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wokisme - Page 4

  • Feu sur la désinformation... (440)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro hors-série de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Floriane Jeannin

     

                                                 

    Sommaire :

    Les programmes de France TV en lutte contre l’homophobie

    "Un si grand soleil" - "Plus belle la vie" : le service public vous endoctrine

    Films : "Monsieur le Maire", un film français dans l’agenda migratoire

    Disney : un géant dans la tourmente Woke

    Netflix : un cahier des charges pro LGBTQIA+

    BBC - "Horrible History", l’histoire réécrite pour la diversité

    Conclusion

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  • Comment redevenir des hommes ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donné à Boulevard Voltaire par Laurent Obertone à l'occasion de la sortie de son dernier essai intitulé Raisonnablement sexiste (Magnus, 2023), dans lequel il évoque sans détour l'impasse du wokisme et du féminisme radical, le danger de la suppression des genres et des sexes, les questions d'ADN et de génétique.

    Journaliste, Laurent Obertone est l'auteur de trois enquêtes essentielles, La France Orange mécanique (Ring, 2013), La France Big Brother (Ring, 2015) et La France interdite (Ring, 2018), qui ont contribué à fissurer l'édifice du politiquement correct, ainsi que du récit Utøya (Ring, 2013). Il a publié récemment un essai intitulé Game over - La révolution antipolitique (Magnus, 2022).

     

                                           

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  • La liberté académique à l'agonie ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Emmanuelle Hénin, professeur de littérature comparée à la Sorbonne, cueilli sur Figaro Vox et consacré aux pressions idéologiques faites sur les universités pour leur interdire de transmettre et développer librement le savoir.

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    «La liberté académique, victime collatérale de l'idéologie à l’université»

    En cette rentrée universitaire, plusieurs conférences se penchent sur la liberté académique. À l'université Versailles Saint-Quentin, une conférence-débat était intitulée «Savoir et censure, où en sont nos libertés académiques ?». À Bordeaux se sont tenues deux journées de tables rondes sur la question : «Engagement et distanciation. Quelle place pour la liberté académique en sciences sociales ?». Cette liberté exigeante, soumise aux critères de la rationalité, est en effet de plus en plus dévoyée et contestée, comme l'ont mis en évidence les récents travaux d'Olivier Beaud et de Nathalie Heinich. Certains chercheurs sont empêchés de l'exercer tandis que d'autres la pervertissent en substituant l'activisme politique à la quête du vrai. Dès 1997, l'Unesco se disait «préoccupée par la vulnérabilité de la communauté universitaire à l'égard des pressions politiques indésirables qui pourraient porter atteinte aux libertés académiques», et jugeait utile de rappeler : «les universités sont des communautés d'érudits qui ont pour mission de préserver et de diffuser le savoir traditionnel et la culture, d'exprimer librement leur opinion à ce sujet et de poursuivre leur quête de la connaissance sans être entravés par des impératifs doctrinaires».

    Ces «pressions indésirables» se multiplient pourtant dans le monde académique. Apparues en Amérique du Nord, elles y ont pris une ampleur sidérante. L'Association américaine d'anthropologie (AAA), reconnue comme la plus grande société savante américaine dans ce domaine, travaillant en partenariat étroit avec plusieurs départements universitaires, vient d'annuler au dernier moment une conférence intitulée : «Let's talk about sex baby» et sous-titrée : «Pourquoi le sexe biologique reste une catégorie d'analyse indispensable en anthropologie». Dans la foulée, l'Association a promis de «s'assurer que de tels débats à propos de la réalité et de l'importance du sexe ne pourront plus être approuvés à l'avenir». En effet, explique le site, l'existence du sexe heurte le premier principe éthique de l'Association : ne pas blesser (do no harm). Quand la vérité blesse, le mensonge est donc le premier devoir du savant, peu importe que l'on offense, que l'on meurtrisse même l'objectivité scientifique puisqu'elle n'a pas de larmes pour pleurer.

