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Livres - Page 72

  • Pourquoi étaient-ils anti-bourgeois ?...

    Les éditions Ars Magna viennent de publier un essai de Salvatore Gatto intitulé Pourquoi sommes-nous anti-bourgeois ? . Avocat, journaliste et écrivain, Salvatore Gatto a été secrétaire national adjoint des Groupes universitaires fascistes et vice-président de l'École de mystique fasciste. Blessé au combat en Espagne, il a ensuite intégré la direction du parti national fasciste. Après la guerre, il est devenu l'un des dirigeants du MSI.

     

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    " Le fascisme identifia, dès sa création, la dangerosité du phénomène historique de la bourgeoisie et prit l’initiative de la combattre en la considérant comme le pire des maux menaçant la civilisation européenne.
    Un mal plus dangereux encore que le communisme. Le fascisme s’arma d’idées et d’instruments politiques, puis militaires, visant à barrer la route à la dictature des pouvoirs économiques détenus par les grands bourgeois, concevant par là une véritable inversion du sens de l’histoire. À l’origine, le fascisme italien, fut le seul à se lancer dans ce retournement historique, avant d’être suivi par ses émules européens et extra-européens. Cette vague d’opposition s’acheva avec la Deuxième Guerre mondiale, qui fut une lutte épique pour la défense du sang contre l’or - comme l’affirmait un slogan de l’époque -, c’est-à-dire une défense de l’homme contre la prépondérance de l’affairisme, de l’esprit contre la matière, des peuples contre les oligarchies de l’exploitation économique planétaire.
    Pourquoi nous sommes antibourgeois ?, œuvre d’un dirigeant des Groupes universitaires fascistes et de l’École de mystique fasciste, théorise pourquoi les fascistes des années 1930-1940 devaient s’opposer à la bourgeoisie. Presque un siècle plus tard l’argumentation de cet ouvrage reste d’actualité. "

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  • La conquête du cheval...

    Les éditions Odile Jacob ont récemment publié un ouvrage de Ludovic Orlando intitulé La conquête du cheval - Une histoire génétique. Docteur en paléogénétique, Ludovic Orlando dirige le centre d’anthropobiologie et de génomique de Toulouse à l’université Paul-Sabatier. Il a participé au séquençage du premier génome humain ancien et a repoussé les limites d’analyse de l’ADN au-delà du demi-million d’années. 

     

    Orlando_La conquête du cheval.jpg

    " Des chevaux rupestres aux champions des champs de courses, c’est l’histoire du cheval et du long compagnonnage que nous avons entretenu avec lui que nous conte ici Ludovic Orlando.
    Son livre est une passionnante enquête généalogique, mêlant génomique de pointe, archéologie, histoire des peuples, des langues et des migrations.
    Qu’ils soient chevaux de Botaï ou de Przewalski, pur-sang anglais ou arabes, mules ou mulets, destriers médiévaux ou encore montures des Vikings et de Gengis Khan, avec la génétique, nous savons désormais à quoi ils ressemblaient et d’où ils venaient.
    L’ADN résout certes des énigmes mais il pose aussi de nouvelles questions : grâce à lui, Ludovic Orlando nous offre un extraordinaire voyage dans l’espace et dans le temps, accrochés à la crinière – et aux fossiles – d’animaux splendides qui font rêver. "

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  • La Nouvelle Droite au XXIe siècle...

    Les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de rééditer sous le titre La Nouvelle Droite au XXIe siècle - Orientation pour les années décisives, le Manifeste pour une renaissance européenne que le Groupement de recherche et d’études pour la civilisation européenne avait publié en 2000 et qui était devenu introuvable. Ce texte d'orientation, qui n'a pas pris une ride, est complété par une préface inédite d'Alain de Benoist

     

