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  • Feu sur la désinformation... (536) : Macron prépare-t-il la guerre ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Michel Geoffroy et Floriane Jeannin.

     

                                              

    Au sommaire cette semaine :

    L'image de la semaine : Le paradoxe Milei ou quand la réalité contredit les pronostics médiatiques

    Après la victoire du président argentin Javier Milei aux législatives et les prédictions catastrophistes des commentateurs, les journalistes français tentent de justifier leurs biais cognitifs dans le traitement médiatique de la politique internationale.....

    Le dossier du jour : La guerre dans 3 ans ?

    Les généraux Mandon, Yakovleff et Schill s’en sont donné à cœur joie pour relayer le discours belliciste d'Emmanuel Macron. En parallèle, ministres et élus redoublent d’inventivité pour créer de nouveaux impôts !...

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    Pastilles de l’info:

    • Internet menacé : Macron et Aurore Bergé préparent-ils la censure des réseaux sociaux ?

    • Wikipédia vs Grokipedia : la bataille des encyclopédies en ligne

    • Des journalistes de Libération mis en examen : l'affaire qui embarrasse la presse

    • Vol au Louvre : entre piste russe et fake-news, le grand flou médiatique

    • Fracture française : pourquoi les médias ignorent-ils l'impopularité record de Macron ?

    • Kermit place Vendôme : l'art contemporain pour humilier la France

    • Sacré Cœur : le film catholique qui dérange et subit la censure

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Pierre Plottu, "le super journaliste" de Libération...

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  • Les snipers de la semaine... (301)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Breizh-Info, Yann Vallerie dézingue les politique toujours prêts à se renier pour protéger leur place et leurs émoluments ...

    Réforme des retraites et République des coquins. Quand la Macronie et une partir des Républicains se renient pour sauver leurs sièges et leurs gros salaires

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    - sur Hashtable, H16 mitraille Macron, qui tel le pilote fou de la Germanwings s'est enfermé à l'Elysée comme l'autre dans son cockpit...

    France : un squatteur et 65 millions d’otages

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  • L'encombrant...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Dominique Jamet cueilli sur Boulevard Voltaire et consacré au divorce entre la nation et le chef de l’État.

     

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    L'encombrant

    La lettre de la Constitution est une chose. Autre chose ce qu’en font, au fil du temps, les amendements qu’on lui ajoute et qui l’améliorent ou la dénaturent, l’interprétation qu’on lui donne, l’usage qu’on en fait. Déçu par le résultat des législatives de 2022 qui ne lui avaient donné qu’une majorité relative, puis indirectement mais massivement désavoué lors des européennes de juin 2024, le président de la République était parfaitement en droit, tant d’un point de vue personnel et politique que dans le cadre de la loi fondamentale, d’en appeler au peuple en espérant que les électeurs reviendraient sur leur choix et rétabliraient avec lui ce lien de confiance que suppose et qu’impose même un système démocratique. D’où la dissolution… et la confirmation, voire l’accentuation, de la prise de distance ou, pour mieux dire, du divorce entre la nation et le chef de l’État.

    Un Président minoritaire dans le pays

    Dès lors, il était concevable qu’Emmanuel Macron, constatant son erreur, conscient de la réalité et se montrant à la hauteur de ses responsabilités devant les hommes et devant l’Histoire, admît son échec, en comprît la leçon et en tirât aussitôt les conséquences. Un autre, plus grand que lui, en avait donné il y a plus d’un demi-siècle l’exemple dont il convient, pour être équitable, de rappeler qu’il n’aura été suivi par aucun de ses successeurs. La dignité et la lucidité ne vont pas toujours de pair avec l’ambition et l’accession au plus haut poste de la République.

