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Métapo infos - Page 175

  • Patrick Buisson ou Jérôme Sainte-Marie : quelle ligne pour le camp populiste ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une chronique de François Bousquet dans l'émission Ligne Droite sur Radio Courtoisie, datée du 21 juin 2023, dans laquelle il évoque la complémentarité des analyses de Patrick Buisson et de Jérôme Sainte-Marie s'agissant de la ligne à adopter par le camp national...

    Journaliste, rédacteur en chef de la revue Éléments, François Bousquet a aussi publié Putain de saint Foucauld - Archéologie d'un fétiche (Pierre-Guillaume de Roux, 2015), La droite buissonnière (Rocher, 2017), Courage ! - Manuel de guérilla culturelle (La Nouvelle Librairie, 2020) et Biopolitique du coronavirus (La Nouvelle Librairie, 2020).

     

                                                

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  • Tristes campagnes...

    Les éditions L'échappée viennent de publier un essai de Bernard Charbonneau intitulé Tristes campagnes. Écologiste avant l'heure, compagnon intellectuel de Jacques Ellul, Bernard Charbonneau est également considéré comme un des précurseurs de la décroissance. Il est notamment l'auteur d'essais comme L'Etat (R&N, 2020) ou Le système et le chaos (R&N, 2022).

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    " « On pleure les Indiens des autres, mais on tue les siens », constate Bernard Charbonneau alors que l’on anéantit nos campagnes, dans la souffrance contenue, avec la froideur administrative d’un plan de réforme pour l’agriculture européenne. Face à la rationalisation de la production, la concentration des terres, le développement de zones pavillonnaires et de complexes touristiques, les paysans sont priés de s’adapter. Les sociétés locales disparaissent, emportées par l’essor d’une banlieue uniforme et d’une industrie totale. On parle de progrès technique, mais il s’agit d’un ethnocide. "

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  • Le macronisme, un extrême centrisme qui détruit la France...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy, cueilli sur Polémia et consacré au macronisme comme extrémisme du centre .

    Ancien haut-fonctionnaire, Michel Geoffroy a publié le Dictionnaire de Novlangue (Via Romana, 2015), en collaboration avec Jean-Yves Le Gallou, et deux essais, La Superclasse mondiale contre les Peuples (Via Romana, 2018), La nouvelle guerre des mondes (Via Romana, 2020), Immigration de masse - L'assimilation impossible (La Nouvelle Librairie, 2021), Le crépuscule des Lumières (Via Romana, 2021)  et dernièrement Bienvenue dans le meilleur des mondes (La Nouvelle Librairie, 2023).

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    Le macronisme, un extrême centrisme qui détruit la France

    L’interdiction, la censure et le vote bloqué caractérisent de plus en plus la présidence postdémocratique d’Emmanuel Macron et son gouvernement minoritaire. Parce que l’en-même-temps présidentiel nous impose ce qu’il y a de pire dans la gauche et dans la droite. Cet extrême centrisme macronien, c’est donc la double peine assurée pour les Français !

    L’extrême centrisme de gauche

    De sa gauche, l’extrême centrisme macronien nous impose les déficits à répétition, l’immigration sans limite, les folies sociétales, l’égalitarisme à l’école, le sans-frontiérisme, le laïcisme anticatholique et le chaos sécuritaire.

    La macronie de gauche nous impose aussi une justice duale car idéologisée : tendre avec les racailles, les « déséquilibrés » et les black blocs, intraitable avec la France d’en bas, les Français qui se défendent et les Identitaires.

    Pas de liberté pour les ennemis de la liberté : le vieux slogan de Saint-Just est plus que jamais d’actualité dans la macronie de gauche, comme en témoignent la répression sans nuances qui s’est abattue sur les Gilets jaunes, les interdictions préfectorales à répétition, la censure croissante des opinions dissidentes et la mise au pas des médias et des réseaux sociaux.

    Comme tout homme de gauche

    Comme tout socialiste, Emmanuel Macron est également atlantiste et, comme tout homme de gauche, il rêve d’envoyer les autres faire la guerre aux tyrans, mais sans leur en donner les moyens : avec lui notre pays s’aligne donc sur les plus dangereuses postures de l’OTAN et renonce à sa position de puissance d’équilibre. Pendant que nos armées manquent de tout.

