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  • Le shintô, la source de l'esprit japonais...

    Les éditions Sully viennent de publier un court essai d'Emiko Kieffer intitulé Le shintô, la source de l'esprit japonais. Emiko Kieffer, Née à Tokyo, diplômé de littérature, Emiko Kieffer est installée en France depuis 1999. Elle a publié plusieurs ouvrages en japonais, et a été lauréate du prix Shimazaki.

     

    " Le Shintô est la religion ancestrale du Japon. C'est la Voie des kamis qui n'a ni fondateur, ni doctrine, ni texte sacré, ni dogme. Il est cette grande force invisible qui traverse l'histoire de l'Archipel depuis l'Antiquité jusqu'à nos jours. " Les ancêtres et la grande nature font de nous ce que nous sommes maintenant, nous leur devons gratitude, honneur et crainte respectueuse ". Emiko Kieffer présente dans cet ouvrage les multiples manifestations du Shintô qui imprègnent la vie quotidienne du Japon : l'omniprésence des kamis, le respect de la nature et des objets, les rituels et les fêtes, les sanctuaires, la morale, le comportement...Elle nous fait ainsi ressentir ce qui est au coeur de la culture et du peuple japonais et qui interroge l'Occident depuis toujours. "

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  • Thibault Mercier : « empêcher toute discrimination, c'est revenir au néant ! »...

    Vous pouvez ci-dessous découvrir un entretien avec Thibault Mercier, réalisé par Edouard Chanot pour son émission Parade - Riposte, et diffusé le 7 mars 2019 sur Sputnik, pour évoquer la discrimination comme impératif de survie pour toute communauté nationale. Thibault Mercier vient de publier, sous l'égide de l'Institut IliadeAthéna à la borne - Discriminer ou disparaître ? (Pierre-Guillaume de Roux, 2019).  

                                   

     

     

     

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  • La paléogénétique des Indo-Européens...

    Nous vous signalons la parution du nouveau numéro de la revue Nouvelle Ecole (n°68, année 2019), dirigée par Alain de Benoist, avec un dossier consacré à la paléogénétique des Indo-Européens. La revue est disponible sur le site de la revue Éléments ainsi que sur celui de la revue Krisis. Les parisiens pourront également la trouver à la Nouvelle Librairie. 

     

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    " La découverte, à partir du XVIIIe siècle, de la parenté de la quasi-totalité des langues européennes, auxquelles il faut encore ajouter certaines langues de l’Asie centrale et d’une partie du Proche-Orient, a constitué un tournant décisif de l’histoire de la linguistique. Pour les désigner, on parle de langues indo-européennes. Depuis deux siècles, la recherche a permis d’établir que leur parenté ne se limite pas au vocabulaire de base, mais aussi à la syntaxe, aux structures grammaticales, aux racines et au mode de formation des mots.

    Elle a aussi montré que les langues indo-européennes dérivent les unes des autres de manière «arborescente», en sorte qu’il est possible, par la reconstitution linguistique, de restituer les traits essentiels de la langue-mère originelle d’où elles sont issues, l’indo-européen commun. Toute langue supposant des locuteurs, la question s’est posée du même coup d'identifier la ou les populations qui ont parlé et développé l’indo-européen commun, d'identifier aussi la culture matérielle qui était la leur et de situer son emplacement sur la carte. De l’indo-européen, on est ainsi passé aux Indo-Européens. C’est l’irritante question du foyer d’origine qui, dans le passé, a donné lieux aux hypothèses et aux supputations les plus diverses. Jusqu’à une période toute récente, on ne disposait pour étudier les Indo-Européens que de moyens relativement limités. La discipline essentielle était (et demeure) bien sûr la linguistique. L’archéologie a aussi joué un rôle.

    S’y ajoutent enfin les nombreux travaux, tels ceux de Georges Dumézil et de bien d’autres chercheurs, qui portent sur l’étude comparée des religions indo-européennes, des mythes, des épopées, des formulaires poétiques, etc. Or, depuis quelques décennies seulement, on dispose d’un nouveau moyen d’aborder la question. La mise au point de techniques de laboratoire, notamment le séquençage de l’ADN, a ouvert des perspectives décisives permettant d'identifier les porteurs de l’indo-européen commun et de restituer l’histoire de leurs migrations. Une chose est sûre : l’Europe ancienne s’est développée à partir de trois composantes majeures, que sont les chasseurs-cueilleurs du paléolithique, les agriculteurs du néolithique et les populations indo-européennes. Sur ces dernières, dont nous parlons les langues encore aujourd’hui, et dont nous portons les gènes, on en sait désormais beaucoup plus grâce à la paléogénétique. "

    Au sommaire

    Le peuplement de l’Europe. La révolution de la paléogénétique et les Indo-Européens (Patrick Bouts)

    Le cas français. L’indo-européanisation du territoire à travers les migrations (proto-)celtiques et ses impacts génétiques (Jean-Michel Vivien)

    Index technique, carte récapitulative et bibliographie (Patrick Bouts)

    Document : Lettres de Georges Dumézil à Alain de Benoist (1969-1981).

