Vous pouvez découvrir ci-dessous une vidéo de l'Institut Iliade intitulée « Richesse et diversité des peuples et visages d'Europe ».
Cette vidéo a été réalisée par des auditeurs de l'Institut.
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Vous pouvez découvrir ci-dessous une vidéo de l'Institut Iliade intitulée « Richesse et diversité des peuples et visages d'Europe ».
Cette vidéo a été réalisée par des auditeurs de l'Institut.
Le nouveau numéro de la revue Conflits (n°30, novembre-décembre 2020), dirigée par Jean-Baptiste Noé, vient de sortir en kiosque. Le dossier central est consacré au réveil de la Turquie.
Au sommaire de ce numéro :
ÉDITORIAL
Notre plus bel ennemi, par Jean-Baptiste Noé
CHRONIQUES
LE GRAND ENTRETIEN
Patrick Artus. « La dette a été remplacée par la monnaie »
IDÉES
Une vision stratégique pour l'armée de terre, par Jean-Marc Tanguy
PORTRAIT
Claudia López, nouveau visage de la Colombie, par Nicolas Klein
ART ET GEOPOLITIQUE
Pierre-Yves Trémois. Eloge à un prince de l'art, par Aude de Kerros
ENJEUX
CHRONIQUES
GRANDE STRATÉGIE
L'art occidental de la guerre subversive : Lawrence d'Arabie, par Raphaël Chauvancy
HISTOIRE BATAILLE
Arcole (15-17 novembre 1796). Les sentiers de la gloire, par Pierre Royer
GÉOPOLITIQUE ET ENTREPRISE
RIEN QUE LA TERRE
VUE SUR LA MER
CHRONIQUES
CHEMINS DE FRANCE
LIVRES
GÉOPO-TOURISME
LIRE LES CLASSIQUES
DOSSIER
Jusqu'où ira la Turquie ?
Le traité de Sèvres. La mort de l'homme malade ?, par Tancrède Josseran et Fabrice Monnier
Entretien avec Bayram Balci. La Turquie du Moyen-Orient à l'Asie centrale, propos recueillis par Etienne de Floirac
Le déploiement de la puissance turque dans les Balkans, par Alexis Troude
Les Turcs en Allemagne, par Thierry Buron
La Turquie au Yémen. Vers le grand large ?, par Aurélien Denizeau
La Turquie dans la Corne de l'Afrique, par Ana Pouvraud
La Turquie et la Lybie. Les portes de l'Afrique, par Emile Bouviery
Le drone : l'arme secrète d'Ankara, par Vincent Tourret
La lente (et difficile) émergence d'une puissance alimentaire turque, par Pierre Raffard
Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir, cueilli sur Breizh Info et consacré à l'absence de réaction du peuple français face aux mesures de restriction des libertés prises au nom de la lutte contre l'épidémie de coronavirus.
Confinement, Covid…« La France a peur ». Lettre à ces Français qui préfèrent vivre à genoux plutôt que de mourir debout
« Les Français sont majoritairement pour le confinement ». « Les Français ont peur du Coronavirus ».
La presse mainstream n’a de cesse ces derniers jours de relayer des sondages (qui doivent être traités comme des sondages, c’est à dire sous influence de ceux qui les émettent), évoquant cette majorité de Français qui se féliciteraient des mesures gouvernementales, des privations de liberté, de la tyrannie sanitaire à l’œuvre depuis des mois en France mais aussi dans de nombreux pays d’Europe.
Aujourd’hui, ces chiens de garde qui possèdent la carte de presse attribuée par un collège de gens qui mangent et qui vivent système, préparent le terrain, aux côtés des « communicants » et des grands groupes de publicité, pour fabriquer le consentement des foules à toutes les mesures liberticides les plus farfelues qui passent sous les radars des décideurs politiques.
Et déjà ces propagandistes de préparer l’opinion à une troisième vague de coronavirus, à un confinement potentiellement jusqu’en février, puis pourquoi pas jusqu’à la découverte d’un vaccin, ce « miracle » scientifique qui fait déjà « étonnamment » la richesse de plusieurs entreprises côtées en bourse.
