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  • Une philosophie biocentrique...

    Les éditions de la Nouvelle Librairie, en collaboration avec l'Institut Iliade, viennent de publier un court essai de François Plat Colonna intitulé Ludwig Klages - Une philosophie biocentrique.

    François Plat Colonna, né en 1994, vit à Aix-en-Provence. Titulaire d’un Master d’histoire de la philosophie, ce passionné d’histoire des idées est déjà l'auteur d'un essai intitulé Vivre sur les cimes - Le sens de la terre dans la philosophie de Friedrich Nietzsche (Éditions du Royaume, 2025). 

     

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    " D’après Cioran, il aurait été « l’homme le plus réalisé » qu’il ait jamais rencontré. Figure intellectuelle fascinante, Ludwig Klages a exercé son influence sur de grands penseurs ou artistes comme Hermann Hesse, C. G. Jung, Walter F. Otto, Robert Musil ou Gustave Thibon. Il demeure pourtant un nom méconnu, voire énigmatique, en France.

    Disciple hétérodoxe de Nietzsche, représentant d’une pensée écologiste et vitaliste avant la lettre, Klages incarne, selon l’auteur de ce livre, l’acmé de la pensée antimoderne. Le philosophe allemand défia en effet dans son œuvre tous les fondements de la pensée moderne que sont la mathématisation du monde, la déification de la raison, le progressisme et l’universalisme. Au logocentrisme qui a dominé l’ensemble de la philosophie occidentale, Klages opposa le biocentrisme, revalorisant ainsi les dimensions instinctives et poétiques du monde enfouies par des siècles de rationalisme. "

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  • Marine Le Pen telle qu’elle aurait pu être…

    Nous reproduisons ci-dessous un entretien donné par Vincent Coussedière au site de la revue Éléments.

    Agrégé de philosophie, professeur, candidat aux dernières législatives sous l’étiquette RN, Vincent Coussedière est l’auteur de plusieurs essais politiques dont Eloge du populisme (Elya, 2012),  Le retour du peuple - An I (Cerf, 2016) et, récemment, Marine Le Pen comme je l’imaginais (La Nouvelle Librairie, 2025).

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    Marine Le Pen telle qu’elle aurait pu être…

    ÉLÉMENTS. Spécialiste reconnu du populisme, en 2024 vous avez été candidat aux élections législatives pour le Rassemblement national (dans des conditions catastrophiques, précisez-vous). Qu’est-ce qui vous a décidé à « franchir le pas », à passer du rôle d’analyste et d’observateur à celui d’acteur politique ? Regrettez-vous ce choix et cette expérience ?

    VINCENT COUSSEDIERE. J’explique dans le livre ce qui m’a décidé à franchir le pas en 2024. Ce sont à la fois les circonstances, le fait que suite à plusieurs conférences ou formations que j’ai assurées pour le Rassemblement national, et après m’être déclaré éventuellement disponible, j’ai été contacté par Philippe Olivier pour être investi dans une circonscription qui n’était malheureusement pas celle dans laquelle je vis. C’est pourquoi je parle d’une investiture dans des « conditions calamiteuses », ceci dit, j’ai accepté, et ne cherche donc pas à me victimiser.  J’étais « parachuté » dans une circonscription que je ne connaissais pas bien, et dont la sociologie électorale me laissait très peu de chances au second tour. A ces circonstances s’ajoutait un certain désir – dont je ne cache pas, dans le livre, que le ressort restait fragile – de prendre mes responsabilités en politique. Citant Bernanos, j’explique que c’est surtout par désespoir que je me suis lancé dans l’aventure. Désespoir à l’égard du reste de l’offre politique, désespoir aussi à l’égard des intellectuels, qui, bien que proches sur certains thèmes du RN, ne cherchent pas à le rejoindre pour le faire progresser de l’intérieur. D’autres que moi, fort peu nombreux cependant, ont fait cette démarche avec davantage de réussite. On peut penser à Hervé Juvin, à Jérôme Sainte-Marie ou à Guillaume Bigot.

             Je ne regrette rien, même si la faiblesse du soutien militant local que j’ai pu recevoir – pour ne pas en dire davantage et être plus désobligeant  – a rendu les choses très difficiles. Le livre n’est toutefois pas un règlement de compte après une aventure malheureuse. Je dis d’ailleurs peu de choses sur la campagne électorale elle-même, sur laquelle il y aurait pourtant beaucoup à dire, mais ce n’est pas le sujet du livre. Je raconte qu’elle m’a fait toucher du doigt les limites de l’exercice du « métier de politique » tel qu’il est devenu dans nos démocraties représentatives. Participer à cette campagne m’a également fait voir à quel point le RN continue de subir une forme d’ostracisme dans les médias régionaux et chez les élus de tous bords, qui manipulent l’opinion et restent les prescripteurs de proximité de celle-ci. Tous ces notables : présidents de Comcom, maires, conseillers généraux se tiennent par la barbichette les uns et les autres et entendent bien conserver leurs places en se liguant contre le RN.

