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Métapo infos - Page 1650

  • Que reste-t-il de l'Europe ?...

    Les éditions Le retour aux sources, dirigées par Michel Drac, publient autour d'une équipe composée de Pierre-Yves Rougeyron, Romain Bessonnet, Julien Auba, Philippe Arondel, Alain Rohou et Maurice Gendre le premier numéro de la nouvelle collection de la revue Libres.

     

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    Le paysage éditorial français se divise entre chapelles jalouses qui se disputent les âmes désarmées à coup de chacun chez soi. Revue de droite, de gauche, libérale ou non, autant de ghettos mentaux qui ne peuvent rendre compte de l’incroyable vivacité de l’esprit français. Les seigneurs du ghetto veillent à ce que les croyants soient bien gardés, et les commissaires aux idées propres font respecter la dure ligne partisane. Un entre-soi confortable ponctué de quelques trublions comme autant d’alibis du pluralisme et de garantie de ventes : tout dialogue ouvert devenu suspect, de nouvelles infractions à la bienséance de l’esprit sont inventées au fur et à mesure que leur possibilité apparaît. Et gare aux contrevenants !

    Ce que vous vivez n’existe pas : telle est la profession de foi d’une caste sourde autant à la vie de l’esprit qu’à celle du peuple. Un constructivisme délirant devenu guerre de l’information : voilà ce qu’il faut attendre d’une bonne partie de « l’élite » intellectuelle et médiatique. Mensonges et lynchages sont désormais les règles de survie d’une meute déstructurée, mais mystérieusement capable de reconnaître au premier coup d’œil qui peut parler, et qui doit se taire. Frapper tous au même endroit et au même moment au nom de la morale commune, avec, toujours, un alibi commode pour cacher des intérêts bien compris : voilà le mot d’ordre.

    C’est en réaction à cette situation de moins en moins supportable que nous avons décidé d’interroger les sans voix, ces intellectuels et chercheurs que les médias traditionnels n’interrogent pas, ou peu, car on ne saurait les ranger dans les cases commodes de la pensée officielle, sclérosée et, volontairement, sclérosante. Notre critère de sélection est donc tout trouvé : les hommes et les femmes qui participeront à notre aventure seront choisis pour la liberté de leur pensée, dans toute la diversité que ce choix implique.

    Nous essayerons sans doute aussi, en mêlant les contributions de jeunes auteurs à celles des plumes confirmées, de participer à la définition d’une vision actualisée des enjeux à venir. Nous promettons, à ceux qui voudront bien nous suivre, une réflexion sur les enjeux stratégiques, qui permettra de traiter les questions d’actualité à froid, pour laisser à l’esprit son temps de délibération. Mais plus l’arc est bandé plus la flèche est vive, et nous espérons prouver la véracité de cet adage.

    Il est temps de réaffirmer que la culture française permet de fonder une réflexion fructueuse, à partir de concepts et de catégories qu’elle définit souverainement. Il ne s’agit pas ici de nier les apports étrangers, mais de réapprendre, ensemble, à penser en français, proprement, nettement. Nous nous tiendrons loin de la repentance qui voudrait effacer l’avenir, parce que, précisément, c’est l’avenir qui nous intéresse. Nous préférons l’histoire des héros à la mémoire des salauds, et il n’est d’hommes dignes à nos yeux que ceux qui sont encore capables d’admirer, ce que nous ne manquerons pas de faire en rendant hommage aux géants d’hier et d’aujourd’hui.

    Multidisciplinaires, sans enfermement partisan et indifférents au cloaque mental que devient progressivement le débat public, nous sommes et nous resterons Libres.

    Le premier numéro est consacré au thème : Que reste-t-il de l'Europe ?

    La crise de l’Europe donne lieu à des commentaires contrastés – entre l’effondrement prédit par les euroréalistes, qui posent que toute construction hors-sol est vouée à disparaître, et l’emballement des euro-inconditionnels, pour qui la faillite de l’idée européenne n’est tout simplement pas pensable. Il faut dire que si les plans de sortie de crise, de remise à plat même, existent bel et bien, ils ne sont pas portés par des élites au pouvoir. Lesquelles, nouveaux médecins de Molière, savent mieux saigner que sauver leur patient.

    Et pourtant les échéances arrivent à terme. La crise de l’Euro, comme l’explique Jean-Luc Gréau, va remettre en cause l’équilibre communautaire. Les questions sociales (Philippe Arondel) et géostratégiques (Jean-François Susbielle) se feront de plus en plus présentes dans un contexte général de destruction des États (David Mascré et Pierre Hillard).

    Plus profondément les essentielles questions d’identité se sont effacées du débat (Bernard Bruneteau). C’est sur ces questions que reviennent, dans un magnifique échange, Jean-François Mattéi et Françoise Bonardel.