    Cet aveuglement se développe aujourd'hui en France, pays qui fut longtemps, pour le monde, celui de la liberté de l'esprit. Là aussi, souvent, la subjectivité prend le pas sur la rationalité, l'affirmation brutale des droits piétine la liberté d'expression et violente la réalité. Depuis un an, tous les colloques et conférences visant à porter un regard scientifique sur le phénomène transgenre ont été annulés ou perturbés, telle la journée d'études du 22 juin dernier où plusieurs juristes de Paris I et Paris II ont essuyé des jets de peinture et de clous. Les activistes se sentent d'autant plus dans leur droit qu'ils obéissent à l'idéologie imposée au sein des départements de sciences humaines par le zèle intolérant des «académo-militants».

    La Sorbonne, censée mettre en valeur et déployer le génie de notre langue, s'attaque à elle. Oubliant qu'elle est au principe de l'esprit et de la liberté, elle ne veut y voir qu’un vecteur d'oppression et concourt ainsi à la dévaluer autant qu'à l'enlaidir. Elle se targue en effet, sur son site, d'adopter «l'écriture égalitaire», ce bégaiement inclusif («les étudiantes et étudiants présentes et présents») fondé sur une pseudo-linguistique qui attribue au langage le pouvoir magique de penser à notre place et de déterminer les faits sociaux. Le même déni de réalité la conduit à promouvoir l'idéologie du genre ; le site insiste sur la nécessité de «lutter contre les stéréotypes de genre», c'est-à-dire contre l'étrange lubie consistant à attribuer aux hommes et aux femmes «des caractéristiques supposées “naturelles”».

    De même, la Mission égalité – qui combat à juste titre toute forme de harcèlement – organise des formations et des spectacles interactifs dont les participants sont invités à se demander «Comment interroger les assignations de genre», ce concept militant soutenant que le sexe est attribué arbitrairement à la naissance, ou à «identifier la confiscation de la prise de parole des femmes» – en Iran ? En Afghanistan ? Non, non : en France, bien sûr. De même, un petit film, chef-d’œuvre de démagogie, a été réalisé pour alerter sur les biais sexistes dans le recrutement des universitaires. Les présidents de tous les comités de sélection sont vivement incités à le projeter avant chaque élection ; peu importe que dans les départements de sciences humaines, la proportion de femmes varie de la moitié aux trois quarts, voire davantage.

    Certaines universités tendent ainsi à renier leur mission pour s'enrôler dans une guerre idéologique, visant à imposer l'idée que les rapports sociaux se résument à la domination des ci-devant «hommes» sur les ci-devant «femmes» et à détruire tous les repères anthropologiques en portant aux nues les hommes enceints et les femmes à pénis après avoir banni les mots «père» et «mère». Comme dans le lexique du Planning familial, les termes «Monsieur» et «Madame» peuvent être considérés comme des injures : pour les avoir prononcés en saluant son jury, un brillant candidat a été saqué au concours d'une grande école, et les cas se multiplient de discrimination pour pensée non conforme. Le simple fait d'organiser un colloque hétérodoxe et de publier dans Le Figaro peut vous valoir un rappel à l'ordre pour infraction à la déontologie, faux nez de l'idéologie.

    La conception du monde qui anime toutes les dérives précitées, le wokisme, est une idéologie en ce qu'elle est essentiellement incohérente : elle croit voir, elle s'aveugle, elle croit émanciper, elle aliène, elle croit libérer, elle censure, elle croit inclure, elle divise. Au lieu de voir le mur auquel aboutit l'impasse post-moderne, elle fonce dedans tête baissée. Les universités ont été créées pour transmettre et faire avancer le savoir, pas pour promouvoir la servitude volontaire. Il est temps que la liberté académique reprenne tous ses droits.

     

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  • Feu sur la désinformation... (437)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Floriane Jeannin

     

                                                

    Au sommaire :

    La météo de l’info

    L’image de la semaine : Macron aux radars

    Le dossier : Punaises de lit : elles sont partout !

