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censure - Page 9

  • Portrait d'un censeur ordinaire...

    TV Libertés a réalisé un court portrait de Laurent Solly, patron français de Facebook, responsable de la censure des pages identitaires sur ce réseau social... On retrouve ainsi, sans trop s'étonner, un ancien séide de Sarkozy comme serviteur zélé du politiquement correct...

     

                               

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  • Haro sur la liberté d’expression en France ?...

    Nous reproduisons ci-dessous une analyse de l'Observatoire du journalisme à propos du dispositif de censure qui se renforce en France depuis l'arrivée d'Emmanuel Macron au pouvoir.

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    Haro sur la liberté d’expression en France ?

    Le mercredi 3 janvier 2018, le président Macron annonçait sa volonté de lutter contre les « fake news » par la loi, en particulier en « périodes électorales ». Autrement dit, de contrôler la liberté d’expression dans les moments « démocratiques » stratégiques. Cette annonce suit de peu la mise en œuvre par Twitter de ses nouvelles conditions générales d’utilisation, lesquelles s’apparentent plutôt à de la censure qu’à une réglementation. Une sorte de soft-censure en marche.

    Avant l’annonce du président Macron, les restrictions de la liberté d’expression étaient déjà en cours sur les réseaux sociaux, Facebook et Twitter en particulier. Restrictions de la liberté d’expression en France ? On dira, halte à la paranoïa… et pourtant ?

    Le président Macron veut-il contrôler la liberté d’expression ?

    Dès la campagne présidentielle, le candidat Macron montrait une surprenante conception de la liberté de la presse et des médias, en n’autorisant par exemple que sa propre équipe de journalistes à le suivre et en donnant ensuite aux médias des images sous contrôle. Ce fut le cas lors de la visite à l’usine Whirlpool d’Amiens. En cette période où il convenait d’aider le candidat Macron à gagner, les médias officiels ne se sont offusqués de rien. Un peu plus quand le président a fait appel à Bruno Roger-Petit à l’Élysée. Dans l’ensemble, la convergence idéologique entre politiques et médias sociaux libéraux autorisait ces petits arrangements entre amis. Personne n’avait tiqué quand par exemple le candidat Macron avait accusé en mode rumeur les médias russes de s’immiscer dans la campagne électorale. En mode rumeur ? C’est-à-dire « fake news ». Qu’est-ce qu’une « fake news » ? Une nouvelle fausse diffusée volontairement. Ainsi, lancer une rumeur, jamais vérifiée depuis, sur l’implication de médias russes dans un processus électoral ou bien nier en direct à la télévision, lors du débat présidentiel, que l’on va baisser les APL une fois élu, cela peut être considéré comme la diffusion volontaire d’une fausse nouvelle. Du coup, la question se pose : qui va définir ce qu’est ou non une « fake news » ? Au fond, la « fake news » devient : simplement tout mode de pensée contestant le mode de pensée idéologique dominant, d’où ce sentiment d’une soft-censure en marche. Une forme de contrôle et de censure, non plus des médias officiels (ils sont déjà amplement contrôlés par le fait des subventions et par une communauté évidente d’idéologie) mais des médias alternatifs. C’est cela, l’objectif du président Macron quand il demande « des règles », un contrôle des « contenus » et qu’il affirme que « toutes les paroles ne se valent pas ». Il est du reste fort étonnant qu’une telle formule, en France, n’ait pas hérissé les cheveux des habituels défenseurs des droits de l’Homme. Il est vrai qu’à voir l’accueil réservé à un média différent tel que RT France, l’observateur comprend mieux l’absence de levée de bouclier contre la volonté présidentielle de contraindre l’opinion à une expression plus contrôlée. Comme Alain Juppé durant la primaire de la droite, Emmanuel Macron trouve que certains médias sont trop peu contrôlés, des médias comme RT France mais aussi les réseaux sociaux.

    Des réseaux sociaux de moins en moins sociaux ?

