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macron

  • Le problème c’est Macron !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy cueilli le site de Polémia et consacré au principal responsable de la crise politique dans laquelle nous sommes plongés.

    Ancien haut-fonctionnaire, Michel Geoffroy a publié le Dictionnaire de Novlangue (Via Romana, 2015), en collaboration avec Jean-Yves Le Gallou, ainsi que plusieurs essais, dont La Superclasse mondiale contre les Peuples (Via Romana, 2018), La nouvelle guerre des mondes (Via Romana, 2020), Immigration de masse - L'assimilation impossible (La Nouvelle Librairie, 2021), Le crépuscule des Lumières (Via Romana, 2021), Bienvenue dans le meilleur des mondes (La Nouvelle Librairie, 2023) et, dernièrement Occident go home ! - Plaidoyer pour une Europe libre (Via Romana, 2024).

     

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    Confiance : Bayrou n’est pas en cause, le problème c’est Macron

    Pour les médias de grand chemin la cause est entendue : le gouvernement Bayrou va prochainement tomber, faute de recueillir un vote de confiance de l’Assemblée nationale.
    Certes François Bayrou, âgé de 74 ans, manque de charisme et ne semble pas vraiment à la hauteur des menaces qu’il ne cesse d’agiter. Certes, aux termes de la Constitution, le gouvernement « détermine et conduit la politique de la nation ».
    Mais il ne faut pas se tromper de cible pour autant : le vrai responsable du désastre français, c’est Emmanuel Macron, qui est au pouvoir depuis plus de 10 ans : d’abord comme secrétaire général adjoint de l’Élysée en 2012, puis comme ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique en 2015, enfin comme président de la République depuis 2017.
    Alors que le fusible Bayrou n’est Premier ministre que depuis le 13 décembre 2024, il n’a pas eu le temps d’avoir un bilan ; mais le passif de plus de 10 ans de macronisme, lui, est extrêmement lourd.
    Il serait temps d’en tirer les conséquences.

    La France accumule les désastres

    On serait bien en peine, en effet, de trouver quelque chose de positif dans l’action d’Emmanuel Macron, que ce soit sur le plan intérieur ou sur le plan extérieur.
    Sur le plan intérieur, la communication a remplacé l’action et la France n’a cessé de s’enfoncer, accumulant les désastres.
    Désastre sécuritaire et migratoire, qui touche même les plus petites communes, livrées maintenant aux dealers.
    Désastre économique, puisque le président de la République s’est rallié en tout à l’idéologie libre-échangiste et mondialiste de la Commission européenne : la France s’est donc désindustrialisée, elle est en train de sacrifier son agriculture et sa balance commerciale accumule les déficits.
    Spectateur, le président se borne à déplorer les « mauvais » accords commerciaux que la Commission européenne « négocie », principalement à nos dépens.
    Désastre social, avec la déconstruction de la protection sociale pour les Français, le chaos éducatif qui a cassé l’ascenseur social et la remontée du chômage.
    Désastre financier, avec un endettement colossal et un coût croissant de sa dette, alors que l’État se montre incapable de contenir ses déficits malgré une pression fiscale parmi les plus élevées des pays de l’OCDE. Et alors que la crise financière pointe à l’horizon.

    Un président qui détruit au lieu de bâtir

    Désastre institutionnel, puisque le président ne dispose plus de majorité réelle au Parlement depuis la dissolution de 2014 et qu’il réunit moins de 20 % d’opinions favorables selon les sondages. Le régime des partis est donc de retour en France, avec son lot d’impuissance, de compromissions et de combines électorales.
    Désastre pour notre souveraineté enfin, parce qu’Emmanuel Macron a laissé, par européisme, la Commission européenne empiéter sur les droits des États, au mépris des traités européens.

