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Métapo infos - Page 1619

  • Brise marine...

    Face au déluge d'articles, de commentaires et de "petites phrases" à propos des sondages plaçant Marine Le Pen d'un premier tour d'élection présidentielle, nous retenons cette analyse intéressante de Philippe Guibert publiée sur le site de Marianne le lundi 7 mars 2011...

     

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    Il n'y aura pas de 21 avril 2012

    Comme toujours, quand un signal d’alerte rouge retentit, la tentation politique est de relativiser. Marine Le Pen à 23% ? A 14 mois du vote, c’est un moment d’égarement de l’électorat, les choses vont revenir à la normale. Verrouillons et réduisons l’offre de candidatures au 1er tour, à droite comme à gauche, faisons peur aux braves gens avec le FN et tout rentrera dans l’ordre. 

    Nous pensons que ça ne suffira pas. Quand bien même Marine le Pen se tasserait dans les semaines qui viennent, par réaction des sondés à la publication de ce sondage - ce qui n’est pas acquis. Une telle réponse est trop insuffisante dans un pays où seuls 42% des électeurs pensent que la démocratie fonctionne bien, où seuls 22% font confiance à la gauche et 21% à la droite, contre 56% qui ne font confiance ni à la gauche ni à la droite. Où enfin seuls 14% des électeurs estiment que les politiques se préoccupent de ce que pensent les personnes comme eux (1).

    Le sondage d’Harris Interactive, dont le résultat ne peut tout à fait surprendre au vu des sondages de ces dernières semaines, confirme que quelque chose de profond se joue là à travers Marine Le Pen. Donner une intention de vote pour Marine Le Pen, qui a conservé un statut d’extériorité au système politique, tout en ayant réussi à faire oublier les dérapages de son père, notamment par sa féminité, ce ne peut être anodin. Qui sont ces 23% ? Au delà de la reconstitution de l’électorat frontiste d’avant 2007, soit

     environ une quinzaine de points, 4 points viennent de l’électorat UMP, mais aussi 3 à 4 points viennent des votes Bayrou, Royal et de la gauche radicale de 2007. Cette diversité « politique » de l’intention de vote Marine Le Pen traduit aussi une diversité sociale. Si sa percée dans les milieux populaires ne surprendra pas (30%), il est en revanche beaucoup plus surprenant qu’elle obtienne 19% dans les classes moyennes et supérieures, les plus rétives habituellement au vote FN. De même, elle obtient 22% chez les inactifs, 23% chez les plus de 55 ans, bien plus que les scores traditionnels du FN dans ces catégories. Autrement dit, l’épicentre de la dynamique Le Pen se situe à droite et dans les milieux populaires mais se diffuse au delà, politiquement et sociologiquement, pour lui faire passer la barre des 20%. L’intention de vote Le Pen est aujourd’hui plus interclassiste et plus intergénérationnel.

    Il faut en revenir aux fondements de la disqualification sarkozienne pour comprendre cette dynamique qui lui répond. Aux causes maintes fois analysées (effondrement symbolique de la fonction présidentielle, effets d’annonces non suivies d’effets, injustices fiscales et sociales), ajoutons en trois autres qui sont fondamentales.

    La première, c’est l’impuissance du chef charismatique, « doté de pouvoirs exceptionnels », face à un monde de plus en plus interconnecté. L’expérience centrale des Français durant ce quinquennat, c’est l'incursion répétée de la globalisation dans leur quotidien. Hausse du prix des matières premières dès l’hiver 2007/2008, krach financier, crise des finances publiques européennes, dérèglements climatiques, affirmation de puissance des « émergents » et maintenant révolte des sociétés arabes avec à la clef une augmentation du prix de l’énergie et peut être une immigration clandestine. L’hypervolontarisme médiatique produit un effet de contraste saisissant - et destructeur, avec l’évidence d’un monde qui lui échappe. L’omniprésence sarkozienne a accentué l’impuissance du politique, au moment où celui-ci est remis en cause comme jamais par la globalisation. Globalisation qui n’est pas seulement économique, mais aussi culturelle et migratoire.