    Benoist_La Nouvelle Droite au XXIe siècle.jpg

    "La publication de ce manifeste répondait au désir exprimé par un nombre croissant de personnes de connaître les grandes orientations doctrinales du Groupement de recherche et d’études pour la civilisation européenne. En trente années d’existence, ce courant de pensée n’avait jamais rédigé de véritable synthèse de l’ensemble de ses travaux. Reflet momentané d’une réflexion permanente, ce manifeste se lit comme un bilan d’étape, un jalon dans une aventure métapolitique qui a réussi à s’inscrire dans la durée et dont les travaux sont désormais internationalement connus et reconnus. Outre les fondements théoriques d’une vision du monde, le texte aborde l’ensemble des questions de société auxquelles sont confrontés les Européens, en leur apportant des réponses novatrices. Texte engagé, ce manifeste donne les clefs indispensables pour affronter les nombreux défis du XXIe siècle. À l’agitation politicienne et à la diversion médiatique, il oppose une mise en perspective lucide des véritables enjeux idéologiques. Et forme ainsi le socle d’une « politique de civilisation » à l’échelle du continent européen."

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  • Les années de formation d’Adolf Hitler...

    Les éditions du CNRS viennent de publier un essai d'Anne Quinchon-Caudal intitulé Avant Mein Kampf - Les années de formation d’Adolf Hitler. Germaniste, maîtresse de conférences à l’Université Paris Dauphine, Anne Quinchon-Caudal est déjà l'auteur de Hitler et les races - L'anthropologie nationale-socialiste (Berg international, 2013).

     

    Quinchon-Caudal_Avant Mein Kampf.jpg

    " Dans Mein Kampf, l’autobiographie qu’il rédigea en 1924-1925, Hitler donne de lui-même l’image d’un parfait autodidacte à la vision du monde totalement constituée. Pourtant, le trentenaire qui entra en politique au sortir de la Première Guerre mondiale n’avait pas d’opinions bien arrêtées, ni même de fortes convictions antisémites.
    S’appuyant sur les premiers textes d’Hitler, traduits ici pour certains pour la première fois, Anne Quinchon-Caudal retrace les années de formation de ce soldat qui trouva à partir de 1919 une seconde famille auprès du Parti allemand des travailleurs. Celui-ci entretenait des relations plus ou moins étroites avec une nébuleuse d’idéologues nationalistes et racistes, qui entendaient défendre les intérêts du peuple allemand « authentique » contre une multitude d’ennemis, supposés vouloir la mort de la germanité.
    C’est ce milieu qui donna à Hitler les éléments de langage de sa propagande, des mots qui entrèrent en résonnance avec la situation d’une large frange de la population. Une population appauvrie par la guerre et révoltée par ses conséquences, que le politicien harangua toujours plus radicalement lors des meetings du Parti national-socialiste. Mais c’est surtout dans ce milieu qu’Hitler rencontra celui qui allait devenir son maître à penser : l’écrivain antisémite Dietrich Eckart.
    Anne Quinchon-Caudal propose dans ce livre une histoire des idées hitlériennes et de leur évolution, de la fin de la Grande Guerre à l’échec du putsch de la Brasserie en 1923. "

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  • Techno-science et retour aux valeurs ancestrales...

    Les éditions L'Æncre, en coopération avec l'Iliade, viennent de rééditer L'Archéofuturisme - Techno-science et retour aux valeurs ancestrales, un des essais majeurs de de Guillaume Faye.

    Figure de la Nouvelle Droite dans les années 70-80, auteur d'essais importants, servis par un style étincelant, comme Le système à tuer les peuples (Copernic, 1981) ou L'Occident comme déclin (Le Labyrinthe, 1984), Guillaume Faye, après dix années d'errance dans les milieux de la radio et du show-business, est revenu au combat idéologique en 1998 avec L'archéofuturisme (L'Æncre, 1998) puis La Colonisation de l'Europe : discours vrai sur l'immigration et l'Islam (L'Æncre, 2000), notamment. Il est décédé le 6 mars 2019.

    Faye_L'archéo-futurisme.jpg

    « La querelle entre « traditionalistes » et « modernistes » est devenue stérile. Il ne faut être ni l’un ni l’autre, mais archéofuturiste. » Telle est l’alternative proposée par Guillaume Faye dans cet ouvrage novateur. Dans la droite lignée de Nietzsche et de Giorgio Locchi, ses deux principaux inspirateurs, Guillaume Faye propose ici une nouvelle stratégie pour « l’Interrègne », cette période de transition entre la fin d’un monde et la naissance d’un nouveau. Car si nous sommes à la minuit du monde, selon le mot de Hölderlin, il faudra que le matin nous appartienne quand le soleil se lèvera. À cette fin, l’auteur nous propose de nombreux concepts révolutionnaires et subversifs dans le but d’ouvrir de nouvelles pistes de réflexion et de construire une vision du monde capable de faire face à la convergence des catastrophes qui frappe aujourd’hui le monde européen. Les valeurs égalitaristes sanctifiées par la modernité perdent pied, mais encore faut-il être capable de proposer de nouvelles valeurs pour les dépasser.

