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Membre fondateur de Génération identitaire, Julien Langella est déjà l'auteur de deux essais, La jeunesse au pouvoir (Rubicon, 2015) et Catholique et identitaire (DMM, 2017).
Les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de publier un essai de Julien Langella intitulé Refaire un peuple - Pour un populisme radical. Membre fondateur de Génération identitaire, Julien Langella est déjà l'auteur de deux essais, La jeunesse au pouvoir (Rubicon, 2015) et Catholique et identitaire (DMM, 2017).
" Voici un livre fondateur qui s’adresse à la nouvelle génération de cadres conservateurs et à tous les cœurs rebelles qui ne consentent pas à la mort programmée de leur civilisation. Renforcer leur structure de pensée et les pousser à l’action, c’est l’objectif assumé de Julien Langella, qui signe un manifeste ambitieux et fédérateur. S’y livrant à une critique approfondie du capitalisme mondialisé, il renvoie dos à dos la tyrannie de l’étatisme et la sauvagerie libérale. Résolument populiste et identitaire, il appelle de ses vœux une révolution du local contre le global, prélude à la renaissance de nos patries charnelles. Plus encore qu’un programme, c’est une exhortation à la pratique radicale et à l’action concrète, sur tous les fronts. Refaire notre peuple commence dès maintenant. À chacun d’y œuvrer sans relâche. "
Accueil | 2020 : la nature comme socle, pour une écologie à l’endroit
2020 : la nature comme socle, pour une écologie à l’endroit
Colloque de l'Institut Iliade
La nature comme socle,
pour une écologie à l’endroit
Samedi 19 septembre 2020 de 10h00 à 18h30 Maison de la Chimie, 28 rue Saint-Dominique 75007 Paris
L’idéologie libérale-libertaire étend aujourd’hui ses ravages : elle arraisonne la nature et défigure sans pitié notre monde au nom de la logique marchande, tout en promouvant une écologie mondialiste délirante, déterminée à culpabiliser les Européens, pour mieux « déconstruire » leur identité et leurs traditions. Les mêmes fanatiques appellent aujourd’hui de leur vœux une gouvernance globale destinée à « sauver la planète », tout en souhaitant l’avènement d’une société éclatée, où des individus sans racines pourront s’affranchir des déterminismes biologiques ou des liens héréditaires, culturels et historiques.
L’heure est venue de remettre l’écologie à l’endroit. Pendre la nature comme socle, c’est reconnaître la diversité du monde : la différence des sexes, la pluralité des peuples et des cultures, la variété des paysages. C’est reconnaître les lois de la filiation. C’est consentir à recevoir et à donner la vie. Entre chaque peuple et la terre qu’il habite existe un lien immémorial : la nature est le socle de notre identité, le lieu où se dévoile notre vision du sacré et l’espace au sein duquel s’ordonne notre cité.
Les peuples d’Europe sont porteurs d’un héritage biologique et culturel particulier. Ils sont fondés à vouloir transmettre cet héritage dans le cadre civilisationnel qui est le leur, notamment à travers l’institution de la famille, gardienne de la mémoire et de l’hérédité.
Les peuples européens ont évolué dans un espace géographique donné, au milieu d’un certain type de nature qui les a inspirés, et qui continue de déterminer leur être profond, y compris dans sa dimension sauvage où le sacré se donne à voir et à éprouver : c’est au milieu de cette nature que nos plus grands artistes ont perçu la présence du divin, et l’ont rendue manifeste dans leurs œuvres.
Les peuples européens ont ordonné, habité cet espace de manière créatrice, modelant cet environnement naturel selon leur génie propre. Il nous faut aujourd’hui nous réapproprier une manière spécifiquement européenne de façonner notre environnement : nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend. Venez nombreux au colloque 2020 de l’Institut ILIADE !