    L’exhaustivité n’est pas de ce monde, mais nous souhaitons en tout cas que les jalons ici posés soient, pour nos lecteurs, d’utiles munitions à l’heure de repenser l’idée européenne.

    Avec les interventions de :

    Sur l’hypothèse d’une culture européenne
    Entretien avec Françoise Bonardel et Jean-François Mattéi

    Sortons de l’Europe
    Entretien avec Guillaume Bigot

    La destruction des nations d’Europe
    Entretien avec Pierre Hillard

    Le concept d’Europe
    Entretien avec Jean-François Susbielle (École militaire)

    Modèle social européen : le temps de toutes les déconstructions
    Par Philippe Arondel

    Triomphe des nationalistes flamands, une Europe en voie de désagrégation
    Par David Mascré, essayiste

    L’agonie de l’euro
    Par Jean-Luc Gréau, économiste

    L’Europe des fantasmes, « gouvernance » et « peuple européen »
    Par Véronique Hervouët, psychanalyste

    La conjonction de deux grands paradigmes économiques sur la protection des économies nationales : Keynes ET Allais
    Par Frédéric Poulon

    L’audace politique des commencements
    Par Philippe Arondel

    Religion, raison et ruse : formes du discours et milieu carcéral
    Par Lucas Degryse

    Quelle souveraineté pour quelle identité ?
    Par Francis Choisel

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  • Le localisme face au l'ordre mondial...

    Nous reproduisons ci-dessous une conférence de Philippe Milliau consacrée à l'alternative économique et fiscale du localisme face au mondialisme et à la destruction de la terre. Des propositions concrètes pour résister ici et maintenant...

     

     

     

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  • Maquis noirs et faux maquis...

    Les toutes nouvelles éditions Vendémiaire viennent de publier un ouvrage de Fabrice Grenard, intitulé Maquis noirs et faux maquis 1942 - 1947, qui s'intéresse à la face sombre de la Résistance, souvent occultée par la "légende dorée" créée autour de la figure du "maquisard". Comme le montre l'auteur, agrégé d'histoire et professeur à l'institut d'études politiques de Paris, la réalité n'est pas toujours reluisante, et ceux qui tiennent le maquis ressemblent parfois plus à des voyoux et à des malfrats qu'à des patriotes désintéressés.

     

     

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    "Une enquête au plus près des archives, un livre qui va à l'encontre des représentations officielles et rouvre sans parti pris un dossier jusqu'à présent réservé à des publications partisanes.
    Au moment du débarquement et depuis déjà plus de deux ans, de très vastes portions du territoire, de l'est au Morbihan, échappent au contrôle de la police de Vichy comme à celui de l'occupant. Et les maquisards authentiques ne sont pas les seuls à vivre et combattre en marge de la France officielle. À côté de figures incontestables, comme celles de Guingouin ou de Romans-Petit, des individus charismatiques au passé trouble, « Soleil », Lecoz, « Mickey » ou « Bayard », rançonnent l'habitant, font régner leurs propres lois sur les populations et une justice souvent expéditive au sein de leurs propres troupes. Escrocs, truands, déserteurs, ces profiteurs de la guerre ont pu enrôler des combattants de bonne foi. C'est pourquoi il a pu paraître si difficile de distinguer vrais et faux maquis, dans un contexte où les règlements de comptes entre gaullistes et communistes étaient de règle. À travers une passionnante plongée dans les archives (rapports de gendarmerie et de police, procès de la Libération), Fabrice Grenard nous aide à mieux cerner les contours de cette zone grise, entre résistance déclarée et banditisme, qui s'est étendue à tout le territoire, pour le plus grand profit de la propagande de Vichy."

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  • Dix questions sur les "révolutions arabes"...

    Se poser des questions, c'est commencer à réfléchir !... Nous reproduisons ci-dessous l'éditorial de Polémia, daté du 2 février 2011, qui pose de bonnes bases de départ pour analyser ce flot d'images et de paroles qui nous submerge depuis plusieurs semaines.

      

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    Dix questions sur les "révolutions arabes"


    Que sait-on vraiment ?

    Des manifestations, des émeutes, des morts, un dictateur en exil, un autre fragilisé. Voilà ce que nous savons. Mais pour le reste « les écrans font écran » à la réalité et les interrogations sont multiples : peut-on croire à la spontanéité des manifestations ? Quelle est l’ampleur des pillages ? Et quelle est leur origine ? Que se passe-t-il en dehors des capitales et dans les provinces rurales ? Quels sont les jeux des différents groupes d’intérêts ? Quel est le poids des ingérences étrangères ?

