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censure - Page 8

  • Feu sur la désinformation... (197)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro spécial de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée cette semaine par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé Grandchamp. Elle comporte une sélection des meilleurs moments de l'année sur quelques uns des thèmes essentiels traités cette année.

    Au sommaire :

    • 1 : Les nouveaux médias
      Ils sont omniprésents sur internet, reliés à des médias traditionnels. Ces nouveaux médias ont développé des nouveaux moyens de propagande modernes. Parfaitement adaptés aux différents réseaux sociaux, ils prêchent une vérité, bien politiquement correcte. Parmi ces nouveaux médias, on peut retrouver BRUT un média relié à France Télévision, AJ+ le média internet du groupe Al Jazeera, ou encore Francetv slash, le web média de France télévision.
    • 2 : Un an de censure et de désinformation autour des actions des identitaires
      Pendant un an, les médias ont tout fait pour diaboliser le mouvement identitaire :  fermeture des comptes Facebook et tweeter, fermeture d’une cagnotte leetchi, bobard de l’AFP autour de la manifestation du 25 novembre ou encore désinformation autour de l’opération Defend Europe au col de l’échelle.

    • 3: Doxa et censure médiatique
      Tout le long de cette année, I-Média a dénoncé la doxa médiatique et les appels à la censure. Ces comportements ont été nombreux. Pour exemple, Samuel Laurent a appelé dans l’émission C à vous à la fermeture de comptes twitter pour « trolling ». Toujours dans l’émission C à vous, Anne Elisabeth Lemoine et Patrick Cohen ont tenté d’incriminer et d’isoler le journaliste Eric Zemmour. Dans l’émission Touche Pas Mon Poste, le reporter Bernard de la Villardière s’est retrouvé face au tribunal de la bien pensance. Sur France Inter, la journaliste Caroline Beccard a dressé un portrait dithyrambique de la ministre de la santé Agnès Buzin.

     

                                      

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  • Feu sur la désinformation... (190)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé Grandchamp.

    Au sommaire :

    • 1 : Trump et les enfants clandestins : l’émotion au service de l’immigration
      « Insensible, sans âme, lâche », les médias ne mâchent pas leurs mots sur Donald Trump depuis la découverte de l’enregistrement d’un enfant de clandestin pleurant dans un centre de rétention.
    • 2 : Le Zapping d’I-Média 
      Beaucoup de séquences immigrationnistes et …festival de novlangue : les clandestins africains deviennent dans la bouche des journalistes des « évacués », des « exilés », des « réfugiés », sauvés d’un « bateau en perdition ». Alors que l’Aquarius n’a jamais menacé de faire naufrage. On notera aussi l’aveu de cet Albanais racontant comment il avait menti pour tenter d’obtenir de l’OFPRA le statut de réfugié politique. Le mensonge, l’arme absolue de 95 % des demandeurs d’asile !

    • 3: Censure de TV Libertés : petit meurtre en silence
      Jeudi 14 juin la chaine Youtube de TVlibertes a été fermée de manière unilatérale. La chaine avait 100 000 abonnés. Alors que la fermeture relève de la censure et de l’atteinte à la liberté de la presse, les médias restent silencieux.
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Vous reprendrez bien un petit coup de novlangue ? Pour l’Associated Press une agression au cri de « Allah Akbar » est faite au nom de « God is great ». Quant à l’AFP, elle titre sur « la menace grandissante du terrorisme d’extrême droite en Grande Bretagne ». Brr...
    • 5 : Salvini et Trump victimes de bobards sur l’immigration
      Donald Trump aurait dit une « Fake news » en affirmant que la délinquance avait augmenté en Allemagne, Salvini, le ministre de l’intérieur italien aurait appelé à une épuration de masse. Salvini, Trump, deux victimes de bobards immigrationnistes.

     

                                     

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  • GAFA, ces amis qui vous veulent du mal...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous Le samedi politique de TV Libertés, présenté par Élise Blaise, qui recevait Laurent Gayard, pour évoquer les GAFA (Google, Amazon, Facebook, Apple,...), ces géants du monde numérique, plus puissants que certains états... Enseignant en classes préparatoires, Laurent Gayard est également chroniqueur dans de nombreux magazines, comme Causeur, Conflits ou L’Incorrect. Il est auteur de Géopolotique du Darknet : Nouvelles frontières et nouveaux usages du numérique (ISTE, 2017)...

