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droite - Page 10

  • Tour d'horizon... (172)

    eric zemmour,droite,georges dumézil,indo-européens

    Au sommaire :

    - sur Youtube, l'allocution d'Eric Zemmour à la Convention de la Droite, qui s'est tenue samedi 28 septembre 2019 et qui a déclenché une violente polémique dans les médias...

    Discours d'Eric Zemmour à la Convention de la Droite

    Zemmour_Convention droite.jpg

    - sur le site de la Société Française d’Études Indo-Européennes, un entretien avec Georges Dumézil consacré aux Indo-Européens...

    Georges Dumézil sur les Indo-Européens

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  • Alain de Benoist : « L’union des droites ? Aussi chimérique que celle des gauches ! »

    Nous reproduisons ci-dessous entretien avec Alain de Benoist, cueilli sur Boulevard Voltaire, dans lequel il évoque la question de l'union des droites. Philosophe et essayiste, directeur des revues Nouvelle École et Krisis, Alain de Benoist a récemment publié Le moment populiste (Pierre-Guillaume de Roux, 2017), Ce que penser veut dire (Rocher, 2017) et Contre le libéralisme (Rocher, 2019).

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    Alain de Benoist : « L’union des droites ? Aussi chimérique que celle des gauches ! »

    C’est un vieux serpent de mer qui resurgit périodiquement depuis plus d’un siècle : l’union des droites revient dans le débat. Vous n’y croyez pas ?

    Ce sont des calembredaines, des mantras qu’on récite pour se rassurer, sans considération des circonstances. Comme vous le dites, l’idée n’est pas nouvelle, mais cela n’a jamais marché, pour la simple raison que, faute de clarification sur les principes, les inspirations idéologiques des différentes droites se sont toujours révélées incompatibles. En France, il n’y a jamais eu d’union des droites. Jamais. Quant à l’union des gauches, autre mythe inusable, elle ne s’est concrétisée qu’à trois reprises, pour quelques années à peine et sans aucun lendemain : sous le Front populaire, lors du Conseil national de la Résistance et, enfin, avec le « programme commun » de Mitterrand, qui a d’ailleurs marqué le début de la débâcle du Parti communiste.

    Il y a quinze ou vingt ans, lorsque l’UMP faisait à peu près jeu égal avec le Front national, on pouvait encore espérer faire sauter le « cordon sanitaire ». C’était, en réalité, tout à fait impossible, mais au moins pouvait-on en formuler l’hypothèse. De braves gens naïfs, des notaires de province et quelques potaches cathos-bobos pensent apparemment qu’on en est toujours là. Ce n’est plus le cas. Avec Macron, la droite libérale est au pouvoir. Il y a, d’autre part, le Rassemblement national, qui n’est pas libéral, mais qui plafonne pour l’instant autour de 25 % (même si l’existence d’un « plafond de verre » reste indémontrée). Je suppose qu’on ne veut pas faire l’union de La République en marche et du RN. Mais alors, de quelles droites veut-on faire l’« union » ? Les Républicains sont, comme le PS, à l’agonie. Nicolas Dupont-Aignan ne représente plus rien. Ne parlons même pas d’Asselineau ou de Philippot. On peut bien répéter que l’union fait la force, le slogan perd toute signification quand il n’y a rien à réunir. Même additionné à l’infini, zéro plus zéro égale toujours zéro.

    Quelle union, d’ailleurs ? Au niveau des appareils, il ne faut même pas y penser. Ce n’est d’ailleurs pas gênant car, compte tenu d’un phénomène de volatilité électorale devenu majoritaire, les partis ont cessé d’être les moteurs de la vie politique. À la base ? Ce serait, en effet, une meilleure solution, mais à condition de ne pas se limiter à la « droite ». Les familles politiques traditionnelles ont disparu et le clivage gauche-droite n’est plus désormais, au mieux, qu’un clivage parmi d’autres. Deux clivages nouveaux s’imposent : entre les universalistes et les enracinés d’une part, entre les conservateurs et les libéraux de l’autre. L’effondrement des Républicains s’inscrit dans ce processus de clarification : les deux tiers de l’électorat filloniste sont partis chez Macron, un tiers a rejoint le Rassemblement national et il ne reste plus à LR qu’une poignée de canards sans tête qui s’agitent dans les décombres du poulailler. La bonne bourgeoisie catholique, plutôt que de voter Bellamy, a rejoint le parti de l’ordre parce qu’elle a bien compris que c’était son intérêt et que l’intérêt, pour elle, passera toujours avant les convictions. La future majorité anti-Macron n’est pas à rechercher « à droite » mais dans l’ensemble du peuple français aujourd’hui confronté au double problème de l’immigration et de la politique d’austérité, c’est-à-dire, dans les deux cas, au système capitaliste. Reste le problème des hommes (ou des femmes) qui puissent incarner cette dynamique sociale-identitaire. Il n’est pas résolu.

