mais cette fonction de compétition ne correspond plus ou très mal à des lieux d’habitation et de convivialité quotidienne. La priorité accordée aux bureaux pousse les ménages à déménager dans les périphéries. C’est ainsi que les catégories moyennes et populaires (employés, artisans, cadres inférieurs ou intermédiaires, petits fonctionnaires…) délaissent la ville-centre et/ou le centre-ville pour des pavillons résidentiels bâtis au moyen d’un endettement bancaire. Elles fuient aussi la cherté des loyers du centre-ville, la hausse de la fiscalité locale et une promiscuité souvent insupportable avec des groupes ethniques différents. Puisque tout le monde veut son habitat individuel, la ville s’étend par conséquent au détriment des campagnes proches…

    Ces départs sont toutefois compensés par l’installation de ménages « bo-bo » (bourgeois-bohême) dont les revenus élevés permettent l’acquisition ou la location d’appartements ou de lofts de haut standing. De ce fait, le XVIIe arrondissement parisienne, le quartier de Belleville ou la Croix-Rousse à Lyon s’embourgeoisent et adoptent un caractère huppé, tendance et branché. Vivant non loin de rues à population exotique, les « Bo-Bo » réalisent leur rêve multiculturaliste tout en s’efforçant bien sûr d’inscrire leur progéniture à l’école, puis au collège privés plus réputés que les établissements publics du quartier classés en zone prioritaire…

    L’implantation massive et continue de catégories populaires et moyennes en périphérie immédiate des villes ou dans des coins plus excentrés accentue un mitage préjudiciable de l’espace. Ce mitage efface progressivement la distinction ville – campagne. Il attise aussi la concurrence fonctionnelle des terrains : le lopin convoité demeurera-t-il un champ cultivé ou bien deviendra-t-il un terrain à bâtir, un futur emplacement routier, ferroviaire ou autoroutier, ou un lieu de production énergétique (implantation d’éoliennes, de panneaux solaires ou de biocarburants) ?

    Les villages, y compris les plus perdus, voient pousser autour d’eux de nouveaux ensembles pavillonnaires horizontaux uniformes. Les nouveaux arrivants ne s’embarrassent pas d’exiger des édiles tout le confort urbain sans subir les inconvénients de l’existence rurale, d’où des plaintes répétées contre les cloches de l’église ou le cri matutinal du coq. À terme, si se poursuit l’« exode urbain », il est probable que l’ensemble métropolitain dont l’intercommunalité en est une préfiguration en fasse de simples communes – dortoirs.

    Quant au rural profond encore dominant dans la Creuse, en Haute-Loire, en Ardèche, en Lozère, dans la Nièvre ou en Champagne-Ardenne, il dépérit doucement en raison d’un désintérêt et d’un mépris marqués des pouvoirs publics envers les populations locales. Après la fermeture de l’école, des services administratifs, du bureau de poste, du dispensaire médical, de la gare, de la desserte routière, du café, de l’épicerie, voilà maintenant que la Poste retire ses boîtes aux lettres jaunes et qu’Orange enlève les dernières cabines téléphoniques des places du marché. Quant au rectorat, il supprime volontiers une ou deux classes du primaire alors que la commune (ou le cadre intercommunal) a financé la réfection ou la construction de nouvelles salles de classe. Une véritable colonisation intérieure s’opère, car, dans le même temps, les projets déments d’enfouissement de déchets ménagers ou nucléaires dans ces territoires abandonnés se multiplient.

    Les campagnes essentiellement peuplées de « petits Blancs » ne brûlent aucune bagnole et demeurent profondément légalistes. L’État peut s’en détourner ostensiblement et ignorer leur paupérisation flagrante. Oui, les campagnes françaises sont plus pauvres que les banlieues dont le taux élevé de chômage et la misère « officielle » statistique maquillent une autre réalité, celle d’une « narco-économie » souterraine, informelle, en pleine expansion. Quant aux immigrés, ils ne s’enrichissent pas parce qu’ils transfèrent leurs économies là-bas au pays.

