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  • Feu sur la désinformation... (315)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : L’image de la semaine
      Joe Biden est désormais président des États-Unis et sa cérémonie d’investiture était… particulière.
    • 2 : Covid-19. Censure, manipulations… Débat impossible ?
      Entre censure de YouTube contre TV Libertés et manipulation possible des chiffres des hospitalisations… le débat autour du Covid-19 et de la vaccination semble devenir de plus en plus compliqué...
    • 3 :  Revue de presse
    • 4 : UE, diversité… Propagande totale du service public
      À France Télévisions, les rédacteurs en chef sont incités financièrement à parler d’avantage de l’Union européenne et de diversité.

     

                                               

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  • L'Union européenne contre l'Europe...

    Le nouveau numéro de la revue Réfléchir & agir (n°63 - Automne 2019) est disponible en kiosque. Le dossier est consacré à l'Europe...

     

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    Au sommaire :

    Tour d'horizon

    Antipasti

    François Brigneau, par Pierre Gillieth

    DOSSIER : L'UE contre l'Europe

    Les origines mondialistes de l'UE, par Eugène Krampon

    Plongée au coeur du totalitarisme de l'UE, par Eugène Krampon

    Pour ou contre l'Euro ? , par Eugène Krampon et Klaas Malan

    Entretien avec Pierre-Yves Rougeyron

    Nationalistes, à quelle Europe rêvez-vous ? , par Eugène Krampon, Christian Bouchet et Klaas Malan

    Pour un protectionnisme européen : l'autarcie des grands espaces, par Klaas Malan

    Qu'est-ce qui fonde l'unité européenne ? , par Klaas Malan

    Grand entretien

    Bruno Lafourcade

    Politique étrangère

    Quand l'extrême droite était sioniste, par Édouard Rix

    Histoire

    Les carlistes, ces Vendéens d'Espagne, par Christian Bouchet

    Littérature

    Gérard de Villiers, par Bruno Favrit

    Un livre est un fusil

    Révolte contre le monde moderne, de Julius Evola, par Thierry Durolle

    Notes de lecture

    Beaux-arts

    Mara Tranlong, un hommage à Céline, propos recueillis par Pierre Gillieth

    Cinéma

    Les masques de John Carpenter, par Pierre Gillieth

    Disques

     

     

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  • CETA, le traité de tous les dangers...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un point de vue d'Hervé Juvin consacré à la question du CETA, traité de libre-échange entre le Canada et l'Union européenne, récemment ratifié par les députés français. Économiste de formation, vice-président de Géopragma et député européen, Hervé Juvin est notamment l'auteur de deux essais essentiels, Le renversement du monde (Gallimard, 2010) et La grande séparation - Pour une écologie des civilisations (Gallimard, 2013). Candidat aux élections européennes sur la liste du Rassemblement national, il a publié récemment un manifeste intitulé France, le moment politique (Rocher, 2018).

     

                                           

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  • La Punition...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Richard Dessens, cueilli sur Eurolibertés et consacré au délitement de l'Union européenne portée par Emmanuel Macron. Docteur en droit et professeur en classes préparatoires, Richard Dessens a notamment publié La démocratie travestie par les mots (L'Æncre, 2010), Henri Rochefort ou la véritable liberté de la presse (Dualpha, 2017) et La démocratie interdite (Dualpha, 2018).

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    La Punition

    Le spectacle de l’indigence acrimonieuse de l’Union européenne touche à son paroxysme. Les anathèmes, les menaces incessantes et les punitions catastrophiques continuent de pleuvoir sur les peuples européens à souveraineté de plus en plus limitée.

    La Grèce, La Pologne, la Hongrie, la Roumanie, l’Italie ont déjà fait les frais plus ou moins catastrophiques de la vindicte de Bruxelles à des niveaux différents mais toujours dans l’optique de montrer les muscles pour l’UE. Muscles dérisoires des illusions d’être le « patron » et d’imposer un management par le mépris.

    La Grèce, qui a provoqué la première le feu en quelque sorte des chevaliers de Bruxelles, a fini par céder à leurs oukases pour  sombrer dans la misère et la récession pour deux générations. Tant pis pour elle. Mais la Grande Bretagne n’est pas la Grèce et les rodomontades agressives de l’UE dans le cadre du Brexit s’adressent à un État de poids. Et c’est bien ce qui rend Bruxelles et son chevalier blanc, Emmanuel Macron, furibonds.

    Au-delà des subtilités diplomatiques et des négociations alambiquées dont la Grande Bretagne a toujours eu le secret, la réalité est bien plus prosaïque. Il s’agit pour l’UE de dissuader par la menace, quiconque aurait des velléités de quitter l’Union du bonheur européen. Alors, après les muscles, on montre les dents et les postures intransigeantes pour bien indiquer qu’on n’a rien à craindre de cette petite île arrogante. M. Macron est, bien entendu, en pointe et le leader incontestable de la croisade, lorsque Madame Merkel est beaucoup plus nuancée et en retrait dans cette affaire très politico-médiatique. Intimider les peuples souverains par la menace et les sanctions reste l’apanage des ayatollahs bruxellois menés par M. Macron qui en profite pour se positionner comme le « monsieur Propre » de l’ultralibéralisme d’un fédéralisme convoité, contre l’horreur populiste.