    En réalité, depuis 2017, la France accumule les réformes inutiles, improvisées ou inachevées, qui détruisent au lieu de bâtir l’avenir.
    Comme on a sacrifié la politique énergétique sur l’autel de l’idéologie antinucléaire, comme on détruit EDF à la demande de l’UE, mettant en péril notre avantage compétitif de disposer d’une énergie bon marché. Comme on déconstruit les services publics, sans aucun profit réel pour les Français. Comme on n’a réformé qu’à moitié le système des retraites.
    Le domaine réservé : un désastre exemplaire

    Sur le plan extérieur, qui est plus que tout autre le « domaine réservé » du président de la République, le désastre est encore plus éclatant.
    François Hollande était certes souvent ridicule à l’étranger, bafouillant et se prenant les pieds dans les estrades et les tapis. Mais Emmanuel Macron, lui, est surtout un bavard du genre malfaisant.

    Pratiquant une diplomatie brouillonne et verbale, le président de la République a réussi en effet la performance de se brouiller avec à peu près tout le monde : avec l’Afrique, avec l’Algérie, avec Israël, avec la Russie, avec la Chine, avec les États-Unis, avec la Hongrie, avec l’Italie, avec l’Espagne…
    Devant les caméras, il tripote et embrasse tout le monde, mais en réalité il a fait perdre à la France son statut de puissance d’équilibre, sans rien obtenir de concret en échange.
    Il court derrière l’Ukrainien Zelensky, mais s’étonne de n’être plus écouté à Moscou. Il joue les « Européens », mais il courtise la Grande-Bretagne, qui ne fait plus partie de l’UE. Il demande au président du Burkina Faso d’aller « réparer la clim » et accuse les Russes de la perte d’influence de la France en Afrique. Il déclare que l’OTAN est en « état de mort cérébrale », mais ensuite il se rallie à tout ce qu’elle décide et il joue les va-t-en-guerre en Europe, avec une armée fantomatique. Il invite Mme von der Leyen dans ses déplacements à l’étranger, au grand étonnement de ses interlocuteurs. Et quand il demande à accompagner le chancelier allemand en Chine, il se fait remettre vertement à sa place par Berlin.
    Un président qui macrone

    Bref, il « macrone » tout le temps, comme le dit méchamment la presse ukrainienne : il parle bien, parfois en anglais, mais plus personne n’écoute la voix, désormais inaudible, de la France.
    Quelle image terrible donne ce président français, assis autour du bureau du président Trump le 18 août dernier, écoutant sagement, avec quelques collègues « européens », le vrai patron faire la leçon !
    Le pire tient à ce que ces échecs à répétition s’accompagnent d’une arrogance et d’un mépris sans limite pour ceux qui auraient l’audace de critiquer notre nouveau Mozart.
    « Les Français ne méritent pas mon mari » aurait dit Brigitte Macron, si l’on en croit la presse, lors d’un déplacement au Maroc. On a compris le message : si Macron est devenu « mauvais en tout » comme dit un personnage de Pagnol, c’est la faute à ces cochons de Français, pas la sienne.

    Un président qui matraque

    « Il faut se méfier de la première impression, c’est souvent la bonne », dit-on parfois avec ironie. La présidence Macron, née dans le complot et la violence, risque de confirmer l’adage.
    En 2017, Emmanuel Macron a été élu à la suite d’un complot médiatique et judiciaire ayant assuré sa promotion et éliminé son principal rival, François Fillon.
    La présidence Macron a ensuite significativement commencé avec la très violente répression du mouvement des Gilets jaunes, comme pour mieux souligner qu’elle inaugurait une coupure radicale entre le pays réel et le pays légal. Puis elle a continué avec la dictature sanitaire lors de la crise du Covid.
    Elle se poursuit aujourd’hui avec une censure et une répression croissante des opinions dissidentes, appuyée sur une Union européenne devenue eurofascisme, comme disent les Républicains américains.
    Et comme tout oligarque progressiste, notre génie de la finance et de la diplomatie ne tolère que les louanges et les journalistes complices, qui lui permettent de vivre dans sa bulle, à l’abri de la réalité qui dérange. Et d’accuser ses opposants de n’être que des fadas, des fachos, des complotistes ou des agents de Poutine. Des salauds sartriens qu’il faut donc faire taire.
    Emmanuel Macron ne gouverne pas, ou il gouverne mal, mais il s’accroche au pouvoir de plus en plus brutalement et de moins en moins démocratiquement.
    La censure du gouvernement Bayrou ne risque pas de calmer ses ardeurs dictatoriales.
    À moins que.

