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  • L'idéologie du genre contre le sexe !...

    Le nouveau numéro de la revue Eléments (n°145, octobre - décembre 2012) sera en kiosque demain.

    Dans ce numéro, Pascal Esseyric et Patrick Péhèle nous proposent de revenir, avec Gabriel Matzneff, Michel Marmin, Olivier Maulin et Christian Combaz, sur l'affaire Millet et la chasse à l'homme ouverte contre lui par la police de la pensée et ses vigilants... Une affaire, au demeurant, que le numéro précédent avait parfaitement anticipée !

    On trouvera aussi un dossier sur la question du "genre", qui devrait faire date, avec notamment des contributions d'Alain de Benoist et de David L'Epée.

    Vous pouvez aussi le commander ou vous abonner sur le site de la revue : http://www.revue-elements.com.

     

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    Au sommaire du N°145 d'Eléments :

    L’entretien: Myret Zaki : La fin du dollar est programmée 

    En passant par l’Algérie, par Michel Marmin

    Romans noirs, par Pierric Guittaut

    La chronique cinéma de Ludovic Maubreuil

    Une fin du monde sans importance, par Xavier Eman

    Humeurs, par Jacques Aboucaya

    Richard Millet, la chasse à l’homme, par Michel Marmin

    Le goût de la vérité, par Gabriel Matzneff

    L’affaire débute chez les Cosaques, par Olivier Maulin

    L’écrivain, ce héros, par Christian Combaz

    La vérité sur le boson, par Jean-François Gautier

    Qu’est ce que le «Backwoods»?, par Pierric Guittaut

    Christopher Lasch, par Jean de Lavaur

    Costanzo Preve, un portrait, par Yves Branca

    Débat avec Costanzo Preve, propos recueillis par Alain de Benoist

    Chômage, fléau social, par Pierre Barrucand

    Debussy, par Jean-François Gautier

    Dossier : L’idéologie du genre contre le sexe

    Drôle de genre, par Alain de Benoist

    À la recherche du genre perdu, par David L’Épée

    Pourquoi des sexes ?, par Alain de Benoist

    Vive la différence ! par Alain de Benoist

    « Facebook m’a tuer », par Xavier Eman

    A bas les hommes !, par Alain de Benoist

    La culture gay n’est pas une culture, par Pierre Gripari

    Arianna Huffington contre le MLF, propos recueillis par Jean-Claude Valla

    Muséophilie, par Laurent Schang

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  • L'erreur funeste des institutions juives de France...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Jean Robin, cueilli sur son site Enquête&débat et consacré à la question de l'antisémitisme. L'auteur rappelle quelques faits intéressants...

     

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    L’erreur funeste des institutions juives françaises

