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Livres - Page 6

  • Clausewitz, père de la théorie de la guerre moderne...

    Les éditions Perspectives libres viennent de publier un court essai de Pierre Le Vigan intitulé Clausewitz, père de la théorie de la guerre moderne. Urbaniste, collaborateur des revues Eléments, Krisis et Perspectives libres, Pierre Le Vigan a notamment publié Inventaire de la modernité avant liquidation (Avatar, 2007), Le Front du Cachalot (Dualpha, 2009), La banlieue contre la ville (La Barque d'Or, 2011), Écrire contre la modernité (La Barque d'Or, 2012), Soudain la postmodernité (La Barque d'or, 2015), Achever le nihilisme (Sigest, 2019), Nietzsche et l'Europe (Perspectives libres, 2022), La planète des philosophes (Dualpha, 2023) et Le coma français (Perspectives libres, 2023).

     

    Le Vigan_Clausewitz, père de la théorie de la guerre moderne.jpg

    " La guerre est là. Tout près. En Ukraine, au Proche-Orient, en Arménie. Et demain ? La guerre fait partie des constantes de l’histoire. Des intérêts
    économiques, territoriaux et symboliques sont en jeu. Au sein desquels les montées aux extrêmes sont possibles. Pour la cohésion de la nation, la guerre est l’épreuve de vérité. Tout cela, Clausewitz l’a pensé. Officier, théoricien et historien de la guerre, Carl von Clausewitz a vécu les guerres de la Révolution et de l’Empire. Il a vu la collaboration des élites allemandes avec Napoléon. Si depuis, les moyens de destruction ont été multipliés, les constantes politiques liées à la guerre subsistent. C’est ce que montre l’auteur de cet essai sur l’actualité de Clausewitz, penseur de la guerre. "

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  • Leur dictionnaire de la musique...

    Michèle Delagneau et Michel Marmin viennent de publier Notre dictionnaire de la musique aux éditions Arcades Ambo.

    Michèle Delagneau a été critique au magazine Diapason et a collaboré à plusieurs encyclopédies musicales. Michel Marmin, parallèlement à ses activités de critique et d’historien du cinéma, ainsi que de rédacteur en chef de la revue Éléments, a dirigé des encyclopédies musicales.

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    " Ce dictionnaire de la musique est bien « notre » dictionnaire. Il est le fruit de nos passions, de nos expériences, de nos découvertes. Le champ en est large : rien de ce qui relève de la grande musique, comme on disait autrefois, ne nous est étranger, et cela de la musique ancienne à la musique contemporaine, de Josquin des Prés à Pascal Dusapin, de la Première École de Vienne (Haydn, Mozart, Beethoven) à la Seconde (Schoenberg, Berg, Webern)…  Nous revendiquons un éclectisme et un hédonisme tous azimuts : ce livre est un dictionnaire composé par des amateurs pour des amateurs, en espérant avoir maintenu de A à Z une certaine exigence dans nos choix, en espérant aussi ne point être tombés dans le travers dénoncé par Guizot : « Il suffit de quelques phrases ampoulées et banales pour faire un amateur. » Oui, nous sommes des amateurs et nous n’excipons d’aucun diplôme pour nous justifier, mais de décennies d’écoute, au concert ou au disque, en public ou en privé.
    Ce dictionnaire intègre des notices sur les formes musicales, sur les genres et sur les principaux instruments en usage dans la musique occidentale. Le néophyte, à qui nous nous adressons en priorité, y trouvera matière à éclairer son écoute – tel est du moins notre souhait. "

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  • De la France...

    Les éditions de L'Herne viennent de rééditer un court essai de Cioran intitulé De la France. Philosophe et écrivain roumain d'expression française, Emile Cioran est l'auteur d'une œuvre marquée par l'ironie et le pessimisme avec des livres comme Précis de décomposition, La tentation d'exister ou De l'inconvénient d'être né. Mais avant cela, il a été un jeune intellectuel fasciné par le fascisme.

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    "« Qu’elle a été grande, la France !
    De l’indivi­dualisme et du culte de la liberté pour lesquels, autrefois, elle avait versé son sang – elle n’a retenu, dans sa forme crépusculaire, que l’argent et le plaisir. La France n’a plus de destin révolutionnaire, parce qu’elle n’a plus d’idées à défendre… »

    Ce portrait inédit de la France fut écrit en 1941 au cœur des années sombres par Emil Cioran, philosophe roumain qui adopta la langue française dans ses écrits. Cet amoureux de la France dissèque à sa façon les grandeurs et petitesses d’une nation qui le fascine. Description à la fois féroce, lucide et admirative. "

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  • Pourquoi notre système produit-il des élites sans vision ?...

    Les éditions de L'Artilleur viennent de publier un essai de Thomas Viain intitulé La sélection des intelligences - Pourquoi notre système produit des élites sans vision.