    L’étude comparée des religions indo-européennes. Recherches actuelles et perspectives (Anders Hultgård)

    La théorie de l’institution chez Maurice Hauriou, Santi Romano et Carl Schmitt. Une pensée juridique antimoderne (Paul Matilion)

    Louis Aragon ou les ambiguïtés du national-communisme (Jean-Marie Sanjorge)

    Albert Camus ou la pensée de la limite (Marc Muller)

    Le nihilisme, une affirmation à l’envers (Jean-Marie Legrand)

     

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  • Les gilets jaunes au cœur de la guerre médiatique...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Didier Beauregard, cueilli sur Polémia et consacré à l'importance désormais décisive du champ de bataille médiatique dans la lutte politique, comme l'a bien illustrée la révolte des Gilets jaunes.

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    Les gilets jaunes au cœur de la guerre médiatique

    L’espace médiatique est désormais le lieu quasi unique où se joue le combat politique. C’est à partir de cette réalité, que le mouvement des gilets jaunes a bien mis en évidence, qu’il faut penser toute stratégie de confrontation politique. L’enjeu en est claire ; la conquête de l’opinion publique, qui fait la différence entre victoire et défaite, se joue à travers les médias et ouvre la voie à toutes formes de manipulation pour emporter la bataille des esprits.

    Les gilets jaunes  ont d’emblée  assumé la radicalité de leur révolte en plaçant le gouvernement en situation d’accusé sur des thèmes  très concrets comme le prix des carburants  et le pouvoir d’achat. Ils n’ont, en revanche, pas su déployer une stratégie de riposte à la hauteur des manœuvres dilatoires du pouvoir en place, construites, nous l’avons vu, sur quatre piliers : minimiser, diaboliser, diviser, isoler. C’est sur cette stratégie du contre que doit  porter aujourd’hui l’essentiel de la réflexion.

    1000 et 1 façons médiatiques  de neutraliser l’ennemi

    Cette stratégie, qui ne peut être qu’offensive dans la forme, doit poser comme principe de base que les médias sont le cœur du combat politique et, qu’en conséquence, les journalistes sont, non seulement, des acteurs engagés et non des observateurs neutres, mais ils sont mêmes les principaux acteurs du jeu politique face aux citoyens. Ils sont les premiers acteurs avec lesquels les dissidents qui ont accès à l’espace médiatique doivent se confronter.

    Dans le cas des gilets jaunes, la stratégie d’enlisement médiatique, pour l’essentiel, a consisté à minimiser l’ampleur du mouvement, en reprenant sans aucun recul les chiffres du ministère de l’Intérieur, et a extrémiser l’image des contestataires en focalisant l’information sur les violences. Il aura fallu plusieurs semaines, plus de deux mois, pour que les gilets jaunes finissent enfin par reprendre la main sur le sujet des violences en mettant en avant le nombre impressionnant de blessés dans les rangs des manifestants, et la gravité des blessures subies. Le débat national sur les LBD a, en quelque sorte, couronné le succès médiatique de cette contre offensive tardive. Si les médias ont été contraints de traiter le sujet, il n’en reste pas moins vrai que l’équilibre en termes d’images est loin d’être respecté. Les actes violents issus des manifestants sont passés en boucle de manière quasi hypnotique (exemple : l’épisode du boxeur), alors que les images des violences policières et leurs résultats sur les victimes sont présentés avec une grande retenue.

    Il y a tout un art journalistique de mettre en avant une objectivité de façade – les choses ont été effectivement dites et montrées- tout en déséquilibrant systématiquement l’information par l’inégalité de ses traitements. Il est fréquent de voir, quand un représentant des gilets jaune s’exprime, des images de destruction, voitures en flamme ou autres, accompagner son propos.

    Quant à la controverse sur les chiffres, elle n’a pas été arbitrée, et ceux annoncés par le pouvoir, massivement relayés par les médias, ont finit par s’imposer, contre toute logique, comme la seule réalité perçue. Les médias n’ont jamais mené le moindre travail critique sur les chiffres fantaisistes du gouvernement. On pourrait également analyser en détail la subtile utilisation des titres éditoriaux pour orienter la vision du citoyen, type la déclaration interrogative qui impose une réalité sans pour autant la revendiquer, comme, semaine après semaine, l’affirmation : « Le mouvement s’essouffle ? » Tout est dans le point d’interrogation ! On peut aussi utiliser la formulation directe : « La mobilisation en baisse »; on pourrait, à contrario, tout aussi bien affirmer: « La mobilisation se poursuit », ou « la contestation toujours vigoureuse », c’est juste une question de choix éditorial.

