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Métapo infos - Page 140

  • Ernst Jünger, dans le ventre du Léviathan...

    Les éditions Perspectives Libres viennent de publier un essai de Claude Bourrinet intitulé Ernst Jünger - Dans le ventre du Léviathan. Ancien professeur, Claude Bourrinet est déjà l'auteur de L'Empire au cœur (Ars Magna, 2013) ainsi que d'un Stendhal (Pardès, 2014) dans la collection "Qui suis-je ? ".

     

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    " En lisant les Journaux de guerre d’Ernst Jünger, l’on découvre un auteur d’une autre nature que l’image qu’on se fait du maître de guerre des Orages d’acier. Se dessine devant nous un humaniste chrétien, ou christianisant, relisant la Bible, s’interrogeant sur la nature humaine, et prenant le contre-pied du nietzschéisme qui sévit en Allemagne. On est frappé de constater que sa vision est encore d’une actualité brûlante. Il se livre à une auscultation du nihilisme contemporain d’un point de vue conservateur. Les idéologies mortifères et la destruction universelle dues au technicisme triomphant, qu’il nomme l’américanisation, sont engendrées, comme des monstres-Léviathans, par un monde liquéfié, démantelé,
    ruiné, où l’être indifférencié impose son vide, qu’il faut absolument emplir hystériquement du culte perverti de l’Homme autocentré. A cet arasement de la personne, il oppose l’intériorité, et son prolongement naturel et religieux, le Cosmos, unis dans la vision sacrée de l’Être. "

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  • Darmanin, entre Tartarin et Torquemada...

    Nous reproduisons ci-dessous une tribune de Xavier Eman consacré à la décision liberticide prise par le ministre de l'intérieur, le pitoyable Gérard Darmanin, de dissoudre Academia Christiana, un institut de formation, à la fois laboratoire d'idées et réseau d'initiative, créé en 2013 et appartenant à la mouvance catholique identitaire.

    Animateur du site Paris Vox, rédacteur en chef de la revue Livr'arbitres et rédacteur en chef adjoint de la revue Éléments, Xavier Eman est l'auteur de deux recueils de chroniques intitulés Une fin du monde sans importance (Krisis, 2016 et la Nouvelle Librairie, 2019), d'un polar, Terminus pour le Hussard (Auda Isarn, 2019) et, dernièrement, d'Hécatombe - Pensées éparses pour un monde en miettes (La Nouvelle Librairie, 2021).

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    Darmanin, entre Tartarin et Torquemada

    D’un ministre de l’Intérieur, l’autre… Charles Pasqua, en son temps désormais lointain, voulait « terroriser les terroristes », Gérald Darmanin, lui, souhaite « éradiquer les nationalistes ». Curieuse tâche prioritaire à laquelle il s’attelle avec constance et persévérance, pour ne pas dire acharnement. Il vient d’ailleurs de franchir une nouvelle étape dans sa croisade obsessionnelle en annonçant la dissolution prochaine du mouvement de jeunesse catholique Academia Christiana. Une décision aussi inique qu’inquiétante.

    Résumons la situation. Au fil des années, la France s’enfonce toujours plus dans la barbarie, l’ensauvagement et le chaos. Pas une journée, ou presque, sans son attaque au couteau, son lynchage collectif, son émeute, son règlement de comptes sanglant. Des nonagénaires se font violer sur leur lit d’hôpital, des jeunes adolescentes découpées en morceaux ou torturées à l’aide de manches à balais, et des gamins de 16 ans sont saignés à mort à la sortie des bals de village. Sans oublier le lot d’insultes, de crachats, de menaces et de petites humiliations qui compose désormais le sombre quotidien des Français qui n’ont pas les moyens des éditorialistes de gauche pour vivre dans un monde parallèle, aseptisé et sécurisé à coups de pognon.

    Academia Christiana, un mouvement de jeunesse catholique

    Face à ce terrifiant constat, Gérald Darmanin, qui est un dur à cuire qu’on se le dise !, a décidé de prendre des mesures fortes et radicales : il va demander en conseil des ministres la dissolution d’Academia Christiana.

    Mais qu’est-ce donc que cette organisation qui trouble l’ordre public, attente à la sécurité générale et menace la République ?

