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Métapo infos - Page 1769

  • Flash n°28 : L'amour une marchandise comme les autres ?...

    Toujours aussi gentil et intelligent, le bimensuel Flash sort son numéro 28 avec un dossier consacré à l'amour !

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    Au sommaire :
    Dieudonné en Iran : l’artiste rencontre Mahmoud Ahmadinejad ! Les Américains et les sionistes ont beau dire… L’Axe du Mal nous fait tellement de Bien ! Dieudonné raconte à Flash ce qu’il n’a pas dit aux autres journaux !

    Qu’est ce que l’amour ? Après la féminisation, la marchandisation, la perversion… Qu’en reste-t-il ? Flash fait l’état des lieux.

    La tyrannie de la “beauté”. Ou quand les adolescentes américaines se font plastiquer et siliconer… À quels seins se vouer ? Les révélations de notre correspondant aux USA, James OREGON.

    Internet censuré. En Chine, en Iran… ? Non, en Australie ! Par Lionel PLACET

    Téléthon versus Sidaction : Hier, les crimes de lèse-majesté, aujourd’hui ceux de lèse-charité. Topoline revient sur la polémique suscité par les propos “politiquement incorrects” tenus par Pierre Bergé.

    Une petite sociologie de l’amour contemporain par Alain Soral.

    Grand amour sur grand écran. Pas de Titanic ou d’Autant en emporte le vent, mais des petites pépites cinématographiques comme seul Flash sait en dénicher…
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  • Un critique de cinéma nommé... Rebatet !

    Les éditions Pardès publient sous le titre Quatre ans de cinéma, un précieux recueil de critiques de films de Lucien Rebatet, publiées à l'origine dans la presse entre 1940 et 1944, à une période où la production cinématographique française était particulièrement riche.

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    "Textes réunis,présentés et annotés par Philippe d Hugues avec la collaboration de Philippe Billé, Pascal Manuel Heu et Marc Laudelout. Tout le monde connaît le romancier des Deux Étendards, le pamphlétaire des Décombres ou le grand historien de la musique. Mais beaucoup ignorent ou ont oublié que Lucien Rebatet, qui avait d'autres cordes à son arc, fut aussi un très grand critique de cinéma, le plus grand, selon un augure comme l'antifasciste Nino Frank. Sous son pseudonyme de François Vinneuil, longtemps plus célèbre que son nom véritable, il écrivait avant la guerre à L'Action française et Je suis partout et, sous l'Occupation, dans le même hebdomadaire. À sa sortie de prison, et jusqu'à sa mort, il reprit cette activité dans Dimanche-Matin, L'Auto-Journal et Le Spectacle du monde, notamment. L'ensemble représente une masse considérable d articles exceptionnels qui méritent publication. Avec Quatre ans de cinéma, on a commencé par ceux de l'Occupation, à cause de l'intérêt historique de la période et de la qualité particulière de la production cinématographique d'alors. C est aussi le temps où l'influence de Rebatet est à son apogée. Il contribue plus que n'importe qui à révéler les nouveaux talents qui surgissent alors (Autant-Lara, Becker, Bresson, Clouzot, Delannoy) et à défendre, en oubliant tout clivage politique, des maîtres d'avant-guerre comme Carné et Grémillon, ou de bons artisans comme Joannon, Decoin et Christian-Jaque. C est lui qui, le premier, ferraille allégrement pour imposer ces futurs classiques, souvent d'abord contestés et aujourd'hui illus'res: L'assassin habite au 21, Le Corbeau, Goupi Mains-Rouges, Le Mariage de Chiffon, Douce, Les Anges du péché, Les Inconnus dans la maison, La Symphonie fantastique, La Main du diable, L'Assassinat du Père Noël, Le Carrefour des enfants perdus, Pontcarral, et dix autres que dominent deux titres phares: Les Visiteurs du soir et Le ciel est à vous, chevaux de bataille du critique dans son incessant combat pour la renaissance du cinéma français. L'évocation colorée pleine de passion et d animation de ces oeuvres, du contexte politique qui fut celui de leur apparition et de la toile de fond historique qui en constitue l'arrière-plan, les sorties virulentes contre Vichy et Londres, contre les gaullistes, les communistes et les «terroristes»; tout cela donne lieu à une fresque pleine de bruit et de fureur. Livre de cinéma d'une importance majeure, Quatre ans de cinéma offre en creux une image oblique des quatre années les plus tragiques de notre histoire. Voilà qui en redouble l'intérêt et en fait un livre capital et sans équivalent."

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  • La zone du dehors

    Les éditions Gallimard republie dans la collection de poche Folio La zone du dehors, un roman de science-fiction français au style étincelant, dont l'auteur, Alain Damasio, revendique l'influence de Foucault, Deleuze et Nietzsche.

