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Points de vue - Page 237

  • Juvin en liberté !... (7)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous la compilation de l'émission Juvin en liberté, sur TV libertés, pour la semaine du 13 au 17 juin 2016. 

    Économiste de formation, Hervé Juvin a publié des essais essentiels tels que Le renversement du monde (Gallimard, 2010) ou La grande séparation - Pour une écologie des civilisations (Gallimard, 2013).

    Au sommaire, cette semaine :

    1 – La France est en état d'urgence, cela ne devrait-il pas empêcher la multiplication des manifestations ?

    2 – Les réfugiés ne font plus la une des magazines. Cela veut-il dire que le problème est réglé ?

    3 – Le Pape François prône une écologie humaine dans son encyclique "Laudato Si". Mais, dans le même temps, il propose l'accueil des migrants en Europe. N'y a-t-il pas une contradiction ?

    4 – Que penser de la déclaration passée inaperçue d'Erdogan affirmant que le contrôle des naissances est étranger à l'islam ?

    5 – La mobilisation contre la droite nationale autrichienne a abouti à l'élection, pour la première fois en Europe, d'un président de la république écologiste. Est-ce un fait anodin ?

     

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  • Euro 2016...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une nouvelle chronique de Richard Millet, l'auteur de La confession négative (Gallimard, 2009) et de Tuer (Léo Scheer, 2015), cueillie sur son site personnel et consacrée à l'Euro 2016...

     

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    Euro 2016

    J’ai fait comme tout le monde : j’ai regardé le match d’ouverture de l’Euro 2016, non point par panurgisme mais parce que le football est un excellent révélateur de ce qui porte encore le nom de peuple, alors que ce dernier n’en est plus tout à fait un. Passons sur le grotesque ballet précédant l’ouverture. Il me faut surtout parler de cette équipe de France, et d’un point de vue non pas technique (car on n’imagine pas les joueurs dépourvus de qualités) mais ethnique : si c’est là l’équipe nationale, je ne me reconnais nullement dans ce rassemblement de mercenaires fraîchement naturalisés ou nés dans une immigration non assimilée, ainsi qu’en témoignent les noms et les prénoms de nombreux joueurs – dont on a même vu l’un priant Allah sur la pelouse… On me dira que je ne fais qu’enfoncer là des portes dévergondées ; sans doute. Il m’importe néanmoins de répéter que je ne saurais être le concitoyen d’un Bacary Sagna, d’un Mamadou Sissoko, d’un Kingsley Coman ou d’un Adil Rami – desquels, encore une fois, je ne nie pas le talent. Mais enfin les tensions considérables engendrées par la composition ethnique de cette équipe où les Français de souche sont minoritaires ont démontré, si besoin était, que ce qui se passe avec l’équipe de France est la synecdoque de la France tout entière –c’est-à-dire d’une France malade de l’inassimilation d’une immigration extra-européenne qui a peu à peu détruit, avec le consentement des élites, les structures républicaines.

    La puissance footballistique tente de ravauder la toile et de faire accepter cette nouvelle idée de la France, de la même façon que la clique médiatico-politique avait tenté de faire accroire, en 1998, que la victoire de l’équipe nationale était due à sa nature « black-blanc-beur » : dénomination qui à elle seule dit tout à la fois la décomposition ethnique de la France et celle de sa langue. Non seulement le football règne sur les esprits, comme le mauvais roman et les séries télévisées, mais encore un footballeur, Ibrahimovic, peut dire qu’il fait plus pour la France que François Hollande. Il n’a pas tout à fait tort, mais il joue sur du velours, tellement la nullité  du chef de l’Etat est patente… Il y a longtemps que ce dernier a rabaissé la dignité de sa fonction, en même temps, d’ailleurs, que l’ensemble de la classe politique : il suffisait de le voir, hier soir, interviewé par France 2, le cou ceint d’une écharpe aux couleurs de l’équipe de France, interpellé par une vulgaire journaliste qui lui donnait du « président », et non, comme il se doit, du « Monsieur le président », comme si elle s’adressait au président d’un club de football. Il est d’ailleurs possible que Hollande ne soit plus que ça : le chef d’une équipe de « foot » et de quelques centaines de supporteurs…