    L’éloignement du lieu de travail par rapport au domicile nécessite deux voitures minimum quand la nouvelle résidence n’est pas (ou mal) desservie par les transports collectifs. La flambée du prix du carburant signifie une hausse du budget transport supportée par des familles déjà en situation précaire. Et cela risque de s’aggraver avec la mise en place, tôt ou tard – soyons-en certains ! – d’une taxe carbone qui pénaliserait encore plus des familles incapables d’emprunter le Vélib’ ou le Vélove !

    L’actuelle crise systémique atteint durement cette « troisième France » qui, hors des villes et des banlieues de non-droit, pourrait devenir le cadre de véritables jacqueries post-modernes. Aux XIXe et XXe siècles, les villes regroupaient les « classes dangereuses ». Aujourd’hui et encore plus demain, l’étincelle de la révolte ne surgira pas des banlieues de l’immigration contrôlées par les caïds de la drogue ni des centres urbains « bo-bo-isés », mais de ces nouvelles campagnes urbanisées.

    Georges Feltin-Tracol (Europe Maxima, 18 mars 2012)

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  • Le sanspapiérisme...

    Les éditions Xénia publient cette semaine un essai de Luc Gaffié intitulé Le sanspapiérisme. Luc Gaffié est, par ailleurs l'auteur d'un essai sur les idées du conservatisme américain.

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    "A partir de la pudibonderie suscitée par le politiquement correct, on a laissé s'établir en France une réalité parallèle fondée sur un simple abus de termes : les "sans papiers", nous dit Luc Gaffié, cela n'existe que dans les mots.
    Une analyse élégante et pénétrante d'un des grands tabous idéologiques de notre temps."
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  • Immigration : la France a-t-elle encore les moyens ?...

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    Nous reproduisons ci-dessous le communiqué de l'Institut de géopolitique des populations qui organise le 16 février 2012 à Paris un colloque sur le thème de l'immigration et de son coût.

    Colloque de l’Institut de géopolitique des population

    A l’ASIEM,
    6 rue Albert de Lapparent,
    Paris VIIe, de 9h à 18h,

    l’équipe d’Yves-Marie Laulan répondra à la question suivante :

    « Peut-on raisonnablement calculer le coût de l’immigration ? »

    La journée commencera par la présentation d’un tableau de bord : combien rentre-t-il d’immigrés supplémentaires chaque année ? Et quel est le solde des entrées ? Moins de 100.000, disent les médias de l’oligarchie ; plus du double, selon un décryptage sérieux des chiffres officiels.

    Quid des avantages économiques ? Ils sont indiscutables à court terme pour les employeurs privés et les grandes entreprises qui utilisent l’immigration pour faire baisser les salaires ; mais avec des conséquences macroéconomiques négatives : l’innovation est découragée, la balance des comptes dégradée et le chômage augmenté, un point particulièrement sensible déjà noté en 2009 par une étude du Conseil d’analyse économique (CAE) sur « Immigrations, qualifications et marché du travail ».

    http://www.cae.gouv.fr/IMG/pdf/CAE84_Resume_FR.pdf
    http://www.cae.gouv.fr/IMG/pdf/084.pdf

    Et si l’immigration n’était pas une bonne affaire pour la France ?

    Peut-on chiffrer le coût de l’immigration clandestine ?Peut-on chiffrer le coût de l’entrée des nouveaux étrangers en France ? Coûts en droits sociaux (tout résident nouveau accédant immédiatement aux mêmes droits que les Français) ; coûts en termes de chômage ; et, surtout, coûts en besoins d’infrastructures supplémentaires : logements, transports, écoles, hôpitaux, prisons ? Comment passer sous silence le magistral point de vue du prix Nobel Maurice Allais estimant à près de 100.000 € le coût des infrastructures nécessaires pour accueillir un étranger supplémentaire ?

    Enfin, peut-on passer sous silence les coûts psychologiques et sociétaux de l’immigration ?

    Pour redresser les comptes publics, il faut poser la question du coût de l’immigration

    Bref, il est douteux que la poursuite de l’immigration soit une bonne affaire pour la France, a fortiori dans un contexte budgétaire tendu. Aujourd’hui, il n’est pas raisonnable d’envisager le redressement des comptes publics sans poser la question du coût de l’immigration.