    C’est un mouvement de jeunesse catholique fondé en 2013 et qui, depuis lors, organise, sans incidents, violences ni condamnations quelconques, des colloques, des séminaires de formation et de grandes universités d’été pour offrir un bagage spirituel, culturel et politique à des jeunes gens soucieux de s’engager pour la Cité et le Bien Commun. Durant ces activités, on parle d’écologie, de la Technique, d’alternative au capitalisme, de corporatisme, de don, de défense de l’identité et des traditions, de famille et de communauté. On y pratique les danses traditionnelles, l’apprentissage des premiers secours et le sport, la boxe comme le volley-ball. On y prie aussi, on y festoie également et on y rit beaucoup, plusieurs membres de la rédaction d’Éléments, invités à intervenir durant ces événements, peuvent en témoigner. Certes, on y est aussi attaché à la messe traditionnelle et opposé au wokisme et à l’immigration de masse, mais ce ne sont pas des crimes. Du moins ça ne l’était pas jusqu’à présent.

    Au regard de cette rapide description, on comprend mieux toute l’urgence de mettre au pas cette affreuse bande de nervis factieux qui mine le joyeux et paisible « vivre ensemble » et nourrit l’insécurité dans le pays. D’ailleurs qui ne s’est jamais dit, en rentrant tardivement le soir par des rues mal éclairées : « Pourvu que je ne croise pas la route de militants d’Academia Christiana ! » ?

    Cette situation ubuesque serait en effet risible si elle n’était pas par ailleurs révélatrice d’une très inquiétante dérive liberticide d’un pouvoir cherchant clairement à interdire toute opposition échappant à sa zone de contrôle et à la doxa de plus en plus totalitaire qu’il cherche à imposer. Faisant suite à de nombreuses autres mesures coercitives visant les milieux patriotes et identitaires (interdictions de manifestation, de réunion, lourdes condamnations pour des faits ridiculement mineurs tels des collages d’affiches non autorisés…), l’annonce de cette dissolution d’Academia Christiana marque une accélération dans le processus de répression, qui semble désormais sans limite tant on peine à discerner le moindre début de justification à celle-ci.

    Mobilisation générale pour la défense des libertés fondamentales

    Que nous dit le ministère de l’Intérieur ? Qu’Academia Christiana serait « connu pour ses appels à la haine et à la discrimination » ? Très vague et grotesque accusation pour quiconque s’est plongé dans les productions écrites du mouvement ou a fréquenté un tant soit peu ses militants et ses cadres. On attend bien sûr de voir quels arguments biaisés, quels amalgames spécieux et quels mensonges vont être utilisés pour monter le dossier le charge… On connaît les méthodes et l’efficacité des services du ministère dans ce domaine.

    Quoi qu’il en soit, cette nouvelle dissolution annoncée (qui pourrait être suivie par d’autres, le mini-Attila de la place Beauvau ne comptant certainement pas s’arrêter en si bon chemin…) pose une question fondamentale : la liberté politique existe-t-elle encore en France ou doit-on acter que nous vivons désormais sous un régime totalitaire ? Peut-on encore légalement s’engager, à visage découvert, pour la défense d’une France catholique et enracinée ? A-t-on encore le droit de vouloir s’opposer à l’immigration et d’en dénoncer les conséquences néfastes ?

    Si cette dissolution inique est validée par la justice, la réponse sera claire et irréfutable.

    C’est pourquoi il est de l’impérieux devoir de toutes les personnes encore attachées à la liberté de pensée et d’expression, au-delà des étiquettes, des choix partisans et des affinités, de s’opposer à cette mesure aussi injuste qu’arbitraire, non pas pour défendre les positions ou le programme d’Academia Christiana, que l’on a tout à fait en droit de ne pas partager ou même de combattre (par les idées), mais pour défendre ce qui reste de nos libertés fondamentales.

    Les patriotes français sont censés être représentés par le second groupe le plus important de l’Assemblée nationale. Il est donc grand temps que celui-ci fasse preuve d’un peu de courage politique et monte au créneau pour faire barrage à cette décision inepte et à cette politique de l’interdiction et de la persécution qui demain pourra frapper n’importe qui.

    Si le mouvement Acadamia Christiana est réellement dissout, il ne restera plus beaucoup de clous à planter dans le couvercle du cercueil de ce que l’on appelait jadis la démocratie.

    Xavier Eman (Site de la revue Éléments, 11 décembre 2023)

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  • Le Très Grand Jeu...

    Les éditions du Cerf viennent de publier un essai d'Emmanuel Lincot intitulé Le Très Grand Jeu - Pékin face à l'Asie centrale. Historien, spécialiste de la Chine contemporaine, Emmanuel Lincot est professeur à l'Institut catholique de Paris et chercheur associé à l'IRIS.

     

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    " Comment la Chine voit-elle l'Asie centrale ? Comment cet acteur nouveau venu est-il perçu par les populations ? Qu'en est-il de leur rapprochement ? Toutes ces questions engagent directement notre avenir.