    Cette décadence de la fonction présidentielle semble propre à tout l’Occident : on  a pu le voir à l’occasion des funérailles du boxeur musulman Mohammed Ali, où Bill Clinton côtoyait des acteurs de Hollywood et le sultan islamiste Erdogan, lequel a rappelé ce qui n’est évident que pour lui : « L’islam est une religion de paix. » On le voit en effet tous les jours, à Nice où une jeune Tunisienne, serveuse de son état, a été giflée par des barbus parce qu’elle servait de l’alcool à ses clients ; au Pakistan, où une jeune femme a été brûlée vive par sa famille pour avoir épousé un homme de son choix. Et on ne parlera pas de ce qui se passe dans les entreprises publiques françaises, de quoi le stalinien Martinez devrait s’inquiéter bien plus que de l’insignifiante loi « Travail. »

    Richard Millet (Site officiel de Richard Millet, 11 juin 2016)

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  • Extension du domaine de la russophobie...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un point de vue de Guillaume Faye, cueilli sur son site J'ai tout compris et consacré à la russophobie entretenue par les médias européens. Essayiste et polémiste, Guillaume Faye a récemment publié Comprendre l'islam (Tatamis, 2015).

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    Extension du domaine de la russophobie

    La propagande anti-russe s’intensifie dans les médias. Le russian bashing se répand et suggère que la Russie dirigée par Vladimir Poutine vit sous un régime tyrannique. Présenter à l’opinion occidentale le régime de Moscou comme violant l’État de droit et la démocratie, persécutant ses opposants et s’orientant vers une dictature est devenue une habitude. D’où vient cette propagande russophobe qu’on ne réserve pas à d’autres nombreux pays, pourtant, eux, réellement dictatoriaux ?

    La Russie accusée d’être un État policier

    Dans Le Figaro, un article de propagande anti-russe très peu professionnel, signé d’Emmanuel Grynszpan (« L’opposition russe désormais réprimée par des nervis » 02/06/2016) essaie de démontrer que des ”défenseurs des droits de l’homme” et des ”opposants” sont attaqués par « des groupuscules pro-Poutine sous le regard complice de la police ». Il cite plusieurs exemples de bagarres et d’agressions où, paraît–il, les agresseurs sont des milices secrètes du Kremlin. Pas la moindre preuve n’est avancée, c’est du roman policier journalistique.

    Le journaliste du Figaro et ses confrères des autres médias occidentaux n’apportent aucune vérification de ce qu’ils relatent, mais se contentent de citer des opposants à Vladimir Poutine qui décrivent une situation dramatique pour les contestataires. Le problème, c’est que ces derniers, vivant en Russie, s’expriment librement dans les colonnes du Figaro et des autres médias. S’ils étaient persécutés en Russie, comme ils le prétendent, ils ne pourraient pas se répandre dans les médias occidentaux !     

    Contradiction complète : Le Figaro publie régulièrement un supplément consacré à la Russie (intitulé en anglais pour faire snob Russia beyond the headlines) avec la traduction d’articles de la presse russe qui reflètent toutes les opinions, y compris celles contraires à M. Poutine. Comment Le Figaro peut-ils écrire que le Kremlin interdit l’opposition à M. Poutine alors qu’il publie lui-même des articles de la presse russe qui critiquent le gouvernement ? C’est complètement absurde.

    Cela dit, il est parfaitement possible, comme dans n’importe quel pays du monde, que des individus ou des groupes privés s’en prennent avec violence pour des raisons politiques à des contestataires de la politique gouvernementale. Mais comment peut-on en déduire qu’ils sont télécommandés par le gouvernement russe et protégés par la police ? Aucune preuve n’est apportée. En novembre dernier, j’ai participé à une conférence au Press Club de Washington sur les questions de l’immigration contre la politique laxiste d’Obama. Nous avons été attaqués physiquement par des groupes gauchistes ultra-violents. Il ne serait venu à personne l’idée de dire que c’était la Maison Blanche et l’administration Obama qui étaient derrière ces agressions.