    Dans les années 80 et 90, les institutions juives françaises ont vu leur intense lobbying parvenir à ses fins, à savoir faire plier à leur désiderata le sommet de l’État français.
    François Mitterrand tout d’abord, qui devait se faire pardonner sa francisque, son amitié avec René Bousquet (principal responsable de la rafle du Vel d’Hiv), et quelques autres broutilles antisémites. Il fut le premier à faire du dîner annuel du CRIF (Conseil Représentatif des Institutions Juives de France) un rendez-vous incontournable, en y envoyant la moitié de son gouvernement. Comble de l’hypocrisie, ce dîner anti-républicain au possible fut qualifié de “républicain” par les spin doctors du pouvoir, alors que la France ne reconnaît qu’une communauté, la communauté nationale. Mitterrand fut aussi le premier Président de la République à manifester dans la rue en tant que Président, ce fut pour l’histoire sordide de Carpentras, une manipulation pour accuser (à tort) le FN d’antisémitisme. C’est enfin sous Mitterrand que fut imposée (et non votée) la loi Gayssot, valorisant ainsi le révisionnisme, et faisant des négationnistes des stars internationales, comme nous le constatons aujourd’hui.
    Jacques Chirac s’engouffra en 1995 dans une des dernières brèches judéomanes laissées par Mitterrand (pour protéger la mémoire de son défunt ami Bousquet), en déclarant l’Etat français responsable de la rafle du Vel d’Hiv (donc en partie de la Shoah), alors que le pays était alors sous occupation nazie. Cette demande de Serge Klarsfeld (en tant que responsable de l’Association des fils et filles de déportés) et des Institutions juives de France, CRIF en tête, allait contribuer par retour de boomerang à développer la repentance, le communautarisme et l’antisémitisme, comme les actions précédentes de Mitterrand.
    Lionel Jospin, en tant que 1er ministre, lors du dîner annuel du CRIF de 1999, accorda plus de 27 000 € à chaque orphelin de déporté juif, oubliant ainsi les orphelins de déportés non-juifs, pourtant beaucoup plus nombreux et n’ayant pas plus choisi leur sort que les orphelins juifs. La discrimination raciale était inscrite dans la loi par décret le 13 juillet 2000, 10 ans jour pour jour après le décret instaurant la loi Gayssot, le 13 juillet 1990. Il fallut attendre les plaintes répétées des organisations de déportés résistants pour obtenir la même indemnisation, sous Jean-Pierre Raffarin, en 2004, et sans rattrapage alors que les orphelins en question étaient déjà âgés, comme mon propre grand-père. Le cynisme fut poussé au paroxysme : on préférait attendre qu’un maximum meure pour ne pas avoir à les indemniser. En tout c’est près d’1 milliard d’euros qui fut ainsi distribué, plus de 300 millions pour les juifs, le reste pour les non-juifs. Aucun média ne vous en a jamais parlé, c’est ce qu’on appelle un tabou de la République. Alors qu’on cherche des millions pour boucher le trou de la dette, l’État a alors accordé un milliard. Et toujours avec la bénédiction des institutions juives.
    Plus grave encore, l’anti-antisémitisme est l’antiracisme qui s’est le plus développé pendant la période 1980-2010, à tel point qu’il est devenu plus grave d’être suspecté à tort d’antisémitisme que d’être réellement communiste. On a hurlé chaque jour ou presque au retour des heures les plus sombres de notre histoire. Les affaires de dénonciation de (faux) antisémitisme se sont multipliées, avec l’amplification de médias craintifs et moutonniers : affaire du RER D (par une mythomane même pas juive), incendie du centre Popincourt (par un ancien salarié juif du centre), poignardage du rabbin Fahri (qui s’est en fait poignardé lui-même pour faire croire à une attaque antisémite), etc.
    Moins il y avait d’antisémitisme classique dans le pays, plus les médias et les institutions juives hurlaient à l’antisémitisme. Mais la montée du véritable antisémitisme, d’origine musulmane et banlieusarde, fut occulté quasiment totalement, malgré des rapports officiels comme le rapport Obin en juin 2004.
    Une première claque de rappel à la réalité fut donnée début 2000, avec l’intifada en Palestine et l’affaire Al Dura sur France 2 qui embrasèrent les banlieues. Le réveil fut si brutal et douloureux pour certains qu’ils en furent excessifs dans leur dénonciation : ainsi Alain Finkielkraut parla de “nuit de cristal à bas bruit”, ne craignant pas de banaliser la véritable nuit de cristal, autrement plus violente. Mais les représentants des institutions juives, et les judéomanes en transe préférèrent au même moment s’acharner sur un homme seul, Renaud Camus, qui avait eu le malheur de critiquer la judéomanie d’une émission à vocation généraliste de France Culture. Laure Adler ne ressentit aucune honte en proclamant : “Renaud Camus est pire qu’Hitler”. Aucun représentant de la “communauté juive” ne s’éleva pour dénoncer cette banalisation du nazisme, donc de la Shoah. Seuls des intellectuels isolés, comme Alain Finkielkraut et Elisabeth Lévy, prirent la défense de l’écrivain pseudo-génocidaire, et se firent très mal voir pour cela.
    Cette série d’erreurs funestes des institutions juives françaises suit le même schéma que le petit garçon qui, par jeu, hurle au loup, ce qui sème la panique parmi les habitants de son village. Jusqu’au jour où, alors qu’un loup véritable se présente à l’orée du bois, il en avertit les villageois qui ne le croient plus. Nous venons de voir des dizaines, peut-être des centaines de musulmans hurler sur les Champs-Elysées, en arabe, et à plusieurs reprises, “égorgeons les juifs”. Une vidéo, visionnée plus de 800 000 fois à ce jour, a gravé dans le marbre numérique cet instant qu’on croyait révolu à jamais en France, après la Shoah. A part Shmuel Trigano, Gilles-William Goldnadel et une poignée d’autres, qui a dénoncé ces horreurs qui, pour le coup, rappellent vraiment les heures les plus sombres de notre histoire ? Serge Klarsfeld ? Non. Le CRIF ? Encore perdu, celui-ci était trop occupé à dénoncer les insupportables stigmatisations des musulmans par les caricatures de Charlie Hebdo et le film anti-islam diffusé sur Youtube. Le véritable antisémitisme est là, devant nos yeux, à l’état brut, décomplexé, comme si rien ne s’était passé entre 1933 et 1945, mais personne ne réagit, et surtout pas les institutions juives françaises. L’antisémitisme est de retour dans le pays, et ces institutions en sont en partie responsables, voilà la vérité.

