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  • Nietzsche et le culte grec...

    Les éditions des Belles Lettres viennent de publier un nouveau tome des écrits philologiques de Nietzsche intitulé Le Culte grec. Ces écrits sont le fruit de ces travaux de professeur à l'université de Bâle.

     

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    " Avant de devenir le philosophe et généalogiste de la morale que nous connaissons, Nietzsche a enseigné pendant dix ans la philologie classique à l’Université de Bâle. Or sait-on qu’il a produit dans ce contexte une synthèse philologique remarquable sur le culte grec, en 175 pages de cours manuscrites ? Des origines historiques et géographiques de ce culte à ses différents aspects liturgiques, tous les principaux sujets sont évoqués : temples, pratiques de consécration et de dédicace, développement des images divines, instruments rituels, pratiques funéraires, voies sacrées, prêtres et acteurs de la liturgie, sites oraculaires, associations religieuses, enfin rites de purification, de couronnement et de sacrifice. Un intérêt majeur du Culte grec est aussi d’adopter une perspective anthropologique qui conduit à nier toute différence de principe entre religion et magie, sans pour autant réduire la religion grecque à une forme païenne d’idolâtrie. C’est ici, justement, qu’est formulée pour la première fois la question généalogique par excellence, « Que signifie le fait que… ? » : appliquée à des pratiques religieuses grecques, elle permet notamment d’interroger la figure du prêtre, qui jouera un rôle central dans la Généalogie de la morale. Ainsi Nietzsche préparait-il la philosophie subversive et radicalement historique d’Humain, trop humain.
    Le présent volume contient la première traduction française intégrale, établie à partir des manuscrits, du cours sur Le Culte grec (Der Gottesdienst der Griechen) que Nietzsche a professé à l’Université de Bâle pendant les semestres d’hiver 1875-1876 et 1877-1878."

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  • Jean Parvulesco et l’Empire de la fin...

    Dans ce nouveau numéro de l'émission de TV Libertés, « Les idées à l’endroit », Rémi Soulié, évoque la figure de Jean Parvulesco, qui fait partie de ces "Roumains de Paris" qui ont enchanté la littérature et la pensée françaises et européennes et dont l’œuvre est traversée par des visions métapolitiques et mystiques puissantes. Pour en parler avec lui, il reçoit :

    - Stanislas Parvulesco, petit-fils de Jean Parvulesco, très attaché à l’œuvre et à la mémoire de son grand-père,

    - Hugues Moreau, essayiste, qui achève un essai biographique sur Jean Parvulesco,

    - Bruno Dietsch, essayiste, ami de Jean Parvulesco, auquel il a consacré de nombreux articles et une conférence à l’Ecole Normale Supérieure.

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  • Le Hussard chez les skins...

    Les éditions Auda Isarn viennent de publier un nouveau Hussard écrit par Paul-Louis Beaujour et intitulé Le Hussard chez les skins. Paul-Louis Beaujour, auteur de plusieurs biographies consacrées à des « maudits de l’Histoire ».

     

    Beaujour_Le hussard chez les skins.png

    "Le métro parisien n’est pas un long fleuve tranquille. Julien Ardant, dit Le Hussard, vient lui-même d’en faire l’amer constat lorsque, agressé par une bande de racailles, il ne doit son salut qu’à l’intervention de quelques jeunes skins.

    Cette dette d’honneur va bien vite être honorée quand l’un des skins, Théo, est retrouvé égorgé dans une benne à ordures à Argenteuil. Une vengeance qui va l’entraîner dans les endroits les moins reluisants de notre « Doulce France », où les trafics représentent une juteuse économie parallèle. Mais il en faut plus pour décourager le Hussard, particulièrement remonté. Et le concours de Leo Von Kluge, alias le Lansquenet, ne va rien faire pour adoucir les mœurs dans cette nouvelle chevauchée hussarde menée tambour battant, au son des guitares de Skrewdriver et Landser."

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  • La Bretagne, nouvelle colonie de la criminalité importée ? Basta !...

    Nous reproduisons ci-dessous un coup de gueule de Julien Dir cueilli sur Breizh-Info et consacré à la prise de contrôle des villes bretonnes par les gangs de narcotrafiquants.

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    Fusillade dans le quartier de Villejean à Rennes

     

    La Bretagne, nouvelle colonie de la criminalité importée ? Basta !

    Il faut avoir le courage de dire ce que tout le monde voit mais que personne n’ose énoncer publiquement — parce que la vérité, aujourd’hui, est parfois devenue un délit. De Nantes à Brest, de Rennes à Saint-Brieuc, les tirs résonnent, les fusillades se répètent, le deal prospère comme jamais, et les médias nous parlent encore de « jeunes », de « Parisiens », de « tensions entre quartiers ». La liturgie anesthésiante du déni.

    Mais nous n’avons plus le temps. La Bretagne étouffe. La Bretagne saigne. La jeunesse bretonne va mourir.

    Les balles sifflent désormais dans nos rues, et l’on nous intime encore de sourire, d’applaudir, de célébrer le « vivre-ensemble ». Vivre-ensemble ? Non. Survivre sous contrôle narco-ethnique, voilà le programme qu’on nous impose.

