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Métapo infos - Page 1084

  • Feu sur la désinformation... (56)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 :  L’émotion au service de l’invasion.
    • 2 : Le zapping d’I-Média.

    • 3 : Le FN et l’Eglise, dialogue impossible selon les médias.
    • 4 : Tweets d’I-Média.
    • 5 : Exposition pédopornographique à Marseille, la réinfosphère ne peut pas avoir raison..
    • 6 : Les coulisses d'I-Médias.

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  • De la famille clanique au couple parental homosexuel...

    Les éditions Kontre Kulture viennent de publier sous la signature de Damien Viguier un essai intitulé De la famille au couple parental homosexuel, qui constitue le premier tome de leur collection Leçons de droit. Avocat, Damien Viguier est docteur en droit privé et en sciences criminelles.

     

    Leçons de droit 1.png

    " Parmi les critères qui différencient les peuples dits sauvages des sociétés civilisées, on trouve l'existence du Droit. Censée organiser la société, régler les conflits selon des règles connues de tous, la Loi est le reflet de l'âme d'une époque. Comprendre comment elle évolue, ce qu'elle implique et ce qu'elle révèle nous plonge dans les rouages d'une machinerie qui nous dirige et nous formate tout à la fois. Parce qu'elle permet d'échapper à la pensée binaire, cette compréhension est également le premier pas vers une libération. Premiers pas que ces Leçons de Droit, rédigées dans un style accessible à tous, vous proposent d'accomplir.

    Tout entières dirigées vers la perpétuité du clan, et cela même dans leurs exceptions et leurs assouplissements, les législations anciennes ont permis à ce qui étaient de simples dérogations de devenir de nouvelles normes, brisant dès lors l'organisation de la société en clans pour introduire le règne de la « famille bourgeoise ». Ceux qui clament « un enfant, c'est un papa et une maman », en réaction à l'instauration du « mariage pour tous », ne réalisent pas que la révolution anthropologique qu'ils dénoncent tient moins à l'élargissement du mariage aux couples homosexuels qu'à cette révolution plus ancienne, commencée sous Justinien et fortement accélérée à la Révolution, qui initia l'émiettement des structures familiales, en vertu de l'égalité par l'indifférenciation des sexes. C'est la promotion même du ménage formé d'un homme et d'une femme, « brique » ou « cellule fondamentale » de notre structure sociale, et au nom duquel se fait la lutte contre le mariage pour tous, qui, en réalité, y a mené. Suite logique de l'évolution du Droit qui, en même temps qu'elle a abouti aux unions et aux filiations homosexuelles, a conduit à l'atomisation d'une société, et in fine à l'individualisme que nous connaissons aujourd'hui. "

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  • Technique du populicide...

    Nous reproduisons ci-dessous la chronique de Michel Onfray datée du mois de septembre 2015 et cueillie sur son site personnel. Encore un texte qui va faire grincer des dents...

    Onfray.jpg

     

    Technique du populicide

    Dans l’un de mes cours retransmis cet été sur France-Culture, j’ai utilisé le mot de populace et me suis attiré les foudres d’un auditeur en colère voyant là le mot qui révélait enfin la vérité : mon mépris du peuple ! Moi qui ait créé en 2002 une Université Populaire avec pour tâche de faire à nouveau de ce bel adjectif un noble mot, je me voyais renvoyé dans un cul de basse-fosse par un commissaire du peuple qui estimait que parler de la populace, c’était mépriser le peuple.

    Or, c’est l’inverse. C’est parce que j’aime le peuple que j’utilise le mot populace. La populace, c’est le peuple qui ne pense pas, le peuple qui ne pense plus. Et l’on ne me fera pas croire, ce qui serait démagogie, que le peuple pense toujours, toujours bien et toujours juste. Ce fut le cas quand son bon sens était construit par l’école républicaine et qu’à coup de leçons de choses et de cours sur l’histoire de France, à force de rédactions et d’analyse logique, grâce à nombre de récitations et de lecture des grands textes, à la faveur d’un enseignement de morale et de calcul algébrique, ce qui faisait l’âme droite du peuple accouchait la plupart du temps de jugements justes produits par des raisonnements adéquats.

    Depuis un demi-siècle de domination médiatique sans partage, un peuple qui n’est plus éduqué par l’école se trouve livré au dressage de la meute journalistique. Quand l’instituteur ne fait plus la loi, c’est le présentateur d’émissions de télévision, le journaliste et l’éditocrate salarié qui imposent leurs points de vue prescrits par les marchands qui les appointent – si grassement d’ailleurs, tant on obtient ainsi un cheptel docile.