    Thomas Viain a commencé ses études élémentaires à l'écart du système scolaire. Devenu agrégé de philosophie, il a été professeur en lycée avant d’être admis à l’ENA et de travailler aujourd'hui pour la haute fonction publique dans le domaine du droit.

     

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    " D'où vient le divorce croissant entre les élites dirigeantes et le reste de la population ? S’agit-il d’un rejet populaire du technocratisme ? Du refus par les uns de la langue de bois maniée par les autres ? D'une déconnexion entre deux franges de la population, le savoir des élites apparaissant détaché de l'expérience de terrain ?

    Selon Thomas Viain, haut-fonctionnaire et familier de ces élites contemporaines, c’est le processus de formation des intelligences par nos institutions qui doit être mis en cause, car il aboutit à l’hégémonie d’une certaine forme de pensée, que l’on peut qualifier d’horizontale. Il s’agit d’une intelligence polyvalente et habile mais où les profils sont indifférenciés et les esprits incapables de hiérarchiser les savoirs.

    Ces sur-diplômés ne sont souvent que des élites scolaires, sans profondeur et sans « colonne vertébrale », les meilleurs élèves d’un système qui mérite d’être interrogé et profondément remanié, tant il est rejeté et ne répond plus aux besoins du plus grand nombre. "

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  • La Varende entre nous...

    Les éditions des Amis de la Culture européenne viennent de publier un essai de Jean Mabire intitulé La Varende entre nous.

    Décédé en 2006, Jean Mabire, qui était un des grands écrivains de l'aventure, qu'elle soit historique, mythologique ou politique, a aussi été un combattant pour la cause de l'identité des peuples européens.

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    " L’association Présence de La Varende avait demandé à Jean Mabire de raconter le Jean de La Varende qu’il a eu le privilège de rencontrer à l’époque où, jeune journaliste, il se lançait dans l’aventure de la revue Viking… Mabire n’a jamais caché la fascination exercée par le maître du Chamblac, pas plus que ses réticences à l’égard de l’univers lavarendien. Il y a, chez Jean Mabire, à la fois une grande admiration pour l’auteur de Nez de cuir, et une gêne pour l’idée qu’il a donnée d’une Normandie plus chouanne que réelle, plus monarcho-catholique que libertaire… Et voilà ce que Jean Mabire raconte dans cet ouvrage qui est un chef-d’œuvre de finesse, de justesse de ton, de connaissance d’une œuvre originale et puissante, de reconnaissance envers un personnage hors du commun qui, à lui seul, a incarné et ressuscité une Normandie traditionnelle, orgueilleuse et grandiose ?
    Jean Mabire raconte, explique Jean de La Varende. Un écrivain parle d’un écrivain. Double plaisir : c’est à la fois une puissante et très originale évocation d’un homme secret, blessé même (à l’époque où Jean Mabire l’a connu, il était miné par la maladie) et une élégante façon de le présenter, car, dans ce livre, on en apprend autant sur Jean Mabire que sur Jean de La Varende, mais il faut remercier l’association Présence de La Varende d’avoir permis que soit enfin connue la rencontre des deux écrivains normands du XXe siècle, ayant incarné, chacun dans son style et sa vision du monde, l’attachement sentimental le plus entier pour la «nature normande ».
    Du grand Mabire pour un La Varende, qui fut toujours grand !

    « Pour moi, se vouloir Normand n’a jamais été un repli frileux sur notre seule terre et notre seul peuple. Nous existons certes, à nuls autres semblables, mais il s’est toujours noué d’étranges connivences privilégiées avec nos voisins, même si nous devions parfois durement nous heurter au cours d’un millénaire et même davantage. » "

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  • Le triangle qui tue...

    Les éditions Auda Isarn viennent de publier un roman policier de Rudy Cantel intitulé Le triangle qui tue. Ancien marin et journaliste à L’Illustration et à La Gerbe, le journal d’Alphonse de Chateaubriant, Rudy Cantel a notamment publié ses souvenirs de marin (De babord à tribord) et son témoignage sur l'attaque de la flotte française par les Anglais à Mers el-Kébir où il était présent (L’Attentat de Mers el-Kébir). Une curiosité à découvrir !

     

    Cantel_Le triangle qui tue.png

    " Le commissaire Lortal reçoit un appel anonyme lui signalant que, ce soir dans Paris, il y aura un triple crime. Commence ainsi une série de meurtres signés par un triangle d’étamine rouge déposé, à chaque fois, près du cadavre des victimes. Voilà le maigre indice que la Police a pour relier ces meurtres qui affolent Paris par leur écho dans la presse.

    Avec Le Triangle qui tue, Rudy Cantel signe l’un des tout meilleurs polars de la collection Rouge-Gorge qui publia, sous l’Occupation (précisément de 1942 à 1944), quatorze romans antimaçonniques et anti-anglais. "

     

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