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Métapo infos - Page 958

  • Feu sur la désinformation... (116)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : Alep, propagande de guerre : Ci-gît la vérité.
      Le 12 décembre l’armée syrienne reprend une grande partie des quartiers Est d’Alep. Des images de scènes de liesse nous parviennent. Pour les médias occidentaux il s’agit de propagande. « Alep une fin dans le sang et les flammes » : Les médias français dénoncent des exactions et des atrocités sans qu’aucun journaliste ne soit sur place.
      I-Média décrypte.
    • 2 : Le zapping d’I-média
      Alep, recyclage de la photo du petit Omran : une photo d’enfant pour faire passer une propagande de guerre.
      Sophie Mazel au micro de Jean Jacques Bourdin sur RMC affirme que « la réinformation ne se rectifie pas quand elle se trompe ». Un professeur de lettre qui parle sans rien savoir. Le monde médiatique se défend face à la défiance des français en affirmant que les médias de réinformation mentent plus que les médias mainstream.

    • 3 : Sevran, le bled en France
      Le 07 décembre, France 2 diffusait dans son 20 heures une séquence montrant que les femmes étaient indésirables dans les bars à Sevran. La séquence est décriée par la presse qui refuse de faire le lien avec l’islam. Bobard de Maurice Szafran dans le grand journal, qui affirme qu’en Corse la situation est identique.
      I-Média réinforme.
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Maggi petite chrétienne Copte tuée au Caire dans l’attentat islamiste, une photo occultée dans les médias
      Valls et Macron présentés dans les médias comme des candidats antisystème alors qu’ils sortent tous deux du gouvernement.
    • 5 : Philippot, Marion : un conflit sous l’œil des médias
      Semaine de règlements de compte par voie médiatique entre Marion Maréchal Le Pen et Florian Philippot, sur fond de politique familiale. Alors que Florian Philippot déclare que Marion est isolée sur la scène politique, Marion demande à Philippot de ne pas définir la ligne du Front national seul sur BFM.
      I-Média décrypte.

     

                                    

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  • L'Énigme du Lundi de Pâques...

    Les éditions Auda Isarn inaugurent avec L’Énigme du lundi de Pâques d'Henri Béraud une collection policière intitulée Le Lys noir et dirigée par Francis Bergeron et Pierre Gillieth. Grand journaliste et écrivain d'avant-guerre, Henri Béraud est l'auteur de nombreux romans et notamment du cycle de Sabolas (Le Bois du templier pendu, Les lurons de Sabolas, Ciel de suie), histoire à travers les siècles d'un petit village du Lyonnais et des lignées familiales qui le composent.

     

    Béraud_énigme-du-lundi-de-pâques.jpg

    " Henri Béraud (1885-1958) est sans doute le plus grand écrivain lyonnais, celui qui a le mieux raconté le petit peuple de la Croix-Rousse et des traboules (relire notamment La Gerbe d’or). Prix Goncourt en 1922 (Le Martyre de l’obèse), il fut aussi un polémiste (et grand reporter) de talent, notamment dans La Gerbe. Épuré à la Libération, il fut emprisonné au bagne de Saint-Martin de Ré où il écrivit ce policier : L’Énigme du lundi de Pâques. Ce roman à énigme totalement inédit raconte l’enquête autour du meurtre de l’avocat général Morturiaud, retrouvé sans vie sur la voie ferrée du train Paris-Marseille. "

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  • De la percée idéologique à la percée politique ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donné par Patrick Buisson à Charlotte d'Ornellas pour Boulevard Voltaire, dans lequel il évoque, outre son livre La cause du peuple (Perrin, 2016), le combat entre « les enracinés du local » et « les agités du global », l’absence de culture de la classe politique, l’identité, l’amitié française, le lien social, les enjeux métapolitiques, la révolution conservatrice, le fait religieux, le sursaut identitaire, la possible guerre civile et son espoir de voir le début d'un nouveau cycle politique...

     

                                     
                                      Patrick Buisson : "Cette percée idéologique... par bvoltaire

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  • Que personne ne décide à notre place !...

    Nous vous signalons la parution du nouveau numéro la revue Rébellion (n°77, novembre - décembre 2016). Vous pourrez notamment y lire des articles de Yohann Sparfell et David L'épée, sur la question de l'autonomie et un entretien avec Jean Bricmont, auteur de La République des censeurs (L'Herne, 2014).

     

    Rébellion 77.jpg

    Au sommaire :

    Éditorial : La fête est finie !

    Société : La Hipsterisation de la ville ( Marie Chancel)

    Débat : Entretien entre David L’Epée et Jean Bricmont sur la question religieuse

     « Une dissidence entre recours à la raison et tentation obscurantiste ».

    Idée : Murray Bookchin et le renouveau d’une politique organique et écologique » ( Yohann Sparfell )

    L’autonomie et la liberté ( Yohann Sparfell )

    Le fédéralisme suisse : un modèle qui séduit au-delà des frontières ( David L’Epée)

    Relecture de l’Empire Intérieur d’Alain de Benoist ( Emmanuel Frankovich)

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  • Exit...

    Nous reproduisons ci-dessous une chronique de Richard Millet, cueillie sur son site personnel et dans laquelle il évoque l'annonce par François Hollande de sa renonciation à une candidature à l'élection présidentielle ...

    Auteur de La confession négative (Gallimard, 2009) et de Tuer (Léo Scheer, 2015), Richard Millet vient de publier aux éditions Léo Scheer un roman intitulé Province.

