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Livres - Page 184

  • Droit, conscience et sentiments...

    Les éditions Akribeia viennent de publier un essai d'Eric Delcroix intitulé Droit, conscience et sentiments. Juriste et ancien avocat, Eric Delcroix a publié notamment Le Théâtre de Satan- Décadence du droit, partialité des juges (L'Æncre, 2002) et Manifeste libertin - Essai révolutionnaire contre l'ordre moral antiraciste (L'Æncre, 2005).

     

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    " Les droits de l’homme permettent désormais tout, y compris et d’abord la répression de la pensée et la censure, au nom d’une morale abstraite qui dénature et supplante le droit au nom du Bien. Les droits de l’homme, dans leur logique de subversion, ont fait passer l’individu de l’état de sujet de droit privé à celui d’acteur de droit public ayant des droits constitutionnels, dits « fondamentaux », qui corrodent l’impératif de l’intérêt général censé être garanti par l’État. L’exemple vient d’Amérique; il mêle l’acte fondateur de la Convention universelle des droits de l’homme de 1948 et le mythe de l’État de droit, fondé sur un concept étranger qui s’est répandu depuis insidieusement chez nous. Pour Maître Delcroix, les libertés de conscience, de pensée et d’expression ne relèvent pas des droits de l’homme, mais de la liberté de l’esprit intrinsèque à la civilisation européenne. Elle est aujourd’hui menacée, spécialement à l’heure où un nouvel ordre moral nous enserre dans ses rets et nous assomme de ses prêches incessants. Pour les droits de l’homme contemporains, la liberté de conscience est réduite à la liberté religieuse, alors qu’ils la bafouent en interpellant le sujet de droit dans son for intérieur pour en extirper le péché capital de discrimination! Éric Delcroix a déjà développé ses idées dans des plaidoiries, des conférences et des livres. Le présent ouvrage en est un résumé actualisé saisissant, accessible aux non-juristes. Il s’agit d’une mise en garde et d’un signal d’alarme contre une société totalitaire rampante et une justice devenue structurellement partiale. "

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  • Touchez au grisbi !...

    Les éditions La Manufacture viennent de rééditer sous le titre de Le grisbi la trilogie de Max le menteur d'Albert Simonin. Journaliste, chauffeur de taxi, Albert Simonin (1905-1980) s'est lancé dans l'écriture de polars, après avoir été "épuré" et condamné à 5 ans de prison à la Libération. Premier auteur français à avoir intégré la fameuse Série Noire, il est un de ceux qui ont popularisé l'argot des malfrats et voyous parisien.

     

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    " Max, dit le Menteur, vétéran des truands parisiens, s’apprête à se ranger. Le milieu, il en a fait le tour,  en a tiré le meilleur parti et ne le regrettera pas. D’autant que ce monde est en train de changer : les vendeurs de came gagnent du terrain, les truands s’internationalisent, le code d’honneur n’a pas l’air de préoccuper la jeunesse. Seulement quitter les «affaires», ça ne se fait pas en un clin d’œil. Il y a les vieux amis qui vous demandent un dernier service, la relève à organiser, l’avenir à assurer... Réunis en un seul volume, les romans de la trilogie de Max le menteur sont un monument de la culture française populaire, immortalisés par des films de légende (Touchez pas au grisbi, Le cave se rebiffe et Les Tontons flingueurs). Plongeon dans un Paris qui n’est plus et où résonne la gouaille des truands, l’œuvre de Simonin sublime le monde des voyous et lui a ouvert les portes de la littérature française. "

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  • Conan le centurion...

    Michel Vial vient de publier chez Indo Éditions, dans la collection Portrait, une biographie de Pierre Château-Jobert intitulée Conan. Collaborateur du magazine Raids, Michel Vial, qui, en 1976, à 20 ans, s'est engagé dans les Phalanges libanaises et a été blessé au combat, est également l'auteur d'un essai, La chute de l'empire occidental (Synthèse, 2020).