    Jean Robin (Enquête&débat, 4 octobre 2012)

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  • La culture de l'égoïsme...

    Les éditions Climats viennent de publier La culture de l'égoïsme, un court livre d'entretien entre Christopher Lasch et Cornelius Castoriadis. Le dialogue entre ces deux intellectuels, critiques à la fois du marxisme orthodoxe et du capitalisme, est suivi d'une postface de Jean-Claude Michéa, qui est  un régal d'intelligence et dont les notes sont, comme toujours avec cet auteur, à lire avec la plus plus grande attention...

     

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    "En 1986, la chaîne de télévision anglaise Channel 4 programmait un dialogue entre Cornelius Castoriadis et Christopher Lasch. Jamais rediffusé ni transcrit, inconnu des spécialistes des deux penseurs, cet entretien inédit est une contribution magistrale et extrêmement accessible au débat contemporain sur la crise des sociétés occidentales. Il analyse la naissance d'un nouvel égoïsme, au sortir de la Seconde guerre mondiale et à l'entrée dans la société de consommation.
    Les individus se retranchent de la sphère publique et se réfugient dans un monde exclusivement privé, perdant ainsi le "sens de soi-même (sense of self)" qui rend possible toute éthique. Le sens de soi-même n'existe en effet que lorsque les individus sont dégagés des contraintes matérielles et n'ont plus à lutter pour leur survie. Sans projet, otages d'un monde hallucinatoire sans réalité ni objets (même la science ne construit plus de réalité puisqu'elle fait tout apparaître comme possible), mais dopé par le marketing et les simulacres, les individus n'ont plus de modèles auxquels s'identifier.
    Le double échec du communisme et de la social-démocratie les laissent orphelins de tout idéal politique. Leur moi devient un moi vide (an empty self) que se disputent des lobbies devenus quant à eux les derniers acteurs de la scène politique. L'analyse est noire et féroce, mais elle pourrait avoir été faite hier, tant elle est d'actualité. Un texte très marquant, qui devrait trouver un fort écho."
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  • Pourquoi cette violence des intellos de gauche ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un excellent point de vue d'Uli Wendisch, responsable du site suisse francophone Les Observateurs, consacré à l'affaire des "néo-fachos". La gauche intello-bobo sent la situation lui échapper et s'énerve. La police de la pensée sort les flingues et tire sur tout ce qui bouge, comme on l'a encore vu ces derniers jours à l'occasion de l'ouverture de Boulevard Voltaire, le nouveau site d'opinions de Robert Ménard et Dominique Jamet...

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    Pourquoi cette violence des intellos de gauche ?

    La gauche intellectuelle et journalistique française serait-elle encore plus destructive que la gauche politique au pouvoir. Les dégâts risquent d’être doubles.