    L’horreur est incarnée par le vote britannique pour le Brexit, ce qui apporte de l’eau au moulin des grands démocrates tellement opposés à l’expression souveraine des peuples. La démocratie, oui, mais sans le peuple. Seuls les énarques et les élites officielles devraient pouvoir voter.

    Le Brexit sans accord se profile dans un climat de catastrophisme inouï. Toutes les élites politico-médiatiques européennes ultralibérales se liguent pour décrire doctement à longueur d’antennes les conséquences dramatiques du Brexit pour une Grande Bretagne dans la misère et la désolation. Londres désertée par les financiers et dégradée de son rang de première place financière (au profit espéré de Paris ou de Francfort peut-être se laisse-t-on à rêver…) ; la Grande Bretagne en récession irrémédiable ; des millions de gens à la rue ; plus de médicaments ni de nourriture (sic), etc… « Voilà ce qui vous attend si vous osez quitter l’UE » suggère lourdement Bruxelles et M. Macron « à la Ville et au Monde. »

    Les messages sont clairs à défaut d’être justes. Mais la perspective des élections européennes démultiplie les assauts outranciers et les coups de menton outragés contre toute dissidence et menace populiste aux conséquences si dramatiques.

    De la Grèce au Royaume Uni, c’est cinq années d’anathèmes, de menaces et de sanctions. La Grèce meurt d’être restée dans l’UE et dans la zone euro. Le Royaume Uni se redéployera en quittant l’UE et grâce à sa monnaie qu’elle a su toujours préserver de l’euro et des intérêts de l’Allemagne. En outre, la politique britannique, comme l’avait si bien proclamé Churchill, n’a jamais été européenne : « Si j’ai à choisir entre l’Europe et le grand large, je choisirais toujours le grand large ». Le Royaume Uni s’appuie sur la Livre sterling, le Commonwealth et les USA, et n’a pas besoin de l’Europe. Bon vent au Royaume Uni ! « L’Angleterre est une île et entend bien le rester !»

    Il faut ajouter que pendant ces journées d’esbroufe dramatisé par l’UE et Macron, les élections provinciales pour le renouvellement du Sénat des Pays-Bas viennent de consacrer le triomphe combiné des deux partis « populistes » (PVV et FdV) qui, avec 16 sièges (sur 75) deviennent la première force politique des Pays-Bas, contre toute attente… encore une fois. Le parti majoritaire du gendre idéal européo-aseptisé Mark Rutte est devenu minoritaire. De quoi exciter encore Bruxelles et Macron qui ne savent plus où donner de la tête pour écraser la contestation en Europe malgré la puissance de leur communication apocalyptique.

    Usque tandem abutere Catilina patientia nostra ?

    Jusqu’à quand l’UE et Macron abuseront-ils de notre patience ?

    Richard Dessens (EuroLibertés, 23 mars 2019)



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  • La soumission à l'idéologie libérale est en marche...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une chronique d'Éric Zemmour sur RTL, datée du 11 juillet 2017 et consacrée à la réforme du Code du travail et à ce qu'elle signifie...

     

                                      

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  • Les populismes identitaires à l'assaut de l'Europe ?...

    Les éditions L'Æncre viennent de publier un essai de Franck Buleux, préfacé par Georges Feltin-Tracol et intitulé L'Europe des peuples face à l'Union européenne. Enseignant, diplômé en histoire, en droit, en sciences politiques, Franck Buleux est l'auteur d'un essai intitulé L'unité normande (L'Harmattan, 2015).

     

    Buleux_Europe des peuples.jpg

    " Savez-vous que l’UE a déjà perdu plus d’un tiers de sa superficie ? Que les régionalismes identitaires européens sont proches des mouvements Verts ? Que les mouvements régionalistes européens sont souvent soutenus par l’Union elle-même ? Que les régionalistes écossais préfèrent l’Union européenne à l’Union Jack ? Qu’en Espagne, l’identité régionale puise son renouveau à l’extrême gauche ? Qu’en Italie, une région est germanophile ? Qu’un territoire français est aux mains des indépendantistes d’ultra-gauche unis à la droite locale ?

    L’Union européenne comprend toujours 28 États. Certains sont au bord de l’implosion mais les dynamiteurs préfèrent parfois l’Union à leur cadre national, d’autres ne sont plus compatibles avec les « valeurs » de l’Union… Union faite de bric et de broc, qui a grandi trop vite sans véritable projet, sans ligne politique claire et commune, elle favorise tous les statuts possibles pour éviter l’amincissement territorial.

    L’Union européenne est un territoire « à la carte » ou tout départ est possible, mais strictement encadré et qui est capable de soutenir des régionalismes face à un État-nation eurosceptique. Mais pas n’importe quel régionalisme ! Du populisme anti-fiscalité au populisme ethnique, les régionalismes européens ne se ressemblent pas… Un véritable tour du monde de l’Europe des peuples, présente sur tous les continents… Un clin d’œil à l’Europe aux cent drapeaux ! "

     
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