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Livres - Page 326

  • L'âge de bronze...

    Les éditions Akileos viennent de rééditer les quatre premiers tomes de L'âge de bronze, la série en bande-dessinée d'Eric Shanower consacrée à la guerre de Troie... 

     

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    " » Je pars pour Troie  » Par ces simples mots, le pauvre vacher Pâris allume la mèche de ce qui va devenir l’un des plus célèbres conflits de tous les temps : la légendaire Guerre de Troie. Quand Pâris arrive dans la magnifique cité de Troie, il découvre un ancien secret du roi Priam. Dès lors, Pâris commence une aventure qui l’emmènera vers la plus belle femme du monde, Hélène de Sparte. La décision fatidique d’Hélène de renoncer à son foyer pour suivre Pâris apporte le malheur à des milliers de gens : son mari, Ménélas, abandonné sans raison ni explication ; le jeune roi Ulysse qui doit se préparer à des décennies de séparation avec sa femme et son nouveau-né ; et la prêtresse Thétis dont le fils, Achille, doit choisir entre une longue vie au foyer et une mort glorieuse en combattant devant Troie.

    Inspiré des mythes et légendes des siècles passés, Un Millier de Navires présente à nouveau pour le vingt-et-unième siècle le prélude complet de la Guerre de Troie : chaque toucher sensuel, chaque coup violent, les rires et les pleurs, le désir et la traîtrise, toute une peinture de drame et d’action. Les dessins réalistes et documentés et les dialogues soignés d’Eric Shanower donnent une nouvelle vie à cette antique épopée. "

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  • Bienvenue dans le pire des mondes...

    Les éditions Plon viennent de publier un ouvrage collectif du Comité Orwell, intitulé Bienvenue dans le pire des mondes. On y trouve des textes de Natacha Polony, Alexandre Devecchio, Jean-Michel Quatrepoint, Emmanuel Levy, Franck Dedieu, Gérald Andrieu, Eric Delbecque, Benjamin Masse-Stramberger et Guillaume Bigot. Le Comité Orwell se donne comme ambition de faire entendre une voix différente dans un paysage médiatique trop uniforme...

     

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    " A Pékin, Moscou, Ankara ou Ryad, des oligarchies confisquent le pouvoir au nom du parti communiste, de la Sainte Russie, d'Allah. Cela, c'est l'image que la très grande majorité des médias occidentaux diffuse pour éviter de devoir balayer devant leurs portes. Car le même phénomène est à l'œuvre en Occident, dans ce que l'on appelle encore les démocraties occidentales.
    George Orwell, imprégné des horreurs du nazisme et des dérives du communisme, avait dépeint, dans 1984, ce que pouvait devenir notre quotidien dans un monde régi par un totalitarisme absolu. A contrario, le seul rempart contre de telles dérives reposait sur l'idéal démocratique et ses quelques libertés fondamentales.
    Or, insensiblement, nos sociétés que l'on croyait démocratiques le sont de moins en moins. Nous basculons dans un totalitarisme mou.
    Quel est ce système ? C'est celui où, grâce à la technologie et au contrôle des flux financiers et commerciaux, quelques dizaines de multinationales, la plupart américaines, entendent organiser, orienter, régenter notre vie quotidienne. Pour le meilleur et pour le pire. Le meilleur ? C'est effectivement ce que nous ont apporté ces nouvelles technologies : smartphone, Internet, nano technologies, progrès de la médecine... Le pire ? C'est le nivellement par le bas, la société du tweet, la surveillance, la captation de notre argent, la normalisation de nos goûts, l'uniformisation de nos besoins. Le pire, c'est aussi que cette dérive se fait souvent avec le consentement de ceux qui en sont victimes... sans s'en rendre compte.
    Le champ de nos libertés individuelles se rétrécit sérieusement et un jour, peut-être pas si lointain, nos fiches détaillées nourries des milliers de données récupérées par les multinationales, seront mises au service d'un système totalitaire de moins en moins soft. "

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  • La Grâce de l'Histoire - le Deuxième Cercle...