    L’imposteur Alexeï Navalny

    Cet agitateur, médiatisé par la presse occidentale et très probablement financé par les services de renseignements américains et – hélas– européens, est qualifié par les médias français et occidentaux de « principal opposant au Kremlin ». Mensonge total. L’immense majorité des électeurs de la Fédération de Russie n’a jamais eu l’intention de voter pour ce provocateur. Navalny a participé avec ses partisans à une bagarre à l’aéroport d’Anapa et s’est présenté en victime du Kremlin.

    Il prétend que le procureur général de Russie, Iouri Tchaïka, est un bandit lié au monde des affaires illégales et du crime, qui voudrait se venger de lui, l’opposant à Poutine. Les médias occidentaux relaient, sans vérifications, ces affirmations diffamatoires. Navalny et son entourage comparent Poutine à Hitler et les médias français reproduisent ces imbécillités. Leonid Volkov, un de ses proches collaborateurs, a répété dans les médias occidentaux que la situation actuelle de la Russie , « c’est ce qu’on observe dans toutes les dictatures. C’était pareil en Allemagne dans les années 30 et en Espagne dans les années 60 ». Il est dommage que des intellectuels, par ailleurs intelligents, comme par exemple Nicolas Baverez, portent crédit à ces contre–vérités issues de désinformations. Les vraies dictatures, elles, comme la Chine, les monarchies du Golfe devant lesquelles s’incline la France, ne sont jamais accusées.

    Les deux raisons de la propagande antirusse

    Les médias et les dirigeants occidentaux répètent que la Russie a ”annexé ” la Crimée ukrainienne, ce qui justifie les sanctions – par ailleurs illégales. Si c’était vrai, la Crimée qui est russe et non pas ukrainienne et qui a rejoint la Russie par référendum, sans aucune violence russe, se révolterait, il y aurait des troubles. Or la Crimée redevenue russe, est parfaitement tranquille. Bizarre…D’autre part, la propagande nous expliquait que Poutine cherchait à envahir l’Est de l’Ukraine et qu’il ne respecterait pas les accords de cessez–le–feu signés à Minsk. Il les a parfaitement respectés. Les affrontements en Ukraine ont cessé, non ? Alors d’où vient cette désinformation hostile contre la présidence de Poutine ? Explications :

    1) Ce qui dérange les dirigeants européens (politiques et médias confondus), c’est d’abord l’orientation idéologique du pouvoir russe, centrée sur les valeurs d’identité, d’enracinement et de patriotisme, l’inverse même des choix idéologiques occidentaux profonds. La nouvelle Russie représente donc un danger, en terme d’attraction mentale sur les peuples européens de souche, d’exemple à suivre ; elle est un repoussoir pour les oligarchies occidentales déracinées, un objet de haine pathologique. L’hostilité du pouvoir russe aux manifestations de la gay pride ou au mariage homosexuel, par exemple, le fait détester par toute l’intelligentsia proche du pouvoir et par la classe journalistique en France. Bref, le gouvernement russe est ”politiquement incorrect ”.

    2) La deuxième raison de la campagne de propagande et de désinformation antirusse est le retour de la Russie comme grande puissance sur la scène internationale, notamment en Syrie, et par la restauration de son outil militaire. Cela gêne certains projets stratégiques de Washington et il est normal que le relai soit suivi par les médias occidentaux et les gouvernements européens vassaux des USA. Bref, la nouvelle Russie post-communiste fait paradoxalement plus peur aux dirigeants occidentaux et leur semble plus redoutable et haïssable que l’ancienne URSS.