    Michel Geoffroy (Polémia, 26 août 2025)

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  • Feu sur la désinformation... (520)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin.

     

                                          

    Au sommaire cette semaine :

    Le dossier du jour :  Emmanuel Macron s'est invité au 20h de France 2 pendant que François Bayrou était sur TF1. Le premier aura réuni pour le sommet des océans, seulement 1,57 million de téléspectateurs. Un véritable échec historique des audiences, contre 4,8 millions de téléspectateurs avec le premier ministre. Une tentative de communication vite rattrapée par le réel et des faits divers explosifs accumulés depuis trop longtemps. Interrogé au sujet de ces terribles actualités, le président a estimé que les médias faisaient du "brainwashing" en empilant tous ces cas de violence répétés pour éviter de parler du fonds et des "vrais problèmes"

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    Pastilles de l’info:

    • La surveillante tuée à Nogent : que faire de ces élèves déjà connu pour des violences ?
    • Benoît, 17 ans, poignardé après la victoire du PSG : le discours du père censuré ?
    • Le meurtre d’Elias : sa mère alerte sur l’ensauvagement et veut réveiller les consciences
    • L'anarcho-tyrannie en action après le pèlerinage de Chartres
    • Des manifestations anti-immigration deviennent des manifestations "racistes" en Irlande : un traitement biaisé
    • Moulin, Châteaubriant : la gauche veut interdire les fêtes populaires!
    • Une journaliste de France Info prise à partie par un pro-Gaza : "France Info, facho !"

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Léa Salamé, symbole du journalisme déconnecté ?...

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  • Feu sur la désinformation... (518) : Macron et son épouse ou quand le privé devient politique...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin.

     

                                             

    Au sommaire cette semaine :

    L'image de la semaine :  La séquence devenue virale montre Emmanuel Macron repoussé violemment au visage par Brigitte Macron à leur descente d’avion au Vietnam en pleine visite officielle. Si l’Élysée dément toute violence, évoquant une simple "chamaillerie", le "bad buzz" persiste, même après la reprise par la presse de la dialectique présidentielle…

    Dossier du jour :  Les médias instrumentalisent-ils la santé des dirigeants pour influencer l’opinion ? Alors que le cancer de la prostate de Joe Biden vient enfin d’être révélé au monde, les doutes persistent sur sa sénilité qui, a de nombreuses fois, pu interroger pendant son mandat. Et si la révélation de cette maladie n’était que l’arbre qui cache la forêt ? Que dire alors des accusations de maladie (cancer, parkinson) répétées vis-à-vis du président Poutine ? La santé est décidément une arme de diabolisation comme une autre au sein des hautes sphères du pouvoir !

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    Pastilles de l’info:

    • Mustapha El Atrassi : un humoriste invite les Marocains et les Algériens à insulter les "gwers"
    • Mathieu Kassovitz persiste et signe : “il n’y a plus de Français de souche, ce sont des fins de race !”
    • Anne-Sophie Lapix n'a plus la côte : elle ne présentera plus le JT de France 2 !

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Jean-Michel Décugis, le journaliste judiciaire qui aimait les Fake-News...

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  • L’Europe de la parole...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Jean-Philippe Duranthon, cueilli sur Geopragma et consacré à la décrédibilisation de la parole des dirigeants européens. Jean-Philippe Duranthon est haut-fonctionnaire et membre fondateur de Geopragma.

     

