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Métapo infos - Page 49

  • Les snipers de la semaine... (295)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Hashtable, H16 pulvérise Darmanin  et ses propositions à la fois stupides et nuisibles pour lutter contre le trafic de drogues...

    En finir avec l’argent liquide, vraiment ?

     

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    - sur Figaro Vox, Thomas Morales dézingue la technocratie des métropole méprisante vis-à-vis de la province, qui n'est plus pour eux que « la France des cartes postales dentelées et du folklore agraire », destinée à disparaître...

    La SNCF va-t-elle bientôt demander aux provinciaux de s’excuser de vivre en dehors de Paris ?

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  • Feu sur la désinformation... (518) : Macron et son épouse ou quand le privé devient politique...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin.

     

                                             

    Au sommaire cette semaine :

    L'image de la semaine :  La séquence devenue virale montre Emmanuel Macron repoussé violemment au visage par Brigitte Macron à leur descente d’avion au Vietnam en pleine visite officielle. Si l’Élysée dément toute violence, évoquant une simple "chamaillerie", le "bad buzz" persiste, même après la reprise par la presse de la dialectique présidentielle…

    Dossier du jour :  Les médias instrumentalisent-ils la santé des dirigeants pour influencer l’opinion ? Alors que le cancer de la prostate de Joe Biden vient enfin d’être révélé au monde, les doutes persistent sur sa sénilité qui, a de nombreuses fois, pu interroger pendant son mandat. Et si la révélation de cette maladie n’était que l’arbre qui cache la forêt ? Que dire alors des accusations de maladie (cancer, parkinson) répétées vis-à-vis du président Poutine ? La santé est décidément une arme de diabolisation comme une autre au sein des hautes sphères du pouvoir !

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    Pastilles de l’info:

    • Mustapha El Atrassi : un humoriste invite les Marocains et les Algériens à insulter les "gwers"
    • Mathieu Kassovitz persiste et signe : “il n’y a plus de Français de souche, ce sont des fins de race !”
    • Anne-Sophie Lapix n'a plus la côte : elle ne présentera plus le JT de France 2 !

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Jean-Michel Décugis, le journaliste judiciaire qui aimait les Fake-News...

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  • L'anticommunisme, une histoire qui reste à écrire...

    Les éditions Fol'Fer viennent de publier sous le titre L'anticommunisme, une histoire qui reste à écrire, les actes d'un colloque organisé par l’Institut Emmanuel Ratier sur le thème. On trouvera les communications de Francis Bergeron, Thierry Bouclier, Éric Delcroix, Jean-Claude Rolinat et Pierre Touline.

     

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    " Il convient de se po­ser la question: près de 40 ans après la chu­te du mur de Berlin le 9 no­vem­bre 1989 et de l’URSS en 1991, l’anticommunisme appartient-il au passé ? La réponse est évidemment négative pour deux raisons principales.

    Si le communis­me a disparu de l’Europe, ses dé­fen­seurs, du Par­ti communiste au Parti socialiste, en passant par La France insou­mise, les écologistes ou le Nou­veau Parti anticapitaliste, sont toujours là et n’ont jamais été aussi arrogants.

    Il importe donc de rappeler à cette gauche d’où elle vient, son passé, son bilan, ses crimes et tout le sang que son idéologie mortifère a répandu.

    Par ailleurs, le communisme, comme une métastase cancéreuse, est un phénomène en mutation permanente et toutes les idéologies actuelles, comme le wokisme, le LGBTisme ou le transgenrisme, ne sont que ses succédanés. "

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  • Racisme antiblanc : un sentiment ou l'omerta ?...

    Le 16 décembre 2024, Pierre Bergerault recevait, sur TV libertés, François Bousquet pour évoquer la question du racisme antiblanc à l'occasion de la sortie de son enquête intitulée Le racisme antiblanc (La Nouvelle Librairie, 2025)...

