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Métapo infos - Page 1353

  • Rome, ville éternelle...

    La Nouvelle Revue d'Histoire est en kiosque (n° 67, juillet - août 2013). A la suite de la mort de Dominique Venner, c'est Philippe Conrad qui reprend le flambeau et assure la direction de la revue.

    Le numéro s'ouvre, bien évidemment, par l'hommage que rendent à Dominique Venner de nombreux écrivains, historiens et journalistes.

    Le dossier central est consacré à Rome. On peut y lire, notamment,  des articles de Philippe Conrad ("Aux origines de l'Urbs, de la légende à l'histoire"), de Jean-Louis Voisin ("L'héritage de Rome"), de Dominique Venner ("Comment l'Empire est devenu chrétien"), de Bernard Fontaine ("La papauté romaine au Moyen Âge"), de Jean-Joël Brégeon ("La Rome de la Renaissance", "1527 : le sac de Rome"), de Martin Benoist ("La papauté face au défi de l'unité italienne"), de Michel Ostenc ("La Rome de Mussolini") et de Philippe d'Hugues ("De Rome à Cinecitta") ainsi que des entretiens avec Yann Le Bohec ("Le miracle romain") et Jean Delumeau ("La seconde gloire de Rome").

    Hors dossier, on pourra lire, en particulier, un entretien avec la sinologue Anne Cheng ("La Chine d'hier et d'aujourd'hui") ainsi que des articles de Dominique Venner ("De la gauche au capitalisme absolu"), de Jean-Jacques Langendorf ("Jomini l'incompris") ou de Francis Bergeron ("Henri Béraud, l'épuré qui n'avait pas collaboré ") et la chronique de Péroncel-Hugoz.

     

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  • Les snipers de la semaine... (66)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Boulevard Voltaire, Gabrielle Cluzel dézingue Mélenchon, un rebelle, labellisé par le système, qui aime son petit confort...

    Les vertèbres de pépé Mélenchon n'ont pas de prix !

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    - sur RussEurope, Jacques Sapir éreinte le parti communiste et ses économistes...

    Quand la mauvaise foi remplace l’économie: le PCF et le mythe de “l’autre euro”

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  • Halte à l'inquisition sauvage !...

    Décidément, il faut lire les chroniques quotidiennes de Robert Redeker. Dans celle du 26 juin, que nous reproduisons ci-dessous, il règle son compte à l'antifascisme et à ses méthodes...

     

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    Chronique de Robert Redeker


    Une bonne pratique de Facebook permet d’approcher des militants antifascistes et de dégager quelques aspects, fort antipathiques, de leur psychologie. La propension à la délation – devant un hypothétique tribunal du peuple, essence philosophique des sinistres tribunaux révolutionnaires qui de 1793 à la fin du communisme sacrifièrent toujours la vérité au fanatisme – en figure le trait le plus frappant. Comme son ancêtre terroriste robespierriste, le militant antifasciste contemporain ne respire qu’à travers la délation. Elle seule lui procure le sentiment d’exister. A travers elle, l’air de l’histoire entre dans ses poumons. Il s’agit de livrer au lynchage numérique toute personne qui est soupçonnée d’appartenir de près ou de loin au diable, « l’extrême-droite ». Bien entendu, les antifascistes ne savent pas plus que la plupart des journalistes ce que signifie « extrême-droite ». Ils usent de cette catégorie avec une licence dénuée de vergogne. Si l’on peut classer dans cette catégorie les contre-révolutionnaires et les antimodernes, Joseph de Maistre et Louis de Bonald, deux penseurs qui font mon bonheur, il s’avère faux d’y classer Mussolini, et donc le fascisme, qui, progressistes (adeptes de la religion du Progrès), révolutionnaires,  appartiennent en bonne partie aussi au socialisme. Le mot « extrême-droite », sous leur plume ou dans leur bouche, devient, curieusement, synonyme de Satan. Il est le paradigme du Mal. Il en est aussi la réserve. Le Mal futur se tient en réserve dans « l’extrême-droite ». Ce mot désigne une sorte de lieu métapolitique maudit. C’est bien à de la pensée magique que nous avons affaire : l’ « extrême-droite », indéfinissable, évanescente, aux contours flous, est ce qu’il faut éloigner par des cérémonies d’exorcismes. Grands clercs et petits internautes s’y pressent. Ainsi Domnique Venner, l’historien qui mit fin à ses jours à Notre-Dame, fut-il condamné par ceux qui ne l’avaient pas lu sous le prétexte qu’il faisait partie de l’ « extrême-droite ».  Son départ volontaire et spectaculaire de la scène du monde mérite pourtant réflexion, il appelle à prêter attention à ses livres. Mais non ! Venner est un des démons envoyés par le diable pour préparer le retour dezheureslesplussombresdenotrehistoire !  S’ils pouvaient dresser des autodafés, comme cela arriva dans l’Allemagne nazie, où l’on jeta au feu force livres d’auteurs juifs, dont ceux signés par Freud, entre autres, nos antifascistes s’y appliqueraient, et les livres de Dominique Venner, comme ceux d’ailleurs de Renaud Camus, y connaîtraient le sort des flammes, sans autre forme de procès. C’est négativement que les antifascistes révèlent la structure de leur foi : ils accusent les uns et les autres de dédiaboliser le fascisme, ou, à tout le moins, le Front national, rangé, sans autre forme d'examen, parmi les organisations fascistes. J'insiste: dédiaboliser est un terme révélateur. Seul celui qui croit au diable, qui en a peur, peut employer ce verbe. Les antifascistes contemporains, dont j’ai signalé la dimension parodique ici hier ou avant-hier, ont donc bel et bien réinventé le diable ! Et avec force  obscurantisme puisque le terme d’extrême-droite est une auberge espagnole aux frontières élastiques dans laquelle ils parquent tous ceux qui leur déplaisent. Obscurantisme confirmé par l’érection d’autodafés symboliques! La réinvention du diable, en effet, les autorise à des pratiques inquisitoriales. Notre pays souffre d’une inquisition sauvage, qui s’étale dans l’internet et dans la presse, dont les antifascistes sont les petits soldats .