    La liberté d’expression semble menacée sur les réseaux sociaux. À l’instar des médias alternatifs, ils seraient le lieu de propagation de « fake news ». Ces « fake news » ne sont jamais, dans l’esprit des élites politico-médiatiques, le fait de médias officiels. Aucun média officiel, à les en croire, ne diffuserait jamais volontairement de fausse nouvelle. Qui peut aujourd’hui penser une chose pareille ? La preuve que les médias officiels diffusent de fausses nouvelles, volontairement, et sont très souvent amenés à défendre l’idéologie des élites au pouvoir, réside dans l’existence même des médias alternatifs : ils n’auraient aucune raison d’exister et d’être « alternatifs », si l’expression était libre et équitable au pays des prétendus droits de l’Homme. Alors, des réseaux sociaux mis sous contrôle ? Plus sûrement, des réseaux sociaux qui appartiennent au même courant idéologique, social libéral ou libéral libertaire, que les élites politico-médiatiques au pouvoir et qui, de ce fait, combattent insidieusement contre les modes de pensée autres. Il en va ainsi de Facebook, qui aurait fermé des comptes jugés défavorables au candidat Macron, durant les dernières présidentielles, souvent des profils d’individus reliés d’une manière ou d’une autre à des groupes anti-Macron. Les témoignages sont nombreux, le bulletin non conformiste Monarque 3.0 a ainsi vu sa page être fermée sans préavis, ainsi que les profils de ses animateurs, entre les deux tours. Cas isolé ? Impossible à vérifier, en termes de quantité. Cependant, certains médias alternatifs évoquent le nombre de 70 000 comptes Facebook fermés pour ne pas entraver l’En Marche du futur président. Et l’information selon laquelle la « modération » de Facebook confinerait de plus en plus à une forme de censure ne provient plus seulement des médias alternatifs. Libération s’en est par exemple fait l’écho en novembre 2017.

    Avec Twitter, il va falloir twitter droit

    Depuis mi-décembre 2018, Twitter est à l’avant-garde de la limitation de la liberté d’expression, appliquant de « nouvelles conditions d’utilisation », autrement dit de nouvelles règles du jeu. C’est ainsi que des dizaines de comptes ont été arbitrairement fermés à l’approche des fêtes de la fin de l’année 2017. À y regarder de plus près, ces comptes ont pour la majeure partie d’entre eux la particularité d’être classés à la droite de la droite, comptes de personnalités ou d’individus patriotes, souverainistes ou de la droite dite « hors les murs ». Autrement dit, c’est l’adversaire droitier de l’idéologie dominante qui est pourchassé. Après la suppression de celui de Génération Identitaire, l’exemple de « Pont d’Arcole » a fait un peu de bruit sur le net, d’autant que son animateur est vite réapparu, ayant prévu un « compte de secours ». La majeure partie des comptes visés par Twitter sont des comptes ayant un nombre d’abonnés à 5 chiffres. La presse s’en est très peu fait l’écho, sauf L’Obs, lequel défend le bien fondé de ces fermetures de comptes dits « d’extrême droite », de son point de vue. L’Obs a cependant bien du mal à justifier la fermeture de « Pont d’Arcole » : pour l’auteur de l’article, c’est un tweet de « Pont d’Arcole » proposant de dissoudre ou non les Femen qui aurait conduit à la suppression de son compte. On ne voit pas bien en quoi cette proposition de sondage aurait porté atteinte à la dignité humaine. Il est surprenant qu’aucun média officiel ne le relève : les comptes Twitter, mais aussi Facebook, fermés le sont sans avertissement, et surtout sans qu’à aucun moment leurs détenteurs aient été, d’une façon ou d’une autre, condamnés par la justice. C’est donc bien de délit d’opinion dont il s’agit : ces comptes sont fermés au mépris de l’État de droit, uniquement car leurs détenteurs défendent des opinions politiques ou sociétales qui ne correspondent pas à la doxa dominante, celle exprimée par le président de la République lors de ses vœux à la presse.

    Comment ne pas voir dans ce faisceau d’actions une sorte de volonté commune de limiter la liberté d’expression de qui ne pense pas « comme il faut » ? La situation est d’autant plus choquante qu’Emmanuel Macron, comme le patron de Twitter France, se targuent de défendre la liberté d’expression et de presse. N’est-ce pas ce patron de Twitter, celui qui ferme les comptes supposément droitiers, dont le propre compte porte en exergue la fameuse proposition de Voltaire…

    Sachant que les fermetures procèdent des délations d’autres détenteurs de compte, de gauche et organisés pour faire fermer les comptes, que dire d’un système de contrôle et de règles qui sont fondés, finalement, sur une délation à laquelle celle des heures pétainistes de la France n’a rien à envier ? Quand les militants de la tolérance pratiquent l’intolérance et la délation… avec le soutien indirect des élus de la Nation, ou celui direct des patrons des réseaux sociaux. Damien Viel a ainsi épinglé ce tweet, sous un large bandeau affirmant que « tweeter n’est pas un crime » : « Depuis le 18/12, pour continuer à mieux garantir un usage sûr et à chacun d’exercer son droit à s’exprimer librement, Twitter a mis en œuvre de nouvelles règles contre les conduites haineuses et les comportements abusifs. Chacun peut contribuer à leur mise en œuvre par des signalements ». Bienvenue en 1984, non ?