    ÉLÉMENTS. Pourquoi avoir choisi de consacrer un ouvrage à Marine Le Pen, que vous n’avez rencontré qu’une seule fois ?

    VINCENT COUSSEDIERE. Le livre est consacré à Marine Le Pen comme je l’imaginais et non à la Marine Le Pen réelle que je ne connais pas. Il part de cette rencontre à laquelle j’ai participé, organisée par Hervé Juvin, dans l’entre-deux tour de la présidentielle de 2027, et qui réunissait quelques intellectuels. Cette rencontre était très propice au fait que mon imagination opère une sorte de « cristallisation politique ». En effet, Marine Le Pen a dit très peu de choses, et a surtout beaucoup écouté et laissé parler ses interlocuteurs. Sa présence, son authenticité ont fait brèche dans la représentation essentiellement médiatique que je me faisais d’elle. Je lui ai offert, de manière complètement décalée par rapport à son ambition, le petit livre que je venais de faire paraître : Fin de partie, requiem pour l’élection présidentielle. C’était une curieuse manière de l’encourager pour le deuxième tour ! Tout ceci n’était pas très sérieux et pas très rationnel, comme base d’un engagement politique. D’ailleurs, je ne me suis pas engagé politiquement dans les années qui suivirent et n’ai accepté qu’à partir de 2022, de faire quelques interventions pour le RN. J’ai simplement continué de suivre Marine Le Pen à distance, mais de manière plus attentive et intéressée que je ne le faisais avant cette rencontre. J’ai trouvé qu’elle ne cessait de se bonifier dans l’adversité, malgré les échecs de 2017 et 2022. J’ai fini par penser qu’elle était peut-être la seule, dans la classe politique actuelle, à pouvoir réaliser ce dont nous avons besoin : débuter le redressement du pays, nous remettre la tête hors de l’eau.

             J’explique dans ce livre pourquoi j’ai fini par penser qu’elle pourrait occuper la place vide du grand homme qui nous manque. J’explique aussi qu’occuper la place, ce n’est pas tout à fait prendre la place. C’est au contraire assumer que la place reste vide, mais assumer qu’en attendant, il s’agit de faire ce que nous pouvons.  Je me moque en même temps un peu de moi-même : n’ai-je pas cédé à une forme d’illusion politique ? Mais n’avais-je pas en même temps des raisons d’y céder ?

    ÉLÉMENTS. Selon vous la stratégie de la « dédiabolisation » et la volonté de rupture avec l’héritage du Front national ont-elles été, en partie ou entièrement, des erreurs ?

    VINCENT COUSSEDIERE. La « dédiabolisation » est un slogan qui ne vient pas du RN, même s’il est repris parfois par celui-ci. Cette expression fait croire à une simple stratégie de communication par laquelle le RN aurait voulu se rendre acceptable par les médias. Or Marine Le Pen a fait une chose beaucoup plus importante. Elle a réorienté politiquement le parti en l’éloignant définitivement de ses tropismes antisémites et d’un nationalisme trop étriqué. Sur ce point, elle a fait œuvre très utile, qui s’est aussi accompagnée d’un travail de professionnalisation et de crédibilité. Il s’agissait ensuite, sur la base de ce travail, de ne plus se fermer la porte des médias, ou tout simplement de ne pas se heurter inutilement à  l’agressivité de ceux-ci. C’est aussi à l’égard des électeurs qu’il s’agissait de se « dédiaboliser » en évacuant les peurs liées au FN de Jean Marie Le Pen. 

             Je ne remets donc pas en cause que ce travail ait été utile dans le passé. Je critique qu’il se poursuive aujourd’hui dans un nouveau sens qui consiste à gommer la radicalité « nationaliste » du parti qu’il faudrait au contraire réaffirmer. Le retour à la nation est plus que jamais la priorité politique actuelle qu’il faut assumer. Encore faut-il être capable de préciser ce qu’on entend par nation dès lors qu’on a pris ses distances avec le nationalisme réactif de Jean-Marie Le Pen et qu’on prétend se distinguer d’un nationalisme identitaire du type de Zemmour ou d’un nationalisme souverainiste du type de celui de Phillipot. Encore faut-il expliquer aussi comment ce retour à la nation pourrait se faire dans un cadre européen, qu’on ne semble plus vouloir remettre véritablement en cause.  La dédiabolisation a pris la place de ce travail non effectué. Elle est devenue une fin et non plus un moyen, qui tend à occulter ainsi  que le véritable travail doctrinal sur le retour à la nation n’a pas été effectué.