Je vous conseille au sujet de la pandémie de coronavirus de vous procurer tous les numéros de l’excellente revue Faits et Documents qui a traité le sujet, c’est complet, sourcé, et cela vous permettra de secouer un peu les zombies qui vous servent parfois de voisins, de frères, de parents, et d’amis.
Les décideurs politiques de premier plan derrière, se contentent ensuite, en tâtonnant d’appliquer ce à quoi les foules ont été conditionnées en amont .
Car ils ne savent que tâtonner, n’ayant aucune compétence réelle, aucune vision de l’Histoire à long terme, et des compétences intellectuelles de plus en plus douteuses plus les générations passent, en Occident du moins.
C’est redoutablement efficace, et ça fait quasiment mouche à chaque fois, tant les masses sont encore trop nombreuses à n’avoir que les chaines du service public, ou la grande messe du 20h, comme seule source d’information, complétée le cas échéant par un quotidien local subventionné et dont les dirigeants sont tous copains (les coquins) avec les décideurs politiques. Rajoutez-y des décennies de fabrique du crétin par l’Education nationale, et vous avez là un cocktail explosif pour fabriquer des zombies.
Alors c’est à ces masses là qu’il faut s’adresser aujourd’hui. A celles qui acceptent, y compris en râlant, de porter des masques, en plein air, ou dans des espaces vides de monde, ou d’en faire porter à leurs enfants ( « Le Français n’est jamais content » dixit les ragoteurs et autres piliers de comptoir qui ne vivent eux mêmes leur vie que par procuration).
« Mais quand même, ce virus est dangereux, ils nous le disent à la télévision ». Et gare à ceux qui ne porteraient pas le masque, ou qui refuseraient de se plier aux injonctions gouvernementales, appliquées sur le terrain par des forces de l’ordre trop heureuses (car trop lâches) de ne pas être expédiées dans les cités pour s’occuper définitivement des dealers et de la vraie racaille.
Vous les avez quotidiennement autour de vous, ces gens qui appliquent les consignes sans broncher. Qui se taisent. Qui ont peur (de qui, de quoi, difficile de le savoir). Qui se transforment eux mêmes en délateurs, en agents zélés de l’Etat, dénonçant ici celui qui ne porte pas son masque, là celui qui aurait un niveau de vie suspect par rapport à celui qu’il prétend être, là encore celui qui n’aurait pas le même mode d’éducation pour leurs enfants que la masse, toujours la masse.
Et n’importe quel esprit éclairé de comprendre, en voyant cette âme humaine dégueulasse au grand jour et au quotidien, pourquoi en temps de guerre, l’histoire récente l’a encore démontré, il se trouve beaucoup plus de moutons, mais aussi de salauds, que de résistants et de héros.
Etant donné que nous vivons sur le même territoire, et avant que les tentations sécessionnistes ne finissent, de toute façon eu égard de la situation géopolitique globale, de séduire les plus éveillés, il faut s’adresser à ces mougeons (moutons, et pigeons). Et secouer le cocotier. Et ne pas hésiter à sortir des sentiers battus, à heurter.
Dans une société féminisée, où l’émotion prime sur toute raison, où l’hystérie est trop souvent la règle, il est temps de retrouver des attitudes « de bonhomme » vis à vis de son entourage, de sa communauté, que l’on ne peut se résoudre à abandonner aux apprentis Frankenstein qui sont en train de nous préparer un monde qui porte en lui un avant goût prononcé de l’enfer.
Il est temps de demander à son voisin, qui a peur du coronavirus, si il est prêt à porter le masque encore 5 ou 10 ans, à renoncer à ses libertés individuelles, à son droit à être maître chez lui, dans son domicile, sur son territoire, au nom d’un virus dont la létalité ferait rigoler nos ancêtres européens, eux qui ont traversé des épidémies poussant parfois la moitié de la population 6 pieds sous terre, et qui n’ont pas cessé de vivre pour autant.