    Le deuxième phénomène marquant, c’est la perte continue d’autorité de l’Etat et de la loi, contre laquelle Nicolas Sarkozy avait pourtant été élu. Son échec sur l’insécurité, le développement des violences et des trafics de drogue, même dans des territoires réputés tranquilles, tout cela ruine le lien politique. Aux yeux du plus grand nombre, le meurtre de Laëtitia a été une illustration de plus de cette faillite de l’Etat dans sa mission originelle, après les violences à Grenoble en juillet dernier. Comme des prières dans la rue qui attentent au principe de laïcité - et à la loi. Leur dénonciation par Marine Le Pen a été à l’origine de son décollage sondagier.

    Enfin, dernier facteur, cette « innovation » sarkozienne dans notre république qu’a constitué le mélange récurrent de l’intérêt public avec des intérêts économiques, privés ou familiaux. C’est une rupture lourde dans la relation entre gouvernants et gouvernés. Et c’est le fil conducteur qui relie la nuit du Fouquet's, l’affaire Jean Sarkozy, l’affaire Woerth, l’affaire MAM. Mélange d’autant plus redoutable que les Français ont vécu une crise où l’« oligarchie financière » a laissé sa cupidité personnelle prendre le pas sur tout intérêt collectif, même économique. L’analogie est trop forte pour ne pas faire système, surtout en France. 

    Souveraineté extérieure remise en cause, celle de la Nation mais plus encore celle de l’Europe qui était censée s’y substituer. Autorité de la loi régulièrement piétinée sur le territoire. Remise en cause du principe républicain de légitimité des gouvernants. C’est donc une crise majeure du Politique que nous vivons, dans toutes ses dimensions. La réaction lepéniste est d’abord une demande de puissance publique, d’effectivité et d’indépendance de l’Etat, dans un pays en déclassement économique. Que l’on relise le discours de Tours de M. Le Pen, le 16 janvier dernier lors de son intronisation, et l’on verra que Marine Le Pen a construit sa stratégie sur ces trois défaillances du Politique, avec un discours bien plus bonapartiste que de l’extrême droite française. Avec une dimension sociale nouvelle, mais qui peut aussi se concilier, on le sait, avec le bonapartisme.

    Finalement, il n’y aura pas de 21 avril en 2012. Un 21 avril, c’est un accident, fut-ce pour des causes profondes. Un 21 avril, c’est un résultat collectif fortuit, non souhaité par la très grande majorité des électeurs. C’est arrivé en 2002, ça n’arrivera pas en 2012. Si Marine Le Pen parvient au 2ème tour la prochaine fois, ce sera parce que les électeurs, du moins une partie d’entre eux, l’auront souhaité ou laissé faire. On ne peut exclure cette hypothèse aujourd’hui. Nous voilà prévenus avec plus d’un an d’avance.

     Philippe Guibert (Marianne, 7 mars 2011)

    (1) Tous ces chiffres sont extraits du baromètre de la confiance politique réalisé par le CEVIPOF.cevipof.com en janvier dernier.

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  • La comédie économique

    Les éditions Le Retour aux Sources, dirigées par Michel Drac, publient un essai d'Emmanuel Dion intitulé La comédie économique - Le monde marchand selon Houellebecq. Un ouvrage qui devrait intéresser ceux qui veulent approfondir l'oeuvre de l'auteur des Particules élémentaires ou de Plateforme. On peut consulter l'introduction sur le site des éditions du Retour aux Sources. 

     

     

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    "Le présent essai repose sur un constat, formulé par le personnage principal de Plateforme : « L’économie est un mystère ». Ce mystère, on peut le voir comme un mystère tragique, mais aussi comme un mystère comique. Il devient alors une scène : la scène d’une nouvelle Comédie Humaine, que Houellebecq a magnifiquement su décrire.