    L'échiquier tourne une nouvelle fois à la poudrière. La gloire de Samarcande s'est évanouie. Il n'est plus de Tamerlan pour déferler depuis cet océan de steppes. Néanmoins, une fois de plus, le devenir du monde se décide en Asie centrale. Avant-hier les Britanniques et les Russes, hier les Soviétiques et les Américains se sont disputés ce sas et ce pivot entre les continents. Aujourd'hui, le " Grand Jeu " continue. Avec, pour acteurs majeurs, la Chine mais aussi la Turquie, l'Iran, l'Inde, le Pakistan...
    Les civilisations se sont donné rendez-vous à ce carrefour planétaire. Les rêves impériaux sont venus y mourir. Les idéologies, le nationalisme, le communisme, le panturquisme, le panislamisme, l'ont embrasé. Son étendue désertique, hachurée de forteresses défuntes, en fait le plus énigmatique des univers culturels, à la croisée de Mahomet et du Bouddha. Désormais, l'urgence le dévore.
    Réempruntant les chemins caravaniers d'antan que recouvrent désormais les Nouvelles Routes de la Soie ouvertes par Xi Jinping, avide de capter cet espace lui offrant une inouïe profondeur stratégique, Emmanuel Lincot déchiffre ici les siècles écoulés pour décrypter les conflits contemporains.
    Qu'en est-il des pions qu'avancent Ankara, Téhéran, Dehli, Islamabad, Moscou ? Suffiront-ils à endiguer l'avancée de Pékin ? Le rêve chinois de domination à partir de ce grand plateau démentira-t-il une histoire multiséculaire ? Ou s'abîmera-t-il en cette haute terre à l'instar de tant d'hégémonies éphémères ?
    Ce livre, informé et sensible, d'un savant et voyageur amoureux de l'Asie centrale, constitue une formidable initiation à la diversité des cultes et des cultures tout en nous livrant une exceptionnelle leçon de géopolitique. "

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  • Alain de Benoist, entre le chêne et l'écluse...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un documentaire de Christophe Maxime Lafosse et Victor Vitovtov  consacré à Alain de Benoist et à son extraordinaire bibliothèque. "Bibliomane érudit, conservateur et passeur, Alain de Benoist nous accompagne dans ce vaste labyrinthe, repaire de références, repère de sens, dans ses maisons du Chêne et de l’Écluse ". Un antre du savoir à découvrir avec celui qui l'a bâti...

     

                                              

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  • Les Nobles Voyageurs...

    Les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de publier Les Nobles Voyageurs, une réédition du journal de lecture de Christopher Gérard.

    Animateur, entre 1993 et 2000, de la défunte revue d'études polythéiste AnTaios, Christopher Gérard a notamment publié aux éditions L'Age d'Homme un journal spirituel, La source pérenne (2007), plusieurs romans dont Le songe d'Empédocle (2003), Maugis (2005) Porte Louise (2010) et Vogelsang (2012). Les éditions Pierre-Guillaume de Roux ont publié son récit de flâneries urbaines, Aux armes de Bruxelles (2017) et son roman Le prince d'Aquitaine (2018).

     

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    " « Votre livre est une somme. Ce que l’université et la politique ont voulu effacer avec une hargne incompréhensible reprend sa place dans votre brillant essai où j’ai pris un rare plaisir à retrouver nos amis dans leur pureté et leur courage. » Michel Déon

    « Ce que je voulais vous dire, c’est ma surprise et mon admiration totales devant tous ces textes magnifiquement vrais, écrits avec une grande générosité, une immense culture littéraire et une fraternité de haut vol. C’est un livre fondamental. » Jean Raspail

    Les Nobles Voyageurs n’a rien du traité ni du pamphlet. Un panthéon d’irréguliers, un journal de lectures avec ses inévitables redites, une conversation au coin du feu avec ses silences, au cours de laquelle s’exprime, par touches et fragments, le refus de la décadence, la sereine incroyance face aux dogmes de toujours, la passion de la liberté et le culte de la langue française, la langue des Dieux depuis l’oubli du grec. "

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  • Pour une approche munichoise en Ukraine...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue d'Eric Delcroix, cueilli sur Polémia et consacré à la nécessité d'une paix négociée entre la Russie et l'Ukraine.

    Juriste et ancien avocat, Eric Delcroix a publié notamment Le Théâtre de Satan- Décadence du droit, partialité des juges (L'Æncre, 2002), Manifeste libertin - Essai révolutionnaire contre l'ordre moral antiraciste (L'Æncre, 2005) et Droit, conscience et sentiments (Akribeia, 2020).