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    L’Europe de la parole 

    Commençons, bien sûr, par l’Ukraine. On parle enfin de négociations, de cessez-le-feu, voire d’accord de paix. Ce n’est pas trop tôt, le peuple ukrainien a subi trop de malheurs et de pertes humaines. Mais pouvait-on sincèrement s’imaginer que la meilleure façon d’amener Poutine à une table de négociation était de lui lancer un ultimatum, de surcroît au moment où son armée connaît des succès sur le terrain ? Pouvait-on penser que Poutine tremblerait si on le menaçait de « sanctions dévastatrices » qui viseraient à « prendre la Russie à la gorge » et « pourraient asphyxier une bonne fois pour toute l’économie russe »[1] alors qu’il a su s’accommoder de seize « paquets » de sanctions ? Ne s’agit-il pas là, plutôt, de paroles destinées aux électeurs plutôt qu’aux dirigeants étrangers ? Ne cherche-t-on pas, en montrant que l’Europe sait encore avoir le verbe haut, à cacher qu’elle n’a plus guère la capacité d’influer sur les évènements ? Ne faut-il pas voir à travers ce prisme de politique intérieure les images pathétiques des trois joyeux copains[2] se retrouvant dans le train pour Kiev ? Des paroles, des images, peu d’action.

    Évoquons ensuite la « guerre commerciale » avec les États-Unis. Il y a longtemps que ces derniers cherchent à attirer sur leur sol les investissements industriels : l’Inflation Réduction Act (IRA) de J. Biden, qui avait déjà ce but, a été promulgué an août 2022. Il ne fallait pas être grand politologue pour savoir que D. Trump continuerait et accentuerait cette politique et utiliserait l’instrument douanier : il l’avait annoncé lors de la campagne électorale et il arrive parfois que des responsables politiques tiennent certaines de leurs promesses. Concentrant tous ses efforts à la lutte contre le changement climatique (bien qu’elle ne soit responsable que d’une faible part des émissions mondiales de CO2), l’Europe n’a pas vu, ou voulu voir, cette volonté et n’a pas préparé sa réponse. Dès lors elle est totalement désarmée face à l’offensive de D. Trump, d’autant que celui-ci aime cacher ses objectifs réels derrière des provocations déstabilisatrices. Les dirigeants européens n’ont toujours pas choisi leur stratégie, balançant entre la recherche d’un accommodement, comme les Britanniques l’ont fait (mais la Grande-Bretagne est en Europe le chouchou des États-Unis), et la bonne vieille pratique de l’« œil pour œil, dent pour dent », comme les Chinois l’ont fait (mais l’Europe n’est pas la Chine et sa bureaucratie est incapable de réagir aussi rapidement que cette dernière). Ils ne peuvent que dissimuler leur indécision derrière des discours forts mêlant critiques et mépris, Trump rejoignant Poutine parmi les diables des temps modernes. Toujours des paroles et guère d’action.

    Les déclarations relatives aux armes nucléaires sont une autre source d’étonnement. E. Macron avait déclaré avoir « décidé d’ouvrir le débat stratégique sur la protection par notre dissuasion de nos alliés du continent européen », il évoque désormais la possibilité que des avions français armés de bombes nucléaires soient déployés sur des bases d’autres pays européens. On doit s’étonner car, compte tenu de la complexité du sujet[3] et des risques que ce projet ferait peser sur les Français, ce n’est pas ainsi qu’on procéderait si l’on voulait agir sérieusement. On n’offrirait pas de partager un tel atout sans demander des contreparties. On ne mettrait pas de tels projets sur la place publique avant d’y avoir travaillé sérieusement. On chercherait à savoir ce que les Français en pensent (il est d’ailleurs révélateur que personne n’ait pensé à ce thème pour participer au concours Lépine de la meilleure question à poser lors des référendums qui sont (peut-être) envisagés). Sans doute ne s’agit-il là encore que de paroles en l’air, de gesticulations visant à occuper le terrain – lors des rencontres diplomatiques et dans la presse nationale. Espérons-le du moins.

    Pour terminer, interrogeons-nous sur la politique menée par l’Europe dans son domaine de prédilection : la lutte contre le changement climatique. Prenons deux exemples. La politique énergétique tout d’abord. Le discours officiel est qu’il faut satisfaire deux objectifs : diminuer la part des énergies carbonées et veiller à l’indépendance énergétique du continent. Or, que constatons-nous ? Le nucléaire civil n’est toujours pas reconnu formellement et concrètement comme une énergie d’avenir dont il faut favoriser le développement et l’Europe qui, en 1985, importait 38 % de l’énergie qu’elle consommait, en a importé 54 % en 2024[4]. Raté. Deuxième exemple : les terres rares, qu’on sait indispensables à la transition énergétique (batteries pour les automobiles, aimants des éoliennes, etc.) comme aux armes les plus modernes. Or l’Union européenne n’a réussi qu’à publier laborieusement un « Act » sans contenu concret[5], ne fait rien pour atténuer sa dépendance vis-à-vis de la Chine et a laissé les États-Unis mettre la main sur les terres rares ukrainiennes. Encore raté. Des paroles donc, quelques actions, mais faiblardes ou contreproductives.