    Vous êtes donc hostile à des initiatives telles que la Convention de la droite, animée notamment par Marion Le Pen et Éric Zemmour ?

    Pas du tout. Je suis convaincu que ceux qui ont assisté à cette Convention et en ont fait un succès ont entendu des choses très intéressantes. Le dialogue et les confrontations d’idées sont toujours utiles, mais sur le plan de la politique électorale, il n’en sortira rien. J’entends bien que certains de ceux qui se définissent comme « de droite » ne se reconnaissent ni dans le parti de Macron ni dans celui de Marine Le Pen. Pourquoi pas ? Mais ce ne sont que des individualités, auxquelles ne correspond aucun électorat ni aucun espace politique. Le paradoxe serait alors qu’ils veuillent créer un nouveau parti, qui ne ferait que diviser l’opposition.

     

    Restons dans les sujets qui fâchent. Sur la PMA, la GPA, etc., on ne vous a pas beaucoup entendu…

    Parce que ce sont des combats perdus d’avance. La loi sur la PMA vient d’être votée, et la majorité des Français y sont favorables, d’autant que, comme dans le cas du mariage gay, ils réalisent très bien que le problème ne concerne qu’une minorité de minorité. Jean-Marie Le Pen dit qu’il préfère des « enfants sans pères » à pas d’enfants du tout, ce qui n’est pas totalement absurde. Parler d’« enfants sans pères » n’a, d’ailleurs, pas beaucoup de sens, car cette catégorie n’existe pas. On parle, en fait, d’enfants qui n’auront pas la possibilité de connaître l’identité de celui qui leur a légué la moitié de leur patrimoine génétique. C’est déjà le cas des enfants de couples hétérosexuels nés de la PMA et de bien des enfants adoptés. Quant à la GPA, elle s’est occasionnellement pratiquée de tout temps dans la bienheureuse opacité des mœurs villageoises. Les catholiques, après tout, adorent un homme sans père biologique identifié, dont la mère a servi de « mère porteuse » à l’Esprit saint (exemple radical de dissociation de la sexualité et de la procréation).

    Je n’en suis pas moins sensible aux enjeux : la filiation, la marchandisation. Mais ce n’est pas en gazouillant sur « les papas » et « les mamans » qu’on prendra la pleine mesure du problème. Si l’on est en présence d’une rupture anthropologique majeure, alors il faut s’interroger sur l’essence de la technique : dire que « tout ce qui est techniquement possible n’est pas humainement nécessaire » est totalement inutile aussi longtemps qu’on n’a pas compris que la loi de la technique est que tout ce qui est techniquement possible sera effectivement réalisé. Aujourd’hui, ce n’est plus l’homme qui maîtrise la technique, c’est la technique qui décide pour lui. Quant aux modifications de la filiation, il faut s’intéresser aux causes, et pas seulement aux conséquences. Pourquoi veut-on, aujourd’hui, « sortir de l’hétérosexualité », discréditer la biologie et la notion même d’hérédité, revenir à un système matrilinéaire abandonné depuis la Préhistoire, entretenir l’idée d’un homme se créant lui-même sans plus rien devoir à la nature ? Telles sont les questions qu’il faut se poser.

    Alain de Benoist, propos recueillis par Nicolas Gauthier (Boulevard Voltaire, 1er octobre 2019)

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  • Feu sur la désinformation... (248)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous, dans son nouveau format, un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours de Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : Eric Zemmour : le retour qui affole les médias !
      C’est la nouvelle qui provoque des crises d’urticaire à tous les journalistes de gauche – et ils sont quelques uns ! L’écrivain et éditorialiste de droite va vraisemblablement avoir une émission quotidienne sur CNews.
    • 2 : Revue de presse
      La semaine médiatique aura une fois de plus tenu toutes ses promesses ! Parmi les sujets abordés dans cette revue de presse : le parti pris pro-PMA et la soumission médiatique à l’islamisme...
    • 3 : Greta Thunberg : le crépuscule d’une idole ?
      Après un discours très violent à la tribune de l’ONU, les éditorialistes et journalistes français semblent vouloir prendre un peu de recul par rapport à la folie Greta. L’ado n’est plus en odeur de sainteté médiatique !
    • 4 : Une convention médiatiquement incorrecte
      La Convention de la Droite aura lieu ce samedi à Paris. Co-organisé par le média L’Incorrect, l’événement a suscité une belle polémique médiatique cette semaine. Jean-Yves Le Gallou nous expliquera pourquoi.

