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déclin - Page 3

  • Réflexions sur l'Europe, le déclin et le renouveau hespérialiste...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donné par David Engels à Ego Non et consacré au déclin de l'Europe ainsi qu'à la voie à suivre pour un renouveau de notre civilisation.

    Historien, spécialiste de l'antiquité romaine et président de la société Oswald Spengler, David Engels, qui vit en Pologne, est devenu une figure de la pensée conservatrice en Europe et est l'auteur de deux essais traduits en français, Le Déclin. La crise de l'Union européenne et la chute de la République romaine (Toucan, 2013) et Que faire ? Vivre avec le déclin de l'Europe (Blauwe Tijger, 2019). Il a également dirigé un ouvrage collectif, Renovatio Europae - Plaidoyer pour un renouveau hespérialiste de l'Europe (Cerf, 2020).

     

                                              

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  • Requiem pour la France d'avant...

    Dans « Les portraits d’Éléments », vous pouvez découvrir ce mois-ci un entretien avec Patrick Buisson. Politologue et historien, Patrick Buisson, qui est notamment l'auteur d'une étude historique originale et éclairante, 1940-1945, années érotiques (Albin Michel, 2008), et d'un essai politique important, La cause du peuple (Perrin, 2016), vient de publier La fin d'un monde (Albin Michel, 2021).

     

                                          

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  • Le déclin de l'Occident...

    Les éditions Gallimard viennent de rééditer au format poche le grand ouvrage d'Oswald Spengler intitulé Le déclin de l'Occident - Esquisse d'une morphologie de l'histoire universelle, avec une préface de Johann Chapoutot. 

    A titre d'introduction à cette œuvre puissante et foisonnante, les lecteurs pourront utilement consulter le numéro de la revue Nouvelle Ecole (n°59-60, mars 2011) dédié à son auteur ainsi que les essais d'Alain de Benoist, Quatre figures de la Révolution conservatrice allemande (Les amis d'Alain de Benoist, 2014) et de Gilbert Merlio, Le début de la fin ? (PUF, 2019).

     

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    " Déracinement par l'exode rural, aliénation par le travail, nervosité et neurasthénie de la vie urbaine, mais aussi migrations et mélanges. Oswald Spengler se penche en philosophe sur ces questions et y voit le déclin de l'Occident, perçu comme une dégénérescence biologique. Chaque grande civilisation est un organisme vivant qui naît, croît, se corrompt et meurt, puis est remplacé par un nouveau au rythme de la lente pulsation des siècles.
    Le premier volume paraît en 1918, au moment de l'effondrement allemand, le second en 1922, et Spengler semble fournir à un public en désarroi une herméneutique de son malheur, ainsi qu'un message d'espoir. Le pédagogue inconnu devient une figure majeure de la "révolution conservatrice", qui prône de réagir au déclin et aux effets négatifs de la modernité par l'instauration d'un régime autoritaire et d'un socialisme national, qui n'est cependant pas, tant s'en faut, le national-socialisme. "

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  • Le déclin de l'Europe ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donné par David Engels à Dominicains.Tv, en décembre dernier à l'occasion de la publication en français de son essai Que faire ? Vivre avec le déclin de l'Europe (Blauwe Tijger, 2019). Historien, spécialiste de l'antiquité romaine, David Engels est déjà l'auteur d'un autre essai traduit en français, Le Déclin. La crise de l'Union européenne et la chute de la République romaine (Toucan, 2013) et a dirigé un ouvrage collectif, Renovatio Europae - Plaidoyer pour un renouveau hespérialiste de l'Europe (Cerf, 2020).

     

                                         

                                         

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  • Une introduction à l'oeuvre d'Oswald Spengler...

    Nous reproduisons ci-dessous un texte d'Alain de Benoist, cueilli sur le site de l'Institut Iliade et initialement publié dans la revue Nouvelle Ecole, consacré à Oswald Spengler et à son oeuvre dans le domaine de la philosophie de l'histoire.

    Ceux qui veulent aller plus loin, avant d'aborder le livre essentiel de cet auteur, Le déclin de l'Occident, pourront se plonger avec intérêt dans le dossier de Nouvelle Ecole (n°59, décembre 2010) mais également dans l'essai d'Alain de Benoist, Quatre figures de la Révolution Conservatrice allemande (Les amis d'Alain de Benoist, 2014) et dans celui de Gilbert Merlio, Le début de la fin ? (PUF, 2019).

     

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    Oswald Spengler : une introduction
     
    En 1925, André Fauconnet pouvait écrire : « Depuis la fin de la guerre mondiale, aucune oeuvre philosophique n’a eu, dans l’Europe centrale, un retentissement comparable à celle de Spengler »1. Le propos est à peine exagéré. La parution du premier volume du Déclin de l’Occident, en avril 1918, quelques mois avant la fin la Première Guerre mondiale, fit l’effet d’un coup de tonnerre2. L’écho rencontré en Allemagne, en particulier, fut phénoménal, ainsi qu’en témoigne le nombre de livres et de brochures publiés à leur tour pour lui répondre, le commenter, l’encenser ou le critiquer. L’une des raisons de ce succès, comme le remarqua Ernst Cassirer, fut incontestablement le titre du livre, qui avait été inspiré à Spengler par un ouvrage d’Otto Seeck paru à la fin du XIXe siècle3.
     
    Violemment critiqué par Heinrich Rickert et Otto Neurath4, traité de « trivial cochon » (triviale Sauhund) par Walter Benjamin et de « Karl May de la philosophie » par Kurt Tucholsky, Spengler fut au contraire salué par Georg Simmel, à qui il avait envoyé un exemplaire de son livre, comme l’auteur de la « philosophie de l’histoire la plus importante depuis Hegel », ce qui n’était pas un mince compliment5. L’ouvrage fit aussi grande impression sur Ludwig Wittgenstein, qui approuvait le pessimisme de Spengler, ainsi que les grandes lignes de sa méthode, sur l’économiste Werner Sombart, ainsi que sur l’historien Eduard Meyer qui, après une discussion de cinq heures avec l’auteur du Déclin de l’Occident, devint son admirateur et son ami6. Max Weber fut moins impressionné, mais n’en invita pas moins Spengler à prendre la parole dans le cadre de son séminaire de sociologie à l’Université de Munich en décembre 1919. Quant à Heidegger, qui cite souvent Spengler, mais ne lui a jamais consacré d’étude exhaustive, il prononça en avril 1920, à Wiesbaden, une conférence sur Le déclin de l’Occident7.

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  • Tour d'horizon... (180)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Theatrum Belli, Matthieu Debas, officier et spécialiste des arts martiaux,  estime que les Européens on besoin de renouer avec l'esprit guerrier pour sortir de la spirale du déclin...

    La martialité…Plus que jamais d’actualité

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    - devant le Cercle Aristote, le philosophe Dany Robert-Dufour présente l'histoire souterraine du capitalisme...

    Une histoire souterraine du capitalisme

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