    L’Europe, oui, bien sûr. Mais pas une Europe qui se décrédibilise chaque jour. Une Europe qui agit, et dont les paroles sont en accord avec les actes au lieu de s’y substituer. 

    Jean-Philippe Duranthon (Geopragma, 19 mai 2025)

     

    Notes :

    [1] Déclarations du ministre français de l’Europe et des Affaires Étrangères, Jean-Noël Barrot, sur BFMTV le 14 mai 2025. 

    [2] Le président de la République française, le chancelier allemand et le premier ministre britannique.

    [3] Voir mon billet du 30 mars 2025 « Hâtez-vous, généreux guerriers » et, surtout, celui de Pierre de Lauzun du 7 avril 2025 « Nucléaire français et défense européenne ».

    [4] Voir le dernier rapport de l’association européenne des gestionnaires de réseaux électriques, l’ENTSOE, cité par Cécile Maisonneuve, Les Echos, 5 mai 2025.

    [5] Le 16 mars 2023 la présidente de la Commission a rendu public un « Critical raw material act » qui « identifie une liste de matières premières stratégiques, essentielles » pour lesquelles elle s’engage à « réduir(e) la charge administrative et simplifi(er) les procédures d’autorisation ». Le document reconnaît que l’UE « ne sera jamais autosuffisante » si bien que « l’UE devra renforcer son engagement mondial auprès de partenaires fiables afin de développer et de diversifier les investissements, de promouvoir la stabilité du commerce international et de renforcer la sécurité juridique pour les investisseurs ». Reste à transformer ces belles idées en mesures concrètes.

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  • Feu sur la désinformation... (517) : Les Frères musulmans, l’infiltration silencieuse depuis plus de 40 ans !...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin.

     

                                                

                                           

    Au sommaire cette semaine :

    L'image de la semaine :  Roumanie, le scandale des élections sous ingérences. Pavel Durov, le directeur de Telegram, accuse la France et l’UE de soutenir un candidat pro-européen contre la volonté populaire.

    Dossier du jour :  Les Frères musulmans, l’infiltration silencieuse depuis plus de 40 ans ! Un rapport alarmant de 77 pages déclassifiées vient de sortir dans la presse pour expliquer comment l’islam politique s’implante en France. Un problème qui ne date absolument pas d’hier et qui arrive dans les mains de la presse juste après l'élection de Bruno Retailleau à la tête des Républicains.

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    Pastilles de l’info:

    • Eurovision 2025 : la polémique des votes "influencés par la géopolitique"
    • Mathieu Kassovitz à Cannes : "Il n’y a plus de Français de souche"
    • Pierre-Edouard Stérin vs la commission d’enquête : le milliardaire en guerre contre les clowns
    • Bernard Arnault tacle Le Monde : "Un journal pro-LFI"
    • RATP : la chasse aux "usagers qui payent" et la dérive sécuritaire
    • Apolline de Malherbe “mal à l’aise” face à une victime de l’insécurité

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Dominique Reynié, directeur général de Fondapol

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  • Feu sur la désinformation... (513) : Macron, Trump et Zelensky au Vatican, la chaise de la discorde !

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin.

     

                                            

    Au sommaire cette semaine :

    L'image de la semaine : la rencontre entre Trump et Zelensky, dont Macron semble bel et bien avoir été exclu. Une certaine idée des rapports de force internationaux…

    Dossier du jour : Quand les médias occultent les origines… jusqu’à ce que la vérité éclate ! ...

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    Pastilles de l’info:

    • Pub-Média : quand les produits se vendent comme une information
    • IA et journalisme !

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Thomas Guénolé, l’"expert" militant...

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