Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

médias - Page 3

  • Feu sur la désinformation... (290)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : L’image de la semaine
      Qui dit 14 juillet dit défilé militaire et feux d’artifices. Mais comment oublier tous ceux qui, le 14 juillet 2016, ont perdu la vie à Nice suite à un attentat islamiste ?
    • 2 : Censure des prénoms : l’aveu des médias
      Alors que les journalistes taisent plus que jamais l’identité des criminels lorsqu’ils sont d’origine immigrés, nous reviendrons sur les aveux de la caste médiatique quant à cette censure et analyserons ses conséquences gravissimes.
    • 3 : Revue de presse
      La chute du New York Times…
      Fogiel qui attaque CNews…
      Comme d’habitude, nous reviendrons sur l’actualité médiatique de la semaine.
    • 4 : 14 juillet : fête nationale et défaite médiatique
      À l’occasion du 14 juillet, Léa Salamé et Gilles Bouleau ont complaisamment interrogé Emmanuel Macron pendant que les journalistes se taisaient sur les émeutes de banlieue.

                               

    Lien permanent Catégories : Décryptage, Manipulation et influence, Multimédia 0 commentaire Pin it!
  • Les médias nous racontent-ils des bobards ?...

    Vous pouvez découvrir un entretien donné par Jean-Yves Le Gallou à Vincent Lapierre pour son émission Eurêka sur Le Média pour tous, dans lequel la question de la désinformation dans les médias du système. Ancien haut-fonctionnaire, président de la Fondation Polémia, Jean-Yves Le Gallou a, notamment, publié La tyrannie médiatique (Via Romana, 2013),  Immigration : la catastrophe - Que faire ? (Via Romana, 2016) et Européen d'abord - Essai sur la préférence de civilisation (Via Romana, 2018).

     

                                         

    Lien permanent Catégories : Entretiens, Multimédia 0 commentaire Pin it!
  • Du politiquement correct à l'idéologie totalitaire...

    Le 6 janvier 2020, Pierre Bergerot recevait, sur TV libertés, André Perrin à l'occasion de la récente publication de son ouvrage intitulé Journal d'un indigné (Toucan, 2019) Professeur de philosophie, André Perrin, est déjà l'auteur d'un essai décapant intitulé Scènes de la vie intellectuelle en France (Toucan, 2017).

     

                                           

    Lien permanent Catégories : Entretiens, Multimédia 0 commentaire Pin it!
  • Pourquoi les médias sont-ils médiocres ?...

    Le numéro 27 du mensuel conservateur L'Incorrect est arrivé en kiosque. On peut découvrir à l'intérieur, notamment, un dossier consacré aux médias et un autre aux sorcières, des entretiens avec Chantal Delsol, Ingrid Riocreux, Pascal Marchand et Michel Maffesoli et les rubriques habituelles "L'époque", "Politique", "Monde" "Essais" , "Culture" et "La fabrique du fabo"...

    Le sommaire complet est disponible ici.

     

    Incorrect 27.jpg

    Lien permanent Catégories : Revues et journaux 0 commentaire Pin it!
  • Il faut démasquer les médias de propagande !...

    Vous pouvez ci-dessous découvrir un entretien avec Jean-Yves Le Gallou, réalisé par Edouard Chanot pour son émission Parade - Riposte, et diffusé le 2 décembre 2019 sur Sputnik, dans lequel il évoque, à l'occasion de la sortie de L'Album des bobards chez Via Romana, le traitement biaisé de l’information par les journalistes, et même un véritable «système de propagande» au profit du camp du Bien.

     

                                   

    Lien permanent Catégories : Entretiens, Multimédia 0 commentaire Pin it!
  • Pourquoi les décideurs occidentaux sont majoritairement immigrationnistes ?...

    Nous reproduisons ici un point de vue cueilli sur le site Rage et consacré à l'appétence des décideurs occidentaux pour l'immigration.

    On rappellera que Rage est un magazine en ligne explorant toutes les formes prises par l’imaginaire européen et ses projections, esthétiques, culturelles et scientifiques, passées ou à venir, qui mérite tout particulièrement d'être suivi.

     

    ONU_Marrakech.png

    Pourquoi les décideurs occidentaux sont majoritairement immigrationnistes ?

    Alors que les sondages montrent que les citoyens occidentaux s’opposent massivement à l’immigration, les décideurs soutiennent résolument le phénomène. Financement des ONG complices des passeurs, dépense à fonds perdus dans les journaux immigrationistes, diffusion de fictions et de documentaires pro immigration à la télévision et au cinéma, les électeurs sont littéralement matraqués par la propagande du vivre ensemble. En réaction, nombreux sont ceux qui crient au complot, cherchant les raisons de cette étrange lubie partout sauf là où elles se trouvent.