    Quand le peuple ne pense plus selon l’ordre des raisons, il surréagit selon l’ordre des passions. Il ne lit plus Hugo en primaire, mais il entend Bigard à jet continu ; il ignore l’histoire de François Ier, mais il connaît tout de celle de Nabila ; il ne sait plus faire une division de tête, mais il calcule vite le salaire mensuel d’Ibrahimovic quand il découvre la somme pour une saison ; il ne regarde plus le présent en regard de ce que fut l’histoire, mais l’aperçoit comme un myope sans lunettes, jamais au-delà du temps que dure l’émission qu’il regarde.

    Le marché qui fait la loi dans la droite et la gauche de gouvernement depuis 1983 a réalisé un populicide à grande échelle. Le mot se trouve sous la plume de Gracchus Babeuf, peu suspect d’être un électeur des Le Pen, pour caractériser le génocide vendéen dès 1794. Le peuple qui pense est l’antipode de la populace qui régurgite. Et si l’on aime le peuple, c’est mon cas, il faut ne pas aimer la populace qui répète ce qu’elle entend, lit et voit dans les lieux de la Kommandantur intellectuelle que sont les radio et télévision d’Etat, la presse subventionnée et qui se goberge des laïus des éditorialistes qui se répandent dans ces lieux-là.

    Le populicide libéral commis par la droite et la gauche permet de gouverner sans le peuple et de jouer avec le troupeau de ceux qui continuent à apporter leur crédit aux barbares qui massacrent leur intelligence à bas bruit. Quand les populicides ne font pas de bruit, c’est que la populace est en passe de remplacer le peuple.

    Michel Onfray (Chronique mensuelle de Michel Onfray, septembre 2015)

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  • Le paganisme au cinéma...

    Les éditions Dualpha viennent de publier un essai de Nicolas Bonnal intitulé Le paganisme au cinéma - Mondes païens, épopées, contes de fées. Ecrivain, Nicolas Bonnal est l'auteur de plusieurs livres sur le cinéma dont Ridley Scott et le cinéma rétrofuturiste (Dualpha, 2013) et Les mystères de Stanley Kubrick (Dualpha, 2014). On lui doit également un ouvrage sur Tollkien, Tolkien, les univers d'un magicien (Les Belles Lettres, 2002).

     

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    " Enfin un livre sur le paganisme au cinéma : les héros, les mythes, les épopées, le voyage initiatique, l’âge d’or, la femme fatale, l’enlèvement saisonnier, tout vient en fait du paganisme !

    Le paganisme a souvent mauvaise presse, étant confondu avec la sorcellerie ou la spiritualité New Age. Pourtant cette sensibilité cosmique et féerique continue toujours d’inspirer notre quotidien, malgré le rationalisme et la médiocrité moderne.

    Ce livre tente de recenser les nobles inspirations du paganisme dans le septième art. Il évoque bien sûr le cinéma français, soulève l’importance excessive du cinéma américain et notre inspiration anglo-saxonne. Puis il évoque d’une manière plus originale la source païenne dans le cinéma soviétique ou japonais de la grande époque, sans oublier celles du cinéma allemand, surtout celui de l’ère muette. L’ouvrage célèbre les contes de fées, les épopées, les adaptations des mythes fondateurs de la tradition nippone ou européenne. Il ignorera certaines cinématographies, quand il insiste sur d’autres. Mais le sujet est bien vaste…

    Si l’on devait donner quelques noms prestigieux pour illustrer notre livre, nous donnerions ceux de Walsh, Lang, Kurosawa, celui de son compatriote Inagaki, génie païen oublié (lion d’or et oscar en son temps) du cinéma. Et bien sûr ceux des soviétiques négligés comme Alexandre Rou – officiellement « folkloriste » – et le grand maître ukrainien Ptushko. Mais la France mystérieuse, celle de Cocteau, Rohmer et Duvivier, a aussi son mot à dire…

    Nous espérons que notre ouvrage redonnera à ce cinéma populaire et cosmologique quelques-unes de ses plus belles lettres de noblesse. "

     

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  • Faut-il quitter Marseille ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une excellente présentation par Jean-Paul Brighelli du livre de José d'Arrigo intitulé Faut-il quitter Marseille ? - Insécurité, corruption, immigration (Le Toucan, 2015), cueillie sur le site Bonnet d'âne.

    Marseille immigration.jpg

    Faut-il quitter Marseille ?