    Journaliste, rédacteur en chef de la revue Éléments, François Bousquet a aussi publié Putain de saint Foucauld - Archéologie d'un fétiche (Pierre-Guillaume de Roux, 2015), La droite buissonnière (Rocher, 2017), Courage ! - Manuel de guérilla culturelle (La Nouvelle Librairie, 2020), Biopolitique du coronavirus (La Nouvelle Librairie, 2020) et Alain de Benoist à l'endroit - Un demi-siècle de Nouvelle Droite (La Nouvelle Librairie, 2023).

     

                                              

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  • Vu de Russie...

    Les éditions de La Manufacture des livres viennent de publier un recueil de chroniques de Thierry Marignac intitulée Vu de Russie - Chroniques de guerre dans le camp ennemi.

    Romancier non-conformiste et traducteur d'anglais et de russe, Thierry Marignac a publié plusieurs romans, dont Fasciste (réédition Actusf, 2015),  Renegade Boxing Club (Gallimard, 2009),  Milieu hostile (Baleine, 2011), L'icône (Les Arènes, 2019), Terminal croisière (Auda Isarn, 2021) ou L'interprète (Konfident, 2025).

     

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    " La Russie, ses avenues glacées, ses drapeaux en berne ou en liesse, ses cérémonies officielles. Au cœur du pays, la guerre en Ukraine résonne. À travers les voix de soldats et de civils, de partisans convaincus, d’opposants clandestins, d’indifférents, de nationalistes et de désabusés, Vue de Russie dresse un tableau nuancé et saisissant de la réalité russe face au conflit. Comment la guerre est-elle perçue depuis l’intérieur du pays qui la mène ? Quels discours façonnent les esprits et quelles vérités tentent d’émerger ?

    Dans ce récit mêlant enquête journalistique, immersion personnelle et réflexions littéraires, Thierry Marignac nous transporte dans une Russie tiraillée entre patriotisme, désinformation et fractures sociales et nous livre un témoignage essentiel pour comprendre les rouages d’une guerre moderne rarement abordé sous cet angle. "

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  • Refonder la santé : pour une révolution sanitaire enracinée et souveraine...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir cueilli sur Breizh-Info et consacré à la nécessaire réforme du système de santé français.

     

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    Refonder la santé : pour une révolution sanitaire enracinée et souveraine

    Notre système de santé est à bout de souffle. Ce n’est pas une crise : c’est une fin de cycle. L’hôpital public est devenu une usine à malades où les soignants s’effondrent et les patients errent. Les déserts médicaux s’étendent comme un cancer, jusqu’au cœur des métropoles. Les médecins libéraux désertent les gardes. Les infirmiers fuient l’hôpital. Les services d’urgence ferment. Et pendant ce temps, l’État bricole, empile les « Ségur », verse des primes et remplit des tableaux Excel.

    Mais on ne répare pas un arbre pourri à la racine avec du sparadrap. Il faut une refondation. Une révolution douce, enracinée, réaliste. Une contre-utopie organisée autour de quelques principes simples : souveraineté, proximité, responsabilité.

    Un système régionalisé, enraciné dans la terre des vivants

    La première erreur historique fut de vouloir centraliser la santé. Un fonctionnaire à Paris n’a aucune idée de la situation à Guingamp, à Lannemezan ou dans les Hautes-Alpes. Il est temps de confier la santé… à ceux qui vivent là.

    Chaque région doit avoir son propre service de santé, sous forme d’une agence sanitaire autonome, dotée de son budget, de son plan d’équipement, de ses hôpitaux et de son réseau de soins. Cette régionalisation permettra d’adapter les politiques sanitaires aux réalités locales : en Bretagne, la priorité sera aux urgences rurales et au maintien des maternités. En Alsace, peut-être à la gériatrie. Chaque peuple de France doit reprendre la main sur sa santé.

    Mieux encore : pour les régions qui le souhaitent, un maillage européen à petite échelle peut être envisagé. Il ne s’agit pas de livrer notre santé à Bruxelles, mais d’organiser des coopérations transfrontalières en matière de soins rares, de transferts de patients, de formation ou de recherche. Une Europe enracinée, fondée sur les territoires et les peuples, pas sur les directives.

