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Livres - Page 324

  • Portrait d'un ambigu...

    Les éditions Nouveau monde rééditent en collection de poche François Mitterrand - Portrait d'un ambigu, une biographie signée par  Philip Short. Journaliste, Philipp Short a déjà publié une biographie de Mao (Fayard, 2005) et une de Pol Pot (Denoël, 2007).

     

     

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    " Il fallait sans doute le recul des ans, et celui de l'observateur étranger, fin connaisseur de la France, pour obtenir tant d'informations inédites et produire une biographie de François Mitterrand qui fasse à ce point référence. Correspondant de la BBC à Paris pendant les années Mitterrand, Philip Short brosse le portait d'un homme aux talents et défauts exceptionnels, un esthète machiavélien qui pendant ses deux mandats a conduit la France dans la modernité.
    Homme de contradictions, il fut à la fois leader d'un mouvement de résistance et décoré par Vichy ; jeune parlementaire conservateur, il devint le leader incontesté de la Gauche unie. Imposant les communistes au gouvernement, il fut le fossoyeur du PCF. Féroce opposant à De Gaulle et à la constitution de la Ve République, il sut à merveille user du système institutionnel et s'inscrire dans une forme d'héritage gaullien… Tout cela en arrivant à gérer une vie privée extraordinairement compliquée.
    Biographe réputé, toujours à bonne distance de son sujet, Philip Short apporte de nombreux détails inédits sur sa gestion des " deux familles ", ses maîtresses, son rapport ambigu à l'argent et aux amis riches. Grâce aux archives américaines et britanniques, il dévoile également de nombreux épisodes jusqu'ici inédits de ses relations avec Reagan, Thatcher, Kohl, Gorbatchev… Cette biographie menée d'une plume alerte a été saluée par la presse anglo-saxonne et s'impose déjà comme une référence. "

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  • La droite buissonnière...

    Les éditions du Rocher viennent de publier un essai de François Bousquet intitulé La droite buissonnière. Journaliste, rédacteur en chef-adjoint d’Éléments, François Bousquet  est déjà l'auteur de Jean-Edern Hallier ou le narcissique parfait (Albin Michel, 2005) et de Putain de Saint Foucault - Archéologie d'un fétiche (Pierre-Guillaume de Roux, 2015).

     

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    " Conseiller du prince ou âme damnée, pygmalion ou gourou, la frontière est mince, en politique, entre le vice et la vertu. Le pouvoir ne connaît que le clair-obscur. Patrick Buisson aussi. Entre légende dorée et légende noire. L'éminence grise cultive le secret, le faiseur de roi suscite des fantasmes, le champion du débat d'idées intrigue. C'est pour les uns « le mauvais génie » tombé en disgrâce ; pour les autres, l'architecte de l'élection de 2007 et celui qui a évité au président sortant un naufrage en 2012. Surnommé « l'alchimiste » par l'ancien chef de l'État, le conseiller a posé les jalons d'une révolution conservatrice, aujourd'hui « hors les murs ». Peut-être demain dans les murs. Identité nationale, rupture du front républicain, retour des frontières, levée des tabous : la droite décomplexée n'en finit pas de soigner sa ligne Buisson, avec ou sans Sarkozy. L'enjeu ? La bataille culturelle. Voici l'histoire d'un homme clivant, forcément clivant, qui a changé le visage de la droite. "

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  • Le moment populiste...

    Les éditions Pierre-Guillaume de Roux publient demain un nouvel essai d'Alain de Benoist intitulé Le moment populiste - Droite-gauche, c'est fini !. Philosophe et essayiste, éditorialiste du magazine Éléments, Alain de Benoist dirige les revues Nouvelle Ecole et Krisis et anime l'émission Les idées à l'endroit sur TV Libertés. Il a récemment publié Les démons du Bien (Pierre-Guillaume de Roux, 2013), un essai consacré à l'idéologie du genre, ainsi que Survivre à la pensée unique (Krisis, 2015), un livre d'entretien avec le journaliste Nicolas Gauthier. Son essai Au-delà des droits de l'homme a fait l'objet d'une réédition en 2016 chez Pierre-Guillaume de Roux.

     

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    " L’extraordinaire défiance de couches de population toujours plus larges envers les « partis de gouvernement » et la classe politique en général, au profit de mouvements d’un type nouveau, qu’on appelle « populistes », est sans nul doute le fait le plus marquant des transformations du paysage politique intervenues depuis au moins deux décennies. Le phénomène tend même à s’accélérer, comme l’a montré l’élection de Donald Trump, survenant quelques mois après le « Brexit » britannique. Partout se confirme l’ampleur du fossé séparant le peuple de la Nouvelle Classe dominante. Partout émergent de nouveaux clivages qui rendent obsolète le vieux clivage droite-gauche.

    Mais que faut-il exactement entendre par « populisme » ? S’agit-il d’un simple symptôme d’une crise générale de la représentation ? D’une idéologie ? D’un style ? Ou bien le populisme traduit-il une demande fondamentalement démocratique face à des élites accusées de ne plus faire de politique et de vouloir gouverner sans le peuple ? C’est à ces questions que répond ce livre, qui part de l’actualité la plus immédiate pour situer les enjeux politiques, sociologiques et philosophiques du débat.