    Partant d’une lecture précise de l’œuvre romanesque de Michel Houellebecq pour en extraire d’abord l’essence anthropologique, puis le contenu économique et managérial, ce texte recense la plupart des passages  que l’auteur a consacrés à la vie des cadres moyens, au fonctionnement des entreprises, aux coulisses de la gestion, et en propose une lecture structurée autour d’une idée : non, Houellebecq n’est pas manipulateur, c’est au contraire un auteur d’une honnêteté intellectuelle rare. Non, ce n’est pas un auteur nihiliste, c’est un auteur aussi humaniste qu’on peut le rester une fois débarrassé de toutes ses illusions au sujet de l’homme. Il faut pouvoir lire à plusieurs niveaux ce Molière de notre époque, observer avec lui les Précieuses Ridicules des « boîtes de com », les Monsieur Jourdain des grandes entreprises, et les Tartuffe du consulting, pour réaliser pourquoi il a pu être successivement adulé et honni, en étant souvent si mal compris..."

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  • Régis Debray : "Il faut toujours une verticalité..."

    Nous reproduisons ci-dessous certains propos de Régis Debray, tenus dans le cadre d'un échange organisé par le quotidien Le Monde, avec Olivier Py et Denis Podalydès, à propos de la représentation et de la figuration du pouvoir aujourd'hui. Le texte de ce débat a été publié dans le numéro daté du 5 mars 2011.

     

     

     

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    Sur Sarkozy et la représentation de la fonction présidentielle :

    "Les mots-clés sont lâchés : vitesse, corps-à-corps, court-circuit. Avec l'enfant de la télé, l'ancien blouson doré de Neuilly, la société du spectacle a cédé la place à la société du contact. Plus de formes ni de protocole. Nous avons un pouvoir qui tutoie, et qu'on tutoie. "Casse-toi, pauvre con !" On est passé de la queue-de-pie au tee-shirt. Il faut que le chef soit tout le monde. Marketing oblige. Il faut qu'il soit en prise directe avec l'émotion du jour. On surfe, on virevolte, on bouge avec tout ce qui bouge. C'est l'Etat-Kodak, clic-clac. Une suite d'instantanés.

    D'où l'inconstance des positions, et l'inconsistance des personnages. Le plan de vol, c'est le bulletin météo. Ça change tous les jours. C'est la fin de ce que l'historien Ernst Kantorowicz appelait "les deux corps du roi". Le corps physique, éphémère. Et ce que ce corps incarne, un principe immuable. En voyant de Gaulle, on voyait la France au travers, en voyant Gambetta, j'imagine qu'on voyait la République. En voyant Sarkozy, on ne voit plus que lui, et c'est le drame. La télévision empêche de voir double, me direz-vous. Soit. Mais la mystique manque. Il y a trop de corps.

    C'est la rançon du direct, du live. Le tout à l'image, c'est le tout à l'ego. Avec la séquence des présidents depuis cinquante ans, vous voyez le lent déclin du symbole et l'avènement de la trace. Prenons 1958, de Gaulle, grand écrivain et mémorialiste ; Pompidou, prof de lettres ; Giscard rêvant à Maupassant ; Mitterrand grand liseur, encre bleue, et belle plume ; Chirac se tourne vers les arts premiers, mais donne encore du maître à l'écrivain ; Sarkozy embrasse Johnny Hallyday."

     

    Sur la désacralisation de la fonction présidentielle :

    "Nos présidents vivent dans une "extimité" permanente : leur intimité ne cesse d'être mise en scène. Le dédoublement entre la personne et la fonction était l'essence même du sacré politique. La personne est plus petite que la fonction, le "moi je" s'efface devant le "il" ou le "nous". Charles disparaît sous de Gaulle. On n'en parle pas.

    Nous n'avons plus une scène de théâtre où l'on joue en différé, mais un studio de télévision où l'on passe en direct. L'Elysée est un plateau de télé-réalité et l'on a vu cette chose extraordinaire dans Paris Match, montrant Nicolas Sarkozy, dans le fauteuil du général de Gaulle, la main sur la cuisse de sa femme assise sur ses genoux. Plus de hiatus entre la chambre à coucher et le bureau présidentiel, entre l'intime et l'officiel. Loft Story ou love Story ?"