    C’est ce que feront jeudi 16 février 2012 les invités d’Yves-Marie Laulan : Charles Zorgbibe, Jacques Bichot, André Pertuzio, Jean-Paul Gourevitch, Jean-Yves Le Gallou, Philippe Conrad, Joëlle-Anne Robert.

     

     

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  • 100 ans de HLM...

    Nous reproduisons ci-dessous un texte de Pierre Le Vigan consacré au centième anniversaire de la politique de logement social. Ceux qui veulent réfléchir à la question du logement, de l'habitat, de la banlieue et de la ville pourront utilement se plonger dans le dernier essai de cet auteur La banlieue contre la ville - Comment la banlieue dévore la ville, disponible sur commande aux éditions de La barque d'or.

     

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    100 ans de HLM

    En 1894 la loi Siegfried permettait la construction plus aisée de logements à bon marché en facilitant les conditions de prêts aux organismes constructeurs. Mais ce n’est qu’en 1912 que la loi Bonnevay réglemente les conditions de construction des HLM et rend possible la création d’offices de construction par l’Etat, les communes et les départements. Cette loi a 100 ans. Cent ans de logement social.

    C’est à l’occasion de ce centenaire qu’une exposition se tient du 8 février au 30 mai 2012 à Saint-Denis 6 rue de la Légion d’honneur à l’initiative de Plaine commune habitat ; un regroupement intercommunal d’offices HLM.

    L’exposition est d’un grand intérêt historique. Mais elle comporte des angles morts. L’habitat social aussi nécessaire soit-il ne peut prendre n’importe quelles formes. Les grands ensembles résolvent des besoins quantitatifs (plus ou moins) mais pas des besoins humains. L’habitat social ne peut non plus résoudre les problèmes posés par une immigration de masse, excessive depuis les années 1970.

    En outre une bonne part des problèmes de logement viennent d’un accroissement des arrivées d’immigrés (au moins 200 000 par an), venant de régions du monde les plus diverses et donc soumis à un violent déracinement, source de traumatismes sociétaux aussi bien pour eux que pour le peuple d’accueil qu’est le peuple français dit « de souche » (c'est-à-dire celui dont la composition était restée largement homogène depuis des siècles comme l’ont montré les travaux de Jacques Dupâquier).

    Il n’en reste pas moins que l’enjeu du logement est essentiel. Celui-ci est l’enveloppe de l’homme. C’est son étui. Le quartier est quant à lui l’environnement le plus proche de l’homme. Au moment où se fait jour la nécessité de relocaliser en d’autres termes de démondialiser l’économie, la relocalisation du logement et des populations du monde par rapport à leur habitat d’origine (qui n’est pas dissociable de leur culture d’origine) s’impose aussi. Il faut relocaliser l’habitat. Vaste ambition mais nécessaire ambition.

    Ce n’est pas la récente (janvier 2012) proposition de Nicolas Sarkozy de « libérer » la construction de logements en augmentant les droits à construire de 30 % qui va dans le bon sens. Elle tourne le dos à toutes les tentatives de retrouver au contraire la bonne échelle des politiques de construction. Elle tourne le dos aux exigences de qualité et d’insertion du nouveau bati dans l’existant. Cette proposition est par contre bien cohérente par rapport à ce qu’on appelle parfois néo-libéralisme et qui est bien plutôt un ultra-libéralisme, un retour au libéralisme pur et dur, libéré des entraves du compromis fordiste, et se fixant comme projet de défaire le programme du Conseil National de la Résistance, comme l’avait affirmé un grand dirigeant du patronat.

    Pierre Le Vigan

     

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  • Les snipers de la semaine... (37)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur le site de Marianne, Variae dézingue Sarkozy, le président qui minaude...

    Sarkozy, une midinette égocentrique

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     - sur Metamag, Slimane Dermouche met dans son viseur les médias français qui, étrangement, restent assez silencieux sur la question des "crimes d'honneur"...

    L'honneur revient dans les fourgons de l'immigration

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