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Métapo infos - Page 430

  • La société de surveillance...

    Le nouveau numéro de la revue Éléments (n°192, octobre 2021 - novembre 2021) est en kiosque!

    A côté du dossier consacré à la société de surveillance, on découvrira l'éditorial d'Alain de Benoist, les rubriques «Cartouches», «Le combat des idées» et «Panorama» , un choix d'articles variés, des entretiens, notamment avec le grand reporter Régis Le Sommier... Et on retrouvera également les chroniques de Xavier Eman, d'Olivier François, de Laurent Schang, d'Hervé Juvin, de Nicolas Gauthier, de Bruno Lafourcade, de Guillaume Travers, d'Yves Christen, de Bastien O'Danieli et de Slobodan Despot, ainsi que celle d'Ego Non consacrée à la philosophie politique...

     

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    Éditorial
    La fin du féminisme. Par Alain de Benoist

    Agenda, actualités

    L’entretien
    Régis Le Sommier : « Je suis un enfant du 11 septembre ! »

    Cartouches
    L’objet politique : le Walkman, oreilles baladeuses. Par Nicolas Gauthier

    Une fin du monde sans importance. Par Xavier Eman

    Cinéma : les vies rêvées d’Alain Jessua. Par Nicolas Gauthier

    Carnet géopolitique : En quête d’Empire. Par Hervé Juvin

    Champs de bataille : place à Vauban ! Par Laurent Schang

    La bovarhyène. Par Bruno Lafourcade

    Économie. Par Guillaume Travers

    Normopathes : les matons de Panurge. Le regard d’Olivier François

    Bestiaire : les cacatoès sont des hommes comme les autres. Par Yves Christen

    Sciences. Par Bastien O’Danieli

    Le combat des idées
    L’écrivain, le juriste et l’infectiologue : les Maulin, une famille face au Covid. Propos recueillis par Pascal Eysseric

    Le décryptage de Guillaume Travers sur la surveillance mondialisée. Propos recueillis par François Bousquet

    Jusqu’où accepteront-ils d’obéir ? » Retour à Stanley Milgram. Par Pierre Fouques

    Vingt ans après le 11 septembre : le cadavre « néocons » bouge encore. Par François Bousquet

    Panique à Kaboul : Cédric Bannel mène l’enquête. Propos recueillis par Pascal Eysseric

    Le mythe de la dématérialisation : l’écologie ne passera pas par le numérique. Par Guillaume Travers

    Collection Pinault à la Bourse du Commerce : la fièvre de l’art niais. Par Alix Marmin

    Les Carnets rebelles : le chef-d’œuvre posthume de Dominique Venner. Par Alix Marmin

    Dans la tête d’Alexandre Douguine, le prophète des 5 royaumes. Par Charles Castet

    Entretien avec David Engels : pour une renaissance de l’Europe. Propos recueillis par Éric Garnier

    La damnation d’Edgar P. Jacobs : un opéra de papier. Par Fabien Niezgoda

    Centenaire de Georges Brassens, l’infréchantable. Par Alain Lefebvre

    Inceste saison 5 : le métier à pleurer de Christine Angot. Par François Bousquet

    Avec Jules Vallès, soldat de la Commune : un écrivain sur les barricades. Par David L’Épée

    Dossier
    C’est grave docteur d’être Blanc ?

    Les racines religieuses du wokisme : Ubu au pays de Calvin et de Walt Disney. Par François Bousquet

    Les 26 privilèges noirs : pourquoi être Blanc n’est plus cool. Par François Bousquet

    Entretien avec Georges Guiscard : « Ah, ça ira, ça ira ! Les Blancs à la lanterne ». Propos recueillis par François-Laurent Balssa

    L’aristocratie selon Bernard Lugan, l’allure de Blake et l’art de vivre de Mortimer. Par François Bousquet

    Nos racines, leur racisme : vers la fin des z’humanités ? Par Anne-Laure Blanc

    Panorama
    L’œil de Slobodan Despot

    Réflexions au pied de mon poêle. Par Slobodan Despot

    La leçon de philo politique : Donoso Cortés, critique du libéralisme. Par Ego Non

    Un païen dans l’Église : coup de pied de l’âne au Palais des papes. Par Bernard Rio

    C’était dans Éléments : le contrôle social par l’ordinateur. Par Michel Lhomme

    Éphémérides

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  • La stratégie perverse des métropoles...

    Le 14 septembre 2021, Pierre Bergerot recevait sur TV libertés Claude Rochet pour évoquer les nuisances de la métropolisation de la France.

    Professeur des universités et ancien haut fonctionnaire, Claude Rochet est économiste du développement et spécialiste des questions d'intelligence économique. Il a récemment publié La France des villes moyennes, une stratégie d'avenir pour les territoires (ISSEP, 2021).

     

                                          

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  • Carnets rebelles !...