    Robert Redeker (Quand Redeker eut les cinquante-neuf ans, 26 juin 2013)

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  • Celui qui fit trembler César...

    Les éditions Ellipses viennent de publier Vercingétorix - Celui qui fit trembler César, un ouvrage de Danielle Porte, dans leur collection Biographies et mythes historiques. Professeur d'histoire et de civilisation romaine à la Sorbonne, Danielle Porte est l'auteur de nombreuses études historiques et est aussi une ardente défenseur d'une localisation jurassienne d'Alésia.

     

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    " Alésia, 52 av. J.-C. Un pays se soulève à l’appel d’un jeune homme. Moins de dix mois de lutte. La réussite, si proche… et la célèbre reddition du vaincu.
    Les études sur Vercingétorix et César sont nombreuses. Pourtant la controverse actuelle sur l’emplacement d’Alésia pourrait remettre en cause bon nombre d’idées reçues sur le jeune Arverne. Entre les tenants de l’Alésia bourguignonne (Alise-Sainte-Reine) et les défenseurs d’une Alésia jurassienne, une âpre guerre s’est déclenchée.
    Il ne s’agit pas là d’une simple affaire de spécialistes car l’appréciation que l’on peut porter sur Vercingétorix est intimement, absolument, irrévocablement liée à la question de l’emplacement d’Alésia. Dès lors qu’il n’est plus gibier mais chasseur, Vercingétorix acquiert une autre envergure, ses desseins une autre profondeur, sa lutte juvénile et généreuse une plus grave autorité. Et ce nouveau personnage mérite la découverte.
    Dans un style alerte et savoureux, l’auteur examine une à une les pièces du dossier, en commençant par une relecture attentive de la Guerre des Gaules confrontée à des observations géographiques, archéologiques et stratégiques. Elle nous livre la biographie d’un Vercingétorix audacieux, énergique et fin stratège, qui aurait pu vaincre Rome. "

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  • Kosovo : une guerre pour créer un État mafieux...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donnné par Pierre Péan à France 24 et consacré à son livre Kosovo - Une guerre « juste » pour créer un État mafieux (Fayard, 2013).


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  • Un socialisme identitaire ?...

    La revue Réfléchir et Agir publie dans son dernier numéro (n°44 - été 2013), disponible en kiosque, un dossier sur le socialisme identitaire...

     

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    Au sommaire :

    Médias

    Mc Luhan, le prophète de la modernité


    Dossier : Face à la gauche et à la droite du capital, notre socialisme identitaire

    Renouons avec notre socialisme

    Notre tradition anticapitaliste et sociale

    Le capitalisme, un génocide culturel

    Entretien avec Pierre Jovanovic

    Entretien avec Roberto Fiorini

    Comment la gauche a trahi le monde du travail

    Débat : peut-on encore se dire socialiste ?

    Entretien avec Alain de Benoist

    Autour de quelques axes de travail


    Entretien

    Gérard de Villiers

     

    Hommage

    Dominique Venner

     

    Réflexion

    Giorgio Locchi, le mythe surhumaniste

     

    Littérature

    Giono, l'expèrience du Contadour

     

    Un livre est un fusil

    Jean-Yves Le Gallou : la tyrannie médiatique

     

    Cinéma

    Jess Franco, l'Ed Wood du bis européen

     

    Art

    Quand Marinetti et les siens écrivaient le futur

     


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