     

     

    « La querelle entre « traditionalistes » et « modernistes » est devenue stérile. Il ne faut être ni l’un ni l’autre, mais archéofuturiste. » Telle est l’alternative proposée par Guillaume Faye dans cet ouvrage novateur. Dans la droite lignée de Nietzsche et de Giorgio Locchi, ses deux principaux inspirateurs, Guillaume Faye propose ici une nouvelle stratégie pour « l’Interrègne », cette période de transition entre la fin d’un monde et la naissance d’un nouveau. Car si nous sommes à la minuit du monde, selon le mot de Hölderlin, il faudra que le matin nous appartienne quand le soleil se lèvera. À cette fin, l’auteur nous propose de nombreux concepts révolutionnaires et subversifs dans le but d’ouvrir de nouvelles pistes de réflexion et de construire une vision du monde capable de faire face à la convergence des catastrophes qui frappe aujourd’hui le monde européen. Les valeurs égalitaristes sanctifiées par la modernité perdent pied, mais encore faut-il être capable de proposer de nouvelles valeurs pour les dépasser.
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  • Manifeste pour briser les chaînes de l'usure...

    Les éditions Culture & Racines viennent de rééditer un essai de Gottfried Feder intitulé Manifeste pour briser les chaînes de l'usure, avec une présentation de Michel Drac. Ingénieur et économiste, Gottfried Feder (1883-1941) a été un des dirigeants du parti national-socialiste allemand et un des concepteurs de son programme économique, avant d'être, dès 1931, progressivement mis sur la touche par Hitler à cause de son anticapitalisme trop radical. Il a également été l'un des théoriciens des cités-jardins.

     

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    " Gottfried Feder écrivit en 1919 ce livre prophétique parce qu’il voulait alerter l’opinion allemande sur le risque d’hyperinflation. En 1923, lorsque la valeur du mark s’effondra, tout le monde put vérifier qu’il avait eu entièrement raison. Et 1929 aussi devait donner raison à Feder. Il avait démontré la perversité de la mécanique de l’argent-dette… et la Grande Dépression fut l’implosion d’une économie appuyée sur cette mécanique infernale.

    Encore aujourd’hui, on peut apprendre de Feder. A travers une analyse simple mais percutante des rapports de forces à l’intérieur du Capital, il annonçait, il y a près de cent ans, le triomphe futur des acteurs oligopolistiques d’une finance totalement mondialisée et virtualisée, au détriment du capital industriel national. Et il prédisait, déjà, que la montagne de dettes qui naîtrait de ce triomphe menacerait tôt ou tard d’engloutir le monde entier dans une catastrophe économique inouïe.

    Nous y sommes. Et voilà une première raison de publier aujourd’hui une traduction française du « Manifeste pour briser les chaînes de l’usure ». Mais il existe aussi une deuxième raison : ce manifeste constitue un document historique d’une très grande importance. Gottfried Feder était avant tout un militant.

    En janvier 1919, il avait participé à la fondation d’un petit parti politique, en Bavière : le Parti des Ouvriers Allemands. L’organisation vivota quelques temps, jusqu’à ce qu’un orateur exceptionnel en devienne le tribun, un certain Adolf Hitler. La suite est connue. Ce qui l’est moins, c’est l’importance que le « Manifeste pour briser les chaînes de l’usure » eut dans la genèse du national-socialisme.

    Hitler le reconnaît ouvertement dans « Mein Kampf » : l’économie politique du national-socialisme originel est entièrement tirée de l’œuvre de Feder. Souhaitons que cette idée soit à l’avenir reprise par des forces plus pacifiques et respectueuses de la personne humaine. "

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