    Reductio ad hitlerum

    Enfin le processus de l’offensive anti gilets jaunes a atteint son point culminant avec la grande campagne sur le retour de l’antisémitisme et ses liens avec le mouvement de contestation populaire ; on peut d’ailleurs toujours mettre un point d’interrogation sur le sujet, mais le seul fait d’accoler les deux éléments constitue déjà une accusation. Une offensive particulièrement vicieuse qui consiste à laisser entendre, que, certes, tous les gilets jaunes ne sont pas antisémites, mais que le mouvement porte en lui- même le virus de l’antisémitisme, puisque d’essence populiste et, donc, d’extrême droite : cqfd, voilà le retour de la bête immonde !

    Un système accusatoire grossier qui a probablement nui à la mobilisation contre l’antisémitisme. Il est tout de même énorme d’exhiber un activiste salafiste comme preuve d’un retour en force d’un antisémitisme d’extrême droite, faute d’avoir le moindre crane rasé à se mettre sous la dent, comme dans les belles années 80 de « l’antiracisme » triomphant. Gêné par cet obscène détournement de sens, Alain Finkielkraut a lui-même dénoncé avec vigueur cette inversion du réel.

    Questionner les questionneurs

    Cette centralité du rôle des médias dans le rapport de force politique a finalement été prise en compte par les gilets jaunes. Pour la première fois, un mouvement social a clairement identifié la sphère médiatique comme un acteur déterminant et hostile. Un pas que la Manif pour tous n’avait jamais osé franchir. Toutefois, si les manifestants ont exprimé, parfois de manière rugueuse, leur ressentiment à l’égard des journalistes, leurs représentants, sur les plateaux télés, se sont montrés très largement conciliants et, souvent même, désarmés et naïfs face aux partis pris journalistiques. Ils n’ont pas acté la non neutralité du discours médiatique pour se donner le droit, en direct, de questionner eux-mêmes, le questionnement des journalistes.

    Or, une fois que l’on a admis le principe, évoqué plus haut, que les journalistes sont bien les principaux acteurs du débat politique et qu’ils représentent la première force du système dominant dans son interaction avec la masse, il est alors logique et évident de les considérer d’abord comme des opposants contradicteurs et non plus comme de simples poseurs de questions et présentateurs de faits. Ils sont la digue ultime qui permet de contenir la vague de la contestation. Ils doivent être perçus et traités comme tel. Cette attitude est, en quelque sorte, un hommage rendu aux médias par l’objectivation de leur importance sociale. Il n’est pas question d’agresser les journalistes mais d’engager un débat frontal sur leurs non-dits idéologiques et les formes orientées de l’information, afin de les bousculer dans leur posture trop facile de neutralité objective, extérieure aux jeux de la dominance. C’est un travail minutieux et systématique sur le traitement de l’information, où la forme, bien souvent, en dit tout autant que le fond.

    Un Grand débat, oui, mais à la télévision !

    Mais, plus fondamentalement, la reconnaissance de la centralité des médias dans le combat politique doit conduire à une attitude proactive à leur égard. Il ne s’agit plus seulement de répondre à leurs invitations pour défendre et promouvoir ses idées, mais aussi de les intégrer dans une vision stratégique globale afin d’en tirer le maximum de gain dans l’opinion en fonction du contexte politique. Dans le contexte actuel, les gilets jaunes auraient du faire de la télévision la première arme d’une stratégie en contre face au rouleau compresseur du pouvoir.

    Puisque les chaines de télévision, grâce à la puissance émotionnelle des images, sont d’abord le lieu où se joue la bataille de l’opinion publique et où les Français s’informent en priorité, les gilets jaunes auraient pu retourner à leur avantage la manœuvre gouvernementale qui consiste à enliser leur mouvement de révolte dans les méandres d’un Grand débat national dont les thèmes sont fixés par le pouvoir et les finalités des plus obscures. Il fallait pour cela prendre le pouvoir à son propre piège: le Grand débat, oui, mais en nous impliquant nous, les gilets jaunes, dans la définition des modalités de ce débat. Le propos est simple, logique et imparable en termes de légitimité démocratique ; on ne peut prétendre ouvrir un dialogue pacificateur en refusant d’emblée à son interlocuteur le droit d’exprimer ses attentes les plus élémentaires.

    Or, d’évidence le seul espace légitime pour un vrai débat, ouvert, équitable et accessible à tous, est bien la télévision, capable de réunir, dans un même moment, des millions de citoyens spectateurs pour partager un événement commun. La télévision publique, par la même occasion, pourrait jouer enfin le rôle de média citoyen qui devrait être le sien ; à l’écoute et au service de tous les Français.