     

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    " Peu médiatisé, le colonel Pierre Château-Jobert, de son nom de guerre “Conan”, n’en est pas moins une figure emblématique des troupes aéroportées. 
À l’instar d’un Bigeard, d’un Massu ou d’un Trinquier, c’était un centurion, un de ces hommes durs et intrépides qui ont marqué l’histoire militaire du vingtième siècle en prenant une part active à tous les conflits dans lesquels notre pays a été impliqué. Son action est déterminante dans les combats de la Libération où ses commandos s’illustrent en Bourgogne, affrontant des troupes allemandes d’une supériorité numérique écrasante. En Indochine, il commande les paras coloniaux qui opèrent dans le sud du pays et découvre la guerre révolutionnaire que pratique l’ennemi, ce qui va le marquer profondément. En 1956, lors de l’opération de Suez, il saute avec son régiment sur Port-Saïd, sous le feu des troupes égyptiennes qu’il met en déroute en quelques heures, ce qui lui vaut les honneurs de la presse et la reconnaissance de nos alliés britanniques. 
  

    Patriote intransigeant et catholique fervent, Conan va s’engager ensuite dans le combat pour l’Algérie française et, bien que Compagnon de la Libération, il va s’opposer avec toute son énergie à la politique du général de Gaulle, allant jusqu’à déserter pour rejoindre les rangs de l’OAS. Condamné à mort par contumace, il vit dans la clandestinité jusqu’à son amnistie en 1968. Homme de réflexion, il met à profit ses années de retraite pour coucher sur le papier ses idées personnelles sur la contre-révolution, en publiant six livres de doctrine politique. 
   

    Dans cet ouvrage, l’auteur retrace en détail la très prolifique carrière militaire du colonel Château-Jobert, s’appuyant essentiellement sur son dossier militaire personnel, sur des témoignages et ses écrits, tout en prenant soin de décrire avec précision le cadre historique général dans lequel s’inscrivent les opérations auxquelles il prend part. Nous découvrons ainsi non seulement un officier d’une intelligence remarquable, à la fois discret, humain et audacieux, mais aussi un homme d’honneur et de convictions. "

     

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  • Shakespeare et l'Europe...

    Les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de publier, dans leur collection Longue mémoire, patronnée par l'Institut Iliade, un essai de Henri Suhamy intitulé Shakespeare et l'Europe - Quatre siècles de mémoire vivante.

    Henri Suhamy est professeur des universités, spécialiste de littérature et d’histoire anglaises,  et auteur de nombreux ouvrages consacrés à Shakespeare.

     

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    " Shakespeare a légué à l’Europe une production théâtrale considérable devant laquelle il semble s’être effacé. De l’homme, en effet, on ne sait presque rien, de sorte que tout ou presque a pu être dit. Quant à son œuvre, la pensée qui la sous-tend est constamment réinterprétée. Si la « langue de Shakespeare » est anglaise, tous les grands thèmes qui traversent son théâtre réactualisent des mythes européens. Et l’Europe, en retour, ne cesse depuis quatre siècles de se nourrir de la poésie du « Barde immortel ». Dans ces pages, Henri Suhamy démêle le vrai du faux sur Shakespeare, et évoque les liens intimes qui unissent son œuvre à l’Europe. "

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  • L'invasion de l'Europe...

    Les éditions Via romana viennent de publier une étude de la Fondation Polémia, coordonnée par Jean-Yves Le Gallou et intitulée L'invasion de l'Europe - Les chiffres du Grand Remplacement. Énarque dissident, président de la Fondation Polémia, Jean-Yves Le Gallou a, notamment, publié La tyrannie médiatique (Via Romana, 2013),  Immigration : la catastrophe - Que faire ? (Via Romana, 2016), Européen d'abord - Essai sur la préférence de civilisation (Via Romana, 2018) et Manuel de lutte contre la diabolisation (La Nouvelle Librairie, 2020).

