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Livres - Page 437

  • En liberté surveillée...

    Les éditions des Bouquins de Synthèse nationale viennent de publier un essai de Georges Feltin-Tracol intitulé En liberté surveillée - Réquisitoire contre un système liberticide. Animateur du site de réflexion non-conformiste Europe Maxima, d'inspiration européiste et solidariste, Georges Feltin-Tracol a déjà publié quatre ouvrages : Bardèche et l'Europe (Bouquins de Synthèse nationale, 2013),  Réflexions à l'Est (Alexipharmaque, 2012), L'Esprit européen entre mémoire locale et volonté continentale (Heligoland, 2011) et Orientations rebelles (Heligoland, 2009).

     

     

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    " En matière de liberté d’expression, la France donne facilement des leçons aux autres. Mais est-elle la mieux placée pour cela ?

    Spectacles de Dieudonné interdits, livres édités par Soral ou d’autres caviardés, manifestations violemment dispersées, mouvements patriotiques dissouts… c’est tout le système français, mais aussi occidental, que met en cause Georges Feltin-Tracol.

    Étayé par de nombreux exemples pris dans la presse officielle, il démontre que loin de demeurer le « pays des hommes libres », la France est devenue, suite au sécuritarisme développé par l’UMP sous Sarkozy et appliqué avec zèle par Valls et par Hollande, un Hexagone surveillé où comportements et pensées sont scrutés en permanence.

    Aujourd’hui, il est préférable d’être un délinquant de droit commun plutôt qu’un opposant politique convaincu au mondialisme.

    En sept chapitres d’observations accablantes et parfois terrifiantes, Georges Feltin-Tracol examine l’incroyable et lente évaporation des libertés publiques avant d’esquisser quelques réponses révolutionnaires, populaires et identitaires.

    Mais, faites attention, le simple fait de lire ce livre risque de vous rendre suspect aux yeux du Pouvoir… "

     

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  • Gabriele d'Annunzio, le Commandante...

    Les éditions du Rocher viennent de publier Gabriele d'Annunzio ou le roman de la Belle Epoque, une biographie signée par Dominique Lormier. Écrivain et historien indépendant, Dominique Lormier est l'auteur de nombreux essais et récits consacrés à la France dans la deuxième guerre mondiale.

     

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    " Considéré comme le plus grand écrivain italien de son époque, Gabriele d'Annunzio (1863-1938) est l'une des figures centrales de la Belle Époque, de la Grande Guerre 1914-1918 et des Années Folles. Enfant surdoué, poète sublime, romancier mondialement reconnu, auteur d’œuvres de théâtre jouées par les plus grands, il multiplie les aventures amoureuses avec les plus belles femmes de son époque, duchesses et comtesses, artistes et comédiennes, fréquente les personnalités les plus illustres de son époque, comme Edmond Rostand, Marcel Proust, Maurice Barrès, Anna de Noailles, André Gide, Anatole France, Pierre Loti, Robert de Montesquiou, Marie de Régnier, Romaine Brooks, Jean Cocteau, Ida Rubinstein, Claude Debussy. Il mène la vie la plus mondaine qui soit, allant de réceptions en spectacles, mais peut également s'isoler dans la recherche d'une authentique quête mystique. Ami des humbles et des pauvres, il rencontre des personnages pittoresques comme une célèbre guérisseuse en Gironde, ou l'un des derniers bergers échassiers des Landes. D'Annunzio joue un rôle déterminant dans l'entrée en guerre de l'Italie en 1915, aux côtés des Alliés. Aviateur, marin et fantassin, il se couvre de gloire sur le front austro-italien, lors d'exploits militaires retentissants. A Fiume, il rédige une constitution révolutionnaire, refuse de rejoindre le fascisme de Mussolini, prend sa retraite au bord du lac de Garde. Il fait tout son possible pour empêcher une alliance italo-allemande contre la France et va même le payer de sa vie en 1938. "

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  • Les déshérités...

    Les éditions Plon viennent de publier un dossier de François-Xavier Bellamy intitulé Les Déshérités ou l'urgence de transmettre. Agrégé de philosophie, François-Xavier Bellamy est professeur en khâgne à Paris.

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien avec l'auteur sur TV5 Monde.

     

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    " Cinquante ans après Les Héritiers de Pierre Bourdieu, paru en 1964, François-Xavier Bellamy dresse le constat suivant : nous voulons toujours éduquer, mais nous ne voulons plus transmettre. Cette crise de la culture n’est pas le résultat d’un problème de moyens, de financement ou de gestion. Il s’est produit, dans nos sociétés occidentales, un phénomène unique, une rupture inédite : une génération s’est refusée à transmettre à la suivante ce qu’elle avait à lui donner, l’ensemble du savoir, des repères, de l’expérience humaine qui constituait son héritage. Dans cet ouvrage, l’auteur pose la question : comment reconstruire le dialogue des générations ? Et trace des pistes pour ne pas laisser dans le dénuement une génération qui crie qu’elle ne veut pas mourir. "

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  • Rome et l'héritage indo-européen...

    Les éditions Terres de promesse viennent de publier un essai de Valery Raydon intitulé Héritages indo-européens dans la Rome républicaine. Docteur en histoire ancienne et chercheur indépendant, Valéry Raydon a notamment publié Apologie du dieu Kronos (Le Labyrinthe, 2007).