    Car il faut cesser de tourner autour du pot : les réseaux qui inondent nos villes ne viennent pas de la lande ni des monts d’Arrée. Ils ne sont pas celtes. Ils ne sont pas bretons. Ils sont le produit direct de la politique migratoire massive, incontrôlée, délirante menée depuis vingt ans avec la bénédiction des élus régionaux, de l’État, des technocrates du ministère, et des éditorialistes qui vivent en centre-ville sécurisé.

    Afriques francophones, Maghreb, Europe sud-balkanique qui arrivent en Bretagne via les métropoles françaises, via les politiques de la ville… on sait. Tout le monde sait. Mais personne, dans les grands journaux subventionnés, n’a les tripes de le dire (à moins que ce ne soit volontaire ?).

    On parle de « jeunes d’origine parisienne ». Ou de « jeunes locaux » pour rappeler aux lecteurs que, parce que vivants en Bretagne, ils seraient des Bretons comme « vous et moi ».

    Traduction pour ceux qui ne sont pas idiots : bandes afro-maghrébines et réseaux importés des banlieues françaises. Toutes les sources le démontrent. Il n y a pas de gangs de Suèdois, ni de gangs d’Argentins, en Bretagne. Pas non plus de vrais gangs dirigés par des autochtones même si certains d’entre eux servent de petites mains dans des réseaux qui essaiment aussi en ruralité. On qualifie de « conflits de territoire » des règlements de compte à l’arme de guerre.

    On nomme « incivilité » un kidnapping en rase campagne. On maquille le réel comme un cadavre qu’on pompe pour lui donner bonne mine.

    Ce n’est pas un fait divers. C’est une conquête territoriale.

    À Rennes, Villejean devient un far-west métissé où l’on tire pour un point de coke. À Nantes, on voit tomber des corps dans la Loire. À Brest, des quartiers entiers vivent sous économie parallèle. À Vannes, Lorient, Quimper, les réseaux avancent, infiltrent, recrutent.
    Les caïds dictent leur loi et les élus posent des fresques « contre la discrimination ».

    Les politiques regardent ailleurs, pleurent sur « les quartiers oubliés », financent des associations-passerelles qui servent de couverture et libèrent des subventions pour acheter la paix sociale — une paix achetée comme on paye un racket.

    Ils ne protègent pas les Bretons. Ils négocient avec ceux qui les menacent.

    Et ils veulent que nous trouvions ça normal.

    Soit nous continuons à nous coucher, en acceptant la transformation accélérée de la Bretagne en zone métastable, mosaïque ethnique sous contrôle de trafiquants. Soit le peuple breton — ce qu’il en reste encore de debout, d’insoumis, de lucide — ouvrira enfin les yeux et dira : STOP.

    Déjà, la lassitude monte. Déjà, le murmure devient grondement. Les Bretons, peuple long à s’échauffer mais impossible à soumettre, savent ce qu’est la reconquête. Nos ancêtres ont repris leur terre à la pointe de l’épée ; aujourd’hui, on nous demande d’abandonner nos rues, nos villes, notre identité pour ne pas heurter quelques élus trouillards, et la presse subventionnée.

    Eh bien non. Pas ici. Pas chez nous.

    Nous ne voulons plus mourir dans le silence. Nous ne voulons plus être spectateurs. Nous ne voulons plus être complices par résignation.

    Dehors les trafics, et les narco trafiquants, dehors ceux qui les organisent, dehors ceux qui les couvrent. Au tribunal tous ceux qui ont permis la destruction d’une société qui vivait parfaitement ensemble sans ces individus. Les Bretons méritent autre chose que la soumission polie et la peur nocturne. Nos villes ne doivent pas devenir les laboratoires d’un modèle multiculturel déjà effondré ailleurs.

    La Bretagne n’est pas à vendre. Et encore moins à piller Basta. Stop. Harz !

    Julien Dir (Breizh-Info, 9 décembre 2025)

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  • Apologie de l'Antiquité...

    Les éditions Auda Isarn viennent de publier un recueil de nouvelles de Laurent Schang, Pierric Guittaut, Pierre Gillieth, Bruno Favrit, Aristide Leucate et Klaas Malan, intitulé Apologie de l'Antiquité.

     

    Apologie-de-lAntiquite.png

    " Après Apologie du méchant et Apologie de la salope, Laurent Schang, Pierric Guittaut, Pierre Gillieth, Bruno Favrit, Aristide Leucate et Klaas Malan rendent hommage aux héros antiques à travers six nouvelles qui vous emmèneront de l’île d’Eubée à Uxellodunum, des mythiques Amazones aux Parthes, en passant par le camp militaire de Marius ou le palais de Tarquin le Superbe. Avec une belle couverture de Pascal Benoît et six dessins originaux de Miège. "

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  • Itinéraire avec Jean-Gilles Malliarakis...

    En hommage à Jean-Gilles Malliarakis, grande figure du nationalisme révolutionnaire des années 70-80, orateur flamboyant et grand défenseur de l'idée de "troisième voie", nous vous proposons de découvrir cet entretien réalisé pour TV Libertés voilà trois ans par Olivier François et Daoud Boughezala.

    Europe, Jeunesse, Révolution !

     

                                                 

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