    Après tout, ce que l’on reconnait comme une évidence pour l’événement culminant de la vie politique et qui s’est imposé comme un rite républicain, le débat présidentiel des candidats, devrait s’imposer tout aussi logiquement dans le cadre d’un Grand débat national qui prétend toucher tous les citoyens. Toute personne qui refuserait cette demande se mettrait en porte à faux au regard de la simple cohérence démocratique.

    Un one man show de télévangéliste

    Ainsi, au lieu d’assister au scénario hallucinant d’un président déconsidéré se livrant à un one man show de télé évangéliste pour épater la galerie et redresser sa cote, nous aurions pu, pour une fois sur nos écrans, avoir de vrais débats, sur des sujets clivants, avec de vraies oppositions exprimées par de véritables opposants qui représentent bien la masse des Français dans leur diversité. Il faut réclamer, comme condition préalable à l’exercice, une codécision sur le choix des thèmes et des intervenants. Il ne devrait plus être possible d’assister à la litanie des pseudo-débats qui encombrent nos médias, où le consensus de la bien pensance fait régner l’ordre dominant.

    Exiger la diversité politique dans les médias publics

    Sous la tutelle de sa très « progressiste » présidente, la télévision publique se veut le modèle de la diversité normalisée, tournée vers les femmes, les jeunes et les minorités dites visibles. Prenons donc Mme Ernotte et le pouvoir qu’elle représente au mot : la diversité, chiche ! mais à commencer par la première des diversités dans une démocratie, celle des opinions et des sensibilités politiques. Il est tout à fait aberrant de voir qu’à chaque sondage effectué dans les rédactions en période électorale majeure, la grande masse des journalistes affirme voter pour un candidat de gauche, alors que la majorité des Français se situe à droite. Cette déconnexion entre la réalité du pays et ceux qui sont en charge de la commenter représente un dangereux déni démocratique. Il est clair, aujourd’hui, qu’il ne peut y avoir de renouveau de la démocratie en France,- ce que réclame avant tout les gilets jaunes- sans un questionnement en profondeur du rôle des médias et de leur fonctionnement.

    Les médias publics, au moins, devraient représenter, peu ou prou, le spectre des principales familles idéologiques du pays. Voilà une revendication immédiate, concrète et pertinente pour les gilets jaunes; réclamer un minimum de diversité politique à l’intérieur du service public de l’information ! Ce dernier, du coup, deviendrait le phare citoyen du paysage audio-visuel et de la vie publique qu’il aurait toujours du être, et les autres médias se verraient, en toute logique, contraints de suivre son exemple pour ne pas perdre leur clientèle. Voilà comment, tout simplement, élargir l’espace de la démocratie dans notre pays ! Qui peut vraiment être contre ?

    Didier Beauregard (Polémia, 13 mars 2019)

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  • Les snipers de la semaine... (179)

    Scamarcio in una scena di Romanzo Criminale

     

    Au sommaire cette semaine :

    - sur son blog, Maxime Tandonnet exécute proprement le clip de campagne de La république en Marche...

    « Vous n'avez pas le choix »

    Résultat de recherche d'images pour "clip LREM"

     

    - sur son site, L'Observatoire du journalisme sort la sulfateuse pour faire une petite revue de presse du politiquement corrrect dans les médias au cours du dernier semestre...

     
     
    Quand le politiquement correct s’affiche dans les médias, revue de presse
     
     
    - sur le Point, Jacques Dupont dézingue le gentil lobby hygiéniste...
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  • Feu sur la désinformation... (226)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours de Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : Révolte algérienne ou Gilets Jaunes, les médias ont choisi
      Le soulèvement populaire algérien a été salué par de nombreux médias et journalistes qui semblent bien plus circonspects quand il s’agit des Gilets Jaunes.
    • 2 : Le Zapping d’I-Média 
      David Pujadas découvre ébahi avec le dernier ouvrage de Jérôme Fourquet que le peuple français est en train d’être modifié en profondeur par l’immigration extra-européenne massive.

    • 3: Siège à l’ONU : les médias ridiculisés
      Au moment de la signature du traité d’Aix-Le-Chapelle, certains responsables politiques exprimaient leurs craintes de voir la France bientôt céder à l’UE son siège à l’ONU.
      Les médias avaient hurlé à la « fake news ». Aujourd’hui, le débat est relancé.
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Selon une majorité de Français, les médias sont des outils de propagande. Un résultat étonnant quand on sait avec quelle impartialité et avec quel sérieux les médias traitent l’information.
    • 5 : Racisme. Les médias menés à la baguette
      Une boulangère africaine de Levallois Perret en grave difficultés financières a affirmé avoir été victime de propos racistes. Des propos relayés par une association communautaire violente et par des médias qui ont oublié toute déontologie.

     

     

                                          

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