    Observatoire du Journalisme (8 janvier 2018)

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  • Feu sur la désinformation... (167)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé Grandchamp.

    Au sommaire :

    • 1 : Tex, blackface, Miss France, les médias ne sont plus Charlie
      Peut-on rire de tout ? Une nouvelle norme médiatique est apparue chez les journalistes... Le rire doit servir le « vivre ensemble ». Censure contre le « sexisme » ou le « racisme »... tous les prétextes sont bons et les réseaux sociaux ainsi que les médias veillent au bon respect de ces règles. En une semaine, trois personnalités en ont fait les frais: l’animateur Tex, Miss France 2018 et le footballeur Antoine Griezmann.
    • 2 : Le Zapping d’I-Média
      Salhia Brakhlia diffuse un reportage sur les coulisses d’une conférence de presse de Poutine. La journaliste de BFMTV y dénonce la connivence entre la presse russe et les journalistes qui n’hésitent pas à déclarer devant la caméra leur intention de voter pour Vladimir Poutine lors de la prochaine présidentielle. Pourtant, en 2017, lors de la présidentielle française, beaucoup de journalistes ont appelé à voter pour Emmanuel Macron.

    • 3 : Journée internationale des migrants : ouvrez vos cœurs et vos frontières !
      18 décembre 2017 rime avec journée internationale des migrants. C’est l’occasion pour les journaux et les chaines d’information en continue de propager, une nouvelle fois, un discours immigrationniste. A cette occasion, France 2 a diffusé une séquence lacrymale pour les clandestins qui traversent les Alpes, alors qu’Euronews couvrait une manifestation réunissant une petite centaine de personnes. Toutes les excuses sont bonnes pour parler des « migrants ».
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Les réseaux sociaux sont-ils morts ? La nouvelle charte de Twitter, entrée en vigueur le 18 décembre, a déjà fait ses premières victimes. Parmi elles, le compte de Génération Identitaire. Pour donner satisfaction à certaines associations, utilisateurs ou Etats, le réseau social a renforcé son contrôle sur les contenus déclarés comme « haineux ». Mais la fermeture du compte se fait de manière unilatérale, sur délation et sans possibilité de se défendre. Des mesures qui ressemblent furieusement à de la censure. Et à la pire des censures: la censure préalable.
    • 5 : Le français, cette langue arabe...
      Mardi 18 décembre, journée mondiale de la langue arabe. A cette occasion les médias se plongent dans l’origine de la langue française pour nous apprendre que le français contient plus de mots arabes que de mots gaulois…. Des mots arabes pas si arabes.

     

                                       

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  • Feu sur la désinformation... (163)

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    • 1 : Émeutes de Mantes la Jolie, cachez ces no go zones !
      No go zone à Mantes La Jolie. Depuis une dizaine de jour la police ne peut plus accéder au quartier du Val Fourré sans que des voyous ne provoquent une émeute. Zone de non droit, no go zone, une expression inacceptable pour la presse mais qui reflète pourtant la réalité.
    • 2 : Le Zapping d’I-Média
      Pour Raphaël Enthoven, c’est par islamophobie que l’Église modifie la traduction d’un mot du Notre-Père. Le 21 novembre le philosophe s’est livré à une interprétation très personnelle de la nouvelle traduction du notre Père « tous les fidèles francophones qui diront le Notre-Père ânonneront quotidiennement à mots couverts : chez nous Dieu ne soumet pas, nous ne sommes pas du tout des musulmans ». La chronique a suscité une vive réaction sur les réseaux sociaux, mais le jeudi 23 novembre Raphael Enthoven a fait sa chronique sous forme de mea culpa la chronique du mardi n’était « pas bonne, mauvaise et surtout maladroite ».

    • 3 : Allemagne : L’immigration pomme de discorde
      L’Allemagne en crise, l’avenir d’Angela Merkel serait compromis. La chancelière n’est pas parvenue à unir les partis pour créer son gouvernement. Pour les médias, la faute en incombe aux électeurs qui ont mal voté, mais aussi au FDP qui refuser de négocier avec la CDU. Mais la question de l’immigration, pomme de discorde en Allemagne a été évincée par les journalistes. .
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Samuel Laurent responsable des « décodeurs » dresse sur twitter la liste des sujets polémiques de novembre : prières de rue à Clichy, écriture inclusive, cigarette au cinéma, Sud éducation dans le 93. Des faits d’actualité qualifiés par le journaliste de polémique pour interdire ou dénigrer des débats d’actualité.
    • 5 : Les gros d’internet censurent les médias russes
      Les grands acteurs d’internet dans une lutte acharnée contre les médias russes. Google, facebook, twitter, veulent lutter contre Russia Today et Sputnik. Mais la liberté d’expression sera la première victime.