     

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    Pour une approche munichoise en Ukraine

    Une propagande insidieuse, depuis 1945, a convaincu la quasi-totalité de notre opinion publique, à l’instar de la plupart des Européens, que les accords de Munich de 1938 avaient été une catastrophe, grosse de la guerre qui allait commencer l’année suivante. Pour nos faiseurs d’opinion, tranche-montagnes mondains, « Munich » est le synonyme irréfléchi et gratuit de lâcheté. Pourtant, il était raisonnable d’essayer de s’entendre pour éviter la guerre, en réparant les conséquences les plus criantes de la paix léonine imposée à l’Allemagne en 1919, en se concertant entre Européens – ce qui ne se reproduira plus du fait de la survenance de l’hégémonie du suzerain (Overlord [1]) américain.
    Mon propos aura l’air, en survol sommaire et partial, voire provocateur, comme si les fauteurs de guerre contemporains, États-Unis et OTAN, n’étaient pas des provocateurs !

    Causes et buts de la guerre entre l’Ukraine et la Russie

    Sans entrer dans les entrelacs et les arcanes de la guerre en Ukraine, il apparaît tout de même que ce sont largement les menées américaines qui ont provoqué cette guerre, larvée depuis 2014 puis ouverte depuis la tentative d’invasion russe du 24 février 2022.

    Il est clair que les Américains, héritiers du bellicisme anglo-saxon (important en 1914 et 1939), ont tout fait après la chute de l’URSS, pour éviter que se constituent de solides accords continentaux entre les Européens de l’Ouest et la Russie. Accords inacceptables au regard de leur doctrine hégémonique mondiale, fondée sur la thalassocratie et donc la domination du monde.

    Et pour ce qui est de bellicisme, nul de nos jours n’égale la furia désordonnée des États-Unis semant le chaos au Moyen-Orient

    La chose est aussi inquiétante ici que là, une Troisième guerre mondiale, avec conflagration nucléaire, pouvant se déclencher inopinément (comme toujours) depuis ce radiant non maîtrisable.

    Le paradoxe est que les Européens, contre lesquels étaient tournées les provocations américaines vis-à-vis de la Russie, s’y sont ralliés, en vassaux à l’obséquiosité pathologique, suicidaire. Loin de la chrétienté médiévale, les vassaux européens d’aujourd’hui n’ont plus des cœurs de seigneurs rebelles, mais de laquais. Aussi ne tiennent-ils plus compte de leurs propres intérêts, fascinés par le verbe moralisateur du président américain quel qu’il soit…

    Aucune guerre n’est fraîche et joyeuse

    En prétendant semble-t-il envahir et soumettre l’Ukraine tout entière, en février 2022, la Russie s’est fourvoyée, sous estimant la volonté d’indépendance et de résistance de leurs cousins Petit-russiens, et ce fut l’échec militaire que l’on sait…

    Seulement, voilà et en revanche, la contre-offensive ukrainienne à l’été 2023 a été dans l’ensemble un échec aussi patent que celui de l’invasion russe. Alors, que faire ?

    L’histoire du Vingtième siècle montre que les guerres anglo-saxonnes sont sans fin ni merci, jusqu’à écrasement absolu de l’ennemi, comme tel considéré comme un ramassis de criminels, leurs dirigeants étant voués à une mort honteuse et à la privation de sépulture (cf. les condamnés de Nuremberg, Saddam Hussein, Oussama ben Laden ou Kadhafi).

    On croyait cette sauvagerie abolie en Europe depuis le traité de Westphalie (1648) et même la perfide Albion n’avait pas osé mettre en jugement Napoléon…

    Bref, au lieu de faire perdurer une guerre qui tue et estropie par dizaines de milliers de jeunes Ukrainiens comme de jeunes Russes, il serait temps de réunir une conférence de la paix. L’Ukraine y perdra sûrement la Crimée, cette conquête de la Grande Catherine donnant à la Russie l’accès aux mers chaudes…

    Méfions-nous des jusqu’au-boutistes qui n’ont jamais tenu un fusil, tel Zelensky.

    Il faut savoir cesser une guerre quand les forces sont en équilibre, c’est une question de mesure, de réalisme et non de lutte du Bien contre le Mal. En l’occurrence, nonobstant les réserves que suscitent la nostalgie soviétique de Poutine, il appartient aux Européens qui portent à bout de bras l’économie de guerre de l’Ukraine, d’imposer une solution réaliste et donc humaine.

    Eric Delcroix (Polémia, 7 décembre 2023)

     

    Note :

    [1]       Overlord, c’est-à-dire suzerain, nom donné par les Américains au débarquement en Normandie.

     

     

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