    Poncif : les Marseillais ont avec leur ville une relation passionnelle. Amour et haine. Ils se savent différents. Issus — et ce n’est pas une formule — de la « diversité » : Provençaux, Catalans (un quartier porte leur nom), Corses (près de 130 000), Italiens divers et d’été, Arméniens réfugiés ici dans les années 1920, Pieds-Noirs de toutes origines, en particulier des Juifs Séfarades, Arabes de tout le Maghreb, et depuis quelques années Comoriens (plus de 100 000) et Asiatiques — les Chinois occupent lentement le quartier de Belsunce comme ils ont, à Paris, occupé Belleville, au détriment des Maghrébins qui y prospéraient.
    Bien. Vision idyllique d’une ville-mosaïque, où tous communient — si je puis dire — dans l’amour du foot et du soleil…
    Mais ça, dit José d’Arrigo dans son dernier livre, ça, c’était avant.
    Dans Faut-il quitter Marseille ? (L’Artilleur, 2015), l’ex-journaliste de l’ex-Méridional, où il s’occupait des faits divers en général et du banditisme en particulier, est volontiers alarmiste. Marseille n’est plus ce qu’elle fut : les quartiers nord (qui ont débordé depuis lulure sur le centre — « en ville », comme on dit ici) regardent les quartiers sud en chiens de faïence. Et les quartiers sud (où se sont installés les Maghrébins qui ont réussi, comme la sénatrice Samia Ghali) se débarrasseraient volontiers des quartiers nord, et du centre, et de la porte d’Aix, et des 300 000 clandestins qui s’ajoutent aux 350 000 musulmans officiels de la ville. Comme dit D’Arrigo, le grand remplacement, ici, c’est de l’histoire ancienne. Marseille est devenu le laboratoire de ce qui risque de se passer dans bon nombre de villes. Rappelez-vous Boumédiène, suggère D’Arrigo : « Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère Sud pour aller dans l’hémisphère Nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire. » « Les fanatiques, dit D’Arrigo, ont gagné la guerre des landaus ». Le fait est que partout, on rencontre des femmes voilées propulsant fièrement leurs poussettes avec leurs ventres à nouveau ronds. Si ce n’est pas uns stratégie, ça y ressemble diablement. D’autant que c’est surtout l’Islam salafiste qui sévit ici. Et à l’expansion du fondamentalisme, observable à vue d’œil dans les gandouras, les barbes, les boucheries hallal, le « sabir arabo-français aux intonations éruptives issues du rap », les voiles, les burqas qui quadrillent la ville, répond un raidissement de la population autochtone — y compris des autochtones musulmans, ces Maghrébins de première ou seconde génération, qui, voyant la dérive des jeunes qui les rackettent et les menacent, en arrivent très consciemment à inscrire leurs enfants dans les écoles catholiques et à voter FN : « Ce sont les Arabes qui ont porté le FN au pouvoir dans les quartiers nord, pas les Européens ».
    Marseille est effectivement devenue terre d’Islam, Alger évoque sans rire la « wilaya de Marsylia », et, dit l’auteur en plaisantant (mais le rire est quelque peu crispé), ce sera bientôt « Notre-Dame-d’Allah-Garde » qui dominera la ville. Je l’ai raconté moi-même ici-même à maintes reprises. La burqa, ici, c’est tous les jours, partout. Au nez et à la barbe de policiers impuissants : il y a si peu d’agents de la force publique que c’en devient une plaisanterie.
    Et l’image que j’évoquais plus haut d’une ville cosmopolite est désormais clairement un mythe : Marseille est une ville où les diverses « communautés » s’ignorent (version rose) ou se haïssent — version réaliste. Marseille, ville pauvre où 50% des habitants sont en dessous du seuil d’imposition (contre 13% à Lyon, si l’on veut comparer), « n’en peut plus de ces arrivées incessantes de gens venus d’ailleurs, et venant ici rajouter de la misère à la misère ». Ici on ne se mélange plus. On s’observe, et parfois on tire. « Marseille est devenue une redoutable machine à désintégrer après avoir été durant un siècle une ville d’immigration et d’assimilation à nulle autre pareille. »
    Qu’il n’y ait pas de malentendu sur le propos de l’auteur. Il n’est pas dans la nostalgie d’une Canebière provençale et d’un Quai de Rive-Neuve où César et Escartefigue jouaient à la pétanque (un mythe, ça aussi). Il regrette la ville de son enfance (et de la mienne), où tous les gosses allaient en classe et à la cantine sans se soucier du hallal ou du casher, et draguaient les cagoles de toutes origines sans penser qu’elles étaient « impures ».
    Responsabilité écrasante des politiques, qui durant trois décennies ont systématiquement favorisé ceux qu’ils considéraient comme les plus faibles. Marseille a été le laboratoire de la discrimination positive, et aujourd’hui encore, les réflexes des politiciens qui financent des associations siphonneuses de subventions sont les mêmes. « On a substitué à la laïcité et à l’assimilation volontaire, qui naguère faisait autorité, le communautarisme et le droit à la différence ». « Cacophonie identitaire » et « défrancisation », « désassimilation ».
    Comment en est-on arrivé là ? L’auteur dénonce avec force la substitution, à des savoirs patiemment instillés, du « péril de cette époque insignifiante gavée de distractions massives : le vide, le vertige du vide ». Je faisais il y a peu la même analyse, à partir du livre de Lipovetsky.
    D’où la fuite de tous ceux qui, « dès qu’ils ont quatre sous, désertent la ville et s’installent à la campagne ». Vers Saint-Maximin, Cassis, ou autour d’Aix — ou plus loin : des milliers de Juifs par exemple ont fait leur Alya et sont partis en Israël, et les Corses se réinstallent dans les villages de leurs parents. Mais « dans ces conditions, des quartiers entiers de Marseille risquent de se ghettoïser. » Ma foi, c’est déjà fait.
    Et si la ville n’a pas explosé, c’est qu’il y règne un « ordre narcotique » auquel veillent les trafiquants, peu soucieux de voir s’instaurer un désordre peu propice au petit commerce du shit — une activité parallèle qui génère chaque année des dizaines de millions d’euros. L’Etat en tout cas n’existe plus déjà dans 7 arrondissements sur 16, où les gangs, narco-trafiquants infiltrés de djihadistes potentiels, font régner l’ordre — c’est-à-dire le désordre des institutions. Quant à l’école, « elle a sombré ». Effectivement, les truands ne voient pas d’un bon œil que certains leur échappent en tentant de s’instruire. D’ailleurs, ceux qui y parviennent sont les premiers à « quitter Marseille ».
    Les solutions existent — à commencer par un coup de balai sur cette classe politique phocéenne corrompue jusqu’aux os, qui entretient un système mafieux en attendant qu’il explose. La candidature d’Arnaud Montebourg en Mr Propre, évoquée par D’Arrigo, me paraît improbable : il n’y a ici que des coups à prendre. L’arrivée aux commandes de Musulmans modérés est plus probable : le Soumission de Houellebecq commencera ici.
    Et pour que les bonnes âmes qui croient que ce blog est islamophobe cessent de douter, je recopie, pour finir, une anecdote significative — mais le livre en est bourré, et Marseille en fournit tous les jours.
    « À la Castellane, la cité de Zinedine Zidane, les policiers sont appelés de nuit par une mère affolée. Sa fillette de 10 ans est tombée par mégarde du deuxième étage et elle a les deux jambes brisées. Il faut la soigner de toute urgence et la conduire à l’hôpital. L’ambulance des marins-pompiers et la voiture de police qui l’escorte sont arrêtées par le chouf [le guetteur, pour les caves qui ne connaissent pas l’argot des cités] douanier à l’entrée de la cité. Lui, il s’en moque que la gamine meure ou pas. Il va parlementer une demi-heure avec les policiers et les pompiers et les obliger à abandonner leurs véhicules pour se rendre à pied au chevet de la blessée. « Je rongeais mon frein, raconte un jeune flic qui participait au sauvetage, je me disais dans mon for intérieur, ce n’est pas possible, ces salauds, il faut les mater une fois pour toutes, j’enrageais de voir un petit caïd de banlieue jouir avec arrogance de son pouvoir en nous maintenant à la porte. Ce qu’il voulait signifier, ce petit con, c’était très clair : les patrons, ici, c’est nous. Et vous, les keufs, vous n’avez rien à faire ici… » »
    À bon entendeur…

