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  • La grande dissimulation...

    Les éditions du Toucan viennent de publier dans leur collection  L'Artilleur un essai de Christopher Booker et Richard North intitulé La grande dissimulation, et préfacé par Jacques Sapir. Christopher Booker est journaliste au Sunday Telegraph et Richard North est économiste et consultant pour le gouvernement sur les questions européennes.

     

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    " Quel est le lien entre la CECA et l'occupation de la Rhénanie en 1923 ? Pourquoi le ministre Loucheur tenta-t-il de mobiliser Monnet de force pendant la Première Guerre Mondiale ? Comment l'Allemagne obtint-elle la renucléarisation secrète dès les années 50 ? Quelles furent les raisons de la chute de Kohl ? Comment fait-on craquer les chefs d'Etat lors des Conférences Intergouvernementales ? Comment fonctionnent les lobbies bruxellois ? Comment et pourquoi les Américains brisèrent-ils le Commonwealth ? Voici quelques unes des questions dont les réponses les plus surprenantes se trouvent dans l'ouvrage. En adoptant le point de vue anglais qui n'a jamais le droit de cité dans les médias français, ce livre exceptionnel brosse le portrait le plus exhaustif de la construction européenne, des origines jusqu'à l'échec du référendum de 2005 et au scrutin mémorable de ce mois de juin 2016.

    Outre une présentation en creux de la vie politique anglaise depuis 1945 (difficile à trouver avec une telle qualité en français), on est témoin progressivement de la « révolution de gouvernement » qu'impose la construction européenne et de la manière dont le pouvoir administratif supplante le pouvoir parlementaire. Ceci assure l'originalité du propos puisque l'Angleterre, habituellement qualifiée de « cheval de Troie américain » apparait de manière bien plus nuancée. Les comportements de De Gaulle, Monnet, Kohl, Delors ou Adenauer y sont présentés sous un jour nouveau, totalement méconnu du lecteur francophone. L'échec de la méthode communautaire apparait comme patent non pas au nom d'une condamnation idéologique mais au nom de son simple bilan. "

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  • Une insurrection des peuples qui menace les élites occidentales !...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une chronique d'Éric Zemmour sur RTL, datée du 28 juin 2016 et consacrée au vote du peuple britannique en faveur du Brexit et aux enseignements qu'il est permis d'en tirer...

     


    Brexit : Le vote anglais suscite de nombreuses... par rtl-fr

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  • Comment reconstruire les économies nationales en Europe ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous l'allocution prononcée par Hervé Juvin au colloque organisé par la Fondation pour une Europe des Nations et des Libertés, le 14 mai 2016 à Paris. Hervé Juvin intervenait sur le thème "Comment reconstruire les économies nationales en Europe ?"...

     

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  • Juvin en liberté !... (3)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous la compilation de l'émission Juvin en liberté, sur TV libertés, pour la semaine du 9 au 15 mai. 

    Économiste de formation, Hervé Juvin a publié ces dernières années plusieurs essais particulièrement marquants, dont nous vous recommandons la lecture, comme Le renversement du monde (Gallimard, 2010), La grande séparation - Pour une écologie des civilisations (Gallimard, 2013) ou Le Mur de l'Ouest n'est pas tombé (Pierre-Guillaume de Roux, 2015).

     

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  • Radioscopie de ce que l’on sait maintenant des ratés de l’antiterrorisme...

    Nous reproduisons ci-dessous une analyse du criminologue Xavier Raufer, cueillie sur Atlantico et consacré aux ratés des services antiterroristes français...

     

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    Attentat du 13 novembre, deux mois après : radioscopie de ce que l’on sait maintenant des ratés de l’antiterrorisme

    Une police et des militaires épuisés, dont nombre des cadres et chefs n'ont pas eu un jour de repos - fêtes incluses - depuis le 13 novembre ; au front depuis désormais 60 jours. Des acteurs de l'antiterrorisme plus inquiets encore qu'à l'automne passé, à mesure qu'ils réalisent qu'au-delà de nos frontières, l'Union européenne perd le contrôle de ses territoires et frontières.

    Tétanisées, vouées aux bienséances et aux chamailleries, les impuissants de Bruxelles ont vu le tsunami d'un million de "migrants" déferler sur l'Europe. Tel est le niveau "macro" ; au plan "micro", ce fut pire encore, comme le démontre cruellement le cas Abdelhamid Abaaoud.

    Abaaoud, icône jihadie des revues et vidéos sanglantes de l'Etat islamique "cible prioritaire des services antiterroristes européens". Abaaoud, "star" de  "tous les fichiers antiterroristes de tous les pays de l'UE". Abaaoud dont tout magistrat interrogeant un jihadi rentré de Syrie, entend sans cesse le nom.