    On notera que le titre de l'émission était bien trouvé puisque jeudi 14 juin 2018 la plate forme You Tube, qui est une excroissance de Google a brutalement censuré TV Libertés, en supprimant sa chaîne et l'ensemble de ses archives, sans aucune raison juridique valable... Les GAFA peuvent donc, en toute impunité, faire taire ceux qui les dérangent et qui dérangent le système parce qu'ils remettent en cause le politiquement correct...

     

                              

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  • Feu sur la désinformation... (187)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé Grandchamp.

    Au sommaire :

    • 1 : Mamoudou : l’émotion au service de l’immigration
      Coup de com, amalgames et bobards. Pendant une semaine, les médias ont récupéré le sauvetage du jeune garçon tombé d’un balcon samedi 26 dans le 18ème arrondissement de Paris. Mamoudou le nouveau héros français, Mamoudou la nouvelle icône médiatique.
    • 2 : Le Zapping d’I-Média 
      Les Irlandais on dit « oui » à l’avortement à plus de 66 %. Sur RTL, la journaliste Alba Ventura affirme que ce « vote irlandais est important, parce qu’il interroge au fond le fondamentalisme religieux ». Cette expression « fondamentalisme religieux » habituellement réservée aux islamistes, permet de diaboliser les « pro vie ». Mais Alba Ventura oublie qu’en Irlande comme ailleurs, la question de l’avortement ne relève pas d’un quelconque « fondamentalisme » puisque le Vatican, et donc l’ensemble de l’Eglise se déclare opposé à l’IVG.

    • 3: Arrestation du journaliste dissident Tommy Robinson, les médias muselés
      En Angleterre, le journaliste nationaliste Tommy Robinson a été condamné à 13 mois de prison pour avoir couvert le procès des viols de Telford. Une condamnation arbitraire couverte par un silence médiatique.
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Bobard mondial : le 29 mai l’ensemble de la presse annonce la mort du journaliste Arkadi Babtchneko l’assassiné à Kiev. Le journaliste est un critique virulent de Poutine. Le meurtrier était alors tout désigné : la Russie de Poutine. 24 heure plus tard le journaliste réapparait lors d’une conférence de presse. Vasily Gritsak, chef de la sécurité d’Etat ukrainienne, a déclaré que son agence avait mis en scène la mort d’Arkadi Babchenko, « pour arrêter ceux qui tentaient de le tuer ». Mais dans cette histoire La presse mondiale a repris la communication du gouvernement ukrainien sans aucune précaution.
    • 5 : Attaque terroriste à Liège, BFM expert en manipulation vidéo
      Attaque Terroriste à Liège, Isabelle, une Liégeoise filme de son balcon la scène en insultant le terroriste. BFM va reprendre les images en supprimant les injures de la bande sonore.

     

                                              

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  • Portrait d'un censeur ordinaire...

    TV Libertés a réalisé un court portrait de Laurent Solly, patron français de Facebook, responsable de la censure des pages identitaires sur ce réseau social... On retrouve ainsi, sans trop s'étonner, un ancien séide de Sarkozy comme serviteur zélé du politiquement correct...

     

                               

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  • Haro sur la liberté d’expression en France ?...

    Nous reproduisons ci-dessous une analyse de l'Observatoire du journalisme à propos du dispositif de censure qui se renforce en France depuis l'arrivée d'Emmanuel Macron au pouvoir.

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    Haro sur la liberté d’expression en France ?

    Le mercredi 3 janvier 2018, le président Macron annonçait sa volonté de lutter contre les « fake news » par la loi, en particulier en « périodes électorales ». Autrement dit, de contrôler la liberté d’expression dans les moments « démocratiques » stratégiques. Cette annonce suit de peu la mise en œuvre par Twitter de ses nouvelles conditions générales d’utilisation, lesquelles s’apparentent plutôt à de la censure qu’à une réglementation. Une sorte de soft-censure en marche.