     

    " La technologie commande, oui, nous sommes d'accord. Peinture, photographie, cinéma, télévision et Internet changent la focale et le tempo du pouvoir. Mais tout de même, être à la tête d'un pays, maîtriser des situations, c'est savoir se mettre hors-jeu, au-dessus. La maîtrise n'allait jamais sans distance. Sans un certain laconisme, voire une certaine capacité d'absence. Le chef est calme, voire indifférent, comme Mitterrand. Les compagnons de captivité du capitaine de Gaulle disaient qu'ils ne l'avaient jamais vu sous la douche !

    Il y avait chez de Gaulle un art de la dissimulation et de la disparition, et donc de l'apparition au bon moment. Aujourd'hui, le frère a remplacé le père et l'on gouverne par la proximité. Par sauts et gambades. En sautillant, en s'agitant. Résultat : du pouvoir, oui, mais sans autorité. Le dernier seul vrai pouvoir d'un président, où il ne fait pas semblant, est celui de nommer. La Cour est donc fascinée, terrorisée et obséquieuse - la danse devant le buffet a un arbitre suprême, qui peut vous nommer ou non à la tête d'un ministère, d'une entreprise publique, d'une ambassade. L'intimidation est là. Mais elle concerne 2 000 personnes. Les autres, nous tous, on s'en fout et on a bien raison."

     

    " On est passé de l'Etat éducateur à l'Etat séducteur. Aujourd'hui, un homme d'Etat n'est plus celui qui élève, c'est celui qui cajole. Il n'exalte pas, il accompagne. Denis Podalydès évoque bien le rajeunissement du pouvoir ; il y a un côté adolescent chez Sarkozy, sans doute sympathique parce que pulsionnel. C'est l'indice d'un nouveau monde. Inutile de raisonner à partir du Napoléon en César ou du de Gaulle en général. Ils parlaient derrière une table, assis. Sarko est debout derrière un pupitre.

    C'est le modèle Maison blanche. Sarkozy est obsédé par les Etats-Unis. Il veut faire américain, ou moderne, comme il dit. On aura donc à Versailles le discours de l'Union où le président s'adresse au Congrès réuni. C'est encore du vu à la télé. La France colonisée n'arrive plus à produire ses propres normes de représentation, étant entendu que les jeunes leaders socialistes ne sont pas moins aliénés que les autres."

     

    Pouvoir, autorité et verticalité :

    "Le chef révolutionnaire tient son pouvoir des armes. Il a côtoyé la mort. Ce qui l'autorise ensuite, pense-t-il, à la donner. La guerre ne pousse pas à la démocratie. Fidel Castro et le Che, ce sont d'abord des ducs, des condottiere, des conspirateurs en uniforme. Avec eux, on est ramené aux sources archaïques du pouvoir, qui ont leur vérité. Mitterrand aussi a fait l'expérience de la guerre, ce qui l'a changé."

    "Pour qu'une parole soit performative dans le tohu-bohu, elle doit se faire rare, et peser. Le comble de l'autorité, c'est le laconisme. Le Che, puisqu'on en parlait, était remarquablement silencieux. Un distant qui en imposait par sa distance. Il en était conscient et disait qu'il faisait de vice vertu. "Je suis timide et asthmatique. Je n'ai aucun don de communication, aucun don "de gente"", disait-il. De cette faiblesse, il a bien fallu faire une force. Et cette introversion lui donnait un ascendant sur la troupe. C'était assez insolite en contexte latino. Argentin, très européen, le Che gardait une culture littéraire, avec Neruda dans son sac à dos, quand Fidel Castro était l'oralité en geste."