    La macronie de gauche nous entraîne enfin avec délectation dans le « Grand Reset » écolo : celui qui veut s’en prendre à la propriété immobilière individuelle, qui veut réglementer nos déplacements ou notre gastronomie, qui veut des villes sans automobile individuelle et des autoroutes à vitesse réduite, qui dégonfle les pneus des voitures et interdit les piscines gonflables, qui veut imposer un impôt climat et sans doute demain un passe climatique. C’est-à-dire l’écologisme des Khmers verts, celui qui recycle l’utopisme d’extrême gauche et la haine de classe des bobos vis-à-vis de la France « qui fume et roule au diesel ».

    L’extrême centrisme de droite

    De sa droite, l’extrême centrisme macronien nous impose l’alignement sur une Union européenne libre-échangiste qui a planifié la fin de l’indépendance énergétique française et des spécificités de notre pays. Et la soumission à une Union dominée par l’Allemagne.

    Le macronisme nous impose aussi la déconstruction méthodique des protections sociales (pour les seuls autochtones, s’entend), la diminution des retraites, la privatisation et la fermeture des services publics, la diminution des remboursements de la Sécurité sociale, la déconstruction de l’État régalien, l’impunité fiscale pour les grandes entreprises mondialisées, l’abandon de toute maîtrise de l’économie et de la finance au profit des marchés.

    Et sous prétexte d’attractivité économique de la France, le macronisme débouche sur la vente à la découpe de nos fleurons industriels et sur une connivence de fait avec les intérêts des grands monopoles privés, notamment les fonds de pensions et les GAFAM. Pendant que les milliardaires se partagent les médias mainstream.

    Avec la complicité de la vieille droite

    Avec la participation active des politiciens de la vieille droite, notamment du Sénat et du Conseil constitutionnel, le macronisme met aussi en place, à bas bruit, une société du contrôle, sous prétexte de sécurité ou de santé : extension continue des pouvoirs de police, introduction dans le droit commun des mesures de l’état d’urgence, déploiement de la vidéosurveillance, expérimentation de la reconnaissance faciale, contrôle policier à distance des ordinateurs et des smartphones, écoute des communications, mise en place de restrictions de déplacements ou de rassemblements, traçage numérique de la population.

    Bien sûr, aucune de ces mesures n’empêche l’islamisme ou l’explosion de l’insécurité et de la violence dans notre pays, comme chacun peut le constater, car elles visent avant tout à prévenir toute révolte des Français. Et notamment à bloquer toute émergence d’une véritable alternative politique au Système, également avec la complicité des barons de la vieille droite.

    Gouverner au centre ?

    Le président Valéry Giscard d’Estaing prétendait, dans les années 1970, que la France voulait être « gouvernée au centre », c’est-à-dire qu’elle voulait selon lui concilier ordre et progrès en évitant les excès de gauche comme de droite.

    Emmanuel Macron, lui, fait exactement l’inverse : son extrême centrisme consiste à prendre ce qu’il y a de pire dans les deux familles politiques pour imposer aux Français une politique qu’ils rejettent dans leur majorité.

    Emmanuel Macron joue en permanence sur les registres de la gauche et de la droite au gré des circonstances : ainsi, par exemple, l’écologisme militant vise à séduire tout à la fois l’extrême gauche et le Forum de Davos. Cela lui a permis, jusqu’à présent, d’être élu, réélu ou sauvé grâce à l’appui conjoint ou alternatif de la gauche et de la vieille droite.

    Mais ce balancement politicien à un prix : une régression française sans précédent, de plus en plus visible et de moins en moins supportée par les Français.

    Michel Geoffroy (Polémia, 21 juin 2023)

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  • La mafia des démocraties...

    Les éditions KontreKulture viennent de publier sous le titre La mafia des démocraties, un recueil de textes de Maurice Bardèche publié dans la revue Défense de l'Occident. Normalien, agrégé de lettres et auteurs d'essais reconnus sur Proust, Balzac ou Flaubert, Maurice Bardèche était également le beau-frère de Robert Brasillach et a animé après guerre la revue Défense de l'Occident.