    Avant l’annonce du président Macron, les restrictions de la liberté d’expression étaient déjà en cours sur les réseaux sociaux, Facebook et Twitter en particulier. Restrictions de la liberté d’expression en France ? On dira, halte à la paranoïa… et pourtant ?

    Le président Macron veut-il contrôler la liberté d’expression ?

    Dès la campagne présidentielle, le candidat Macron montrait une surprenante conception de la liberté de la presse et des médias, en n’autorisant par exemple que sa propre équipe de journalistes à le suivre et en donnant ensuite aux médias des images sous contrôle. Ce fut le cas lors de la visite à l’usine Whirlpool d’Amiens. En cette période où il convenait d’aider le candidat Macron à gagner, les médias officiels ne se sont offusqués de rien. Un peu plus quand le président a fait appel à Bruno Roger-Petit à l’Élysée. Dans l’ensemble, la convergence idéologique entre politiques et médias sociaux libéraux autorisait ces petits arrangements entre amis. Personne n’avait tiqué quand par exemple le candidat Macron avait accusé en mode rumeur les médias russes de s’immiscer dans la campagne électorale. En mode rumeur ? C’est-à-dire « fake news ». Qu’est-ce qu’une « fake news » ? Une nouvelle fausse diffusée volontairement. Ainsi, lancer une rumeur, jamais vérifiée depuis, sur l’implication de médias russes dans un processus électoral ou bien nier en direct à la télévision, lors du débat présidentiel, que l’on va baisser les APL une fois élu, cela peut être considéré comme la diffusion volontaire d’une fausse nouvelle. Du coup, la question se pose : qui va définir ce qu’est ou non une « fake news » ? Au fond, la « fake news » devient : simplement tout mode de pensée contestant le mode de pensée idéologique dominant, d’où ce sentiment d’une soft-censure en marche. Une forme de contrôle et de censure, non plus des médias officiels (ils sont déjà amplement contrôlés par le fait des subventions et par une communauté évidente d’idéologie) mais des médias alternatifs. C’est cela, l’objectif du président Macron quand il demande « des règles », un contrôle des « contenus » et qu’il affirme que « toutes les paroles ne se valent pas ». Il est du reste fort étonnant qu’une telle formule, en France, n’ait pas hérissé les cheveux des habituels défenseurs des droits de l’Homme. Il est vrai qu’à voir l’accueil réservé à un média différent tel que RT France, l’observateur comprend mieux l’absence de levée de bouclier contre la volonté présidentielle de contraindre l’opinion à une expression plus contrôlée. Comme Alain Juppé durant la primaire de la droite, Emmanuel Macron trouve que certains médias sont trop peu contrôlés, des médias comme RT France mais aussi les réseaux sociaux.

    Des réseaux sociaux de moins en moins sociaux ?

    La liberté d’expression semble menacée sur les réseaux sociaux. À l’instar des médias alternatifs, ils seraient le lieu de propagation de « fake news ». Ces « fake news » ne sont jamais, dans l’esprit des élites politico-médiatiques, le fait de médias officiels. Aucun média officiel, à les en croire, ne diffuserait jamais volontairement de fausse nouvelle. Qui peut aujourd’hui penser une chose pareille ? La preuve que les médias officiels diffusent de fausses nouvelles, volontairement, et sont très souvent amenés à défendre l’idéologie des élites au pouvoir, réside dans l’existence même des médias alternatifs : ils n’auraient aucune raison d’exister et d’être « alternatifs », si l’expression était libre et équitable au pays des prétendus droits de l’Homme. Alors, des réseaux sociaux mis sous contrôle ? Plus sûrement, des réseaux sociaux qui appartiennent au même courant idéologique, social libéral ou libéral libertaire, que les élites politico-médiatiques au pouvoir et qui, de ce fait, combattent insidieusement contre les modes de pensée autres. Il en va ainsi de Facebook, qui aurait fermé des comptes jugés défavorables au candidat Macron, durant les dernières présidentielles, souvent des profils d’individus reliés d’une manière ou d’une autre à des groupes anti-Macron. Les témoignages sont nombreux, le bulletin non conformiste Monarque 3.0 a ainsi vu sa page être fermée sans préavis, ainsi que les profils de ses animateurs, entre les deux tours. Cas isolé ? Impossible à vérifier, en termes de quantité. Cependant, certains médias alternatifs évoquent le nombre de 70 000 comptes Facebook fermés pour ne pas entraver l’En Marche du futur président. Et l’information selon laquelle la « modération » de Facebook confinerait de plus en plus à une forme de censure ne provient plus seulement des médias alternatifs. Libération s’en est par exemple fait l’écho en novembre 2017.