    Les arguments moraux immigrationnistes ne sont qu’une façade

    Le pivot central des thèses conspirationnistes est la volonté présumée de l’aristocratie de remplacer les Occidentaux par un mélange instable de peuples extra-européens. Ce remplacement serait motivé, entre autre, par une volonté de laver les pêchés passés des blancs, de la colonisation (œuvre civilisatrice de la gauche) à la Shoah en passant par l’esclavage.

    Bien que ce délire d’auto-détestation soit au centre des discours des SJW [Social justice warrior] et autres indigénistes, il ne faut pas confondre éléments de langages utilisés par les petits mercenaires de la cause et les déterminants de fond. Si les promoteurs de l’immigration avaient une vraie empathie pour les habitants des pays pauvres, ils adopteraient une approche utilitariste, cherchant à maximiser l’aide concrètement apportés aux pauvres étrangers avec les moyens limités dont ils disposent. Or ce n’est absolument pas leur démarche.

    L’immigration, une action humanitaire particulièrement inefficace

    Les arguments humanitaires en faveur de l’immigration sont absurdes, le cas de l’accueil des mineurs isolés l’illustre parfaitement. La prise en charge d’un seul de ces « enfants » coute 50k€ par an au contribuable, ce chiffre méconnu est tout simplement indécent. Si des âmes charitables désiraient vraiment aider les enfants des rues africains, ils adopteraient l’approche la plus efficace au plan économique et social. L’installation d’établissements en Afrique pourrait, à budget égal, décupler le nombre d’enfants abandonnés bénéficiant d’une alimentation, de soin et d’une éducation de qualité.

    La crise des migrants de 2015 fut une autre occasion de dévoiler la mauvaise foi des immigrationnistes. L’argument des « réfugiés qui fuient la guerre » fut répété ad nauseam.  L’absolue nécessité de déporter en Europe des gens parfaitement en sécurité en Turquie, Jordanie et Liban est incompréhensible. Les fonds et l’énergie humaine mobilisés pour tenter d’insérer ces masses musulmanes dans une civilisation totalement différente de la leur seraient bien plus utile pour reconstruire leurs pays.

    L’émigration brise les pays pauvres

    L’émigration n’est pas forcément une bonne affaire pour les pays pauvres. Les premiers à partir sont les individus les plus doués et les plus productifs. Ce drainage des forces vives handicape l’appareil de production local, enclenchant un cercle vicieux de la pauvreté et motivant en retour une émigration de plus en plus massive.

    La fameuse immigration « choisie » pratiquée notamment par le paradis inclusif et bien pensant canadien est une activité criminelle. En Centrafrique il n’y a qu’un médecin pour 20 000 habitants, contre 2.5 pour 1000 habitants au pays de Justin Trudeau. S’emparer d’un médecin africain par confort au lieu d’en former selon ses propres besoins revient à condamner à mort des malades africains.

    Du charity washing aux conflits d’intérêts

    Quand de grandes fortunes sponsorisent des ONG d’aide aux migrants elles sont forcément intéressées. Le cas Phoenix, un des bateaux récupérateurs de clandestins en méditerranée symbolise parfaitement les motivations douteuses de ces bienfaiteurs de l’humanité autoproclamés. Affrété par Migrant Offshore Aid Station, le Phoenix est la vitrine de Regina et Christopher Catrambone.

    Ce couple de millionnaires américains est propriétaire du groupe TANGIERS, basé à Malte (place forte de l’optimisation fiscale) spécialisé dans, cela ne s’invente pas, le service médical, le sauvetage et l’assurance pour les « voyageurs », notamment en zone de guerre et de non droit. Plus croustillant encore ils doivent la majeure partie de leur fortune aux conflits irakien et afghan. Difficile dans leur cas de faire le tri entre auto-promotion, auto-absolution et charity-washing.

    Les décideurs privés ne jettent pas d’argent par les fenêtres. S’ils ne voyaient pas des perspectives de retour sur investissement dans l’immigration de peuplement ils n’alimenteraient pas la machine à propagande et les ONG aux actions aussi spectaculaires qu’improductives. S’ils n’avaient d’autres motivations que de combler leurs élans humanitaires, ils investiraient dans des opérations soigneusement pensées et réalisées, comme celles de la Fondation Bill & Mélinda Gates

    Le migrant est un pousseur de caddie comme les autres

    Pour comprendre l’intérêt économique de l’immigration de masse mettez vous à la place d’un investisseur intervenant dans les secteurs les plus imbriqués avec l’appareil étatique (BTP, immobilier, téléphonie, grandes et moyennes surfaces commerciales, transports et les médias). Que représente un migrant pour vous ?