    Quelles sont les raisons de l’asymétrie médiatique ?

    Les médias français – et occidentaux – ont été plus « allants » sur la Tunisie que sur l’Algérie et l’Egypte : 50 ans après l’indépendance, le FLN algérien et l’armée algérienne, quasi maffieuse, continuent de bénéficier d’une image « progressiste » ; quant à l’Egypte, il est difficile d’oublier son rôle de partenaire privilégié d’Israël et des Etats-Unis, pays qui souhaitent une « transition ordonnée ». Ce qui conduit les médias dominants à davantage de prudence sur l’Egypte que sur la Tunisie, pays moins stratégique.

    Jusqu’où ira l’impérialisme américain ?

    Au nom du « devoir d’ingérence » humanitaire les chancelleries occidentales prennent position publiquement dans les processus politiques en cours dans les pays arabes. Les Américains vont plus loin : en Tunisie, ils ont provoqué le départ de Ben Ali – qu’ils préparaient depuis trois ans – en s’appuyant sur le chef de l’armée, le général Rachid Ammar ; en Egypte, les mêmes Américains promeuvent simultanément le général Suleiman, chef des services de renseignement et jugé proche d’Israël, et Mohamed El Baradeï. Les pays européens s’alignent sur ces positions : il est vrai que la lecture des dépêches diplomatiques américaines publiées par Wikileaks fait apparaître bien des dirigeants politiques allemands, britanniques et français comme de simples « fantoches » des Américains.

    Quelle est la géopolitique des populations ?

    Partout ce sont des masses de jeunes hommes qui se mettent en mouvement. L’âge médian des populations est de 30 ans en Tunisie, de 24 ans en Egypte. Pourtant la situation de ces deux pays paraît nettement différente : la Tunisie est en transition démographique depuis 1990, le taux de fécondité y est inférieur à 2 enfants par femme et Tunis n’a que 700.000 habitants. Le Caire, 16 millions ! Et il naît encore en Egypte plus de 3 enfants par femme. Et 10% des Egyptiens sont des chrétiens coptes. Le potentiel explosif de l’Egypte est donc très supérieur à celui de la Tunisie.

    Quelles sont les insuffisances du modèle économique mondialiste ?

    La Tunisie et l’Egypte sont insérées dans les échanges mondialisés. Plutôt bien pour la Tunisie. Les taux de croissance du PIB y sont élevés, de l’ordre de 5% par an, jusqu’à 7% en Egypte. Cela ne suffit pas pour mettre ces pays à l’abri du chômage ni de disettes sur des produits essentiels ; encore moins d’une urbanisation totalement anarchique. Au contraire, le libre-échange mondial déstabilise des pans entiers des économies locales notamment paysannes, ce qui amplifie les problèmes alimentaires et les difficultés urbaines. Et les personnalités les plus impopulaires sont les affairistes liés à la superclasse mondiale. Enfin le système économique mondialisé n’offre guère de sens.

    Jusqu’où ira la recherche de sens ?

    Le manque de sens, c’est précisément la faiblesse du système. Le sens, c’est justement la force des islamistes, l’islam étant à la fois une religion et un programme politique. D’où la force du simplissime slogan : « L’islam est la solution. » C’est pour cela qu’en l’état actuel, dans tous les pays arabo-musulmans, les élections démocratiques lorsqu’elles ont lieu font le jeu des partis islamiques. D’où la contradiction de « l’Occident » réclamant davantage de démocratie… tout en craignant les Frères musulmans.

    Le sabre et/ou le Coran ?

    Sur les ruines des régimes en crise politiquement autoritaires et économiquement libéraux, deux forces semblent émerger : les islamistes d’un côté, l’armée de l’autre. C'est-à-dire deux « archaïsmes », deux structures hiérarchiques, deux institutions porteuses de sens, deux lieux de liens et de promotions sociales.

    Jusqu’où iront les révolutions arabes ?

    Les leçons de l’histoire sont claires : en règle générale des périodes longues de grande stabilité alternent avec des périodes révolutionnaires de changement rapide : de Mirabeau à Robespierre puis Bonaparte ; de Rodzyanko au prince Lvov, puis de Kérensky à Lénine ; de Chapour Bakhtiar à Khomeiny ; de Gorbatchev à Eltsine puis Poutine. Il est donc plus que probable que les hommes aujourd’hui au pouvoir à Tunis et au Caire n’y sont pas durablement !

    Quels risques pour l’Europe ?

    Vues du nord de la Méditerranée, les révolutions arabes présentent des aspects inquiétants : le risque du chaos économique et politique motivant de nouvelles vagues migratoires. Et ce alors même que les législations européennes se placent du point de vue des droits des individus (à immigrer) et non du droit des peuples à défendre leurs intérêts et leur identité. C’est le syndrome du « Camp des saints ».