    Les éditons Mols poursuivent la publication de l'essai de Philippe GrassetLa Grâce de l'Histoire, avec  Le Deuxième Cercle, qui fait suite au Troisième Cercle. Animateur du remarquable site d'analyse De Defensa, véritable observatoire de la crise du bloc occidental centré sur les États-Unis, Philippe Grasset est l'auteur de plusieurs ouvrages, notamment Le Monde malade de l'Amérique (Chronique sociale - EVO, 1999) et Chroniques de l'ébranlement (Mols, 2003), préfacé par Régis Debray. Comme il y a eu des "kremlinologues", Philippe Grasset est un "américanologue" dont les analyses profondes et visionnaires méritent d'être lues avec attention.

     

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    " La crise qui gronde aujourd’hui et embrase le monde a son origine dans la nuit des temps de notre civilisation. Dans le premier volume de La Grâce de l’Histoire, Philippe Grasset s’est intéressé à ses causes immédiates en en traçant le cercle le plus visible. Ici, il propose d'élargir le cercle de la réflexion sur l’Histoire et son sens pour explorer effectivement les sources les plus puissantes de la catastrophe.

    Ainsi Philippe Grasset voit-il le point central du tournant de la modernité qu’est la Renaissance ; la grande diagonale de notre civilisation qu’est le Christianisme, de son origine à son tournant du XVIIe siècle, lorsqu’il se convertit à la modernité qu’il a inspirée et aidé à enfanter ; le XVIIIe siècle, qui est à ses yeux le siècle de l’épuisement de la psychologie humaine conduisant aux catastrophes de la fin de ce siècle, marquant la chute décisive dans la modernité ; la situation actuelle, où notre histoire se débat dans le vain espoir de se reconstituer une métaphysique. Enfin, sa dernière démarche embrassera cette profonde déchirure métahistorique qu’est notre civilisation : la malédiction du feu et de la technologie confrontée au monde des Anciens.
    En conclusion, l’auteur ouvre une nouvelle perspective en posant les questions essentielles qui ont déserté notre pensée soumise désormais à la modernité, et que notre crise ressuscite : nous nous retrouvons placés devant la transmutation de notre crise en une interrogation sur l’éternité. "

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  • Fêtes païennes d'Europe...

    Les éditions Delachaux et Niestlé viennent de publier un livre de Jean-Dominique Lajoux intitulé Fêtes païennes - Les grandes heures du calendrier. Ethnographe, photographe et cinéaste, membre du CNRS, Jean-Dominique Lajoux a notamment travaillé avec Georges-Henri Rivière, le fondateur du regretté Musée national des arts et traditions populaires...

     

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    " Les fêtes célébrées dans les campagnes sont, au contraire de celles des villes, des survivances de rituels animistes dont les raisons sont à rechercher dans un besoin profond d'intégration de l'homme dans son environnement et dans l'univers. Que représentent la saint Antoine, la saint Eloi, les saint Jean, Catherine ou Nicolas, et toutes les autres fêtes de saints ? Quelles sont leur origine, leur relation avec les Eglises chrétienne et orthodoxe, les manifestations et les rituels qui en marquent leur jour de commémoration ? Sont-ils vraiment des intercesseurs auprès du Dieu chrétien ou bien les successeurs ou substituts des divinités du panthéon préchrétien de la Rome antique ? A moins qu'ils ne soient que la personnification de moments de l'année, c'est-à-dire une date célébrant un lever ou un coucher stellaire ou simplement un équinoxe ou un solstice sous les auspices de la Lune. En plus de 400 photographies, cet ouvrage présente de nombreuses fêtes d'origine païennes à travers 200 reportages exceptionnels et inédits tout autour de l'Europe. "

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  • Céline dans le texte...

    Les éditions Horay viennent de publier dans leur collection "En verve", Mots, propos et aphorismes de Louis-Ferdinand Céline, un recueil de citations établi par David Alliot. Travaillant dans l'édition, David Alliot est un des meilleurs connaisseurs actuels de Céline, et on lui doit, notamment, D'un Céline l'autre, anthologie de témoignages sur l'auteur de Mort à crédit publiée dans la collection Bouquins.