    ÉLÉMENTS. La figure de Jordan Bardella représente-t-elle pour vous l’expression du renoncement au véritable « populisme » au profit d’une repositionnement classiquement « droitier » et libéral ?

    VINCENT COUSSEDIERE. Sur le fond, il est un peu tôt pour juger d’un éventuel tournant doctrinal.  Jordan Bardella continue de s’appuyer sur le programme du RN de 2022 et, sans doute aussi un peu sur celui qui est en gestation pour 2027, et qui n’a pas encore été rendu public. Il donne cependant quelques signes d’une stratégie qui se réorienterait davantage vers l’ « union des droites » que vers le « ni droite ni gauche »  populiste. Il semble également être un peu plus libéral et atlantiste que Marine Le Pen. Mais tout ceci reste encore assez indéterminé et semble relever davantage d’une stratégie de communication, que d’une doctrine alternative au « marinisme », si tant est que cette doctrine ait jamais existé. Si on avait mauvais esprit, on pourrait parfois avoir l’impression que Marine Le Pen et Jordan Bardella, à eux deux, nous font un peu du « et en même temps »…

             Sur la forme et le style politique, il est par contre évident que Bardella est beaucoup plus proche des jeunes loups tels Attal ou ex-jeunes loups tels Macron que de Marine Le Pen. Il s’est construit de manière essentiellement médiatique, comme d’ailleurs de jeunes et moins jeunes que lui dans la droite nationale : Marion Maréchal, Eric Zemmour, aujourd’hui Sarah Knafo. Comme eux, il est essentiellement un produit médiatique. Il ne s’est pas construit dans l’adversité d’une longue carrière politique comme Marine Le Pen. La manière dont il essaie de surfer sur ses livres, les lancements de ceux-ci par des causeries presque télé-évangéliques, sa maîtrise de la démagogie spectaculaire et ses passages très huilés et répétitifs sur les plateaux de télévision, son art des selfies, tout ceci a de quoi enchanter les uns et désespérer les autres. Je me place plutôt du côté de ces derniers… J’explique dans le livre pourquoi la force de Marine Le Pen était au contraire d’avoir réussi à ne jamais se soumettre entièrement au pouvoir médiatique, à ce que Guy Debord appelait « le talon de fer du spectacle », et ce malgré la dédiabolisation.

    ÉLÉMENTS.  À l’autre bout de l’échiquier politique, Jean-Luc Mélenchon incarne-t-il, pour vous, l’autre grande figure de ce « populisme » que vous avec beaucoup étudié ?

    VINCENT COUSSEDIERE. Il n’incarne pas le populisme dans le sens positif que j’ai redéfini comme « populisme du peuple », puisqu’il n’a pas de peuple derrière lui et n’en veut pas, puisqu’il va même jusqu’à théoriser cette absence de peuple comme étant le vrai « peuple » ! Ce sont les multitudes dénationalisées et communautarisées, c’est l’« archipel français » que Mélenchon veut fédérer par un discours victimaire. Un discours aussi bien anti-Français (il n’y a plus de Français d’origine mais que des métissés) qu’anti-institutions (la police tue). Mélenchon est un « populiste » au sens négatif du terme, c’est-à-dire un démagogue qui n’a aucune conviction véritable et veut à tout prix prendre le pouvoir en soufflant sur les braises de la guerre civile. Il faut lire à ce sujet le très bon livre de Rodolf Cart : Mélenchon, le bruit et la fureur, paru également aux éditions de La Nouvelle Librairie.

    ÉLÉMENTS. Vous terminez votre ouvrage en actant votre « adieu à la politique » . Cela signifie-t-il que, selon vous, dans ce domaine, « tout est foutu » et qu’il n’y a plus rien à espérer du jeu électoral ?

    VINCENT COUSSEDIERE. Le livre développe ce qu’aurait pu être la stratégie de Marine Le Pen après l’inéligibilité pour éviter d’avoir recours au plan B. Bardella est un jeune homme talentueux, mais l’enthousiasme qui monte autour de sa candidature à grands coups de sondages, lui assurant même aujourd’hui d’écraser la concurrence au deuxième tour, relève largement d’une forme d’intoxication voire d’auto-intoxication. Rappelons-nous des sondages de Zemmour qui finira à 7 % après avoir cotoyé les 20 % ! Rappelons-nous aussi les illusions de « Bardella premier ministre ». Et quand bien-même Bardella parviendrait au pouvoir, je doute qu’il possède déjà l’épaisseur morale et intellectuelle, ni l’entourage, pour mener la France sur la voie du redressement. Je me demande si Marine Le Pen elle-même ne s’est pas auto-intoxiquée par l’hypothèse Bardella, et par l’idée qu’elle aurait d’ors et déjà réussi à assurer l’avenir du parti, par delà le nom Le Pen. L’intuition « populiste » de Marine Le Pen risque de ne pas déboucher pas sur la nouvelle synthèse nationale dont nous avons besoin. Je crains qu’elle ne se dissolve dans une variante de droite du progressisme.