    A quelques mois d’une élection présidentielle où le thème du populisme ne va pas manquer d’être discuté avec vigueur, Alain de Benoist publie un véritable manuel de la question. "

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  • La gauche à l'agonie ?...

    Les éditions Perrin viennent de publier dans leur collection de poche Tempus, La gauche à l'agonie 1968 - 2017, un essai de Jean-Pierre le Goff. Sociologue, vigoureusement critique de l'idéologie de mai 68, Jean-Pierre Le Goff a récemment publié La France morcelée (Folio, 2008), La gauche à l'épreuve : 1968 - 2011 (Tempus, 2011), La fin du village (Gallimard, 2012) et Malaise dans la démocratie (Stock, 2016). Il anime également le club de réflexion Politique autrement.

     

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    " De la révolution matricielle de mai 1968 aux controverses actuelles et aux primaires socialistes, ce livre entend montrer comment la gauche a pu en arriver là. Après avoir scruté les principaux thèmes qui ont structuré son identité depuis le XIXe siècle et constater leur érosion, voire leur décomposition, Jean-Pierre Le Goff met en lumière la fin d'un cycle historique en même temps qu'il souligne les difficultés actuelles d'une reconstruction : le fossé n'existe pas qu'entre générations, il éloigne les couches populaires de la gauche culturelle sur fond d'agonie des idées. Autant de constats qui appellent une réappropriation de notre héritage culturel pour autoriser une reconstruction intellectuelle. "

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  • Une révolution culturelle nazie ?...

    Les éditions Gallimard viennent de publier un recueil d'essais de Johann Chapoutot intitulé La révolution culturelle nazie. Historien, spécialiste de l'Allemagne, Johann Chapoutot est l'auteur de deux ouvrages importants sur le national-socialisme, Le national-socialisme et l'antiquité (Puf, 2008) et La loi du sang (Gallimard, 2015).

     

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    " Pour les nazis, la «culture» était à l’origine la simple transcription de la nature : on révérait les arbres et les cours d’eau, on s’accouplait, se nourrissait et se battait comme tous les autres animaux, on défendait sa horde et elle seule. La dénaturation est intervenue quand les Sémites se sont installés en Grèce, quand l’évangélisation a introduit le judéo-christianisme, puis quand la Révolution française a parachevé ces constructions idéologiques absurdes (égalité, compassion, abstraction du droit…).
    Pour sauver la race nordique-germanique, il fallait opérer une «révolution culturelle», retrouver le mode d’être des Anciens et faire à nouveau coïncider culture et nature. C’est en refondant ainsi le droit et la morale que l’homme germanique a cru pouvoir agir conformément à ce que commandait sa survie. Grâce à la réécriture du droit et de la morale, il devenait légal et moral de frapper et de tuer.
    Avec ce recueil d’études, Johann Chapoutot parachève et relie le projet de deux de ses livres précédents, Le National-socialisme et l’Antiquité (2008) et La Loi du sang : penser et agir en nazi (2014). En approfondissant des points particuliers, comme la lecture du stoïcisme et de Platon sous le IIIe Reich, l’usage de Kant et de son impératif catégorique ou la réception en Allemagne du droit romain, il montre comment s’est opérée la réécriture de l’histoire de l’Occident et par quels canaux de telles idées sont parvenues aux acteurs des crimes nazis. "

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  • Soldats de fortune et d'infortune !...

    Les éditions de l'Atelier Fol'Fer viennent de  publier dans leur collection Xenophon un nouvel ouvrage d'Alain Sanders intitulé Mercenaires - Soldats de fortune et d'infortune. Journaliste et ancien professeur de lettres, Alain Sanders est notamment l'auteur de biographies du marquis de Morès et du général Robert E. Lee (Pardès, 2015) ainsi que de Centurions - Trente baroudeurs de l'Indochine française (Atelier Fol'Fer, 2015). 

     

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    " On dit que le métier de mercenaire est, après l espionnage et la prostitution, le plus vieux métier du monde. Avec un grand ancêtre : Xénophon et ses dix mille Grecs qui se mirent au service de Cyrus le Jeune, fils du roi des Perses, et en bisbille avec son frère Ataxerxès II. L'histoire a retenu les sur-noms de ces soldats de fortune et le plus souvent d infortune qui, tout au long des siècles ont guerroyé sous tous les cieux : Frondeurs, Routiers, Grandes Compagnies, Lansquenets, Condottieri, Affreux, etc. La définition courante du mot « mercenaire » est : « Un homme qui se bat pour de l'argent dans une cause qui ne le concerne pas. » C'est très réducteur. D abord parce que ces hommes se sont souvent battus pour des prunes. Mais (presque) toujours pour l'honneur. Et (presque) toujours pour leurs convictions. C est ce que raconte ce livre. Avec le souci fraternel de rendre hommage à ces « Oies sauvages » libres et indomptées ! "

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