     

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    " Louis-Ferdinand Céline est sans aucun doute l'écrivain qui a suscité à la fois le plus d'engouement et d'indignation. Balloté entre deux guerres terribles dans une société en bouleversement, Ferdinand Destouches (1894 -1961) exprime dans son œuvre un humour sombre et jubilatoire qui marquera durablement notre littérature. Quand il saisit sa plume, Céline n'a peur de rien. Il foudroie ses contemporains et pourtant admire les grands hommes de son siècle. En dépit, ou à cause de ses excès, son écriture fascine, surprend. Il cisaille la langue encore et encore avec acidité et dérision. Souvent considérée comme une révolution littéraire, sa verve n'a rien perdu de sa force. "

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  • L’Amérique de la diversité : du mythe à la réalité…

    Les éditions L'Æncre viennent de publier un essai de Jared Taylor intitulé L'Amérique de la diversité : du mythe à la réalité. Ayant vécu au Japon jusqu’à l’âge de 16 ans, Jared Taylor a fait ses études à Yale et à Sciences Po. Après avoir travaillé à New York pour une banque internationale, il a fondé en 1990 le périodique American Renaissance et est également président de la New Century Foundation, spécialisée dans l’étude des questions d’immigration et des conflits ethniques.

     

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    " Les Américains – du président, en passant par les chefs militaires et les PDG jusqu’aux maîtresses de crèche – affirment que la « diversité » est une force pour leur pays. Ils disent souvent qu’elle est la plus grande force du pays. Pourtant, les divisions et les conflits nés de la diversité ethnique ne cessent de croitre. Les États-Unis sont loin d’être le paradis post-ethnique qui a été envisagé aux temps du mouvement des droits civiques des Noirs il y a 50 ans, et encore au moment de l’investiture d’un président noir.
    Comme l’ont montré les émeutes à Ferguson et Baltimore, le rêve du dépassement de la question ethnique et loin d’être réalisé. La férocité avec laquelle les Hispaniques ont réagi contre la proposition du candidat républicain Donald Trump à l’élection présidentielle de 2016 de renvoyer tous les immigrants clandestins indique à quel point le pays est scindé. Les voisinages et les écoles américaines sont presque aussi ségrégées que pendant les années 60 du siècle dernier. Selon les sondages, une majorité d’Américains croient que les rapports ethniques s’aggravent.
    Pourquoi ? La réponse orthodoxe est que les Blancs n’ont toujours pas fait suffisamment d’effort pour supprimer leur « racisme ». Pourtant, ce sont les Noirs et les Hispaniques — et de plus en plus les Asiatiques aussi — qui rejettent la conception d’un pays post-ethnique. La solidarité ethnique des minorités est un élément incontournable du paysage politique, et le moyen de pression qu’elle constitue s’est avéré très efficace. Les dirigeants « issus de la diversité » sont tellement habitués à promouvoir des intérêts ouvertement ethniques qu’ils seraient sidérés à l’idée de devoir élargir leur horizon et travailler dans l’intérêt de tous les Américains. Et pourtant, Les États -Unis ne parviendront à dépasser la question ethnique que si tous les Américains—et pas seulement les Blancs—prennent cet objectif à cœur.
    Le présent ouvrage propose de reconsidérer les idées qui ont guidées les États-Unis. Si, génération après génération, les Américains tendent à l’autoségrégation, se pourrait-il que les attentes placées dans la déségrégation aient été déraisonnables ? Si la diversité est une source de tensions, n’est-il pas risqué de fonder des politiques sur la croyance qu’elle est une force ? Si des groupes minoritaires continuent de faire valoir des intérêts communautaires, est-il judicieux que les Européens s’obstinent à agir comme s’ils n’avaient pas eux-mêmes de tels intérêts ?
    Telles sont les questions soulevées par cet ouvrage percutant sur un pays qui a suivi le chemin du multiculturalisme plus longtemps que la France et qui pourrait nous indiquer des mauvais choix à éviter. "

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