    Avec Twitter, il va falloir twitter droit

    Depuis mi-décembre 2018, Twitter est à l’avant-garde de la limitation de la liberté d’expression, appliquant de « nouvelles conditions d’utilisation », autrement dit de nouvelles règles du jeu. C’est ainsi que des dizaines de comptes ont été arbitrairement fermés à l’approche des fêtes de la fin de l’année 2017. À y regarder de plus près, ces comptes ont pour la majeure partie d’entre eux la particularité d’être classés à la droite de la droite, comptes de personnalités ou d’individus patriotes, souverainistes ou de la droite dite « hors les murs ». Autrement dit, c’est l’adversaire droitier de l’idéologie dominante qui est pourchassé. Après la suppression de celui de Génération Identitaire, l’exemple de « Pont d’Arcole » a fait un peu de bruit sur le net, d’autant que son animateur est vite réapparu, ayant prévu un « compte de secours ». La majeure partie des comptes visés par Twitter sont des comptes ayant un nombre d’abonnés à 5 chiffres. La presse s’en est très peu fait l’écho, sauf L’Obs, lequel défend le bien fondé de ces fermetures de comptes dits « d’extrême droite », de son point de vue. L’Obs a cependant bien du mal à justifier la fermeture de « Pont d’Arcole » : pour l’auteur de l’article, c’est un tweet de « Pont d’Arcole » proposant de dissoudre ou non les Femen qui aurait conduit à la suppression de son compte. On ne voit pas bien en quoi cette proposition de sondage aurait porté atteinte à la dignité humaine. Il est surprenant qu’aucun média officiel ne le relève : les comptes Twitter, mais aussi Facebook, fermés le sont sans avertissement, et surtout sans qu’à aucun moment leurs détenteurs aient été, d’une façon ou d’une autre, condamnés par la justice. C’est donc bien de délit d’opinion dont il s’agit : ces comptes sont fermés au mépris de l’État de droit, uniquement car leurs détenteurs défendent des opinions politiques ou sociétales qui ne correspondent pas à la doxa dominante, celle exprimée par le président de la République lors de ses vœux à la presse.

    Comment ne pas voir dans ce faisceau d’actions une sorte de volonté commune de limiter la liberté d’expression de qui ne pense pas « comme il faut » ? La situation est d’autant plus choquante qu’Emmanuel Macron, comme le patron de Twitter France, se targuent de défendre la liberté d’expression et de presse. N’est-ce pas ce patron de Twitter, celui qui ferme les comptes supposément droitiers, dont le propre compte porte en exergue la fameuse proposition de Voltaire…

    Sachant que les fermetures procèdent des délations d’autres détenteurs de compte, de gauche et organisés pour faire fermer les comptes, que dire d’un système de contrôle et de règles qui sont fondés, finalement, sur une délation à laquelle celle des heures pétainistes de la France n’a rien à envier ? Quand les militants de la tolérance pratiquent l’intolérance et la délation… avec le soutien indirect des élus de la Nation, ou celui direct des patrons des réseaux sociaux. Damien Viel a ainsi épinglé ce tweet, sous un large bandeau affirmant que « tweeter n’est pas un crime » : « Depuis le 18/12, pour continuer à mieux garantir un usage sûr et à chacun d’exercer son droit à s’exprimer librement, Twitter a mis en œuvre de nouvelles règles contre les conduites haineuses et les comportements abusifs. Chacun peut contribuer à leur mise en œuvre par des signalements ». Bienvenue en 1984, non ?

    Observatoire du Journalisme (8 janvier 2018)

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