    Or depuis la Syrie, Abaaoud arpente en 2015 l'Europe de l'île de Leros à Birmingham, via la Grèce, les Balkans, l'Italie, la Hongrie et l'Autriche ; la France bien sûr et la Belgique. Abaaoud jamais repéré en Europe, dont nul ne s'avisera qu'il est là, avant le massacre du 13 novembre.

    Depuis janvier 2015, les acteurs de l'antiterrorisme font face avec acharnement. D'évidence, le criminologue ne leur fait pas la leçon. Bien plutôt aspire-t-il à situer les tragédies de 2015 dans leur perspective géopolitique et profondeur historique ; à ex-poser un champ de bataille dans le cours d'une guerre.

    D'abord, ce fondamental : Pour Raymond Aron, l'essence de l'Etat-nation tient en ceci : "Respecté à l'extérieur, en paix à l'intérieur". Or en 2015, la France subit les pires attentats de son histoire : 150 morts, plus de 300 blessés. Ce respect, cette paix, sont sévèrement atteints : il faut les restaurer au plus vite. Ceci passe par deux phases : comprendre l'échec d'abord, y remédier ensuite. Car, la mission d'un gouvernement (quel qu'il soit) n'est pas de commémorer, mais d'agir en sorte qu'il n'y ait pas de commémorations à faire.

    L'attaque du 13 novembre

    Ce soir là, de 21h20 à 21h53, trois commandos de moudjahidines sèment la mort dans Paris et alentours. Ces neuf (ou dix) terroristes sont dirigés depuis Bruxelles par une "triple coordination" (selon l'enquête belge), qui maintient avec les assassins un constant contact : une énorme opération, préparée des mois durant entre la zone de jihad, la Belgique et la France. L'enquête achevée impliquera sans doute dans l'action une trentaine d'acteurs de tout niveau : logistique, commandos, coordination.

    Issus du quartier bruxellois de Molenbeek, ces moudjahidines sont de jeunes maghrébins français ou belges. Copains de bistrot ou de prison, tous sont fichés comme voyous, repérés comme radicaux.

    Leur opération nécessite trois planques en Belgique, deux (connues) en région parisienne ; la location d'au moins trois véhicules et un transfert d'argent (connu) par mandat télégraphique.

    Avant l'assaut du 13 novembre, et durant l'action, ces "minutieux" mais peu discrets terroristes voyagent et communiquent intensément.

    Du 17 septembre au 14 novembre 2015, deux d'entre eux (dont un "kamikaze" de Paris) échangent 109 appels téléphoniques. Lors de l'attaque, le seul téléphone d'un terroriste dénombre, en quelques heures, 25 appels entre Paris et Bruxelles. du 15 novembre jusqu'à sa mort du surlendemain, Hasna Aït Boulahcen téléphone 248 fois et envoie 310 messages.

    En octobre 2015, Salah Abdeslam achète une dizaine de détonateurs en région parisienne ; de là au 13 novembre, lui et son frère louent des voitures et sillonnent les routes entre Bruxelles et Paris.

    Renseignement préventif : un échec absolu

    En France, en Belgique ou en Europe, rien de cela n'a été repéré, rien n'a été compris, rien n'a été efficacement préventif. Or comme toujours en pareil cas, les signes avant-coureurs abondaient :

    - Février 2009 : suite à un attentat commis au Caire, (une lycéenne française y est tuée) une suspecte extradée en France signale les préparatif d'un attentat visant le Bataclan, salle dont "le patron juif finance l'armée israélienne". Sur quoi une instruction judiciaire est ouverte en juillet 2010. Côté exploitation de renseignement, rien n'en sort.

    - Août 2015, un jihadi rentré de Syrie révèle aux policiers qu'Abaaoud lui a demandé de tirer dans la foule d'un concert de rock. Le Jihadi insiste : "ça va arriver très bientôt... Là-bas, ils cherchent vraiment à frapper en France...".

    - Avant les attaques visant Charlie-Hebdo et l'Hypercacher, Amedy Coulibaly était vu par les chefs du renseignement intérieur comme un petit voyou. Il n'était donc pas surveillé - tâche pourtant aisée, Coulibaly étant sorti de prison en mars 2014 sous bracelet électronique... Le négligé Coulibaly fréquentait cependant depuis 2010 un groupe de fanatiques du nord-est de Paris signalés depuis 2005 et figurait sur la liste américaine TIDE (Terrorist Identities Datamart Environment), de terroristes potentiels américains et étrangers.