    Minoritaire dans le pays, jusqu’à ne plus recueillir que 16 % d’opinions favorables, soutenu à l’Assemblée nationale par un tiers des députés dont bon nombre ne doivent leur élection qu’au barrage dit « républicain » qui a faussé l’expression du suffrage universel, Emmanuel Macron a choisi de rester en place et proclame, en toute occasion, qu’il ira jusqu’au bout du mandat que lui a confié le peuple en 2017, qu’il lui a renouvelé en 2022… mais qu’il lui a, de fait sinon de droit, refusé il y a maintenant seize mois. Cela, alors que, parallèlement et pour la première fois depuis 1958, l’Assemblée nationale, divisée en trois groupes sensiblement équivalents et totalement inconciliables, est congénitalement incapable d’accepter et de soutenir quelque gouvernement que ce soit.

    D’où l’affaiblissement conjoncturel puis l’effondrement passager d’un système et d’un équilibre qui reposent soit sur l’existence d’une majorité présidentielle soit sur la cohabitation organisée et mutuellement consentie entre un chef de l’État aux pouvoirs réduits et un gouvernement issu de la majorité parlementaire. D’où le retour du jeu mortifère des partis. D’où l’instabilité gouvernementale et la succession à Matignon, en un peu plus d’un an, de trois Premiers ministres, comme au mauvais vieux temps de la IVe dont le général de Gaulle avait cru exorciser définitivement le spectre et les mœurs qui avaient fait de la France la risée de l’Europe et du monde. La France est redevenue ce navire sans commandant de bord et sans gouvernail, sans chef et sans gouvernement, qui dérive au fil de l’eau sous les regards navrés, condescendants, amusés ou ravis de ses supposés ennemis comme de ses prétendus amis.

    L'entêtement irresponsable d'un Président

    De cette situation inédite, ce n’est pas le mouvement citoyen et marginal « Bloquons tout » qui est responsable, mais bel et bien un apprenti Président pas sorcier dont l’entêtement irresponsable, après les avoir suscités, entretient et aggrave jour après jour le désordre, l’impuissance et le chaos dans lesquels nous sombrons jour après jour. C’est lui qui, soit par une nouvelle dissolution, soit par sa démission suivie de l’élection présidentielle, détient les clefs qui permettraient de remettre en marche la mécanique qu’il a enrayée.

    Mais il s’y refuse obstinément et semble se satisfaire de l’accommodement bancal qui, du fait de l’imprécision des textes et de pratiques qui ne sont pas rigoureusement définies, lui permet de continuer à s’ébattre et à folâtrer dans ce « domaine réservé » de la défense et des affaires qui lui sont étrangères où il est maître, entre vacances méditerranéennes, voyages protocolaires, conférences internationales et session de l’ONU, ne cesse d’accumuler erreurs, fautes, incohérences, rodomontades, discours musclés et incohérents, et fait tout son possible pour rendre inévitable une guerre que, n’ayant pas la moindre idée ni la moindre expérience de ce qu’est la guerre, il s’évertue à nous présenter comme nécessaire, voire souhaitable, et à nous vendre sans jamais solliciter sur ce sujet mineur ni le Parlement ni les citoyens. L’égocentrisme, l’orgueil insensé et l’irréalisme, dans ce domaine comme dans les autres, ont déconnecté le Président du monde réel.

    Les municipalités, les éboueurs et les simples particuliers savent ce que sont les encombrants ménagers. Le dictionnaire les définit clairement comme des rebuts volumineux dont la destination finale est naturellement la déchetterie ou l’incinérateur. Le Président Macron, qui s’accroche aux prérogatives, se complaît aux apparences et s’incruste dans les palais du pouvoir, pourrait rester quelque temps dans les mémoires avant de sombrer dans l’oubli, comme un encombrant sonore et vain dont la si fulgurante et si décevante trajectoire est d’ores et déjà vouée aux poubelles de l’Histoire.

    Dominique Jamet (Boulevard Voltaire, 4 octobre 2025)

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  • Conversations américaines...

    Les éditions Albin Michel viennent de publier un livre d'entretiens entre Jean-Claude Michéa et Michael Behrent intitulé Conversations américaines.