     

                                      

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  • La droite a-t-elle perdu la bataille culturelle ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une analyse de Vincent et Nicolas sur Sunrise consacrée à l'imposition du modèle cosmopolite grâce à la pop culture...

     

                                          

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  • Aucune convergence possible entre libéralisme et populisme !...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donné par Patrick Buisson au quotidien libéral L'Opinion et consacré à la question de l'avenir de la droite dans le contexte politique actuel. Politologue et historien, Patrick Buisson est l'auteur d'une étude historique, 1940-1945, années érotiques (Albin Michel, 2008), et d'un essai politique important, La cause du peuple (Perrin, 2016).

     

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    Patrick Buisson: «Il n’y a aucune convergence possible entre libéralisme et populisme»

    La stratégie d’union des droites peut-elle devenir réalité en 2022 ?

    Vouloir bâtir un projet d’alternance pour 2022 avec les outils conceptuels de la fin du siècle dernier témoigne à tout le moins d’une certaine paresse intellectuelle. Cela revient à occulter l’apparition des nouveaux clivages qui sont venus distordre l’axe de polarité droite-gauche, autour duquel tout semblait figé. A bien des égards, le clivage qui oppose libéraux et anti-libéraux, et qui passe désormais à l’intérieur de chaque camp, est aujourd’hui le plus pertinent. A gauche, il a pris forme avec le tournant de la rigueur impulsé par le tandem Mitterrand-Delors en 1983 et, par la suite, à travers la montée des thématiques sociétales de l’individualisme libertaire. De l’autre côté, le fait majeur tient à la renaissance d’une droite anti-libérale, hybride du légitimisme et du catholicisme social, que La Manif pour tous – ce que j’ai appelé le populisme chrétien – a su tirer d’un long coma historique. La crise des Gilets jaunes n’a fait que souligner l’acuité du clivage entre cette droite-là et la droite libérale. L’une privilégie les solidarités collectives, l’esprit communautaire, le localisme et l’enracinement. L’autre met l’accent sur les sociabilités contractuelles, l’émancipation des individus, la mobilité et les bienfaits de la globalisation.

    L’union entre Les Républicains et le Rassemblement national est donc un horizon obsolète ?

    L’union impliquerait à terme la formation d’un mélange homogène.Or la propriété des droites aujourd’hui, c’est précisément de ne pas être miscibles. Il y a des convergences possibles entre populisme et conservatisme, il n’y en a aucune entre libéralisme et populisme. En outre, la base électorale de ces droites est devenue chroniquement minoritaire, et par là même très insuffisante pour servir d’axe stratégique à une reconquête du pouvoir. En y faisant arbitrairement entrer la totalité de l’électorat RN, les droites n’ont recueilli, lors des dernières élections européennes, que 36% des suffrages. Au premier tour de la présidentielle de 1995, les droites de Balladur à Le Pen rassemblaient près de 60% des votants…

    Ce clivage entre libéraux et anti-libéraux recoupe-t-il l’opposition peuple-élite ?

    Si être libéral, c’est croire que la logique du contrat et celle du marché suffisent à faire vivre ensemble une société disparate, alors oui, il y a bien là une fracture profonde entre le bloc élitaire et le bloc populaire. En moins d’un demi-siècle, l’action conjuguée de l’Etat-providence et du marché a fait tomber les uns après les autres tous les murs porteurs de notre affectio societatis. Depuis le début des années 1960, les politiques publiques ont toutes, peu ou prou, œuvré à la promotion de l’individualisme aux dépens de ce qui contribuait à la formation du lien social. Elles n’ont plus fabriqué du vivre ensemble, mais du vivre côte-à-côte. Le mouvement des Gilets jaunes aura été une révolte contre cette vaste entreprise d’arasement des communautés naturelles et des anciens réseaux de sociabilités.En proclamant la supériorité normative du commun sur les intérêts privés, en cherchant à redéployer les solidarités perdues, il s’est inscrit dans la filiation des « Communes », ces grandes émotions populaires qui ont jalonné notre histoire.

    «Bellamy 2019 aura été le négatif absolu de Sarkozy 2007. Sa candidature a rendu visible le gentrification de la droite, et du même coup, la coupure irréversible entre cette droite-là et le peuple»

    Comment expliquez-vous l’effondrement de LR aux européennes ?