    "Heureusement qu'il y a des invariants, mais aujourd'hui, l'ascendant symbolique s'est évanoui, le respect devient impossible. On ne peut que saluer des performances d'acteur ou de bateleur. On remplace le relief par le réseau et on met tout à plat. Mais il faut toujours une verticalité, sinon l'horizontal se fragmente, s'atomise. Et vous n'avez plus un collectif, une société, une nation, mais un puzzle d'intérêts et de clientèles où chacun est étranger à son voisin. L'écroulement symbolique, c'est le chacun pour soi et personne pour tous. C'est seulement ce qui nous dépasse qui nous rassemble. Là où rien ne dépasse, rien ne rassemble. Et la vraie tragédie, c'est que le pouvoir est devenu une comédie."

    Régis Debray (propos recueillis par Nicolas Truong, Le Monde, 5 mars 2011)

     

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  • La fin de la Belgique ?...

     

    Patrick Péhèle, Lucien Valdes, Grégoire Gambier et Philippe Christèle, les animateurs des Chroniques de la Vieille Europe, recevront dans leur émission du mardi 8 mars 2011, diffusée à 21 heures 30 sur Radio Courtoisie, Luc Pauwels, fondateur de la revue d'idées flamande Tekos, à propos de la crise politique en belgique.

    Luc Pauwels a donné un entretien passionnant, mesuré et particulièrement clair, à la revue Eléments, publié dans son dernier numéro.

     

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    Entretien avec Luc Pauwels, à propos de la crise qui traverse la Belgique depuis plus de 260 jours sans gouvernement. Va-t-on vers une scission de la Belgique ?

    Luc Pauwels (Ecole Supérieure de Sciences Economiques Charlemagne, Anvers), maîtrise d’histoire (Université Catholique de Louvain) est le fondateur, en 1979, de Tekos, revue d’idées en langue néerlandaise, proche de la nouvelle droite. Il en a été le rédacteur en chef pendant 34 ans avant de passer la main à Peter Van Windekens. Aujourd’hui à la retraite, il a été PDG d’une société commerciale multinationale, et a écrit plusieurs livres d’histoire et de marketing.

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  • Pour une économie enracinée et solidaire !

    La revue Réfléchir et agir publie dans son dernier numéro (hiver 2011), disponible en kiosque, un excellent dossier sur l'économie enracinée et solidaire comme alternative à l'économie prédatrice mondialisée, qui comprend, en particulier, un entretien avec Michel Drac.

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    Au sommaire du dossier :

    Dossier : Pour une économie enracinée et solidaire
    p 15 - Entretien avec Michel Drac

    p 19 - Pour en finir avec l'économie prédatrice
    p 22 - Pour une autarcie économique des grands espaces
    p 24 - Une idée économique révolutionnaire :
                la décroissance
    p 26 - Relocaliser l'économie : un impératif vital
    p 28 - Retrouvons nos fondamentaux :
                indépendance alimentaire et agriculture naturelle
    p 29 - Pour un état protecteur, mutualiste et subsidiariste
    p 31 - La funeste privatisation rampante du service public
    p 33 - Les Privatisations, arme économique de destruction des états
                nationaux au service de la gouvernance mondiale et des USA
    p 35 - L'Euro, un instrument de puissance continentale sans Etat
    p 36 - Pour le retour du Franc !
    p 37 - Pour un socialisme enraciné !
    p 39 - Tour d'Europe des programmes économiques de nos camarades européens

    On trouvera aussi un entretien avec Philippe d'Hugues sur le cinéma et une analyse de l'oeuvre de Michel Houellebecq ainsi que des notes de lecture

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  • Laïcité et Islam...

    Vous pouvez visionner ci-dessous un extrait de l'émission Ce soir ou jamais ! du 1er mars 2011, animée par Frédéric Taddeï, qui comprend un échange entre Malika Sorel et Rokhaya Diallo, à propos de la place de l'Islam dans la société française...

     


    Laïcité et Islam : Malika Sorel vs Rokhaya Diallo
    envoyé par bergheim. - L'info internationale vidéo.

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