    Une promesse fondamentale : soigner chaque Français à moins de 30 minutes de chez lui

    C’est un engagement que l’on pourrait inscrire dans la Constitution. Un hôpital, une maison de santé, une structure de soins à moins de trente minutes de chaque Français, quel que soit son lieu de résidence.

    Cela suppose de rouvrir des structures, pas de les fermer. De réorganiser les urgences, pas de les mutualiser à 200 kilomètres. De créer un maillage d’unités mobiles de soins, de relocaliser les plateaux techniques, et surtout, de sortir de la logique purement comptable imposée par l’ARS et Bercy.

    Nous devons investir dans des soignants bien payés, bien formés et respectés, pas dans des consultants en management ou des applications inutiles. Le financement peut être assumé par les régions, à condition que l’on mette fin au gaspillage, à la bureaucratie et à la surfacturation provoquée par une complexité folle.

    Le Service sanitaire national : deux ans de don pour tous

    La France n’a plus d’armée du peuple. Elle n’a plus de service national. Elle n’a plus de lien social. Recréons-le par un Service sanitaire national obligatoire pour tous entre 18 et 40 ans. Chaque Français, homme ou femme, devrait consacrer au moins deux années de sa vie à servir : comme pompier volontaire, secouriste, aide-soignant, brancardier, auxiliaire de soins, logisticien de crise, etc.

    Ce service sanitaire permettrait de former une réserve active de plusieurs millions de citoyens capables d’intervenir en cas de catastrophe, d’épidémie, de guerre ou de crise majeure. Cela ouvrira des débouchés professionnels, moyennant équivalence, à tous. Ce serait aussi un creuset de fraternité réelle, de discipline librement consentie, et une expérience utile pour les jeunes qui veulent s’orienter vers les métiers du soin.

    À ceux qui hurleront à la militarisation ou à l’embrigadement, répondons qu’il s’agit d’un retour au réel. Le soin est un acte politique et communautaire. On ne soigne pas une société liquide avec des pixels. On la soigne avec des hommes et des femmes debout, formés, prêts à servir.

    Une exigence non négociable : un système fermé, souverain, protégé

    Il n’existe aucun système de santé viable dans une société ouverte à tous les vents. Une médecine gratuite, universelle, solidaire n’est possible que dans un cadre limité, fermé, défini.

    La France ne peut pas soigner indéfiniment la planète entière. Il est temps d’imposer un principe clair : les soins gratuits sont réservés aux citoyens français et aux étrangers ayant contribué durablement au financement du système. Pour les autres, c’est le pays d’origine qui doit payer. Ou bien c’est le patient.

    L’immigration n’est pas un droit à la santé gratuite. C’est une charge, souvent lourde, pour les hôpitaux, les urgences, les maternités. Dans un monde rationné, la priorité doit aller aux nôtres.

    Soigner, c’est bâtir une civilisation

    La médecine moderne s’est coupée de ses racines spirituelles, culturelles, éthiques. Elle est devenue une technique froide, parfois inhumaine. Refonder notre système de santé, ce n’est pas seulement gérer une crise ou améliorer des ratios. C’est rebâtir une civilisation autour de la vie, du soin, du sacrifice et du bien commun.

    Nous n’avons plus besoin de ministères pléthoriques, de commissions inutiles ou de colloques creux. Ni d’administrations vampires qui engloutissent le budget de l’hôpital. Nous avons besoin de médecins enracinés épaulés par des robots et par l’IA, de paysans bien portants, de jeunes qui s’engagent, d’infirmières et de sages-femmes respectées, de structures agiles, de territoires fiers.

    Et surtout, d’une Civilisation qui préfère soigner les siens que sauver le monde entier sur ses propres cendres. C’est possible. Il suffit d’oser.

    Julien Dir (Breizh-Info, 27 mai 2025)

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