    Analyste lucide et incisif du système libéral et des serviteurs de gauche de celui-ci, écrivant dans une langue limpide, Jean-Claude Michéa est l'auteur d'essais essentiels comme Impasse Adam Smith (Flammarion, 2006), Le complexe d'Orphée (Flammarion, 2011), Les mystères de la gauche (Flammarion, 2013), Notre ennemi le capital (Flammarion, 2017), Le loup dans la bergerie (Flammarion, 2018) ou Extension du domaine du capital (Albin Michel, 2023).

    Américain, Michael Behrent est historien et professeur d'université.

     

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    En bousculant nos certitudes, Michéa rend possible une recomposition intégrale de la politique. » Michael Behrent

    Depuis plusieurs décennies, Jean-Claude Michéa analyse la façon dont la société contemporaine a basculé dans le libéralisme, sous sa double forme d'économie de marché et de culture progressiste. Nourri du socialisme orwellien, il n'a eu de cesse de dénonçer l'abandon des classes populaires par la gauche -de Mitterrand à Macron-, au profit d'un libéralisme culturel qui a nourri les pires dérives du wokisme.

    Ce petit essai lumineux, né de conversations entre Jean-Claude Michéa et Michael Behrent, universitaire et essayiste américain de renom, spécialiste de l’œuvre de Michel Foucault, montre combien les intuitions et analyses de Michéa étaient prémonitoires. Il éclaire les similitudes entre la profonde crise morale et politique française et la situation américaine, où un peuple abandonné par les élites démocrates a permis l'accession au pouvoir de Donald Trump.

    N'est-il pas temps d'envisager une recomposition intégrale de la politique? Tel est peut-être la question et l'espoir auxquels nous renvoie la lucidité sans concession de Jean-Claude Michéa."

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  • Mouvement « Bloquons tout »… Libérons plutôt la France !

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy cueilli sur le site de Polémia et consacré à la nécessité d'un grand déblocage de la France.

    Ancien haut-fonctionnaire, Michel Geoffroy a publié le Dictionnaire de Novlangue (Via Romana, 2015), en collaboration avec Jean-Yves Le Gallou, ainsi que plusieurs essais, dont La Superclasse mondiale contre les Peuples (Via Romana, 2018), La nouvelle guerre des mondes (Via Romana, 2020), Immigration de masse - L'assimilation impossible (La Nouvelle Librairie, 2021), Le crépuscule des Lumières (Via Romana, 2021), Bienvenue dans le meilleur des mondes (La Nouvelle Librairie, 2023) et, dernièrement Occident go home ! - Plaidoyer pour une Europe libre (Via Romana, 2024).

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    Mouvement « Bloquons tout »… Libérons plutôt la France !

    Il paraît que le 10 septembre on nous invite à bloquer le pays pour exprimer notre mécontentement, sinon notre révolte. Contre quoi, contre qui, on ne sait pas exactement. Il faut bloquer tout, et le reste suivra sans doute. L’initiative de cette sorte de grève générale serait décentralisée et difficile à identifier avec précision. Les médias nous disent que les Gilets Jaunes reviendraient, mais avec l’extrême gauche. Il paraît même que les services de renseignement craindraient des débordements. Voilà qui pose question : notre pays, en pleine crise politique, sécuritaire, économique et financière, a-t-il vraiment besoin d’un blocage de plus ? Ne faut-il pas au contraire débloquer une situation française devenue inextricable ? Poser la question, c’est y répondre.

    Une initiative socialement située

    D’abord, appeler à la grève générale en pleine semaine a quelque chose de socialement situé.
    Les Gilets Jaunes manifestaient le week-end parce que, le reste du temps, ils devaient travailler pour gagner de quoi faire les courses chez Lidl ou pour acheter le blouson du gamin. La grève en semaine reste un luxe de fonctionnaire, de cheminot ou de nanti.
    Les médias affirment que le mouvement Bloquons Tout rappellerait celui de la Nuit Debout, ce happening nocturne bobo-gaucho qu’adoraient les beaux quartiers, puisqu’il n’a débouché sur rien de concret. Nous y voilà.
    Avec Bloquons Tout, on a l’impression qu’une certaine bourgeoisie aimerait bien que le bon peuple descende dans la rue, pour qu’elle tire, une fois encore, les marrons du feu. Bloquons Tout : le 10 septembre, Marie-Chantal, en signe de protestation et pour « faire peuple », n’ira pas faire ses emplettes chez Hédiard. Qu’on se le dise dans les dîners en ville!
    Cela explique sans doute pourquoi l’adhésion populaire à Bloquons Tout reste assez distante.