    Un migrant, même improductif, c’est une bouche à nourrir, un forfait 4G et un smartphone vendu à crédit, un logement (droit opposable, même pour un clandestin), une télévision, un abonnement à des chaines TV payantes, des tickets de bus/métro etc. Multipliez ces dépenses par 250 000 entrées légales par an, multipliez par quatre décennie de flux migratoires intenses, et vous vous rendrez compte que l’enjeu n’a absolument rien à voir avec la morale humanitaire et l’enrichissement culturel.

    De nombreuses entreprises incapables d’innover et protégées par des États réticents à la destruction créatrice misent principalement sur la croissance de la population pour maintenir leur taux de profit. Pour s’assurer un afflux incessant de nouveaux pousseurs de caddies elles mobilisent leurs réseaux d’influence pour peser sur les politiques migratoires.

    Les élus sont d’autant moins réticents que les immigrés extra européens et leurs descendants constituent, malgré son abstentionnisme élevé, une clientèle électorale disciplinée. Pour profiter de la « stratégie Terra Nova » il suffit de procéder à de menus accommodements communautaristes. Qu’importe si les contribuables doivent emprunter pour financer les tentatives d’intégration des nouveaux venus. Quand des « économistes » comme Emmanuelle Auriol affirment que le coût de l’immigration n’est qu’une forme de relance keynésienne, pourquoi s’en priver?

    L’humain, objet économique échangeable et interchangeable

    D’un point de vue libre échangiste, l’immigration de peuplement n’est qu’une application de la théorie des avantages comparatifs. L’Afrique et le monde arabo-musulman surproduisent des humains à très bas coût et acceptent de les exporter gratuitement (ou presque) vers des pays qui n’en produisent pas suffisamment, handicapés par des coûts de logement, d’alimentation, de santé et d’éducation prohibitifs. Rien que l’enseignement jusqu’au baccalauréat représente à lui seul 100 000€ de dépense par Français.

    Le marché mondial de l’humain dérégulé ouvre aux décideurs économiques une source quasi inépuisable de travailleurs/consommateurs prêts à l’emploi, parfois formés gratuitement par leurs pays d’origine. Même si l’État dépense pour tenter de les mettre au niveau et de les adapter à leur nouvel environnement culturel, le coût de revient d’un humain d’importation reste largement plus faible que la (re)production humaine locale.

    Un calcul économique plus que douteux

    Les décideurs ignorent cependant le très faible niveau de compétence professionnel des migrants. Le niveau d’une licence africaine est inférieure à un bac européen. Ce fait modifie complètement le rapport coût/bénéfice de l’immigration. L’intégration des nouveaux européens sur le marché du travail, dépendant de longues et coûteuses années de formation, est un pari des plus risqué. De l’aveu même de Aydan Özoğuz, ministre de l’intégration, seul 25 à 30% des « réfugiés » pourraient rentrer sur le marché du travail dans les cinq prochaines années. Les autres auront besoin d’assistance sociale pendant au moins 10 ans.

    " Il semble que la majorité des réfugiés auraient d’abord besoin d’un entrainement intensif, et même avec cela, ce n’est vraiment pas sûr que cela marche”

    Ludger Wößmann directeur du centre IFO pour l’économie de l’éducation, 2016

    Au Royaume Uni les statistiques sur les pays d’origine des migrants révèlent des éléments intéressants. Les migrants venant d’Europe ont une contribution fiscale très positive de +2300£, et même de +3700£ pour ceux venant de l’UE. En revanche les migrants extra européen ont une contribution négative de -800£ par personne. Toute l’arnaque de l’immigration rentable repose sur l’agrégation des effets de l’immigration intra européenne, constitué de jeune travailleur, et de l’immigration de peuplement extra européenne prolifique mais sans formation professionnelle.

    La pensée magique immigrationniste face au réel

    Les promoteurs de l’importation d’humain sont absolument convaincus que les migrants de pays improductifs, superstitieux et violents se transformeront en citoyens pacifiques, tolérants et productifs une fois déplacés sous nos latitudes. Après quatre décennies où assimilation républicaine et intégration multiculturelle ont lamentablement échoué, seule la pensée magique fait tenir le front immigrationniste.

    Mais pour combien de temps encore? La science, défiant la censure et l’anathème, détricote petit à petit l’idée selon laquelle l’espèce humaine ne serait pas structurée en population porteuses de traits physiologiques et cognitifs distincts, adaptés à leurs conditions environnementales et culturelles respectives. Bientôt les masses humaines ne seront plus considérées comme de simples commodités économiques interchangeables, mais bien comme des entités agissantes, indissociables de leurs fondamentaux identitaires.

    Alors tout sera remis en cause.

    Techno-Prêtre (Rage, 5 juin 2019)

    Lien permanent Catégories : Points de vue 0 commentaire Pin it!