     

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    " En 1952, Maurice Bardèche fondait la revue Défense de l’Occident, dans laquelle des écrivains tels que Lucien Rebatet, Michel Déon, Jean Mabire, François d’Orcival et François Duprat interviendront. Maurice Bardèche y prendra aussi régulièrement la plume sur des sujets aussi variés que l’Europe, la littérature, le socialisme, le monde arabe, la violence, la question juive, l’examen de conscience et bien d’autres. Ces textes méritaient, par leur profondeur de vue qui transcende les années, d’être rassemblés et réédités, que ce soit pour le regard historique qu’ils apportent ou pour la réflexion qu’ils suscitent sur des questions intemporelles.

    « La démocratie n’est nullement l’exercice du pouvoir par le peuple, comme le croient les naïfs », au contraire, enfermées dans le pouvoir bureaucratique, les démocraties libérales, sourdes aux cris des peuples, s’imposent à eux par la falsification de l’histoire et l’impératif du progrès. Le mensonge devient un instrument permanent de leur maintien, la décomposition morale s’installe, la corruption et les désordres de toute nature surgissent et se poursuivent grâce aux tolérances dont ils bénéficient.

    En France, démagogie scolaire, chômage et prélèvements massifs sur le travail forment un triptyque imposé au nom de l’égalité et de la solidarité. Mais cette solidarité est une escroquerie, elle n’est en réalité que contrainte, car il faudrait d’abord que la lutte des classes n’existe plus et que l’on comprenne que « la solidarité consiste à se sauver ensemble par l’accord de tous » et non à charger les uns pour donner des droits illimités aux autres. Plus encore, les « trois libertés essentielles qui découlent du contrat social, la liberté individuelle, la liberté d’expression et la liberté du travail nous sont aujourd’hui refusées ». C’était vrai hier, ça l’est plus encore aujourd’hui. "

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  • Quand les "élites" européennes abandonnent leur pouvoir aux américains !...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donné par Emmanuel Todd à Élucid dans lequel il analyse le déclin de l'Europe, et plus exactement, l'abandon soudain et violent du pouvoir de la part des "élites" européennes, au profit d'une puissance extérieure, à savoir les États-Unis. Anthropologue, démographe et historien, Emmanuel Todd est l'auteur de nombreux essais.

     

                                              

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  • Des Hérétiques...

    Les éditions Auda Isarn viennent de rééditer un roman de Saint-Loup intitulé Les Hérétiques, qui constitue la suite de Les Volontaires (Auda Isarn, 2023).

    Aventurier, journaliste engagé dans la collaboration et écrivain, sous le pseudonyme de Saint-Loup, Marc Augier (1908-1990), est l'auteur de nombreux récits et romans dont Face nord, La peau de l'Aurochs, La nuit commence au Cap Horn (Transboréal, 2015), La République du Mont-Blanc (Auda Isarn, 2020) et Nouveaux Cathares pour Montségur (Auda Isarn, 2020).

     

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    " Après Les Volontaires, récit des aventures de la Légion des volontaires français contre le bolchevisme (LVF), SaintLoup raconte ici la suite de cette épopée avec la constitution de la 33e division SS Charlemagne. Anciens de la LVF, de la Brigade Frankreich, de la Kriegsmarine, de l’organisation Todt, miliciens arrivés après l’avancée alliée sur le sol français, ce sont au total 7 340 hommes qui acceptent, parfois avec réticence, de revêtir l’uniforme SS.

    Au milieu d’eux, des personnages hauts en couleur comme Monsignore Mayol de Lupé, prélat casqué et botté comme échappé de la Renaissance italienne, Dartan, le fils du chapelier de Mexico, qui se bat avec un large feutre très peu réglementaire, Fenet, soldat politique de l’Europe Nouvelle, raciale et païenne, comme Le Fauconnier (passé par la LVF, la Brandebourg et même la Brigade Dirlewanger !).

    On suit ces héros de la plaine funèbre de Belgard au port de Kolberg, du monastère des hommes en noir d’Hildesheim jusque dans les ruines de Berlin. Là, dans ce Götterdämmerung, au milieu des bombes et des gravats, face aux tanks et aux hordes staliniennes, ils seront les derniers défenseurs du Bunker hitlérien, avec la Division Azul et la Nordland.

    En refermant ce livre, retentit encore l’éclat de rire que ces contestataires ont infligé au conformisme historique de notre époque. Et le diable rit avec eux… "

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