    Une initiative à contre-temps

    Appeler à tout bloquer a, au surplus, quelque chose de tragi-comique dans un pays où plus rien ne marche normalement, où les services publics dysfonctionnent, où les transports sont saturés et où les syndicats cultivent la gréviculture à grande échelle. Tout bloquer en Suisse ou à Singapour aurait un sens. Mais en France, on ne verra pas bien la différence, hélas, avec le quotidien de la majorité des Français.
    Enfin, croire qu’en bloquant on ne sait quoi on va conduire au changement politique que souhaitent manifestement une majorité de nos concitoyens relève de l’escroquerie.
    Bloquer le pays ?
    Mais après la chute de Bayrou, Macron n’attend que cela, avec si possible des morts français en Ukraine, pour déclencher l’article 16 et imposer sa dictature légale en France. Puisque l’Ukraine incarne manifestement son modèle de démocratie : un président sans mandat mais qui se maintient grâce à l’état d’urgence, une opposition en prison, des médias censurés et la police qui vous arrête pour un tweet qui déplaît au pouvoir.

    Il faut libérer la France et non pas la bloquer

    Ceux qui nous invitent à bloquer le pays font fausse route et travaillent en réalité pour le maintien du Système, comme le fait depuis longtemps l’extrême gauche en France, devenue le service action de l’oligarchie.
    Car fondamentalement, il ne faut pas bloquer le pays : il faut au contraire le débloquer, le libérer de tout ce qui l’entrave. Puisque la France, tel le Gulliver de Jonathan Swift, est un géant entravé par les innombrables fils que des nains ont noués sur lui pour le réduire à rien.
    Débloquer la France, c’est donc d’abord la libérer des liens bruxellois et otaniens qui ont détruit notre souveraineté et qui, comme l’avait prévu De Gaulle, nous conduisent maintenant dans des aventures militaires qui ne sont pas les nôtres.
    Débloquer la France, c’est ensuite mettre un terme au gouvernement des juges, irresponsables politiquement, qui ont pris indûment le pouvoir et qui vident la démocratie parlementaire et référendaire de son sens.
    Débloquer la France, c’est aussi briser la spirale mortelle du fiscalisme, des déficits et de la dépense publique, non seulement sans frein mais en outre désormais profondément nuisible.
    Débloquer la France, c’est également mettre fin aux pompes aspirantes d’une immigration inassimilable, qui ne constitue une chance que pour les oligarques et les bobos friqués, et faire partir ceux qui refusent de partager le destin français.
    Débloquer la France, c’est enfin rétablir la liberté d’expression pour tous les Français, abolir les lois liberticides et rétablir la suprématie de la majorité sur les revendications minoritaires et les égoïsmes particuliers.
    Vaste programme ?
    Non, seulement la seule véritable façon de révolutionner le Système. Bloquons Tout ? Non : libérons le génie de notre peuple.

    Michel Geoffroy (Polémia, 8 septembre 2025)

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  • Les snipers de la semaine... (298)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Hashtable, H16 dézingue l'incurie de  Bayrou et Macron...

    Finalement, Bayrou n’a été qu’une grosse perte de temps

    - sur Boulevard Voltaire, Arnaud Florac rafale lui aussi le gouvernement qui veut faire payer aux "Nicolas" la case provoquée par les "Kévin et Mathéo" à l'occasion des différentes émeutes...

    Coût des émeutes à répétition : l’idée géniale du gouvernement…

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