    Les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de publier le premier tome des Carnets de Dominique Venner, avec une préface d'Alain de Benoist. Écrivain, journaliste et historien, figure de proue du combat identitaire, Dominique Venner (1935-2013) a publié un grand nombre d’ouvrages, parmi lesquels Le Cœur rebelle (1994), Histoire et tradition des Européens (2002), Le Siècle de 1914 (2006) et Un samouraï d'Occident (Pierre-Guillaume de Roux, 2013).

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    " La portée de la mort volontaire de Dominique Venner, le 21 mai 2013, aura été immense pour tous les « cœurs aventureux ». S’il y a néanmoins une chose que ce sacrifice ne laissait pas présager, c’est que le « samouraï d’Occident » confiait à la postérité un grand nombre de notes manuscrites qui, mises bout à bout, forment un massif de textes impressionnant : ses Carnets. Rédigés quarante années durant, ils sont la dernière pièce de son œuvre, sans aucun doute la plus personnelle : l’enfance sous l’Occupation, l’Algérie, l’engagement à Jeune Nation et la fondation d’Europe-Action, le goût de l’aventure et le sens de l’héroïsme, la passion de l’histoire et la quête des racines, l’attrait des armes et l’amour de la chasse. Une mine d’or biographique et philosophique qui lève le voile sur un personnage hors du commun, à la fois acteur et observateur de son temps. Ce premier volume rassemble la première partie des carnets rédigés entre 1982 et 1990. "

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  • Libéralisme contre libéralisme...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue d'Hervé Juvin, cueilli sur son site personnel et consacré à la montée en puissance du capitalisme totalitaire.

    Économiste de formation et député européen, Hervé Juvin est notamment l'auteur de deux essais essentiels, Le renversement du monde (Gallimard, 2010) et La grande séparation - Pour une écologie des civilisations (Gallimard, 2013). Candidat aux élections européennes sur la liste du Rassemblement national, il a publié récemment un manifeste intitulé France, le moment politique (Rocher, 2018).

     

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    Libéralisme contre libéralisme

    Libéralisme et capitalisme ont eu partie liée. Ce n’est plus le cas. En Europe comme ailleurs, un capitalisme totalitaire devient la première menace qui pèse sur nos démocraties et restreint nos libertés.

    Un vieux clivage

    Pour deux siècles, Benjamin Constant avait fixé le cadre du débat ; « la liberté politique est la liberté des Anciens, la liberté de l’individu est la liberté des Modernes ». Entre anciens et modernes, entre souverainistes et mondialistes, entre tenants de l’autonomie des Nations à faire leurs lois et à respecter leurs mœurs, et apôtres de l’universalisme du droit et des droits, s’est résumé le débat politique qui nous a si longtemps tenus éveillés. Mais voilà qu’une autre ligne de fracture vient transformer en profondeur le débat. Au vieil affrontement entre le libéralisme politique, celui de la liberté des peuples, exprimé par le principe majoritaire et le suffrage universel accordé à tous les citoyens, et le libéralisme de l’individu, celui des libertés individuelles, exprimé par l’État de droit et les droits de l’Homme, oublieux du citoyen, succède l’affrontement entre le libéralisme et le capitalisme. Un capitalisme sorti des mœurs et des lois, des frontières et des Nations est devenu la plus grande menace qui pèse sur nos libertés publiques comme privées.

    Le capitalisme est sorti de son lit. C’est ce que l’incroyable accumulation de richesse par les géants du numérique américain dit aussi bien que l’ascension, puis la chute, des magnats du numérique et des réseaux en Chine. C’est ce que signifie le privilège insolent du capital, désormais immune du politique, à l’abri du vote comme des décisions gouvernementales, au titre des accords internationaux de libre-échange signés par l’Union européenne qui protègent le capital et son rendement au point de faire porter sur le contribuable le coût de toute décision, par exemple sociale ou environnementale, qui porterait atteinte au rendement attendu d’un investissement. Et c’est ce que nous disent à la fois le grand désordre qui s’étend aux États-Unis, et le grand retour au patriotisme économique qui secoue la Chine et fait rendre gorge à ceux qui ont cru édifier leur fortune sans le peuple, ou contre lui. Qui a dit que l’égalité devait fixer des limites à la liberté économique ?

    Le communisme en a rêvé, les GAFAM l’ont fait

    Que s’est-il passé ? Ni révolution dans la rue, ni coup d’État à sensation, mais un changement de nature de ce que nous appelons encore démocratie sans mesurer à quel point le mot s’est vidé de son sens. C’est le numérique qui a donné au capitalisme ce caractère totalitaire que les limites des Nations, des ressources et des organisations lui interdisaient de prendre. Deux révolutions sont passées sous silence :

    D’abord, le fait que les techniques de traitement de masse de données pratiquement infinies rendent possible la planification intégrale ; ce que les régimes communistes avaient échoué à faire, faute de moyens techniques adéquats, Amazon ou Google peuvent le faire, mais alors que les régimes socialistes affirmaient le faire au bénéfice du peuple Amazon ou Google le font au bénéfice de leurs seuls actionnaires.