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    "2084.
    Orwell est loin désormais. Le totalitarisme a pris les traits bonhommes de la social-démocratie. Souriez, vous êtes gérés ! Le citoyen ne s'opprime plus : il se fabrique. À la pâte à norme, au confort, au consensus. Copie qu'on forme, tout simplement. Au cœur de cette glu, un mouvement, une force de frappe, des fous : la Volte. Le Dehors est leur espace, subvertir leur seule arme. Emmenés par Capt, philosophe et stratège, le peintre Kamio et le fulgurant Slift que rien ne bloque ni ne borne, ils iront au bout de leur volution. En perdant beaucoup. En gagnant tout.
    Premier roman ici réécrit,
    La Zone du Dehors est un livre de combat contre nos sociétés de contrôle. Celle que nos gouvernements, nos multinationales, nos technologies et nos médias nous tissent aux fibres, tranquillement. Avec notre plus complice consentement. Peut-être est-il temps d'apprendre à boxer chaos debout contre le swing de la norme ?"
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  • Big Brother is listening to you !...

    François-Bernard Huyghe vient de publier dans la collection Que sais-je un excellent opuscule consacré aux écoutes téléphoniques. A lire attentivement...

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    " Entre craintes de l’émergence d’une société de la surveillance totale et reconnaissance de l’utilité des écoutes dans la lutte contre la criminalité et le terrorisme, le débat fait rage autour des « interceptions de télécommunications ». Pour éclairer les enjeux de ce débat, cet ouvrage, proposé par Alain Bauer, analyse ce que sont les écoutes et interceptions sur les plans historique, juridique, mais aussi « stratégique » (les usages qui en sont faits) et technique.
    Il explique également ce que les écoutes représentent en pratique, car le quotidien des policiers qui utilisent des interceptions pour prendre des voleurs de voiture ne ressemble pas forcément à ce qu’on peut lire chez les spécialistes du numérique, toujours au courant de la dernière faille sécuritaire et de la prochaine invention… "
     
    François-Bernard Huyghe, Les écoutes téléphoniques, PUF, 2009
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  • La lettre aux Français de Maurice Allais

    L'hebdomadaire Marianne (n°659, du 5 au 11 décembre 2009) publie une lettre aux Français de Maurice Allais, prix Nobel d'économie en 1988, à propos de la crise. L'auteur, qui depuis plus de dix ans n'a plus accès aux médias, alors qu'il avait annoncé l'effondrement du système économique actuel, en appelle à la mise en place d'un protectionnisme raisonné. Il en profite, au passage, pour administrer une sévère fessée au directeur général de l'OMC, Pascal Lamy, "éminent" mondialiste et membre du PS, comme son compère (ou, plus exactement, complice...) Dominique Strauss-Kahn. A lire, donc.

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  • Bréviaire de cinéphilie dissidente

    Ludovic Maubreuil, qui tient avec Michel Marmin, la rubrique Cinéma de la revue Eléments, vient de publier Bréviaire de cinéphilie dissidente aux éditions Alexipharmaque.

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    "À une époque où la cinéphilie n’est plus qu’une paraphilie parmi les autres, aussi estimable et inoffensive qu’une autre, en un temps où la sédition installée tient lieu d’horizon, il y a sans doute quelque naïveté à prétendre se démarquer de la modernité en se réclamant d’une « cinéphilie dissidente ». Pourtant sous l’insurrection permanente, des règles intangibles et des principes incontestables demeurent, qu’il est nécessaire d’enfreindre. Derrière l’équivalence des opinions et la relativité des goûts, de nouvelles hiérarchies se sont bâties, qu’il importe de renverser. Cette attitude d’opposition serait à son tour éminemment moderne s’il ne s’agissait par ce refus, de promouvoir une autre attention aux faits, une autre rapport à autrui, que ceux que notre époque favorise. Lorsque nous aurons admis que le cinéma moderne nous a dépossédés de nos mots, en y substituant les siens, qui décrivent de mille feux ce qui s'éteint, lorsque nous aurons saisi que nous ne parlons qu’en son non, ne répétons que ses désordres, ne prions que ses décalogues rafraîchis, nous aurons alors tout le temps de regretter notre silence. Dans ces conditions, c’est bien par l’écriture qu’il s’agit d’instaurer une relation cette fois intempestive avec l’image cinématographique.

    À travers le prisme de plus de deux cents films, mêlant la critique cinématographique et le journal intime, l’analyse et l’aphorisme, cet essai se propose de résister à la cinéphilie officielle, absolument indolore, qui n’est plus qu’une technique parmi d’autres d’embrigadement. Sous la forme d’abécédaire, de A comme Artifices à Z comme Zombies, en passant par l’Enfance, la Honte, le Messie, les Nazis ou la Pornocratie, il n’est autre qu’une tentative de libération."
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