     

                                        

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  • Feu sur la désinformation... (160)

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    • 1 : #MontreTaCroix le mot-clé qui a obligé les médias à bouger
      Le conseil d’Etat au piquet ! A Ploërmel, la juridiction censure une croix surplombant une statue de l’ancien pape Jean Paul II. L’arrêt crée une vive réaction sur les réseaux sociaux obligeant les journalistes à aborder la question.
    • 2 : Le Zapping d’I-Média
      Les Inrocks rhabillés pour l’hiver par Thérèse Argot et Natacha Polony. Sur LCI, la journaliste a mis en avant une tribune de la sexologue Thérèse Argot « génération porno : la fabrique du porc». Pour avoir dénoncé les problèmes liés au porno, la sexologue a été traitée de "puritaine"par le journal les Inrockuptibles.... Comble, l'hebdomadaire n’a pas hésité à mettre en Une Bertrand Cantat un homme qui a battu à mort sa femme.

    • 3 : Cohen-Apathie champions du bobard à l’esbrouffe, plus c’est gros plus ça passe
      Plus c’est gros, plus ça passe. Les journalistes influents tombent dans le bobard à l’esbrouffe. Pour Jean Michel Apathie, il n’y a pas de lien entre les clandestins et les attentats. Pour Patrick Cohen, l’abattage rituel hallal reste mineur sur le territoire français.
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Ne dites plus « un aveugle », mais « une personne malvoyante ». La dernière mise à jour du logiciel de traitement de texte Word ajoute une option « langage inclusif » censée éviter les « formulation sexistes ou susceptibles d’exclure les minorités ». Alors que l’académie française vient tout juste de mettre en avant les risques que représente l’écriture inclusive pour la langue française, Microsoft programme ce type de correction. L’entreprise américaine impose une manière de penser à plus d’un milliard d’utilisateurs.
    • 5 : Princesse Nokia rappeuse made in Pigasse
      L’empire médiatique Pigasse ( Le Monde, Les Inrocks, Radio Nova, etc.) tombe dans l’autopromotion. La presse Pigasse se mobilise pour Princess Nokia, la rappeuse présentée comme « féministe et antiraciste » à l’occasion de la sortie de son dernier album « 1992 Deluxe ». Rien de surprenant, l’album est édité par le label Routh Trade, propriété de... Pigasse.

     

                                        

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  • Feu sur la désinformation... (157)

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    Au sommaire :

    • 1 : Cohen contre Zemmour entre censure et mépris.
      Zemmour et Naulleau, invités de « C à vous » sur France 5. Pendant 25 minutes, Anne Elisabeth Lemoine, comme Patrick Cohen, ont tout fait pour isoler et blâmer Eric Zemmour. Deux visions du journalisme se sont affrontées : la liberté d’expression d’un côté et la censure au service du politiquement correct de l’autre.
    • 2 : Le Zapping d’I-Média
      Individualisme poussé à l’extrême... Dimanche 8 octobre, dans l’émission Salut les terriens, le youtubeur Jeremstar a annoncé qu’il allait se marier avec… Lui-même : « Je pense que finalement je n'ai jamais rencontré quelqu'un d'aussi extraordinaire que moi-même ». La blague est d’autant plus gênante que le narcissique Jeremstar s’est mis en scène en essayant des robes de mariée.

    • 3 : Dove victime de l’hystérie « antiraciste »
      Une publicité pour le savon Dove s'attire les foudres du politiquement correct. Un photomontage enflamme Twitter, les médias suivent en dénonçant une publicité raciste... Une femme de couleur se transformerait en femme blanche sous l’effet du gel douche. Mais la publicité a été volontairement tronquée pour y voir un message haineux et les médias sont tombés dans le panneau de l’hystérie « antiraciste ».
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Bertrand Cantat en Une des Inrocks, L'ancien membre du groupe Noir Désir revient sur la scène médiatique et fait la couverture du journal bobo. Le chanteur y fait la promotion de son nouvel album dans lequel il vante l’immigration de masse et l’accueil des clandestins. Une leçon de morale difficile à entendre venant de l’homme qui a massacré à coup de poings sa compagne Marie Trintignant.
    • 5 : Attentat de Marseille : Opération diversion, le préfet limogé
      Attaque terroriste à Marseille par un clandestin tunisien délinquant. Le gouvernement fait croire à des dysfonctionnements administratifs. Une version reprise en cœur par les journalistes qui n’ont pas pris la peine de lire le rapport de l'Inspection Générale de l'Administration. La paresse journalistique au service de la communication gouvernementale.

                               

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