    La fin du monopole de l’intelligenstia de gauche

    Pendant des années, des décennies, les intellos de gauche jouissaient d’un quasi monopole de la parole dans le débat public, les journaux, les hebdomadaires et une grande partie des médias audio-visuels. Le cas français illustre de manière archétypique cette situation.

    Hors, depuis quelques temps d’autres voix, d’autres personnages, qui ont d’ailleurs toujours existé,  apparaissent de manière plus visible et parfois bruyante. La révolte contre le politiquement correct et la bien-pensance de gauche se dit ouvertement, publiquement, politiquement et même médiatiquement. Un scandale. Le monopole est menacé, le magistère de gauche est bousculé. Insupportable.

    L’heure est à la critique des critiques

     Comme nous l’avons déjà dit, la fameuse  attitude critique  que revendiquait la gauche n’était en réalité le plus souvent que l’une des variantes du fameux politiquement correct. Or la critique est l’une des activités intellectuelles les plus difficiles, nobles et exigeantes, et non une posture facile de dénigrement et de mépris de tout discours différent cherchant à remplir  au mieux ces exigences, notamment la recherche de la vérité, même si elle est désagréable et ne correspond pas aux au prêt-à-penser de gauche.

    Confrontés à ces nouvelles exigences, les critiques de gauche se sentent menacés. En effet, l’heure est à la critique des critiques, à la critique  de ceux qui se croyaient être seuls capables de cette activité; activité qui est devenue chez eux une activité paresseuse consistant le plus souvent en un simple alignement idéologique  sur la gauche. Cela marchait tant qu’ils avaient le monopole, mais la concurrence fait apparaître leur misère, partialité et indigence prétentieuse au grand jour.

    La gauche intellectuelle perd son magistère et devient violente

     C’est là qu’il faut chercher l’origine de cette violence qui mérite d’être illustrée, tant elle est fanatique, inquiétante… Nous ne pouvons accepter que des médiocres, jaloux et devenus impuissants, viennent gâcher l’image de l’ensemble de l’activité intellectuelle et journalistique.

    La  critique de ces pseudo-critiques ne sera pas facile car plus une analyse est simpliste et caricaturale, plus elle devient arrogante et violente. Cette rage dénigrante se crie sur le mode de l’intimidation, de la culpabilisation. La surenchère dans le dénigrement  devient même l’objet d’un concours dans lequel croit l’emporter celui qui tire la charge la plus virulente et grossière. Les  vrais fascistes excellaient  dans cet emballement ordurier.

    Le Nouvel Obs: qu’il est difficile de vieillir

    C’est par exemple le Nouvel Observateur (20 septembre 2012) qui donne à haïr ceux qui osent critiquer les prétendus critiques en leur coupant la tête sur la page couverture, têtes présentées sur toute la page, dans le style wanted, avec ce titre digne des délateurs professionnels: «Les néo-facho et leurs amis», toujours en très grand  au travers de la même page qui offre leurs têtes!

    La gauche intellectuelle et journalistique française serait-elle encore plus destructive que la gauche politique au pouvoir. Les dégâts risquent d’être doubles: dégradation du pays et de la vie intellectuelle. Avec elle, en tout cas, difficile de croire à l’avenir radieux. A l’avenir tout court.

    Et si tout cela n’avait été que mensonge idéologique intéressé et qu’il faille maintenant reconstruire? C’est ce à quoi nous essayons aussi de participer.

    Il faut illustrer un peu ce travail de bas étage car on doit relire deux fois certains propos tant cela paraît incroyable.

    Tel écrivain, certes audacieux et critiquable, Richard Millet, «révèle les contours d’une nébuleuse brune». Pour la gauche, celui qui est à son opposé et qui conteste son magistère est nécessairement «facho». Si quelqu’un ne progresse pas, c’est bien la gauche intellectuelle; en fait elle régresse, gravement.

    Etre patriote et aimer son pays: interdit?