    Jean-Paul Brighelli (Bonnet d'âne, 30 août 2015)

     

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  • L'antiquité européenne à l'honneur !...

    Les éditions Heimdal viennent de lancer un nouveau trimestriel, disponible en kiosque, intitulé Antiquité - Le magazine de l'antiquité européenne. Comme toujours avec cet éditeur, l'iconographie est particulièrement soignée.

    Une belle et utile initiative à l'heure où nos gouvernants veulent effacer dans les les programmes scolaires les enseignements consacrés aux racines antiques de notre civilisation...

     

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    Au sommaire :

    LA GAULE ROMAINE : Evreux et Vieil-Evreux , ville et sanctuaire,

    HISTOIRE ROMAINE : Antonin Le pieux, symbole de la vertu romaine,

    CITÉ ANTIQUE : Le temple d’Antonin et Faustine,

    ARMÉES ANTIQUES : Le hoplite à Marathon et L’armée romaine augustéenne,

    CIVILISATION : L’âge du fer en Scandinavie et Le vin gaulois,

    MYTHES ET RELIGIONS : Les Vestales,

    ART ANTIQUE : La Niobide mourante et Sir Laurence Alma-Taméda,

    MYTHES ET LÉGENDES : Le Festin de Pélée et Le Groupe du Laocoon,

    CUISINE ANTIQUE : La cuisine romaine,

    COLLECTIONS ANTIQUITÉS : Le Musée Imaginaire,Des rubriques

    BIBLIOTHÈQUE

    EN BREF

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