    Le choix de Bellamy ciblait l’électorat très participationniste des seniors et des inclus qui forment le grand parti de l’ordre. C’était oublier qu’en période de troubles, ce parti de la peur se regroupe instinctivement derrière le pouvoir en place, pourvu que celui-ci sache exercer sans trop mollir le monopole de la violence légitime. Pour le reste, Bellamy 2019 aura été le négatif absolu de Sarkozy 2007. Sa candidature a brusquement rendu visible l’achèvement du processus de gentrification de la droite, et du même coup, la coupure irréversible entre cette droite-là et le peuple. Plutôt qu’au «métro à six heures du soir» dont parlait Malraux, elle s’est identifiée aux héritiers des Versaillais.Galliffet plutôt que Gavroche.

    Est-ce la fin de cette droite que vous décrivez comme écartelée « entre un moi libéral et un surmoi conservateur » ?

    La contradiction permanente dans laquelle elle se débat, son incohérence idéologique ont été lourdement sanctionnées par les électeurs. On ne peut à la fois prôner le libre marché et combattre la PMA et la GPA. Sauf à se retrouver dans la situation ubuesque que décrivait Philippe Muray : le parti des conséquences portant plainte contre le parti des causes.

    Y-a-t-il une voie pour la droite entre progressisme et populisme ?

    Je ne suis pas d’accord avec Alain Finkielkraut qui enjoint à la droite de répudier conjointement l’économisme et le populisme. Le populisme exprime l’instinct de survie des peuples victimes d’une dérégulation et d’une relégation sans précédent. Il faut le civiliser, et non l’anathématiser. Et s’en tenir au précepte énoncé jadis par Aragon : « Quand les blés sont sous la grêle, fou qui fait le délicat ».

    Qui sera le candidat de la droite en 2022 ?

    Macron, sans aucun doute. Après avoir digéré la gauche post-sociale en 2017, il a naturellement vocation à absorber la droite post-nationale, celle qui rejette par principe tout accord avec le RN. On ne voit pas qui, sur le marché politique, pourrait porter une offre libérale plus cohérente et attractive.

    Macron peut-il être cette fois battu ?

    Ce n’est pas impossible, dans un contexte marqué par le retour de la question sociale et l’élargissement de la fracture ethno-culturelle. L’élection présidentielle reste le seul scrutin où les classes populaires et la classe moyenne inférieure fournissent une majorité de votants. Seule une candidature opérant la jonction entre ces deux catégories serait susceptible de l’emporter face à Macron.

    Comment expliquez-vous l’intérêt autour d’un possible retour de Marion Maréchal ?

    L’intérêt des médias n’est pas toujours le critère le plus pertinent.Le storytelling produit davantage d’images que de suffrages. Les cas de Simone Veil et de Michel Rocard, stars médiatiques répudiés par les électeurs, l’ont démontré. Le moment choisi par Marion Maréchal pour revenir dans le débat laisse perplexe. D’abord en raison de l’échec de Bellamy, qui a fait apparaître l’insigne faiblesse électorale de la ligne libérale et conservatrice dont elle se réclame également. Ensuite parce que Marine Le Pen a fait montre d’une résilience dont bien peu la croyaient capable après le débat raté de 2017, réduisant les marges de manœuvre de sa nièce. Enfin, parce que son offre d’union à LR – une OPA sur une coquille vide et une main tendue à des gens qui n’en veulent pas – va vite trouver ses limites.

    Patrick Buisson (L'Opinion, 31 juillet 2019)

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  • Le non du peuple

    Les éditions du Cerf viennent de publier un essai de Gabriel Robin et de Benjamin Demeslay intitulé Le non du peuple. Journalistes les deux auteurs publient notamment des articles dans L'Incorrect.

     

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    " Pourquoi la France et l'Europe sont-elles en crise ? Quels antagonismes paraissent aujourd'hui insurmontables ? Comment expliquer la partition sociale et culturelle de notre continent ?
    Pour répondre à ces questions, Gabriel Robin et Benjamin Demeslay racontent et analysent l'histoire de la formation des nations en Occident en identifiant les étapes au cours desquelles les fragmentations au sein des peuples se sont produites : du traité de Westphalie en 1648 à l'avènement de l'Union européenne, en passant par l'éclosion des Lumières au XVIIIe siècle ou encore l'effondrement des empires après la Première Guerre mondiale. Étude historique mais aussi politique, ce livre traite des bouleversements contemporains, comme la fin du clivage gauche-droite, la montée des populismes, la lente disparition de la classe moyenne sous les effets conjoints de la mondialisation et de la globalisation.
    Géopolitique, philosophie, littérature, histoire et même pop culture, voici un ouvrage pour saisir les enjeux du présent à la lumière des événements du passé. "

     

     
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