Car à quoi sert donc de passer sa vie à vivre à genoux ?
Avec un masque pour lutter contre le coronavirus, en mangeant 5 fruits et légumes par jour, en ne fumant pas, en ne buvant que deux verres d’alcool maximum, en évitant certains propos tombant sous les lois votées par de petites minorités à l’Assemblée nationale, en s’abstenant de rouler ici à 80km/h, là à 30, là à 50 au gré des décisions d’élus politiques d’une lâcheté et d’un opportunisme stupéfiant.
Pourquoi travailler toute sa vie et fermer sa bouche quand on vous dit de la fermer, bien docilement ? Et éventuellement se prendre un coup de lame chaude, quand, une fois dans l’année, on s’accorde une sortie dans une métropole sécuritairement abandonnée par cet Etat qui prétend ensuite vous astreindre à résidence, masqué, et confiné.
Pourquoi continuer à attendre que le cancer vous atteigne, comme il atteint de plus en plus d’Occidentaux, malgré les 5 fruits et légumes par jour, en raison de la véritable épidémie, de malbouffe celle-ci, qui se propage jusque dans les assiettes de nos enfants cobayes d’industriels qu’il ne faudra pas oublier un jour d’enfermer, et pour longtemps ?
Quel intérêt que nos vies à genoux, en la passant en plus parfois à fantasmer sur des hommes et des femmes qui elles, ont fait le choix de mourir debout ?
Si les Européens ne se réveillent pas aujourd’hui, alors dans quelques décennies, il ne faudra pas s’étonner, que nos enfants, nos petits enfants, nous tournent le dos et nous laissent crever avec tout le mépris qu’ils nous devront dans des hôpitaux et des EHPAD.
Ces morgues, là où sous assistance respiratoire (ou pas selon les moyens de santé du moment), entre deux changements de couche, nous mèneront piteusement le combat le plus minable de l’Histoire : un combat pour survivre 3 semaines ou quelques mois de plus à un cancer, ou tout simplement à la vieillesse, ce naufrage que nous pourrions tous éviter si nous acceptions la vie telle qu’elle devrait être pour tous les hommes libres de cette planète.
Debout les morts !
Julien Dir (Breizh info, 4 novembre 2020)
Au sommaire cette semaine :
- sur Bonnet d'âne, Jean-Paul Brighelli dézingue le climat de trouille qui règne dans notre pays...
- sur Hashtable, H16 canarde le reconfinement imposé par Macron et ses sbires...
Reconfinement : un échec et une fracture irrattrapables
Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Nicolas Faure.
Au sommaire :
Les éditions du Lore viennent de publier un essai de Robert Dun intitulé Les Catacombes de la libre pensée. Robert Dun (1920-2002) est un écrivain païen, fortement influencé par Nietzsche, dont il a traduit Ainsi parlait Zarathoustra, et est notamment l'auteur de Vers l'Europe retrouvée ou la mort (Diffusion du Lore, 2020).
" Rédigé sur un ton d’une insigne liberté et achevé en 1990, cet essai de Robert Dun n’a de cesse de dénoncer « la complaisance des trompés envers les mensonges des trompeurs ». Se voulant accessible à toute bonne volonté, cet ouvrage, toujours tristement d’actualité, mérite une place de choix dans la bibliothèque militante de chaque combattant européen.
« L’huissier de l’histoire sonne à la porte et nous présente la facture de l’ère dite chrétienne. Cette facture parle de surpopulation, de famines, d’abêtissement, de drogues et névroses universelles, de catastrophes écologiques, de menaces apocalyptiques, de domination mondiale d’une véritable crapulocratie. Nous n’avons plus le temps de concocter des sommes que personne ne lirait. Nous écrivons pour le peuple, pour le petit reste qui mérite encore ce nom, c’est-à-dire pour tout homme capable de réflexion et d’engagement, quels que soient son niveau d’instruction livresque et ses origines sociales. » "