    Aveuglement donc - et en prime, des énormités. Voici Samy Amimour, l'un des bouchers du Bataclan. Au printemps 2012, il peut adhérer à... l'Association nationale de tir de la police (ANTP), après qu'on l'ait gentiment initié au tir au pistolet 9 mm. Sous contrôle judiciaire depuis octobre 2012, Amimour, interdit de sortie du territoire, rend ses documents d'identité et pointe au commissariat - mais file en Syrie en septembre 2013, un juge lui ayant restitué son passeport...

    Une riposte à ce jour rétrospective

    Des journalistes complaisants s'émerveillent de ce que "les préparatifs des terroristes et le déroulement des opérations [soient désormais] retracés avec une grande précison". Les criminologues pensent qu'à l'inverse, le problème est là : avoir appris tout ça après le terrible massacre. Car depuis janvier 2015, la réaction officielle : communication de crise, traitement médiatique, réponse policière, état d'urgence, relève, et ne relève que, du registre rétrospectif.

    L'état d'urgence : ce qui remonte du terrain est que perquisitions et assignations à résidence deviennent inefficace en une semaine, application policière de la célèbre loi des rendements décroissants. Comme ces actions ciblent surtout des bandits que la police veut de longue date cravater, et que dans ce milieu darwinien, la courbe d'apprentissage est forcément rapide, tout s'évapore en quelques jours : armes, éléments incriminants, etc.

    Que faire pour demain ?

    Ici, une question s'impose : comment éviter un nouveau 13 novembre ?

    Les acteurs de terrain de l'antiterrorisme savent trop bien que notre millefeuilles antiterroriste est pesant, fragmenté et alourdi depuis l'été 2015 par une couche bureaucratique supplémentaire. Ce dispositif doit être renouvelé, simplifié, rendu rapide et prédictif. Un problème qualitatif, non quantitatif, et nul apport à l'aveuglette d'hommes et d'ordinateurs n'y remédiera.

    Reste le problème des hommes : accumulant les échecs depuis 2012 et Mohamed Merah, l'actuel dispositif antiterroriste est intact à ce jour. A sa tête, les responsables de ces échecs ont été maintenus ou promus. Nulle sanction n'a jamais été prise. Le gouvernement ne touche à rien, de peur sans doute que le ciel ne lui tombe sur la tête.

    60 jours après, où en sommes-nous

    Eviter le prochain massacre dépendra surtout des réponses données aux questions stratégiques que voici.

    - Trois (ou quatre) des terroristes du 13 novembre ne sont toujours pas identifiés. Qui sont-ils ? D'où venaient-ils ? A qui rendaient-ils compte ?

    - Au-delà, des acteurs majeurs du massacre sont en fuite, certains inconnus, comme les deux coordinateurs de l'opération. Où sont-ils, que trament-ils ?

    - Plus largement : sous surveillance, Abaaoud révèle à sa cousine "avoir profité de la vague de migrants arrivés en Europe cet été pour se rendre en France". On l'identifie en septembre 2015 sur l'île grecque de Leros, parmi les migrants. Le 3 octobre, deux des terroristes inconnus du 13 novembre débarquent à Leros parmi une centaine de migrants. Peu après, on apprend que l'Etat islamique "détient d'authentiques passeports [syriens] vierges, qu'il fournit à ceux qui veulent gagner l'espace Schengen".

    Là, le problème révèle son essence - clairement politique. Car hier encore à Bruxelles ou à Paris, des officiels indignés qualifiaient de calomnie xénophobe le risque d'infiltration terroriste dans les flux migratoires. Or telle était la tragique réalité. Ces terroristes infiltrés dotés de passeports syriens, combien sont-ils ? Combattre pour gagner demande une vision réaliste de la menace. Mais le fan-club de la mondialisation heureuse est-il capable de cela? 

    Xavier Raufer (Atlantico, 15 janvier 2016)

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  • La diplomatie française entre atermoiements et impuissance assumée...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Philippe Migault, cueilli sur le site de l'agence d'informations russe Sputnik et consacré au flottement de la diplomatie française, notamment vis-à-vis de la Russie...

    Philippe Migault est directeur de recherche à l'Institut de Relations Internationales et stratégiques (IRIS).

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    La diplomatie française entre atermoiements et impuissance assumée...

    La reconduction des sanctions envers la Russie avec l’assentiment de la France est révélatrice de notre incapacité à conduire une politique étrangère cohérente. Soucieuse de donner des gages à tous, notre diplomatie n’est plus lisible, ni crédible.