     

    Richard Millet Liban 2.jpg

     

    Exit

    Pendant que Hollande annonçait qu’il ne se présenterait pas à la prochaine élection présidentielle, avec la mine d’un concierge venu expliquer que la fête ne pouvait continuer à cause d’une panne générale d’électricité, non sans vanter toutefois le bilan globalement positif de la fête, regrettant même d’avoir proposé la déchéance de nationalité (la seule loi qui n’eût pas été indigne de la notion même de nationalité), me dirait une amie comme moi convaincue que la démocratie est un supermarché de farces et attrapes à l’usage de peuples aliénés, j’écoutais, sur un banc de la station de RER, à Vincennes, deux femmes se prendre le bec à propos de ce qui venait d’arriver à l’une d’elles, récemment attaquée, un soir, dans une rue de la ville.

    « Ouais, tu as payé trois jeunes Blacks pour faire genre que tu as été agressée et obtenir un arrêt-maladie d’une semaine », ironisait la première, à l’allure de bobo sur le retour. « C’étaient bien des Noirs, pourtant. J’ai deviné que je serais attaquée quand j’ai aperçu deux mecs encapuchonnés, debout près de l’immeuble. Le troisième, je ne l’ai pas entendu surgir dans mon dos. Il m’a plaquée par terre, pendant que les autres me frappaient pour me faire lâcher mon sac ». « Comment tu sais que c’étaient des Blacks ? » « J’ai senti cette odeur de sueur ». « T’es dingue ! Comment tu parles, là ! Comme une raciste… ». « Je te dis juste ce qui s’est passé, pauvre conne ! et pas ce que tu voudrais qui ne se soit pas passé », a encore dit la victime dont le visage portait en effet ces traces de coups si particulières aux femmes battues. Pour un peu, elle l’eût giflée, et elle eût bien fait. Elle s’est contentée de se lever et de gagner l’autre extrémité du quai, laissant la boboïque indignée à d’évidents problèmes de constipation et de frustration idéologico-sexuelle.

    Je ne m’en suis bien sûr pas mêlé ; mais cet échange en dit long sur l’état de la France, ravagée par quatre années de pouvoir socialiste et des lustres de renoncement à nommer le mal tel qu’il est. C’est pourtant le devoir du pouvoir politique que de le désigner et de le combattre. Hollande, comme ses prédécesseurs, a fait tout le contraire, quoique davantage : nul n’est allé plus loin dans le déni, le mensonge, l’inversion, et, bien entendu, dans la parodie.

    J’ai fini par voir son intervention télévisée. Cohn-Bendit a cru indispensable de faire savoir que le président est entré dans l’Histoire par cet acte d’humilité. Pour un peu il l’eût comparé à Benoît XVI renonçant au trône de saint Pierre… Je dirai plutôt que la décision de Hollande était le premier acte authentique de son règne, bien qu’il eût l’air de n’être déjà plus là, ou même de n’avoir jamais été là. Quant à la presse française, en prostituée chevronnée, elle a fait semblant d’avoir un de ces orgasmes par lesquels elle abuse les gogos, seuls les imbéciles pouvant s’étonner de la décision présidentielle.

    Le lendemain, Hollande s’est envolé pour Abou Dhabi, ce paradis démocratique où Jean Nouvel (dont la tête de gourou est remarquable) achève la construction d’une succursale du Louvre, qui complètera la « Paris-Sorbonne Abou Dhabi » ― des produits dérivés, des simulacres, la marque comptant plus que la fonction originale : le Culturel, et non plus la Culture. Car qui peut penser que les Arabes du Golfe s’intéressent à la culture française, et qu’il soit possible d’enseigner librement dans cette Sorbonne franchisée comme d’exposer ce que l’on veut dans cette déclinaison du Louvre ?

    Pour moi qui suis hanté par la concomitance des signes, je crois surtout que Hollande attendait que Castro mourût pour se mettre enfin en survêtement : le costume lui va si mal... Il avait rendu visite à Castro tout en clamant qu’il fallait qu’Assad quitte le pouvoir ; nul ne s’en est indigné, tant la castromania est encore vivace, chez les bobos… Ce sera donc en survêtement, qu’il assistera, bientôt, espérons-le, à la victoire des troupes légitimes d’Assad sur les islamo-rebelles de Syrie.

    Richard Millet (Site officiel de Richard Millet, 4 décembre 2016)

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  • Maximes et autres pensées remarquables...

    Les éditions du CNRS rééditent dans leur collection de poche Biblis Maximes et autres pensées remarquables des moralistes français, un recueil de textes et d'aphorismes établi par François Dufay. Agrégé de lettres et journaliste, François Dufay s'est notamment intéressé à la droite littéraire sous l'occupation et au cours de l'après-guerre...

     

    Dufay_Maximes et pensées.jpg

    " L’époque n’est plus aux moralistes et leurs sentences sonnent aujourd’hui comme un accord de clavecin. On leur préfère en général les philosophes du bonheur, les maîtres penseurs médiatiques ou les psys. Bien mal nommés, les moralistes ne prêchent pas la morale mais la dissèquent, la dépassent pour aller par-delà le bien et le mal. De La Rochefoucauld à Cioran en passant par Vauvenargues, Joubert, Valéry, c’est un bonheur de styles autour de la vanité des hommes, de l’illusion du progrès, de l’inutilité de la philosophie, de la solitude dans la vie de société…

    Un remède sans pareil contre la réduction du for intérieur et un éloge de la liberté d’être. "

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