    Valoriser l’identité nationale, ressentir et défendre le patriotisme, critiquer certains aspects de l’immigration qui n’étaient pas prévisibles il y a quelques années encore, certains aspects de l’islam, voilà le grand interdit de la gauche. Qui y touche est automatiquement brun, non plus de chemise mais d’esprit. On n’a pas le droit de critiquer l’unilatéralité de l’antiracisme, une attitude obligée, inconditionnelle, au risque bien sûr d’être un raciste congénital, raciste et rassis dans son attachement patriotique.

    Telle journaliste à l’esprit authentiquement critique, et revendiquant une liberté d’expression effective (E. Lévy), devient avec son site Causeur.fr, un site remarquable, une «officine de blanchiment d’idées sales.. ». Rien que cela. Manque juste le terme de criminelle.

    La surenchère dans la détestation: la dernière mode

    Le plus détesté en ce moment est évidemment Richard Millet avec son court texte sur le tueur en série norvégien Anders Behring Breivik. Les actes de Breivik, totalement monstrueux, ont évidemment quelque chose à voir  avec les effets pervers du multiculturalisme, avec les problèmes posés par une présence grandissante  de la population musulmane et le délitement concomitant de l’identité nationale, même si ces actes  atroces  sont à condamner  avec la fermeté la plus absolue,

    Voir dans les actes de Breivik une «perfection formelle et une dimension littéraire» est certainement choquant et pas évident à admettre, mais est-ce pour autant «une rhétorique  familière du nazisme et du fascisme qui martelait que les Juifs étaient responsables  de la Seconde guerre mondiale»?

    La rhétorique de Millet ressasse-t-elle, pour autant, «les leitmotive réactionnaires d’avant guerre: décadence, métissage, atteinte à l’essence française et à la «pureté»  de la langue, réification de la «race»? Retrouve-t-on là «les intellectuels collabos de la dernière guerre»?

    Pourquoi tant de haine? se demande-t-on à chaque fois.

     Notre époque est confrontée à des problèmes redoutables, graves, nouveaux, imprévisibles pour certains il y a peu encore, et qui ne sont pas compréhensibles dans les schémas anciens du marxisme et du socialisme de la gauche bobo. Le dénigrement et l’emballement haineux ne sont ici d’aucun secours et l’on peut déjà dire que ce ne sont pas les haïsseurs enragés qui vont apporter quelque lumière pour comprendre et agir.

    On guérit rarement de la sénilité

     La sénilité devient de plus en plus méchante et destructive.

    Avant la reconstruction, il faut nécessairement  une critique de ces critiques haineux d’autant plus radicale qu’ils veulent à tout prix garder un monopole qui s’étiole. C’est ce qui les perdra et les rendra insignifiants, avant qu’ils ne se réduisent à une secte, même plus dangereuse car autoréférente, jusqu’à l’implosion.

    Le musée des antiquités idéologiques vous attend

     Au travail, donc! sur tous les fronts, sans tabou, sans retenue bien-pensante et sans égard envers les «anti-fascistes», «anti-nazis»,  anti- etc, d’une autre époque. L’affrontement est inévitable, comme le sera l’enrichissement des musées des antiquités idéologiques qui attendent de se meubler d’une nouvelle espèce en voie de disparition.

    Uli Windisch (Les Observateurs,  9 octobre 2012)

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  • Tour d'horizon... (34)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Boulevard Voltaire, Jean-Yves Le Gallou dénonce une illusion politico-économique à la mode ;

    L'illusion du choc de compétitivité

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     - sur Ria Novosti, Alexandre Latsa nous rappelle ce qui différencie Vladimir Poutine des ectoplasmes qui nous gouverne en Europe de l'Ouest...

    Pourquoi Vladimir Poutine ?

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  • A propos de la médiacratie...

    Vous pouvez regarder ci-dessous un entretien entre Benjamin Dormann, auteur de Ils ont acheté la presse (Jean Picollec, 2012) et Claude Chollet, président de l'Observatoire des journalistes et de l'information médiatique, consacré aux relations incestueuses existant entre le monde des médias, celui de la finance et celui de la politique.


    Claude Chollet / Benjamin Dormann - "Ils ont... par Agence2Presse

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