    Construire l’image d’une dictature belliciste

    La thèse officielle sur la Russie de Poutine, rabâchée par 90% des journalistes occidentaux qui suivent les désinformations des services spécialisés –par exemple celles de la Transatlantic Academy, (1) – est la suivante : le Kremlin manœuvrerait pour annexer le Donbass, en y ”gelant” un conflit, puis à faire de l’Ukraine un protectorat russe, et la même chose avec les trois pays baltes. Y compris par la force militaire. On cherche à présenter la Russie comme une dictature isolée ayant très peur de l’exemple d’une Ukraine démocratique, rejoignant l’UE et l’Otan. La Russie est décrite comme une menace pour l’Europe orientale et la paix du monde, afin de justifier la création d’incidents militaires (Est de l’Ukraine, Baltique…). Et de provoquer une confrontation armée, ” gérée”, si possible (mais pas sûr) en dessous du seuil nucléaire ; ce qui est l’objectif – non pas d’Obama, dépassé par les événements – mais de fauteurs de guerre très actifs au Pentagone, à la CIA, dans l’industrie d’armement et dans les médias US.   

    Le renforcement militaire de l’Otan en Europe orientale, sur ordre de Washington, atteste de cette stratégie mal pensée et à haut risque (voir récent article de ce blog sur Kaliningrad). Elle ne peut pas être freinée par une France qui n’a plus de politique étrangère indépendante sérieuse. Néanmoins, cette option belliciste antirusse peut être entravée par deux facteurs : une lassitude européenne envers une russophobie qui nuit à l’économie du fait des représailles russes aux sanctions, (cas de l’Italie, de la Hongrie, proposition de résolution parlementaire en France pour la levée des sanctions…) et la prochaine élection présidentielle américaine.

    Si Hillary Clinton est élue, il n’y a rien à attendre de bon. En revanche, si Donald Trump parvient à la Maison Blanche, il pourrait renverser la table s’il joue la carte de l’isolationnisme et si, comme il l’a dit, il apprécie la Russie. À condition qu’on le laisse faire, car un Président américain doit avoir la force d’affronter les Trois Sœurs – CIA, Pentagone, et Complexe militaro-industriel. Un coup de feu est vite parti. La Russie, qui ne menace en rien la paix et la sécurité mondiale (contrairement à d’autres jamais incriminés) est donc présentée par les appareils de désinformation comme une dictature dangereuse, donc comme l’ennemie principale. Cette russophobie est totalement contraire aux intérêts des Français et des Européens.

    Guillaume Faye (J'ai tout compris, 8 juin 2016)

    Notes

    (1) La ”Transatlantic Academy”, est un des exemples des centres de propagande métapolitique américains et européens atlantistes (financés par des fonds publics discrets et des fonds privés) qui ”informent” et en réalité influencent les journalistes du monde entier. Cette remarque n’implique aucun anti-américanisme, puisqu’aux USA d’autres think tanks et associations combattent ces lobbies, comme par exemple American Renaissance et le NPI.

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  • Bienséance à la mode : solution ou problème ?...

    Nous reproduisons ci-dessous une tribune de Xavier Raufer, cuellie sur le site du nouvel Économiste et consacrée aux effets paradoxaux du "politiquement correct"...

     

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    Bienséance à la mode : solution ou problème ?

    La criminologie éclairée exige une large base : le crime n’est-il pas l’un des phénomènes sociaux les plus complexes et intraitables ? Voilà pourquoi elle doit s’intéresser à ce qui jouxte, provoque ou explique le crime, et aux réactions sur celui-ci des idéologies, modes, etc.

    Or qui regarde lucidement le crime évoluer dans la société de l’information, constate vite d’étranges, massives et analogues aberrations. C’est cela que nous montrons ici, pour diverses causes célèbres de la bienséance médiatique : racisme, féminisme, “fascisme”, obésité. Notons que tout cela touche au crime et/ou au pénal : il est donc légitime qu’un criminologue s’y intéresse et signale là-dessus ses étonnements.

    Racisme : Sur les assassinats d’hommes noirs aux États-Unis, éruption des médias bienséants (d’autant, sans doute, qu’ils sont à la botte de plutôt glauques milliardaires, moralisante compensation genre Tartuffe).

    Voyons les faits. Dans la population américaine, les 6 % d’hommes noirs fournissent 40 % des victimes d’homicides. En 2015, 36 Noirs américains désarmés ont été abattus par des policiers. Deux tiers de ces cas relèvent d’une possible (et criminelle) pulsion raciste. Sur les assassinats d’hommes noirs, les dernières données datent de 2014 : il y en a eu 2 451. Dont 2 205 (90 %) commis par d’autres hommes noirs (90 % du total).