     

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    " L’importance de l’héritage culturel indo-européen dans la société romaine antique n’est plus à démontrer. Georges Dumézil et ses continuateurs, armés du comparatisme structural indo-européen, ont mis à jour de nombreux cas d’exploitation de l’idéologie indo-européenne des trois fonctions, intervenus dans l’organisation du système religieux le plus ancien, dans la composition de récits historiographiques, ainsi que dans l’aménagement d’institutions juridico-sociales ou militaires majeures.
         L’auteur, poursuivant dans cette ligne de recherche, entend mettre en lumière deux nouveaux faits institutionnels romains de la période républicaine proposant des applications de l’idéologie trifonctionnelle des Indo-Européens. Le premier regarde une pratique diplomatique de donation réalisée en faveur de rois barbares, le second concerne l’organisation de l’administration républi-caine. Ces deux usages gouvernementaux d’importance ont en commun d’avoir été élaborés à partir de la triade des insignes de la souveraineté républicaine. Ces insignes républicains prolongeaient, de l’aveu des Romains, les ornamenta des anciens rois de l’Urbs, et distribuaient le pouvoir sur la société autour de trois pôles de compétences relevant chacun d’un des niveaux du système théorique trifonctionnel au moyen duquel les Indo-Européens appréhendaient l’Univers : la gestion des affaires religieuses (première fonction sacrée), la gestion des affaires militaires (seconde fonction guerrière), et la gestion des affaires politiques (troisième fonction d’abondance, présidée à Rome notamment par le dieu Quirinus, patron et protecteur du collectif des ‘citoyens’ Quirites).
         Un des résultats majeurs de cette étude est la démonstration que, tout au long des presque cinq cent années d’existence du régime républicain, les Romains ont continué de codifier l’autorité politique suprême suivant le même cadre de pensée indo-européen qui structurait déjà antérieurement leur conception de la royauté. "

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  • Un grand méconnu...

    Les éditions Pardès viennent de publier dans leur collection Qui suis-je un Brigneau signé par Anne Le Pape. Une biographie sympathique consacrée à François Brigneau, mort en 2012, un personnage haut en couleur, à la fois militant, polémiste, journaliste et auteur de polars*... A découvrir !

     

    *On notera que la réédition d'un de ses romans avait provoqué en 2010 une violente polémique orchestrée par l'ineffable Didier Daeninckx...

    Didier Daeninckx, flingueur de Baleine

    Gérard Delteil se paie Daeninckx

    Thierry Marignac vide son sac

    Intrigues dans le polar : la loi du milieu (avec une réponse de Métapo infos...)

     

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    " Sous de multiples noms, François Brigneau a été journaliste, travaillant aussi bien pour la presse à grand tirage que pour des feuilles confidentielles voire clandestines. En 1965, rédacteur en chef d’un jeune mais vigoureux hebdomadaire, un sondage IFOP le désigna comme le deuxième journaliste le plus connu de France. En 2012, à sa mort, le quotidien Le Monde, qui mettait un point d’honneur à ne pas le citer, se trouva toutefois obligé de lui consacrer une nécrologie. Il laisse une œuvre publiée abondante et variée : chroniques en langue parlée, romans policiers (il reçut en 1954 le Grand prix de littérature policière pour La beauté qui meurt), reportages à travers le monde, évocations de lieux, livres historiques, souvenirs de la vie journalistique et politique, etc.
    Il a été apprécié par des hommes aussi différents que Frédéric Dard et Jean Madiran, Céline et Hubert Beuve-Méry, Robert Brasillach et Jean Gabin, Arletty et Marcel Pagnol, sans oublier Pierre Lazareff ou Alphonse Boudard. Pourquoi alors, pour reprendre un mot d’Alexandre Vialatte, fait-il aujourd’hui partie des auteurs «notoirement méconnus»? Tout simplement parce qu’au long de sa vie, fils d’un instituteur syndicaliste révolutionnaire mais s’étant toujours défini comme un Français de souche bretonne, François Brigneau, dont la plume valait une épée, a obstinément et fidèlement choisi « le mauvais camp», celui de «la France française», selon sa propre expression.
    Ce « Qui suis-je?» Brigneau constitue la première biographie de ce journaliste de combat. Il s’appuie sur de nombreux entretiens avec lui et sur des archives familiales. "

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  • Tableau noir...

    Les éditions Hugo et Cie viennent de publier Tableau noir, un essai décapant de Jean-Paul Brighelli. Normalien et agrégé de lettres, ancien professeur de classes préparatoires, Jean-Paul Brighelli est un défenseur inconditionnel de l'élitisme républicain et aussi un redoutable polémiste. On lui doit déjà plusieurs essais consacrés à l'école, réédités en format poche, comme La fabrique du crétin (Folio, 2006) ou A bonne école (Folio, 2007).

     

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    " Il y a dix ans La Fabrique du crétin dressait le constat lucide et accablant des dysfonctionnements de l’école de la République. Aujourd’hui, Tableau noir dresse le constat impitoyable d’une faillite générale, malgré les réformes entreprises, ou à cause d’elles. Venu au pouvoir avec un pseudo-projet de refondation, le gouvernement socialiste a achevé le désastre initié dans les années 1990. Une faillite voulue, conforme aux engagements européens d’une France à bout d’école comme on est à bout de souffle; faillite de la formation, faillite de la transmission, parce que la faillite principale, c’est celle du renouvellement social.

    Ce sont prioritairement les plus pauvres qui paient le plus cher. Loin de les pousser au plus haut de leurs capacités, on ne leur donne même plus les bases qui leur permettraient de comprendre qu’on les sacrifie. Et parallèlement, on massacre aussi les enseignants, quand on en trouve encore : parce qu’il ne suffit pas de vouloir recruter, encore faut-il réinventer un métier chaque jour plus difficile; les ambitions sont chaque année revues à la baisse ou les résultats flamboyants d’un baccalauréat qui ne veut plus rien dire sont l’attestation la plus exemplaire de la faillite du système. Tableau noir, au-delà du constat accablé, est un livre de propositions."

     

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