Programme :
Ouverture des portes : 9h30 Début des interventions : 10h00
Propos introductif : ► Philippe Conrad « L’homme, les titans et les dieux » : le regard des Grecs sur la nature ► Rémi Soulié L’homme sans racines : universalisme, transhumanisme, fantasme de l’illimité ► François Bousquet avec Michel Maffesoli Nature, culture, génétique : une anthropologie réaliste pour une écologie à l’endroit. ► Henri Levavasseur L’homme européen, architecte de la nature : comment nos ancêtres ont façonné nos paysages ► Jean-Philippe Antoni
Pause méridienne : de 12h30 à 14h00
La nature, notre philosophe intérieur ► Slobodan Despot Monts affreux ou monts sublimes ? L’alpinisme, une école de vie ► Anne-Laure Blanc Pour une écologie enracinée : localisme et mise en valeur des terroirs ► Table ronde animée par Fabien Niezgoda avec Hervé Juvin et Julien Langella L’animal n’a pas de droits, nous avons des devoirs envers lui ► Alain de Benoist Chasse et ressourcement dans le monde sauvage (le « recours aux forêts », vision de la nature chez Dominique Venner) ► Lionel Rondouin Face à l’écologie hors-sol, pour une écologie enracinée ► Jean-Yves Le Gallou
Fin des interventions : 18h30 Fermeture des portes : 19h00
Ouverture des portes : 9h30 Début des interventions : 10h00
Propos introductif : ► Philippe Conrad « L’homme, les titans et les dieux » : le regard des Grecs sur la nature ► Rémi Soulié L’homme sans racines : universalisme, transhumanisme, fantasme de l’illimité ► François Bousquet avec Michel Maffesoli Nature, culture, génétique : une anthropologie réaliste pour une écologie à l’endroit. ► Henri Levavasseur L’homme européen, architecte de la nature : comment nos ancêtres ont façonné nos paysages ► Jean-Philippe Antoni
Pause méridienne : de 12h30 à 14h00
La nature, notre philosophe intérieur ► Slobodan Despot Monts affreux ou monts sublimes ? L’alpinisme, une école de vie ► Anne-Laure Blanc Pour une écologie enracinée : localisme et mise en valeur des terroirs ► Table ronde animée par Fabien Niezgoda avec Hervé Juvin et Julien Langella L’animal n’a pas de droits, nous avons des devoirs envers lui ► Alain de Benoist Chasse et ressourcement dans le monde sauvage (le « recours aux forêts », vision de la nature chez Dominique Venner) ► Lionel Rondouin Face à l’écologie hors-sol, pour une écologie enracinée ► Jean-Yves Le Gallou
Fin des interventions : 18h30 Fermeture des portes : 19h00
L’idéologie libérale-libertaire étend aujourd’hui ses ravages : elle arraisonne la nature et défigure sans pitié notre monde au nom de la logique marchande, tout en promouvant une écologie mondialiste délirante, déterminée à culpabiliser les Européens, pour mieux « déconstruire » leur identité et leurs traditions. Les mêmes fanatiques appellent aujourd’hui de leur vœux une gouvernance globale destinée à « sauver la planète », tout en souhaitant l’avènement d’une société éclatée, où des individus sans racines pourront s’affranchir des déterminismes biologiques ou des liens héréditaires, culturels et historiques.
L’heure est venue de remettre l’écologie à l’endroit. Pendre la nature comme socle, c’est reconnaître la diversité du monde : la différence des sexes, la pluralité des peuples et des cultures, la variété des paysages. C’est reconnaître les lois de la filiation. C’est consentir à recevoir et à donner la vie. Entre chaque peuple et la terre qu’il habite existe un lien immémorial : la nature est le socle de notre identité, le lieu où se dévoile notre vision du sacré et l’espace au sein duquel s’ordonne notre cité.
Les peuples d’Europe sont porteurs d’un héritage biologique et culturel particulier. Ils sont fondés à vouloir transmettre cet héritage dans le cadre civilisationnel qui est le leur, notamment à travers l’institution de la famille, gardienne de la mémoire et de l’hérédité.
Les peuples européens ont évolué dans un espace géographique donné, au milieu d’un certain type de nature qui les a inspirés, et qui continue de déterminer leur être profond, y compris dans sa dimension sauvage où le sacré se donne à voir et à éprouver : c’est au milieu de cette nature que nos plus grands artistes ont perçu la présence du divin, et l’ont rendue manifeste dans leurs œuvres.
Les peuples européens ont ordonné, habité cet espace de manière créatrice, modelant cet environnement naturel selon leur génie propre. Il nous faut aujourd’hui nous réapproprier une manière spécifiquement européenne de façonner notre environnement : nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend. Venez nombreux au colloque 2020 de l’Institut ILIADE !
L’idéologie libérale-libertaire étend aujourd’hui ses ravages : elle arraisonne la nature et défigure sans pitié notre monde au nom de la logique marchande, tout en promouvant une écologie mondialiste délirante, déterminée à culpabiliser les Européens, pour mieux « déconstruire » leur identité et leurs traditions. Les mêmes fanatiques appellent aujourd’hui de leur vœux une gouvernance globale destinée à « sauver la planète », tout en souhaitant l’avènement d’une société éclatée, où des individus sans racines pourront s’affranchir des déterminismes biologiques ou des liens héréditaires, culturels et historiques.
L’heure est venue de remettre l’écologie à l’endroit. Pendre la nature comme socle, c’est reconnaître la diversité du monde : la différence des sexes, la pluralité des peuples et des cultures, la variété des paysages. C’est reconnaître les lois de la filiation. C’est consentir à recevoir et à donner la vie. Entre chaque peuple et la terre qu’il habite existe un lien immémorial : la nature est le socle de notre identité, le lieu où se dévoile notre vision du sacré et l’espace au sein duquel s’ordonne notre cité.
Les peuples d’Europe sont porteurs d’un héritage biologique et culturel particulier. Ils sont fondés à vouloir transmettre cet héritage dans le cadre civilisationnel qui est le leur, notamment à travers l’institution de la famille, gardienne de la mémoire et de l’hérédité.
Les peuples européens ont évolué dans un espace géographique donné, au milieu d’un certain type de nature qui les a inspirés, et qui continue de déterminer leur être profond, y compris dans sa dimension sauvage où le sacré se donne à voir et à éprouver : c’est au milieu de cette nature que nos plus grands artistes ont perçu la présence du divin, et l’ont rendue manifeste dans leurs œuvres.