    Homicides racistes : 1 % (24 sur 2 401) ; guerre de gangs : 90 %. Aujourd’hui encore, (sondage Pew, août 2015), 73 % des Noirs américains considèrent le racisme comme un “grave problème” - alors que clairement, côté crime, leur drame majeur est communautaire. Comment réduire un phénomène aussi tragique, en censurant 90 % de ce qui le génère ?

    Féminisme : depuis un quart de siècle, le féminisme enflamme l’Amérique. Parité ! Égalité ! Fin du sexisme et des discriminations. Or si la cause des femmes progresse, si de grands progrès sont accomplis, pourquoi les suicides féminins explosent-ils aux États-Unis ? D’abord chez les toutes jeunes filles, les mieux à même, à l’aube de leur vie, de jouir de ces progrès (+ 200% de suicides de 1999 à 2014 ; chez les garçons d’âge comparable, + 37%). Idem chez les femmes de 45 à 64 ans : + 63% de suicides, de 1999 à 2014.

    Obésité (tant provoquée par la malbouffe que la justice y soupçonne une sorte d’empoisonnement de masse). Depuis 1965, l’hygiénisme américain exige, sur tout paquet et emballage, l’inscription de Nutrition Facts avertissant le public des dangers des aliments ; inscriptions obligatoires depuis 1990 et le Nutrition Labeling and Education Act. Or selon le Center for Disease Control, le nombre d’obèse triple quasiment de 1980 à 2014 (de 14 à 38 % de la population adulte)
    Antifascisme : depuis la décennie 1980, en France, un bruyant courant antifasciste annonce le retour “des heures les plus sombres de notre histoire”. Fort bien - mais simultanément, l’objet de leur ire passe de 5 % à plus de 25 % des intentions de vote. Cependant, les “antifas” s’acharnent, en une obstination semblable à celle de la mouche contre la vitre.

    Pourquoi ? Pour le criminologue, toutes ces démarches contre-productives s’expliquent par la philosophie. On crie au racisme (crime indéniable), mais les assassinats de Noirs ravagent tant et plus les États-Unis. On combat pour des femmes - qui se suicident plus. On promeut l’hygiénisme ET l’obésité explose. L’antifascisme virulent voit le “fascisme” progresser.

    Le motif philosophique ce tout cela ? Lisons attentivement : “Ce qui agit de manière réactive pose d’abord ce à quoi il s’oppose et reste donc tributaire de ce qu’il s’imagine avoir révoqué”. Cette sage observation est de Martin Heidegger, philosophe que les “anti” feraient mieux de lire, au lieu de l’injurier.

    Xavier Raufer (Le nouvel Économiste, 9 juin 2016)

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  • Juvin en liberté !... (6)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous la compilation de l'émission Juvin en liberté, sur TV libertés, pour la semaine du 6 au 13 juin 2016. 

    Économiste de formation, Hervé Juvin a publié des essais essentiels tels que Le renversement du monde (Gallimard, 2010) ou La grande séparation - Pour une écologie des civilisations (Gallimard, 2013).

    Au sommaire, cette semaine :

    1 – Comment faire pour sauver son épargne ?

    2 – Pourquoi les médias français ont sous-estimé la candidature de Donald Trump ?

    3 – Depuis que Hollande s’est dit opposé au Tafta, le sujet à disparu. Où en est-on ?

    4 – A Béziers, Robert Ménard demande d’Oser la droite. Mais ne doit-on pas parler d’extrême droite ?

    5 – Les grèves actuelles sont-elles le reflet d’un pays bloqué et mentalement paralysé ?

     

     

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  • Comment reconstruire les économies nationales en Europe ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous l'allocution prononcée par Hervé Juvin au colloque organisé par la Fondation pour une Europe des Nations et des Libertés, le 14 mai 2016 à Paris. Hervé Juvin intervenait sur le thème "Comment reconstruire les économies nationales en Europe ?"...

     

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