    Quelles chances pour l’Europe ?

    A contrario, les peuples européens peuvent avoir des raisons de se réjouir de l’affaiblissement possible du suzerain américano-israélien et de la mise en échec des oligarchies mondialistes. Car ce sont ces mêmes oligarchies mondialistes qui leur imposent la délocalisation de leurs activités économiques et l’immigration de masse. D’autant qu’en Europe les nouveaux moyens de communication sont encore plus présents que dans les pays arabes et qu’ils y sont moins facilement neutralisables. Par nature les révolutions sont imprévisibles. Mais un rejet du système mondialiste est d’autant plus envisageable que, s’il survenait d’abord dans un pays, il pourrait par contagion s’étendre aux autres. Car comme aime à le rappeler le grand historien Dominique Venner : « L’histoire est le lieu de l’inattendu. »

    Polémia
    2 février 2011

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  • Le général Petraeus et les Centurions...

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    Aux Etats-Unis, les éditions Amereon viennent de rééditer Les Centurions, le célèbre roman de guerre de Jean Lartéguy, alors qu'il était depuis longtemps épuisé.

    D'après Sophia Raday, sur le site Slate.fr, l'éditeur aurait répondu à un souhait du général Petraeus, le médiatique commandant en chef américain des troupes de la coalition en Afghanistan.

    "[...]lorsque j'ai passé un coup de fil à l'éditeur, Jed Clauss", indique Sophia Raday, " il m'a fait savoir que l'argent n'était pas le motif principal [de cette réédition]: «Ecoutez, je suis un vieux monsieur», m'a-t-il dit. «Je suis à la fin de ma carrière d'éditeur. Je ne me lance plus que dans des projets qui m'amusent. Mais David Petraeus voulait que ce livre soit réédité. Alors je l'ai réédité.» "

    Ainsi, le jeune David Petraeus, en dévorant Les Centurions, et sa suite Les Prétoriens, s'est-il peut-être rêvé en Raspeguy, le colonel, ou en Esclavier et Boisfeuras, les capitaines, foulant le djebel et traquant le combattant fellagha ?... Et peut-être est-ce là, plus que dans Galula ou Trinquier, qu'il s'est forgé ses premières idées sur la contre-insurrection ! Qui sait... Lartéguy, inspirateur secret du plus brillant général de l'armée américaine... Le pouvoir des livres est décidément étonnant !...  

     

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  • La guerre civile européenne : 1917 - 1945

    Les éditions Perrin viennent de publier dans leur collection de poche Tempus, La guerre civile européenne - National-socialisme et bolchevisme 1917 - 1945 du philosophe et historien allemand Ernst Nolte. Il s'agit d'un ouvrage essentiel pour comprendre le vingtième siècle et dont la parution a provoqué en Allemagne un séisme équivalent à celui sucité en France, quelques années plus tard, par Le passé d'une illusion de François Furet ou par Le livre noir du communisme de Stéphane Courtois.

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    "À sa sortie en Allemagne en 1987, ce livre a eu l’effet d’une bombe idéologique : le nazisme, explique Nolte, doit avant tout être replacé dans le contexte d’une « guerre civile » inaugurée par Lénine en 1917, provoquant un séisme qui faillit emporter l’Europe jusqu’à la défaite d’Hitler en 1945. Par un mimétisme paradoxal, les régimes fasciste et nazi empruntèrent en effet au communisme ses méthodes pour mieux le combattre. Il existerait donc un « nœud causal » entre la révolution bolchevique et la naissance des fascismes. Nolte cherche à comprendre pourquoi la réaction antibolchevique d’Hitler a trouvé dans le mythe de la race l’unique réponse à l’internationalisme soviétique ; pourquoi le juif est devenu, dans la mythologie nazie, l’« auteur perfide » de l’État communiste ? L’hypothèse centrale de Nolte a eu l’assentiment de l’historien François Furet, auteur d’une magistrale synthèse sur l’histoire du communisme, Le Passé d’une illusion, et qui a entretenu avec lui une passionnante correspondance : « Issus du même événement, écrit Furet, la Première Guerre mondiale, les deux grands mouvements idéologiques de l’époque se définissent largement l’un par rapport à l’autre… la relation dialectique entre communisme et fascisme est au centre des tragédies du siècle. » La Guerre civile européenne a fait l’objet d’un très vaste débat en Allemagne, la « querelle des historiens », qui s’est largement poursuivie en France lors de sa traduction. Toutefois, aucun des adversaires de Nolte n’a jamais nié son extraordinaire compétence ni la rigueur de son travail historique."

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