Les peuples européens ont ordonné, habité cet espace de manière créatrice, modelant cet environnement naturel selon leur génie propre. Il nous faut aujourd’hui nous réapproprier une manière spécifiquement européenne de façonner notre environnement : nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend. Venez nombreux au colloque 2020 de l’Institut ILIADE !
L’idéologie libérale-libertaire étend aujourd’hui ses ravages : elle arraisonne la nature et défigure sans pitié notre monde au nom de la logique marchande, tout en promouvant une écologie mondialiste délirante, déterminée à culpabiliser les Européens, pour mieux « déconstruire » leur identité et leurs traditions. Les mêmes fanatiques appellent aujourd’hui de leur vœux une gouvernance globale destinée à « sauver la planète », tout en souhaitant l’avènement d’une société éclatée, où des individus sans racines pourront s’affranchir des déterminismes biologiques ou des liens héréditaires, culturels et historiques.
L’heure est venue de remettre l’écologie à l’endroit. Pendre la nature comme socle, c’est reconnaître la diversité du monde : la différence des sexes, la pluralité des peuples et des cultures, la variété des paysages. C’est reconnaître les lois de la filiation. C’est consentir à recevoir et à donner la vie. Entre chaque peuple et la terre qu’il habite existe un lien immémorial : la nature est le socle de notre identité, le lieu où se dévoile notre vision du sacré et l’espace au sein duquel s’ordonne notre cité.
Les peuples d’Europe sont porteurs d’un héritage biologique et culturel particulier. Ils sont fondés à vouloir transmettre cet héritage dans le cadre civilisationnel qui est le leur, notamment à travers l’institution de la famille, gardienne de la mémoire et de l’hérédité.
Les peuples européens ont évolué dans un espace géographique donné, au milieu d’un certain type de nature qui les a inspirés, et qui continue de déterminer leur être profond, y compris dans sa dimension sauvage où le sacré se donne à voir et à éprouver : c’est au milieu de cette nature que nos plus grands artistes ont perçu la présence du divin, et l’ont rendue manifeste dans leurs œuvres.
Les peuples européens ont ordonné, habité cet espace de manière créatrice, modelant cet environnement naturel selon leur génie propre. Il nous faut aujourd’hui nous réapproprier une manière spécifiquement européenne de façonner notre environnement : nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend. Venez nombreux au colloque 2020 de l’Institut ILIADE !
Vous pouvez découvrir ci-dessous une vidéo de Julien Langella consacrée à la question de l'enracinement, ou du ré-enracinement. Membre fondateur de Génération identitaire, Julien Langella est déjà l'auteur de deux essais, La jeunesse au pouvoir (Rubicon, 2015) et Catholique et identitaire (DMM, 2017).
La revue Réfléchir et agir publie dans son nouveau numéro (n°51 - automne 2015), disponible en kiosque, un dossier sur l'industrie du spectacle...
Au sommaire du dossier :
Guy Debord un stratège contre le spectacle, par Georges Feltin-Tracol
Entretien avec Charles Robin
Télé-réalité, l'industrie de la pourriture , par Eugène Krampon
Quelle définition peut-on donner de la société du spectacle, par Francis Cousin
L'esprit Canal, entre grandeur et décadence, par Wilsdorf
La sidération par le cinéma, par Randolph Carter
Entretien avec Julien Langella
De la nécessité de s'extraire de la société du spectacle, par Fañch Parkoù
On trouvera aussi des articles sur Le Corbusier , sur Akira Kurosawa ou sur sur François Duprat, et de nombreuses notes de lectures et une rubrique musique...
Les éditions du Rubicon viennent de publier un essai de Julien Langella intituléLa jeunesse au pouvoir. Âgé de 27 ans, Julien Langella est un des fondateurs du mouvement Génération identitaire. L'ouvrage est complété par le texte de deux entretiens inédit avec Alain de Benoist et Dominique Venner.
" Il est des mots que l'on n'ose prononcer tant ils ont été galvaudés, dévoyés, manipulés, torturés pour finalement être vidés de leur sens et agités comme de vulgaires slogans publicitaires ou de piteux caches-sexe. C'est le cas de « jeunesse », terme martyr utilisé pour qualifier tantôt les hordes banlieusardes déculturées, tantôt les zombies toxicomanes sous perfusion de stupéfiants ou de divertissements technologiques. Mais, malgré ces dérives, il reste un mot trop magnifique, trop fondamental et grandiose pour être abandonné et c'est le grand mérite de Julien Langella que de le brandir à nouveau et de tenter de le remettre à la place qu'il mérite : la première. Car dans un monde épuisé, croulant sous le poids des forfaits et des trahisons d'une gérontocratie sénile et veule, seule l'étincelle de la jeunesse peut déclencher le grand incendie révolutionnaire qui est devenu un impératif de survie. Une jeunesse qui est avant tout une disposition du cœur et de l'âme, encore plus qu'une date de naissance, et que l'on pourrait définir comme le contraire de la bourgeoisie. Est jeune celui qui n'a pas été atteint, et donc souillé, par l'esprit bourgeois. "