    Dans la foulée des attentats qui ont frappé Paris le 13 novembre dernier, les autorités françaises ont cessé de camper sur leurs anciennes positions déconnectées des faits sur le dossier syrien afin de demander la collaboration de la Russie, que François Hollande est allé chercher en personne au Kremlin, à grand renfort d'amabilités et de tutoiement vis-à-vis de Vladimir Poutine. Terminée l'intransigeance sur le départ préalable de Bashar el-Assad, avant tout processus négocié de sortie de crise. Contraint et forcé, Laurent Fabius est non seulement revenu sur cette ligne inflexible, mais est même allé jusqu'à évoquer une coopération contre l'Etat Islamique avec les troupes du dirigeant syrien, bref, semblait rejoindre la position de la Russie. Dans ce cadre, alors que nous semblions bel et bien prêt à nous rendre à Canossa, il eût semblé logique de mettre fin à la bouderie franco-russe déclenchée par la crise ukrainienne et de cesser d'apporter notre soutien à la politique de sanctions décrétée par l'Union européenne envers Moscou. Manuel Valls, avec sans aucun doute l'assentiment préalable de François Hollande, semblait aller dans ce sens lorsque, le 26 novembre dernier, il déclarait à la tribune de l'Assemblée nationale que la France aimerait que ces sanctions prennent fin. Mais une fois encore le diable se cache dans les détails et pour ceux qui n'ont pas retenu simplement cette phrase, mais ont pris soin d'écouter la totalité du discours du Premier ministre, il était clairement stipulé que la levée des sanctions demeurait conditionnée au respect par la Russie des accords de Minsk-2. C'est là, dans cette aspiration à obtenir tout et son contraire en Syrie et en Ukraine, que le bât blesse.

    Car les autorités françaises savent pertinemment que la plupart des violations du cessez-le-feu sont à attribuer, non pas à la Russie et aux séparatistes du Donbass, mais aux Ukrainiens. Elles ne peuvent que constater l'impuissance de Kiev à réformer sa constitution dans le sens d'une autonomie accrue des provinces ukrainiennes, comme convenu dans le cadre de ces accords. Bref, elles exigent des Russes qu'ils se conforment à un texte qui n'est pas respecté par la partie adverse, ce dont celle-ci, aussitôt, tirerait avantage. Ce que nous, Français, serions certainement prêts à accepter suivant l'angélisme coutumier de nos dirigeants, s'imaginant qu'ils ont vocation à guider le monde par l'exemple, suivant « l'esprit des lumières », mais qu'on ne peut guère attendre d'un réaliste déterminé comme Vladimir Poutine. Manuel Valls savait donc, lorsqu'il s'exprimait il y a un mois, que ses propos relevaient du vœu pieux et ne l'engageaient à rien.

    Au demeurant cela n'a rien de surprenant. La France est coutumière de cette diplomatie conjuguant effets de manche, absence de volonté politique et stratégie inexistante. D'une diplomatie multipliant les déclarations mais jamais suivie d'actes. Alors que nous avons perdu 130 de nos compatriotes, de nos proches, sous les coups des terroristes islamistes, les mêmes qui ont frappé à Beslan ou ont détruit l'Airbus A321 russe de Metrojet, rien ne semblait plus logique, alors que nous sommes de facto partenaires puisque confrontés au même ennemi, que de saisir cette occasion pour aplanir nos différents avec la Russie. Il n'en est rien. Car il est tellement plus important de donner des gages à nos « véritables » alliés. De flatter nos amis Polonais, qui nous ont fait miroiter des milliards de dollars de contrats d'armement si nous renoncions à vendre des Mistral aux Russes et qui, la chose faite, font la fine bouche sur nos matériels. De rassurer nos amis Baltes, pourtant loin de cultiver l'art du « vivre ensemble » avec les fortes minorités russes vivant sur leur territoire. De complaire à nos clients Qatari et Saoudiens, qui ignorent tout, bien entendu de l'Etat Islamique, du Wahabbisme et du terrorisme. De prouver notre fidélité à cette Union européenne dont le modèle s'écroule. De faire acte d'allégeance, enfin, à notre grand frère américain.

    Oui, il est si important de plaire à nos mandataires, de ne pas froisser nos « partenaires », même lorsqu'ils ne pèsent rien comparativement à nos intérêts en Russie, qu'il ne nous reste, en définitive, que les mots pour donner l'illusion que la France conserve sa liberté d'action. Nos atermoiements n'ont rien d'innocent. Ils correspondent à notre statut réel. Celui d'une puissance régionale de second ordre qui, arguant de sa maîtrise de l'arme nucléaire et de son siège au conseil de sécurité, tente de persuader ses habitants qu'elle conserve un rôle mondial, mais qui, dans les faits, connaît ses moyens et assume son impuissance en catimini. Parce qu'il est hors de question, pour ses élites, de rêver encore de grandeur ou d'indépendance.

    Philippe Migault (Sputnik, 23 décembre 2015)

     
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