    Ensuite, le fait que la maîtrise de l’information acquise du fait de l’Intelligence artificielle et des algorithmes permet de fabriquer l’opinion, de susciter des états de conscience, bref, de modifier la perception du Bien et du Mal dans un sens unique et facile à identifier — à condition de s’en tenir à distance. Le numérique permet au capital de fabriquer la vérité — d’imposer sa vérité. Résumons en quelques mots ; tout ce qui vient de l’État est mal, tout ce qui vient du privé est Bien.

    Les milliardaires du Net font le Bien de l’humanité ; leurs fondations et les ONG qu’ils financent, généralement avec l’argent accumulé dans des paradis fiscaux ou acquis en ruinant les classes moyennes de leur pays d’origine, ne peuvent être mises en cause. La justice n’a rien à voir avec le capital et les revenus ; les pauvres doivent tout à la charité des riches. D’ailleurs qui n’est pas ému par la bonté d’âme des Soros, Gates et cie ? Les exemples criants de manipulations d’opinion sont partout. Citons seulement les coûts écologiques de ces voyages dans l’espace dont les Branson, Musk et cie semblent faire leur nouveau jouet — et dont personne ne dénonce les impacts désastreux. Citons encore la volonté, affichée par Gates, Bezos et quelques autres, de lancer l’exploitation du Groenland et des terres australes, piétinant un consensus que l’on croyait acquis sur la préservation de ces terres vierges et surtout, fragiles.

    Et citons encore l’extraordinaire impunité dont bénéficient des opérateurs modernes d’une censure dont l’arbitraire n’a d’égale que la partialité, mais dont aucun gouvernement, en dehors de la Chine, n’est parvenu à leur imposer les sanctions qui sauveraient cette condition de la démocratie ; la liberté d’opinion. Pour conclure ; nous vivons un nouveau temps des « robber barrons », ces Vanderbilt, Pierpont Morgan et autres bâtisseurs d’empires par le crime et la fraude, mais pardonnés parce qu’ils construisaient des bibliothèques ! Mais à quand la loi sur l’enrichissement sans cause, qui brisera leurs empires ?

    L’économie emportée par un capitalisme intégral est devenue totalitaire. Elle a plus à voir avec la croyance qu’avec l’économie, la société et bien sûr, la politique. Et c’est bien en cela que cette économie du capitalisme est totalitaire ; elle avale tout ce qui n’est pas elle. L’extension du domaine du marché à tout ce qui vit, de la reproduction humaine à la lutte contre les pandémies, comme l’illustre l’indécente fortune accumulée par les big pharma sous prétexte du Covid, est spectaculaire ; comme est spectaculaire la constitution de monopoles privés qui remplacent les monopoles d’État.

    Pour sortir de cette situation qui menace plus encore que les libertés, la vie elle-même, la première solution est de rendre aux populations leurs biens communs, des autoroutes à La Poste et des chemins de fer aux hôpitaux ; à eux d’en devenir associés propriétaires, à eux de décider de leurs conditions d’exploitation et du rendement qu’ils en attendent. La seconde est d’affirmer la priorité de l’indépendance stratégique, et de la décliner dans tous les secteurs où l’intérêt de la Nation est en jeu. La dernière appelle une tout autre dimension. Celle du sacré. Et comment ne pas paraphraser Heidegger ; face à l’être de la technique déchaîné par la cupidité privée, pouvons-nous faire autre chose que créer les conditions pour qu’à nouveau, le sentiment du sacré nous emplisse de respect, de crainte et de retenue ?

    Hervé Juvin  (Site officiel d'Hervé Juvin, 15 septembre 2021)

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  • Les snipers de la semaine... (221)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Justice au singulier, Philippe Bilger mouche le dogmatisme de la diversité obligatoire...

    L'injonction de la diversité

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    - sur le site de la revue Éléments, Pierre Moriamé dézingue Sandrine Rousseau,  la grande prêtresse éco-féministe, candidate à l'élection présidentielle...

    Sandrine Rousseau, c’est les Soviets plus les éoliennes !

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  • Feu sur la désinformation... (345)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Jules Blaiseau.

    Au sommaire :

    • 1 : Zemmour : Le choc des photos
      Photos chocs de Paris Match, débat avec Mélenchon et rencontre avec le président hongrois Viktor Orban, le Z est encore une fois sous le feu des projecteurs !
    • 2 : Fdesouche face à la fatwa !
      Le pseudo-journaliste Taha Bouhafs a "découvert" une liste entretenue par Fdesouche concernant les signataires d'une pétition contre l'islamophobie. Il porte plainte et déclenche une fatwa sur AlJazeera.
    • 3 : Revue de presse
    • 4 : Macron en contre-plongée devant les médias
      La rupture du contrat des sous-marins est un coup dur pour la France, Macron en profite pour jouer les durs sur la scène internationale.

     

                                           

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