     

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    Pour Renaud Camus, le grand remplacement est un constat : il suffit d’« ouvrir les yeux ».
    Pour les statisticiens officiels, c’est une  « théorie complotiste » : selon ces « experts », il n’y aurait pas en Europe plus d’étrangers aujourd’hui qu’hier.
    Jean-Yves Le Gallou relève ici le défi des chiffres, et son enquête démontre l’immigration massive subie par les pays du Nord et de l’Ouest de l’Europe. Au moins vingt pour cent de leur population y est déjà d’origine étrangère, proportion qui a doublé au cours des vingt dernières années. Et sous le double effet des flux d’entrées récents et de la dynamique démographique, cette immigration, souvent inassimilée, est en très forte progression. Quant à l’Europe du Sud, elle est une voie de passage qui subit de plein fouet les migrations sauvages venues d’Afrique, du Maghreb, d’Afghanistan et du Pakistan.
    Suède, Belgique, Danemark, Royaume-Uni, Allemagne, Autriche, France, Pays-Bas, Suisse, Italie, Espagne, Portugal, Grèce : treize bilans aussi précis qu’incontestables car fondés sur les statistiques et les données les plus officielles souvent méconnues. Les peuples d’Europe doivent se ressaisir s’ils veulent préserver leur identité, leur mode de vie et les trésors de leur civilisation millénaire.

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  • L'énergie vagabonde...

    Les éditions Robert Laffont viennent de publier dans leur collection Bouquins un volume de Sylvain Tesson intitulé L'énergie vagabonde, qui regroupe des récits de voyages, des reportages et des extraits de son journal.

    Géographe, aventurier et journaliste, Sylvain Tesson est l'auteur de récits tirés de ses expéditions comme L'axe du loup (Robert Lafont, 2004), Dans les forêts de Sibérie (Gallimard, 2011), Sur les chemins noirs (Gallimard, 2016) ou La panthère des neiges (Gallimard, 2019), mais aussi de recueils de nouvelles, parfois grinçantes, comme Une vie à coucher dehors (Gallimard, 2010) ou d'un essai consacré à l'Iliade et à l'Odyssée, Un été avec Homère (Equateurs, 2018).

    L'ouvrage est disponible à la commande sur le site de La Nouvelle Librairie.

     

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    " En voyage, je vis, je respire, je cherche l'aventure. Je rencontre des êtres qui savent tenir une conversation, je croise quelques ennuis, je cueille une vision, je pousse une porte, je me sors d'un pas désagréable. Je traverse une forêt, je parle à un homme que je ne connais pas et lui confie davantage de choses que s'il était mon frère, parce que je suis sûr de ne pas le revoir.
    L'énergie vagabonde, c'est la traversée de l'éphémère, perpétuellement renouvelé. L'énergie vagabonde consiste à faire moisson d'idées dans les collines inspirées. Un jour, les notes deviennent un livre. Aujourd'hui, ces livres sont rassemblés dans ce recueil.
    Il contient les récits de mes voyages à pied, à cheval, à bicyclette, dans les piémonts du Caucase, les steppes de l'Asie centrale, les taïgas de Sibérie, les plaines de Mongolie et de Russie, et sur le plateau du Tibet. Cette géographie a aimanté mon corps. Là-bas, les ciels aspirent le regard, les horizons reculent : on n'a pas de scrupules à tirer des bords en pareils parages ! Je joins à ces textes le souvenir de mes virées à moto sur les routes du Nouveau et de l'Ancien Monde, de mes bivouacs et de mes ascensions. À ces récits de promenades plus ou moins contrôlées, j'ai ajouté des reportages en des contrées lointaines où les hommes vivent des existences plus dangereuses que la mienne ainsi que certaines pages de mes journaux, tenus dans l'espoir de donner un ordre à ces agitations.
    Je crois aux vertus de la tangente et de l'échappée.
    Puisse l'énergie vagabonde ne jamais se tarir !
    Sylvain Tesson "

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