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    Les pastilles de l’info :

    Jean-Pierre Elkabbach est mort !

    La ministre de la culture sur les lectures « DragQueen »

    France Inter et le « Wokisme »

    Un chien plutôt qu’un enfant

    Patrick Sébastien un homme blanc de plus de 50 ans

    Le traitement de Civitas versus La Jeune garde antifasciste

    Chapô - L’honneur avant la vie : L’éloge du duel, de Bernard Lugan

    Conclusion

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    Portrait piquant : Julien Pain

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  • L'honneur au-dessus de la vie...

    Les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de publier un essai polémique de Bernard Lugan intitulé Éloge du duel - L'honneur au-dessus de la vie.

    Historien et africaniste, Bernard Lugan a publié de nombreux ouvrages, dont Histoire de l'Afrique (Ellipses, 2009), Atlas historique de l'Afrique (Rocher, 2018), Esclavage, l'histoire à l'endroit (L'Afrique réelle, 2020) et dernièrement Pour répondre aux « décoloniaux », aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentance (L'Afrique réelle, 2021).

    Il est également l'auteur de deux romans avec Arnaud de Lagrange, Le safari du Kaiser (La Table ronde, 1987) et Les volontaires du Roi (réédition : Balland, 2020) ainsi que d'un récit satirique, Le Banquet des Soudards (La Nouvelle Librairie, 2020).

     

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    " Une société qui sait se tenir ne craint pas de recourir aux armes pour régler ses différends, d’homme à homme. La nôtre l’a oublié, au bénéfice des couards, qui n’ont plus à payer le prix de leur impudence, sinon en frais de justice. Il y a fort à parier que certains journalistes ravaleraient leurs provocations et montreraient une salutaire prudence si leurs écrits les engageaient sur le pré… L’Éloge du duel, loin de célébrer la force brute, est tout au contraire une invitation à revenir à une civilisation réglée par le code de l’honneur, faite d’hommes trempés comme l’acier et de femmes qui se battent seins nus. Universitaire et mousquetaire dans l’âme, Bernard Lugan retrace l’histoire de cette noble institution et défend les valeurs viriles contre les velléités castratrices du wokisme. "

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  • Raisonnablement sexiste...

    Les éditions Magnus viennent de publier un nouvel essai de Laurent Obertone intitulé Raisonnablement sexiste - Remettre les hommes et les femmes à leur place.

    Journaliste, Laurent Obertone est l'auteur de trois enquêtes essentielles, La France Orange mécanique (Ring, 2013), La France Big Brother (Ring, 2015) et La France interdite (Ring, 2018), qui ont contribué à fissurer l'édifice du politiquement correct, ainsi que du récit Utøya (Ring, 2013). Il a publié récemment un essai intitulé Game over - La révolution antipolitique (Magnus, 2022).

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    " Jamais les hommes et les femmes n’ont été à ce point malmenés, niés, séparés les uns des autres, par une époque qui semble jurer leur perte. Une relation déjà difficile, chaque jour un peu plus empoisonnée. D’un côté les salauds qu’il faut déconstruire, de l’autre les malheureuses oppressées, victimes du patriarcat sexiste. 

    Féminisme Netflix, wokisme « non binaire », théorie du genre dans les écoles… L’évolution des rapports amoureux, de la sexualité, des familles et des couples s’avère catastrophique. 

    Il est temps de renverser la vapeur. 

    Spécialiste des vérités qui dérangent, Laurent Obertone rompt une nouvelle fois avec le dogme, pulvérise les tabous, et nous plonge dans un bain de réel. 

    Comprendre les hommes et les femmes, les ramener à leurs particularités et aspirations fondamentales, pour mieux les réconcilier, les unir et les accomplir. Lecteurs et lectrices, voici l’heure du bilan sans concession, et du traitement de choc. Dans cette tragédie dont nous sommes les héros, vous seuls pouvez remettre les choses à l’endroit. 

    Tel est l’objet de ce livre décapant. 

    Tel sera le tombeau du politiquement correct. "

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