    Vincent Coussedière, propos recueillis par Xavier Eman (Site de la revue Éléments, 2 décembre 2025)

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  • Tour d'horizon... (294)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Cairn, un article d'Olivier Sirost publié par Sociétés et consacré au cercle munichois des Cosmiques qui a, notamment, vu passer dans ses rangs Alfred Schuler, Ludwig Klages ou Stefan George. 

    Les Kosmiker

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    - sur l'Observatoire de l'immigration et de la démographie, une étude consacré à l'impact de l'immigration sur le système éducatif...

    L’impact de l’immigration sur le système éducatif français

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  • Feu sur la désinformation... (541) : Le régime de la chape de plomb...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou et Martial Bild.

     

                                                

    Au sommaire cette semaine :

    Le dossier du jour : La labellisation des médias et des sites d’information
    La déclaration d’Emmanuel Macron Label d’État ou simple ministère de la vérité ?
    Les initiatives de contrôle du contenu des médias : Décodex, la certification "Journalism Trust Initiative" (JTI)
    Le rôle actif de RSF : Reporters sans frontières dans le projet de contrôle
    Les réactions politiques et médiatiques
    Conclusion : Le service public est le premier pourvoyeur de fake news.

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Pierre Haski, président de RSF – Reporters sans frontières...

     

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  • Robert Jay Mathews et The Order

    Les éditions Déterna, diffusée par Francephi, viennent de publier un ouvrage de Paul-Louis Beaujour intitulé Robert Jay Mathews & The Order. Paul-Louis Beaujour, auteur de plusieurs biographies consacrées aux « maudits de l’Histoire » , nous livre ici un éclairage intéressant sur la "lunatic fringe" américaine.

     

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    " Un soir de septembre 1984, à Metaline Falls, dans l’État de Washington, Robert Jay Mathews, un jeune nationaliste membre de la National Alliance de William Pierce, décide, avec huit de ses compagnons, de fonder une société secrète, la « Fraternité silencieuse » (Silent Brotherhood ou Bruder Schweigen).

    Leur but : financer « activement », par « tous les moyens nécessaires et appropriés », plusieurs mouvements « suprémacistes » afin de leur donner les moyens de fonder un territoire intégralement, et « impérativement » blanc (Territorial Imperative), dans le Nord-Ouest des États-Unis.

    En l’espace d’une seule année, le groupuscule, qui s’étoffera et se rebaptisera The Order, emploiera effectivement à peu près toutes les méthodes pour arriver à ses fins : cambriolages, hold-ups, faux-monnayage, dynamitages, braquages de fourgon blindé, et, accessoirement, assassinat de celui considéré par Mathews comme le pire des « ennemis raciaux », le très haineux animateur de radio, Alan Berg.

    Évidemment, toute cette aventure se terminera très mal.

    Paul-Louis Beaujour, a contrario d’un récent opus hollywoodien racoleur et délibérément partisan, retrace avec réalisme le parcours halluciné de ce groupe d’hommes (et de femmes), à l’origine plutôt « ordinaires », métamorphosé en un croisement improbable entre Robin des Bois et John Dillinger…"

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  • Giessen : quand une ville allemande bascule en zone insurrectionnelle...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous la chronique de David Engels sur Ligne droite, la matinale de Radio Courtoisie, datée du 1er décembre 2025 et consacrée aux violences insurrectionnelles organisées pendant plusieurs jours à Giessen par la mouvance Antifa pour s'opposer à la tenue du congrès de l'AfD destiné à marquer la fondation de son nouveau mouvement de jeunesse "Generation Deutschland". Les prémisses d'un basculement dans une guerre civile larvée ?...

    Historien, essayiste, enseignant chercheur à l'Instytut Zachodni à Poznan, à l'Institut Catholique de Vendée ainsi qu'au Mathias Corvinus Collegium de Bruxelles, David Engels est l'auteur de trois essais traduits en français, Le Déclin - La crise de l'Union européenne et la chute de la République romaine (Toucan, 2013), Que faire ? - Vivre avec le déclin de l'Europe (La Nouvelle Librairie, 2024) et, dernièrement, Défendre l'Europe civilisationnelle - Petit traité d'hespérialisme (Salvator, 2024). Il a  également dirigé deux ouvrages collectifs, Renovatio Europae - Plaidoyer pour un renouveau hespérialiste de l'Europe (Cerf, 2020) et Aurë entuluva! (Renovamen-Verlag, 2023), en allemand, consacré à l’œuvre de Tolkien.

     

                                               

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